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Des cours (très) particuliers

Chapitre 2

Nouveaux chef-d'oeuvres...

SM / Fétichisme
La semaine suivante s’écoula vite. Très vite même. Beaucoup trop vite pour Thomas Herbert! Il songea avec ironie que le temps se jouait souvent des individus. Ainsi lorsqu’on souffre, le temps semble s’écouler avec une lenteur infinie et désespérante. Lorsqu’on est proche d’un événement très attendu, comme les vacances ou un concert par exemple, le temps s’amuse à étirer chaque minute pour nous faire languir... À l’inverse, une échéance désagréable semble arriver à toute vitesse. En l’occurrence il eut préféré que cette semaine durât plus d’un mois, car il allait devoir se présenter chez sa Maîtresse-chanteuse dès samedi après-midi.Il avait eu beau tourner et retourner les événements de samedi dernier dans sa tête, il n’arrivait pas à comprendre. La situation lui avait peu à peu échappé, par petites touches, il n’avait rien vu venir. La table du séjour encombrée, l’absence de la mère, le jus de fruits qu’il ne voulait pas, sa bouffée de désir pour la jeune femme, la mise en scène et les prises de vue compromettantes de sa sœur, puis le chantage et enfin la vidéo de la honte... Il s’était fait piéger! Maintenant, toutes les apparences étaient contre lui, il était vain de tenter d’alerter Madame Tucson ou la police, car ces derniers l’accuseraient lui. Durant toute la semaine, Thomas s’était demandé si les deux sœurs s’étaient concertées, ou au contraire si c’était un enchainement de faits disjoints.En d’autres termes, Emma et Léa avaient-elles monté un piège à deux. Ou au contraire, Léa s’était-elle servie de cette opportunité pour improviser le chantage dans lequel il s’était empêtré. Il se sentait vraiment pieds et poings liés! Comment sortir de cette situation? Dérober le téléphone de Léa par la force? Et si elle avait fait des copies ailleurs? Négocier la destruction des photos et des vidéos? Qu’accepterait-elle en échange? De l’argent? Ou plus d’humiliations pour lui? Thomas arrivait maintenant à la porte de la maison des Tuscon et il sonna. Un frisson d’horreur le parcourut à l’idée que Léa était en mesure d’exiger énormément de choses de lui. Jusqu’où pouvait aller sa perversité?La porte s’ouvrit et Madame Tucson lui serra la main.
— Bonjour Monsieur Herbert, entrez! Je vais vous régler la leçon du jour plus celle de la semaine dernière.— M... Merci Madame...— Je suis très contente de vous! ajouta-t-elle avec un grand sourire.— Haaaa, heu, bon... rougit-il.— Oui, Emma a eu 12 sur 20 au devoir surveillé de maths. Il y a bien longtemps que ses notes étaient toutes sous la moyenne. Je vois donc déjà du progrès, permettez-moi de vous féliciter!— Je... vous en prie! fit-il tandis que ses oreilles prenaient une teinte rouge vif.— Vous m’excuserez cette semaine encore, je dois sortir. Mais je vous fais confiance, vous avez les choses "bien en mains".— ... Aucun son ne put sortir de la gorge du prof. Si seulement!— Alors.... à la semaine prochaine? Emma! Emma!? Tu viens??? cria-t-elle dans le couloir. Ton prof est là!
Et elle s’éclipsa en claquant la porte d’entrée derrière elle. Thomas était médusé, il avait eu une bouffée d’espoir en voyant la mère lui ouvrir. À présent, la situation semblait à nouveau virer au cauchemar. Un bruit de pantoufles trainantes précéda l’arrivée de son élève. Malgré ses 18 ans et son année de retard scolaire, elle était loin d’être un sex-symbol, elle se tenait voutée et était couverte de boutons. Ses cheveux châtains avaient visiblement été attachés en toute hâte pour faire un chignon ou en tout cas quelque chose qui y ressemblait. Aujourd’hui, elle portait une robe longue, mais d’une propreté douteuse. Thomas ne comprenait pas ce qui avait pu lui faire perdre les pédales aussi rapidement.
— Tu viens? Regard froid et un air de défi.— On... pourrait s’installer... au séjour... Essaya Thomas.— Nan, nan, nan!!! Ah! Oui, et puis Léa veut te voir! Moi, je t’attends dans ma chambre.
Le tutoiement l’anéantissait par avance. Il était rabaissé au rang d’un "pote", pas un simple pote, mais un camarade méprisable. Tout dans l’attitude d’Emma transpirait le défi et l’impertinence. Il aurait tellement voulu tourner les talons et partir en courant! Mais ces deux garces tenaient son gagne-pain entre leurs mains. Elles avaient le pouvoir de faire de lui la nouvelle honte de l’enseignement. Dans une petite ville comme Vesoul, les gens adoreraient avoir enfin un tel fait divers à se mettre sous la dent. Il soupira et suivit docilement la jeune femme puis s’arrêta devant la porte de la chambre de Léa, qui était entrouverte. Il toqua doucement:
— M...Mademoiselle Léa? Vous êtes là? Les mots lui brûlaient la langue. Devoir vouvoyer cette merdeuse de 20 ans, lui qui avait une agrégation de mathématiques et un doctorat de sciences physique-chimie... quelle déchéance!— Entre Toto! (Grand sourire en voyant la triste mine du prof). Ferme derrière toi.
Thomas poussa lentement la porte. Léa était en t-shirt rose et slip de bain rouge, assise sur un fauteuil de bureau en cuir noir à roulettes. Elle allongea négligemment ses longues jambes nues et remua ses orteils. Le prof se sentit rougir, hypnotisé par ces jolies jambes et ces pieds gracieux.
— Non, j’y crois pas! Tu es fétichiste des pieds aussi??? Allez! Passe-moi le fric grosse larve! fit-elle en tendant la main droite.
Il s’approcha, rouge de honte, et tendit humblement l’enveloppe qui contenait les 100 euros pour deux leçons de deux heures chacune. Léa allongea sa jambe droite et ses orteils se posèrent sur son entrejambe. Il tressaillit.
— Bouge pas gros pédé... lui enjoignit-elle en le fixant d’un regard bleu et méprisant. Les orteils massaient la bosse naissante de son sexe. Thomas sentit un désir sourd lui étreindre les reins. Tous les discours fermes qu’il avait prévu de lui asséner s’étaient dissolus dans des pensées troubles.— Si ma sœur te demande "quoi que ce soit", tu acceptes! C’est compris Ducon?— ... O.. Oui Mademoiselle... il acquiesça de la tête en se mordant la lèvre inférieure. Un long soupir de désir sortit de ses lèvres tandis que Léa pressait fort sous sa verge pour lui comprimer douloureusement mes testicules.— Répète, Toto!!! Un violent coup du talon le fit crier.— Oucchhh! Je ne dois rien refuser à Mademoiselle Emma! C’est noté, Mademoiselle!— Allez file t’es un bon clébard. Je t’enverrai des instructions par SMS. Merci pour les sous mon Toto! ironisa-t-elle.— M... Merci... M... Mademoiselle... fit-il en quittant la chambre, mort de honte et le sexe en feu.
Le prof de maths longea le hall, résigné, et se présenta à l’entrée de la chambre d’Emma. Il constata avec surprise qu’elle était assise à son bureau et travaillait.
— J’ai un devoir-maison pour la semaine prochaine! dit-elle sans lever la tête.— Heu... oui d’accord!— Alors on va le faire... vite... et après tu me feras jouir ok?— Ou.. Oui ... c’est d’accord! rougit-il... Une telle impudeur et un tel culot le sidéraient.— J’ai fait les trois premiers exercices, c’est ici sur le brouillon! Ca va c’est juste?— Je vais regarder...
Et alors qu’il commençait à lire, il sentit la main droite d’Emma sur sa cuisse gauche. Un frisson parcourut sa colonne vertébrale "Ne rien refuser à ma sœur"... ces mots prenaient tout leur sens à présent.Il tentait de relire la fine écriture et déchiffrer les équations alignées, mais son trouble s’accentuait au fur et à mesure que la main parcourait sa cuisse, puis commençait à s’aventurer entre ses jambes. Les doigts hésitants effleuraient sa braguette puis longeaient les contours de son pénis. Des gouttes de sueur apparurent sur son front tandis qu’une vague de chaleur parcourait son visage.
— J’ai... fini de relire... c’est bien, il y a juste une erreur de calcul à la dernière ligne.. dans le second exercice... le résultat est négatif...pas.... pos..itif... oufff
Elle venait de défaire sa braguette et grattait avec ses doigts pour entrer dans son slip...
— Tu vas te dépêcher de me faire le 4e et le 5e exercice. Allez hop! fit-elle en lui tendant le stylo bleu de sa main libre.
Elle commençait à le masturber lentement. Thomas se sentait perdre pied. "Ne rien refuser à ma sœur"... Il prit le stylo et attaqua le 4e exercice du devoir maison d’Emma. Plus il écrivait vite et plus les doigts fins s’activaient sur sa tige...
— Je... vais... jouir... Mademoiselle... souffla-t-il, au bord de l’orgasme.
Elle cessa ses va-et-vient, le laissant pantelant de désir. Il s’efforça de poursuivre le 5e exercice, alors elle appuya sa tête contre son épaule pour regarder sous le bureau et reprit ses gestes lents mais de la main gauche. Emma était fascinée par ce sexe d’homme, en vrai. Ce n’était pas comme dans les vidéos pornos, c’était mieux. Certes, elle voyait la même chose... Mais... Elle pouvait sentir palpiter la tige chaude et elle constatait que son sujet d’étude soufflait avec force si elle allait plus vite. Elle sentait aussi son parfum et sa transpiration mêlés. C’était enivrant! Léa avait raison, les hommes sont tous des cochons. Et il est facile des manipuler. Ma sœur est une génie!Thomas était à deux doigts de terminer la dernière partie du 5e exercice, alors Emma prit la tige à pleine main et la secoua comme une damnée.
— S’il vous plait... mademois... elle... je... vais... je.. oohhh
Elle continua encore quelques secondes, observant la pointe du stylo laissée en l’air, puis lâcha brusquement le pénis de sa proie.Thomas était au bord de la jouissance, au-delà du point de non-retour. Mais elle avait lâché son sexe avant que ne survienne le spasme libérateur. Il sentit quelque chose palpiter un instant inutilement dans ses reins, puis il sentit son sperme s’écouler par saccades sans aucun plaisir ni orgasme. Emma observait avec curiosité l’orgasme ruiné et silencieux, ainsi que les gouttes de crème épaisse qui venaient tacher le pantalon du prof.
— Ça y est gros cochon? Tu as bien joui? Alors à moi maintenant! Elle se leva et prit un foulard qu’elle noua autour de la tête de Thomas lui ôtant la vue.
Puis elle se rassit, recula sa chaise et souleva sa robe en écartant largement les cuisses.
— À genoux, viens me lécher mon gros chien!
Désormais dans le noir, Thomas se laissa glisser à genoux, puis à 4 pattes, s’avançant à tâtons vers la jeune femme. Lorsqu’il fut à portée, elle l’empoigna par les cheveux pour le guider vers va grotte brûlante. Ce qu’elle venait de voir l’avait émoustillée au plus haut point. Il fallait maintenant qu’elle fasse éteindre l’incendie qui la rongeait.Thomas embrassa à tâtons la chatte duveteuse, encore sous le choc de sa non-jouissance et frustré de ne rien voir de sa Maîtresse. Lorsqu’il tenta de placer son index en elle, elle lui claqua la main avec force.
— Que la bouche! Les mains dans le dos gros cochon!
Le prof grimaça et plongea sa langue en elle, au plus profond qu’il put. Il enfonça et retira sa langue longuement, puis lécha avec insistance l’espace entre son vagin et son clitoris. Emma se trémoussait d’aise. Elle allait, d’instinct, profiter d’un très long et très intense moment de plaisir, au lieu de succomber en deux minutes comme le samedi d’avant. La langue du prof se concentrait à présent sur son clitoris. Il le sentait grossir et durcir, mais elle ne jouissait pas. Thomas appuya plus fort et accéléra le rythme. À ses gémissements, il sut qu’il allait pouvoir en finir. Mais alors la fille le tira de côté par les cheveux pour handicaper son léchage. Et il fut contraint de ralentir, il dut même attendre plusieurs minutes pour qu’elle relâche enfin ses cheveux. Hochant de la tête avec régularité, il accompagnait chaque mouvement de la langue qui fatiguait. De la pointe il s’affairait sur ce clitoris long et dur.... Emma serrait les fesses de plus en plus fort pour ne pas jouir... Et soudain elle fut saisie d’un énorme spasme qui la secoua toute entière.
Elle rugit son plaisir, que Léa qui filmait enregistra soigneusement avec son smartphone! Elle venait, à l’insu du prof, de filmer un cunni en gros plan qui durait plus de 45 minutes. Elle sourit à l’idée de cette nouvelle preuve accablante contre ce prof pervers. Mais son entrejambe était tout inondé. Elle passa fermement autour des poignets de Thomas qui tressaillit, un collier d’électricien en plastique qu’elle serra d’un coup sec, puis elle fit signe à sa sœur de se lever pour prendre sa place. S’il avait espéré lui arracher son téléphone pour détruire les photos et se libérer du chantage, il venait bel et bien de laisser passer une occasion en or. D’une main décidée, elle attira le visage de l’homme contre son ventre. Il huma son intimité à travers son maillot de bain.
— A moi maintenant, Toto! dit-elle en ôtant son maillot d’un geste vif.
Sa langue donnait des signes de fatigue, et Thomas se dit qu’il allait peut-être avoir du mal à satisfaire sa seconde Maîtresse. Cette pensée le terrorisa, mais fit, paradoxalement, renaitre son érection. Il temporisa un peu... explora le sexe épilé de Léa. Pestant contre le foulard qui le privait de la vue. Il lécha ses longues lèvres de haut en bas. Puis gouta les humeurs acides de sa grotte. Son nouveau statut d’esclave sexuel commençait à l’imprégner. Elle écarta plus ses cuisses et posa ses deux pieds sur le dos de son soumis. Il sentait le poids de ses talons porter douloureusement sur ses omoplates, et décida de s’activer. Il plongea sa langue au plus loin qu’il put en elle et entreprit de "scier" de droite à gauche. Elle semblait y prendre plaisir mais des élancements douloureux dans la langue l’obligèrent à changer de stratégie pour des "avant-arrière" moins pénibles à pratiquer. Sa langue fatiguée répondait de moins en moins et il se concentra sur son clitoris. Après l’avoir gratifié de caresses tournantes, il le brossa lentement de haut en bas.
— Tu es un lécheur de chatte exceptionnel gros clébard! Je crois bien que je vais te louer à mes copines! gloussa-t-elle.
Encouragé par ce qui semblait être un compliment, Thomas accéléra autant qu’il le put les mouvements de sa langue endolorie. Il n’était plus rien qu’un bout de langue, complètement concentré sur une seule tâche: amener ce petit bout de chair à la jouissance. Peu à peu il sentit le bassin de Léa frissonner et il l’accompagna jusqu’à ce qu’elle soit prise d’un sursaut puis d’un spasme plus fort. Elle eut un cri aigu et referma ses cuisses sur sa face, le serrant à l’étouffer. Thomas continua de l’accompagner en léchant lentement, mais en apnée.... Puis elle desserra lentement l’étau de ses cuisses et il s’effondra en avant, toujours à genoux, appuyant son front au sol.
— C’est bon Léa, j’ai tout filmé moi aussi! annonça une voix derrière lui.— Bien joué sœurette. Cette semaine on se partage les 100 euros. Quant à toi sale porc, tu surveilles bien ton portable dès demain, car je vais te faire travailler un peu. Emma, coupe son Serflex et mets-le dehors, moi je vais aller sauvegarder ces nouveaux chefs d’œuvre! LOL
Et c’est ainsi que le prof se retrouva samedi soir dans sa vieille Peugeot sur le chemin du retour. Il se sentait vraiment brisé physiquement. Mais c’était surtout moralement qu’il était atteint. Ces filles connaissaient plein d’autres élèves et de profs, y compris de son lycée ou de la fac. Si Léa mettait sa menace à exécution, de plus en plus de femmes seraient dans la confidence. Il ne serait plus qu’un pantin entre des cuisses malfaisantes... Et sa situation (déjà difficile) allait devenir totalement intenable. Il n’était pas agrégé de mathématiques pour rien, car ça, c’était une fonction de X certes, mais exponentielle!
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