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Des débuts très prometteurs

Chapitre 1

Gay
Michel et moi sommes copains d’enfance.Notre loisir favori a toujours été d’aller à la pêche ensemble pour être dans la nature et passer du bon temps au grand air. Souvent, Michel emmenait dans son panier une revue coquine (Paris-Hollywood) que nous feuilletions ensemble et ça nous faisait bander … Rien d’anormal à ça !Plus tard, quand nous fûmes majeurs, les branlettes « à la sauvette » chacun pour soi ne nous satisfaisant plus, nous sommes passés à des activités plus … jouissives !Comme Michel était plus âgé que moi, il connaissait bien plus de choses et me proposa de les expérimenter. Il ne m’avait jamais branlé et me demanda un jour si ça me tenterait qu’il le fasse. Je lui répondis un peu gêné que oui, pourquoi pas.Alors, nous voilà installés au bord d’un ruisseau et il me dit « Je bande, j’ai pas de nana depuis 1 mois et j’ai envie d’essayer de te branler ».Rien que cette phrase provoqua chez moi une belle érection … Je ne pouvais pas lui cacher que ça me tentait (c’était l’été et nous étions en short). Il s’assit à mes côtés et, sans rien dire, posa sa main sur ma cuisse à la limite du short …. Je frissonnais ! Toujours sans dire un mot, sa main glissa lentement par la jambe qui entrebâillait jusqu’à atteindre la limite de mon slip. Là, je triquais comme un malade et il s’en était bien rendu-compte ! « Putain mais tu bandes dur, J-P. ». Un « oui » timide sortit de ma gorge et j’avalai ma salive car mon souffle devenait court … Il me caressa les couilles au travers du tissu puis remonta jusqu’à ma tige qui distendait mon slip … « Ça serait mieux si tu te mettais à l’aise, non ? Ici, on est tranquilles et personne ne viendra, alors tu peux virer ton short ».Je me levai, enlevai le « flottant » qui gênait Michel, et me rassis à ses côtés : là, il pouvait voir l’effet produit par ses caresses car mon gland avait bavé abondamment et une tache humide était apparue sur le tissu au bout de ma queue. « Ouahhhh, tu mouilles bien. Tu devrais aussi virer ton slip sinon il va être vite empesé ! ». Et il écarte aussitôt l’élastique de ma ceinture pour laisser sortir mon gland tout luisant de pré-jute. Je me retrouve rapidement cul nu et bite à l’air à côté de celui qui, manifestement, est bien décidé à me faire jouir ….. Je sais qu’il est plus expérimenté que moi car il a eu au moins 4 ou 5 nanas différentes alors que je n’en ai eu qu’une. Mais je ne l’ai jamais soupçonné d’être homo (pas plus que moi). Ses doigts caressent doucement mes couilles en les faisant rouler l’une contre l’autre …. Puis il les presse doucement sans excès et me dit « tu dois en avoir un paquet à balancer, non ? Tu ne t’es pas branlé depuis quand ? » « Je ne sais pas : une semaine peut-être ». « Une semaine ? Tu réussis à tenir aussi longtemps ? Moi, c’est au moins tous les 2 jours, sinon ça me rend fou. Il m’arrive de juter 2 fois par jour quand je suis excité ». Tout en me parlant, il s’est emparé de ma tige et la caresse très doucement sans me branler. C’est une sensation très agréable et je le laisse faire … Je bande de plus en plus et mes couilles commencent à devenir très sensibles à la pression … Je lui dis alors « branle moi- vas-y, j’ai trop envie » Il me répond « attend s un peu, sinon tu vas tout balancer. Il faut faire durer pour que ça soit meilleur». Néanmoins il a empoigné ma queue et commence de lents allers-retours qui font augmenter les sécrétions translucides de mon gland ! « Putain, tu mouilles bien. T’as l’air d’aimer ça. Je vais bien te faire jouir ». Il arrête sa branle lente, recueille ma mouille du bout des doigts et me l’étale très doucement sur le prépuce : je sens que je vais juter … Je lui dis « non, si tu veux que ça dure, laisse moi me calmer un peu ». « D’accord ! Tu veux me branler à ton tour ? Ça me plairait bien.» Et, disant ça, il baisse short et slip et m’exhibe un chibre de bonne taille dont le méat ruisselle, lui aussi, d’une abondante mouille transparente qui prouve qu’il est bien excité par ce qu’il me fait ! Je suis comme hypnotisé par sa tige, plus longue que la mienne et dont le gland me semble très développé … Ma main s’approche de sa bite pendant qu’il continue à me branlotter doucement ! Nous sommes partis dans une autre dimension : jouir est notre seul but et rien d’autre ne compte. Je commence à le branler et je le décalotte pour profiter de sa mouille et lui masser lentement le gland. Il a l’air d’aimer ça. Nous grognons comme des bêtes sans nous soucier d’être éventuellement surpris. Michel arrête de me caresser pour mieux profiter de ce que je lui fais …. Mes doigts frottent son gland et mon pouce, logé à la base de son frein, masse le mince filet de chair qui reste de son « pucelage » et que je sais très sensible chez l’homme : Michel « feule » et halète comme un chat ! Il me dit « Putain, tu vas me faire juter ». Je ralentis ma caresse pour le laisser reprendre ses esprits … mais il bave comme un malade et sa queue est tendue comme un arc. Je ne lâche pas ma prise mais je ralentis mon massage du frein pour le laisser respirer un peu ! Mais, moi aussi je suis excité et je lui demande de me faire aussi un peu de bien, ce qu’il s’empresse de faire en me branlant lentement …. Je jouis sans gicler : le pré-jus coule de mon gland et lui enduit les doigts. C’est divin ! Sans m’en rendre compte, j’ai enlevé mon T-shirt et suis donc torse nu …. De fait, je suis à poil dans la nature et en train de me faire branler par un autre mec ! C’est surréaliste mais vrai ! Michel accentue sa branle : il me fait vraiment jouir !!! Juste le temps de lui dire « attends, fais durer sinon je vais juter » et il se retrouve avec un peu de sperme sur les doigts. J’ai réussi à me maîtriser mais c’était très limite … le point de non retour était quasiment atteint ! J’étais content d’avoir assuré mais j’avais le bas-ventre tendu et les couilles très sensibles, à la limite de la douleur. Alors j’ai décidé (sans le lui dire) de « finir » Michel. J’ai repris son chibre dur et bien lubrifié et je le branle de plus en plus vite. Le résultat ne se fait pas attendre, il se crispe, je sens sa verge palpiter et il balance un jet de foutre que je reçois en pleine poitrine …. Il me supplie de continuer et je ne me fais pas prier : 4 ou 5 giclées suivent la première et m’aboutissent sur le ventre et les cuisses … Il souffle comme s’il venait de faire un 100 mètres ! Je continue à le branler pour bien le vider mais il m’écarte la main en me disant « tu t’es régalé, mon salaud et bien tu vas déguster à ton tour » ….Mais ça c’est pour une autre fois !A bientôt … si vous le voulez bien …
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