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Des camarades de classe

Chapitre 10

Trash
Il était presque dix heures lorsque Cyrille toqua à la porte. Philippe et lui avaient encore des répliques dans leurs intestins, derniers soubresauts dus à l’huile de ricin avalée la veille. Verena ouvrit après quelques minutes d’attente. Visiblement, elle émergeait à peine du sommeil. Ericka était certainement encore au lit. Ils entrèrent, espérant rapidement être soulagés, mais Verena prenait un malin plaisir à faire traîner les choses. Elle les laissa aller aux toilettes mais en profita pour retourner dans la chambre. Comme elle ne revenait pas, les deux camarades se demandèrent s’ils devaient aller la chercher ou attendre patiemment. Ils se dandinaient d’un pied sur l’autre. Ils entendirent quelques bruits qui provenaient de la chambre ; il était maintenant évident qu’elles faisaient exprès de les faire attendre. Elles s’envoyaient en l’air, et ils comprirent trop tard leur erreur : ils n’allaient pas tarder à être excités par les gémissements, et les cages se montreraient vite trop étroites.
Verena les appela. Ils entrèrent dans la chambre. Verena, à quatre pattes sur le lit, se faisait prendre par Ericka qui s’en donnait à cœur joie. La belle trans, sentant sa jouissance arriver, changea de position. Verena se coucha sur le dos, les fesses au bord du lit. Son amie déchargea rapidement tout en se retirant. Le pubis et la vulve maculés de sperme, Verena désigna Cyrille pour lui faire un nettoyage en règle.
    ─ Voyons si tu es plus doué que ton ami pour ce qui est de donner du plaisir à une femme avec ta langue.    ─ Et toi, Philippe, j’espère que tu sauras te débrouiller avec ma queue.    ─ Pourriez-vous nous libérer de ces cages ? Nous commençons à être à l’étroit là-dedans.    ─ Ça viendra… en temps utile.
Cyrille, le nez dans la motte de Verena, avait déjà débarrassé tout le foutre mais ne s’arrêtait pas pour autant. Puisqu’il n’avait aucune connaissance particulière en anatomie féminine, la jeune femme le guida. Il était cependant clair qu’il était plus doué que Philippe à ce petit jeu-là.
    ─ Pour te remercier, nous allons ôter la cage de Philippe.    ─ Mais…
Cyrille avait relevé la tête pour protester mais Verena s’empressa de lui remettre le nez entre ses cuisses.
    ─ Ta récompense n’est pas d’être libéré de ta cage, mais de te faire prendre par Philippe. Nous avons toutes les deux hâte de vous voir à l’œuvre. Vous pourrez aussi continuer vos activités buccales.
Pendant qu’ils se déshabillaient tous les deux, Ericka se dirigea vers la table de chevet, ouvrit le tiroir et prit une petite clé. Elle détacha la cage de chasteté de Philippe et commença à le masturber. Après plus de douze heures de contrainte, il avait un peu de mal à bander aussitôt. Elle lui mit un doigt dans le cul, cherchant à lui stimuler la prostate, tout en continuant le travail masturbatoire de l’autre main. Petit à petit, la verge commençait à prendre un peu d’ampleur.
    ─ Continue de te branler pendant que je libère le cul de Cyrille.
Philippe obéit sans sourciller. Ericka promena un doigt sur la rondelle de Cyrille, contempla et commenta la dilatation, anticipant le moment où le plug laisserait la place à un cratère. Elle tira sur l’objet sans réelle intention de le sortir immédiatement. À peine l’anus s’étirait pour laisser passer le plus gros diamètre qu’elle l’enfonçait à nouveau. Cyrille était à la fête et gémissait sous ce travail de sape. Sa queue se recroquevillait et la pression de la cage s’évanouissait. Verena vint voir le spectacle de ce trou qui semblait pouvoir s’étirer à volonté. Ericka continua encore quelques minutes ; la verge laissait couler un abondant flot de liquide pré-séminal.
    ─ Vas-y maintenant.

Ericka retira de manière brutale le plug. L’anus restait béant ; Verena ordonna de remettre l’objet en place tout aussi brutalement. Cyrille accusa le coup mais ne demanda aucunement que la torture s’arrête. Puis Ericka retira le plug tout doucement afin de contempler la lente et progressive dilatation du sphincter. À la vue de ce trou largement ouvert, Philippe sentit que sa queue avait repris vie.
Cyrille contracta le muscle anal pour le refermer autour de la bite de son ami. Le ramonage en bonne et due forme commença. Chacun d’eux dut reprendre son travail buccal. L’abricot de Verena commençait à se liquéfier : elle avait devant elle les fesses de son amie qui formaient un cadre dans lequel elle pouvait voir un homme enculant l’homme qui s’appliquait à lui procurer de sa langue un plaisir immense. Et si elle ne pouvait pas le voir, l’enculeur suçait la belle transsexuelle.
Sa jouissance arrivait au grand galop. Elle se laissa partir en arrière, prit appui sur ses coudes. Cyrille introduisit deux doigts dans le fion de la femme qui lui offrait la plus belle boisson qu’il n’ait jamais bue. Elle aurait aimé le remercier pour cette heureuse initiative, mais il ne fallait pas perturber une si bonne langue. Elle sentait le souffle chaud de Cyrille sur sa vulve : il haletait de plus en plus fort sous les coups de boutoir de Philippe. Il avait attendu toute une nuit avant de pouvoir sentir la queue de son ami aller et venir en lui.
L’orgasme arriva. Verena s’affala totalement sur le dos, les bras en croix. Elle passa ses jambes autour de la taille de son amie et la tira en arrière. Ericka se laissa tomber précautionneusement et s’allongea de tout son long sur le corps de Verena qui lui caressa les seins. Philippe suivit le mouvement et ne lâcha pas la queue de la belle trans. Cyrille, imperturbable, continuait de lécher la chatte, le visage luisant de mouille. Les caresses de son amie et la fellation du jeune homme amenèrent rapidement Ericka à la jouissance. Elle éjacula copieusement et Philippe laissa échapper un peu de foutre qui tomba sur la vulve juste en dessous. Cyrille nettoya rapidement ces quelques gouttes de sperme ; il semblait apprécier ce mélange de jus. La dénomination « abricot-banane » lui traversa l’esprit alors qu’il donnait de grands coups de fesses comme pour absorber dans son cul quelques centimètres de plus. Philippe, dont le plug était toujours en place et stimulait la prostate, ne résista guère plus longtemps et balança la purée dans les intestins de son camarade de lycée, une longue série de jets crémeux, puissants et épais qui redécorèrent l’intérieur de Cyrille.
Ils reprirent leur souffle, tous les quatre affalés sur le lit. Quand ils eurent retrouvé leurs esprits, ils devisèrent sur les activités de la journée. Verena et Ericka, qui avaient quelque chose en tête pour l’après-midi, se gardèrent bien d’annoncer la couleur malgré les tentatives répétées des deux amis pour leur faire avouer de quoi il s’agissait.
    ─ Bon, douche complète pour tout le monde. Après, on file au village pour faire les courses.     ─ Douche complète ?    ─ Extérieur et intérieur !
Cyrille fut libéré de sa cage de chasteté et Philippe de son plug. Ils se retrouvèrent tous les quatre sous l’immense douche. Apparemment, elle avait été conçue pour ça, pour accueillir plusieurs personnes en même temps. Il y avait deux pommeaux : un énorme d’où l’eau semblait tomber comme une pluie, et un deuxième, long et fin, ressemblant à un tube de métal légèrement coudé, qui intrigua Philippe et Cyrille pendant quelques dizaines de secondes. Ericka tira la bonde pour faciliter l’évacuation. Cyrille eut l’honneur – façon de parler – de découvrir le premier l’utilisation du fin pommeau ; Verena se plaça derrière lui et le glissa dans le cul du jeune homme, puis elle fit couler l’eau doucement, le temps qu’il s’habitue à la sensation, avant d’augmenter la pression. Cyrille sentit son ventre gonfler et durcir. Verena lui conseilla de serrer les fesses pendant qu’elle retirait le tuyau. Puis ce fut le tour de Philippe. Cyrille se moqua gentiment de lui : il trouvait que son ami ressemblait ainsi à une pompe à essence.
    ─ Ça y est, le plein est fait, plaisanta Verena.    ─ Oui, mais c’est moi qui suce le plus ! ajouta Cyrille.
Ils éclatèrent tous de rire, mais deux d’entre eux durent faire attention à ne pas avoir de fuites, puis ce fut au tour des deux femmes de faire le plein. Cyrille commençait à avoir mal au ventre. Il se retenait encore, ne sachant que faire.
    ─ Si c’est trop pénible, tu peux aller te vider, lui dit-elle en ouvrant le rideau de la douche.     ─ Ouf ! Merci.    ─ Et reviens vite, qu’on finisse la toilette.
Il se vida d’un coup et comprit l’intérêt d’avoir un WC à proximité. Il croisa Philippe qui s’impatientait. Cyrille eut droit à un second passage ; Verena fit couler l’eau plus fortement et lui conseilla de ne pas se retenir. Quand l’eau coula clairement, elle lui conseilla :
    ─ Retiens l’eau à présent.
Ericka saisit une chaise en plastique, la posa dans la douche, puis à son tour s’en alla se vider. Philippe subit le même traitement à son retour. Quand il eut le cul rempli, Verena lui demanda de s’asseoir sur la chaise et d’attendre. Elle le masturba jusqu’à ce qu’il ait une belle érection qu’elle ordonna à Cyrille d’entretenir ; il ne se fit pas prier. Ericka, une fois le ventre à nouveau empli d’eau, vint s’empaler sur la verge de Philippe, et cette fois Cyrille suça la tige de la belle empalée. Lorsque Verena revint, elle le fit asseoir sur la queue bandée de son amie. Ericka remuait sur la verge plantée en elle, et par la même occasion la sienne s’agitait agréablement dans le cul de Cyrille. Verena, après avoir vérifié que la chaise tenait le choc, vint à son tour s’enculer pour compléter l’étrange édifice humain.
Verena, en haut de cette tour de Pise de chair et touchant difficilement le sol, posa ses pieds sur les cuisses de Cyrille et lui demanda de s’occuper de ses seins. Elle sentit trois mains et reconnut le toucher d’Ericka dont la poitrine fut rapidement palpée par Philippe qui n’avait pas attendu qu’on le lui demande. Pour les deux camarades, la sensation d’eau chaude autour de leur verge était une réelle découverte. Cyrille avait même la chance de connaître la sensation inverse, contrairement à Philippe, de se sentir empli d’eau chaude et d’avoir une queue qui remuait en lui, comme s’il était devenu un bocal dans lequel un poisson nageait. Ils commentèrent les connaissances de ces deux jeunes femmes qu’ils ne regrettaient pas d’avoir rencontrées. L’empilement dura quelques minutes puis Verena repris le commandement.Elle se vida sur la queue de Cyrille qui, à son tour, expulsa son eau sur la bite d’Ericka, qui fit de même sur Philippe. Tous les quatre se lavèrent mutuellement pour une douche plus traditionnelle.
Une fois secs, ils se préparèrent. Tous eurent droit à un massage anal copieusement lubrifié. Cyrille et Philippe se demandèrent ce qu’elles leur préparaient, encore tout épatés par l’immensité de leur imagination. Puis ils partirent tous à pied pour le village : il était temps de penser au ravitaillement. Au menu de ce midi : ratatouille maison.
Une fois les légumes payés, Verena s’en alla seule à boucherie tandis que les trois autres se dirigèrent vers le bar. Ils s’installèrent au fond de la pièce ; c’était l’endroit le plus frais, mais ce n’était pas la chose la plus importante : c’était surtout le coin le plus retiré et le plus discret. À cette heure-ci, toutes les personnes préféraient rester en terrasse ou au comptoir. Quand le patron eut apporté les boissons, la mission d’Ericka put commencer.
Philippe et Cyrille comprirent pourquoi tous avaient eu droit à une bonne lubrification anale. Cyrille, en premier, dut baisser discrètement son short et cambrer son cul. La belle transsexuelle prit une courgette et la présenta contre la rondelle. Le légume entra sans problème, et bientôt une deuxième prit le même chemin, plus difficilement, mais elle finit par entrer. Cyrille put remonter son short, et Philippe vint prendre sa place. Ericka sortit la barquette de tomates-cerises et la posa sur la table. Une à une, elle en transféra le contenu dans le cul du garçon qui reçut comme consigne de ne pas trop contracter ses muscles : si possible, les petites tomates devaient garder un peu de fermeté.
    ─ Ça ira comme ça ? Vous réussirez à marcher normalement jusqu’à la maison ?     ─ Je pense, répondit Cyrille.     ─ Sans problème. Mais toi, tu ne prends rien ? Ou est-ce juste nous deux qui devons servir de cabas ?    ─ Ne t’inquiète pas, moi aussi. Mais j’ai besoin d’un peu plus de place pour le faire, alors je vais aller dans les toilettes. À tout de suite, fit-elle en embarquant une aubergine.    ─ J’aurais aimé voir ça ; dommage… regretta Cyrille.    ─ Je te laisserai voir la sortie, ça te plaira encore plus.
Deux minutes après, elle ressortait avec une gestuelle qui faisait penser à un magicien montrant ses paumes ouvertes et annonçant « Rien dans les mains ! »
Ils purent enfin siroter leur boisson tranquillement. Parfois l’un d’eux se tortillait sur sa chaise. Cyrille eut l’impression que l’un des légumes était remonté plus profondément. Ericka le fit venir à côté d’elle et passa une main dans son short. Elle glissa deux doigts dans le porteur de courgette et entra rapidement en contact avec l’extrémité de l’un des légumes. Elle poussa, et la cucurbitacée s’enfonça un peu plus.
    ─ Oui, tu as raison. Il y a peut-être de la place pour une troisième maintenant. Gourmand !    ─ Vas-y, essaye.     ─ Ton enthousiasme fait vraiment plaisir à voir !
Elle joignit le geste à la parole et la courgette, un peu plus grosse que les premières, fit office de bulldozer, poussant tout sur son passage. Puis à mi-longueur, plus d’avancée possible. Ericka, d’un geste rotatif du poignet chercha à élargir le conduit, espérant ainsi se frayer un passage. Elle trouva. Cyrille émit un râle quand il sentit la courgette progresser de quelques centimètres. Il devait être maintenant complètement distendu, et si cette dilatation était un poil douloureuse, il avait par-dessus tout un sentiment de plénitude qu’il n’avait connu que lorsque Zack lui avait défoncé le cul. Quelques secondes, il songea à Zack ; qu’il aimerait recommencer : même s’il avait pris cher, il était prêt à se refaire déboîter par le chien. D’ailleurs Verena et sa copine s’étaient montrées intéressées par la chose.
D’ailleurs, que faisait Verena ? Il devait y avoir du monde à la boucherie. Il avait pourtant hâte de retourner chez elles. Il comprenait bien que la préparation de la ratatouille serait bien plus « sexe » que la recette traditionnelle. Il était aussi curieux de connaître l’incidence du mode de transport des ingrédients sur le goût final.
Verena entra enfin dans le bar. Elle resta debout pour boire la consommation que lui avait commandée sa copine, semblant pressée de finir son verre. Cyrille lança un regard interrogateur à Ericka.
    ─ Elle s’occupe des saucisses…    ─ J’ai peur que la sauce ne s’écoule trop vite, fit Verena entre deux goulées.
Le boucher était complice avec les deux filles, et lorsque la jeune femme avait téléphoné pour qu’il lui mette des saucisses de côté, il avait tout de suite compris le message. Quand il vit Verena devant son magasin, il s’absenta, laissant son ouvrier seul quelques instants. Il la héla par la porte d’entrée du bâtiment et elle le suivit jusqu’à son appartement au premier étage. Là, elle se déshabilla puis s’allongea sur la table. Il introduisit quelques saucisses dans son vagin. En pleine érection, il pénétra bestialement Verena. Il ne la ménageait pas, ne s’occupant pas de son plaisir à elle : d’une part, il n’avait pas de temps pour des fioritures, et d’autre part Verena aimait ce côté animal de la baise. Elle aimait sentir les cent-dix kilos du boucher l’écraser contre la table. Il la tenait par les chevilles ; elle avait les jambes en l’air, bien écartées, et il la fourrait comme une dinde de Noël en quelque sorte. Il éjacula rapidement, tapissant les saucisses de son sperme. Cela ferait une bonne sauce pour ses convives.
    ─ Tourne-toi, que je te fourre l’autre entrée !
Elle s’exécuta et il glissa quelques saucisses dans son merveilleux cul. Elles dépassaient un peu, mais de toute façon il allait pousser tout ça avec sa queue. Encore une fois, Verena se sentirait écrasée par la masse du boucher. Une fois en elle, il la saisit par les épaules comme pour l’empêcher de s’enfuir – mais elle n’avait aucune envie de se carapater – et la pénétra sans ménagement. Elle pensa que si Didier n’avait pas été boucher, il aurait pu devenir acteur porno : il avait à peine débandé entre les deux pénétrations. Encore une fois, il arrosa les saucisses de sa semence.
    ─ Tu serais venue plus tôt, je t’aurais envoyé l’apprenti. Il est parti il y a tout juste une demi-heure.     ─ Une prochaine fois… Tu crois qu’il enculerait des mecs, ton apprenti ?     ─ Il est comme moi : il tire tout ce qui bouge, du moment que c’est sexy et sain. Tu as quelque chose en tête ?    ─ Peut-être… Ericka et moi venons de rencontrer deux garçons en vacances dans le coin, dont une petite lopette avide de queues. Une cochonne de première ! Je suis sûre que même si le village entier lui passait dessus, il en redemanderait encore.    ─ Tu me mets l’eau à la bouche… Bien, on se revoit bientôt ; il faut que je retourne au magasin et il ne faut pas que tu perdes cette bonne sauce.
La cloche de l’église sonnait midi lorsqu’ils sortirent tous les quatre du bar. Ils s’efforçaient de marcher le plus naturellement possible, ce qui n’était pas évident, compte tenu des circonstances.
Arrivés à destination, Cyrille fut le premier à éjecter son contenu. Il eut à peine le temps de se déshabiller que les courgettes forçaient le passage. Verena sortit un plat de la desserte et y laissa tomber les saucisses encore pleines de sperme. Ericka, à genoux sur une chaise, invita Cyrille et Philippe à observer la sortie de l’aubergine. Elle tendit ses fesses en arrière, s’assurant d’une visibilité optimale pour ses spectateurs. Ils voyaient déjà poindre le pédoncule vert, à l’instar d’une ancienne pendule où un petit oiseau pointait son nez pour annoncer l’heure. Sauf que là, l’oiseau finirait bien par quitter le nid.
Ils virent le sphincter s’écarter lentement, comme un drap découvrant une statue lors d’une inauguration. Le muscle se gonflait sous la pression du fruit puis, pour laisser un peu de suspens, Ericka contracta sa rondelle et l’aubergine s’enfonça à nouveau dans le cul de la belle. Elle marqua une pause puis poussa doucement.
    ─ C’est beau… On dirait une fleur en train d’éclore ! s’émerveilla Cyrille.    ─ On ne me l’avait jamais faite, celle-là ; nous avons dégotté un poète du sexe ! s’exclama Ericka en riant de bon cœur.    ─ Ben quoi ?     ─ Je ne te reproche rien, Cyrille. C’est juste la surprise qui me fait rire.
Cependant, sous les contractions dues au rire, le fruit s’était à nouveau retrouvé happé à l’intérieur.
    ─ Si ça continue ainsi, nous ne sommes pas près de manger la ratatouille… plaisanta Verena. Ou alors il faudra manger l’aubergine directement au cul de la miss !    ─ C’est une idée qui se défend, renchérit Cyrille.
Ce faisant, il s’approcha du postérieur offert aux regards de tous et colla sa bouche sur ce cul qui l’attirait. Il introduisit sa langue entre les replis du sphincter, comme pour aider le trou à s’ouvrir. De la pointe, il remuait doucement le gode cent pour cent bio. Pendant quelques secondes, il lapa l’anus comme un chien venant s’abreuver à sa gamelle, puis il fit courir la pointe de sa langue sur le périnée lisse, le mordillant de temps en temps. Le léchait à nouveau. Ericka se trémoussait sous les caresses buccales.
La langue s’aventura un peu plus bas. Cyrille léchait comme un cornet de glace les testicules qui étaient remontés sous l’excitation. Il goba tour à tour les petites noisettes et les fit rouler sous sa langue. Ericka gémissait de plus en plus fort. Philippe, excité par le spectacle qui lui était offert, vint se placer derrière son ami et lui planta d’un coup sec sa queue dans le cul. Il ne restait à Verena qu’une seule possibilité : se faire brouter le minou par son amie.
Philippe fut le premier à perdre le contrôle de sa jouissance et, s’il avait songé un instant lâcher sa semence sur les saucisses, il s’était ravisé, pensant que Cyrille crierait au gaspillage. Verena le suivit de peu, barbouillant un peu plus la bouche amicale de cyprine. Elle vint administrer une claque sonore sur le fessier tendu d’Ericka.
    ─ Bon, ma grosse, arrête de jouer avec la bouffe ! Rends-nous cette aubergine.
Ericka poussa plus fort qu’elle ne l’avait fait jusqu’à présent. Le pédoncule et la pointe de l’aubergine émergèrent facilement, puis la progression ralentit ; le sphincter était distendu par le diamètre, épousant parfaitement le fruit violacé, un peu comme une manche au poignet trop étroit qui se retourne en suivant le bras quand on quitte une veste. Cyrille vint lécher le muscle distendu pour qu’il se décontracte et facilite l’expulsion. Il obtint l’effet escompté et l’aubergine retrouva la liberté. Hélas, c’était seulement pour finir dans une casserole !
    ─ Mets donc ta main à la place de l’aubergine ; ça vous occupera pendant que je prépare la ratatouille.     ─ Et moi ? demanda Philippe.    ─ Toi, tu viens avec moi. Tu m’aideras.
Il la suivit dans la cuisine. Il faisait un peu la gueule en jetant un dernier coup d’œil : Ericka et Cyrille s’étaient installés tête-bêche. Une des mains de son ami avait déjà disparu entre les fesses de la belle trans et celle-ci s’apprêtait à faire de même. Du moins allait-elle essayer. Philippe ne douta pas un instant qu’elle finirait par y parvenir.
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