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Des débuts très prometteurs

Chapitre 3

Gay
Il y avait très longtemps que j’avais perdu Michel de vue de par les aléas de nos vies respectives …Mais, une fois de plus, c’est la pêche qui nous donna l’occasion de nous revoir.
En effet, j’étais mordu de pêche à la truite et Michel, qui était resté "citadin",  n’avait pas la possibilité de satisfaire cette passion.Il me contacta donc (à ma grande surprise) pour me demander si je ne pourrais pas l’emmener taquiner ce poisson en lac de montagne.Rendez-vous fut pris pour la semaine suivante et nous nous donnâmes rendez-vous sur un parking de la vallée afin que je lui serve de guide vers un lac d’altitude que je savais poissonneux ….
Le fait de nous revoir plus de 30 ans après nous fit tout drôle mais la gêne ne dura pas longtemps et nous fîmes "voiture commune" pour le reste du trajet. Cela nous permit de nous remémorer nos histoires de jeunesse et nous nous délectâmes des souvenirs de branles mutuelles qui nous avaient manifestement laissé des souvenirs impérissables. Comment oublier ces éjaculations qui nous avaient, à l’époque, laissés épuisés et heureux ??
Je conduisais et, à un moment, profitant d’un arrêt pipi je vis que Michel sortait une queue assez raide qui l’empêchait de pisser fort et je lui dis :« On dirait que ces souvenirs ne te laissent pas insensible … »« Non, effectivement. Tu sais, depuis que j’ai perdu ma femme, je n’ai pas cherché à refaire ma vie, alors …. »« Tu te branles ? Souvent ? Tu as des contacts avec des mecs ? »« Non, pas de mecs  : je me branle en pensant à nos branlettes d’avant, à mes baises, en matant des vidéos de cul. Et toi ? »« Moi, tu sais, ma femme n’est pas très portée sur le sexe et je fais presque comme toi !  Mais j’ai découvert l’E-stim et je me fais souvent juter avec un appareil électrique qui me fait bien jouir !! ».« Et ta femme le sait ?? »« Bien sûr que non : je fais ça quand elle va faire des courses ou les magasins avec des amies. Je te raconterai ».
Nous reprîmes notre route mais nous avions déjà en tête tout autre chose que notre partie de pêche. Ça commençait à chauffer dans nos slibards.
De toute façon, le lac était encore à plusieurs heures de nous et il nous faudrait bien faire une halte pour « petit-déjeuner » ! L’occasion fait souvent le larron !!! Au détour du chemin, dans un renfoncement juste avant l’arrivée sur les estives, il y avait un bosquet abrité très propice à un arrêt pique-nique discret (le mot nique étant bien approprié à ce qui allait suivre).Une couverture fut vite étendue au sol et nous nous y affalâmes en sortant nos victuailles de nos sacs-à-dos .
Mais nous pensions tous deux à la même chose : nos sexes qui nous démangeaient de plus en plus … Moi : « il fait chaud, on se met à l’aise, non ?? »« Pas à poil quand-même ? »
« Pourquoi, il n’y a personne qui passe ici à part les vaches et les moutons ! » « T’es sûr ? » « Ben oui, j’y suis venu assez souvent pour l’affirmer. En 10 ans, je n’y ai vu qu’un couple de jeunes qui se faisaient du bien … alors tu vois qu’il n’y a pas de problème. On est à 1 heure de tout village et la cabane du berger est à plus de 3 kilomètres ».
Ceci dit, je me mets rapidement nu comme un ver (à part mon T-shirt que je garde pour me préserver des taons qui sont virulents à cette altitude). Michel suit le mouvement et je peux constater que son membre viril n’a pas perdu de sa vigueur mais qu’il ne l’a manifestement jamais rasé rien qu’à voir la très épaisse toison brune qui le surmonte (c’est un espagnol d’origine).Moi, comme je me suis épilé les testicules il n’y a pas longtemps pour faciliter mes jeux « e-stim », je suis assez lisse et je n’ai conservé que quelques poils au niveau du pubis, ce qui me donne un aspect bien plus juvénile que je ne suis en réalité !! Michel  : « Ben dis-moi, tu es moderne, tu t’entretiens ! T’as encore une superbe queue ! »« La tienne est toujours aussi tentante ».« Ça te dirait qu’on « remette ça comme avant ?, manière de voir ? »« Why not, J-P. ? »
Ma main s’est déjà approchée du sexe, déjà à moitié dressé  de Michel et le caresse doucement : il durcit vite, très vite !
Michel : « Attends, va doucement, je suis en manque et je suis plein à bloc ».« Ne t’inquiètes donc pas, je ne veux pas te branler mais simplement te faire mouiller comme quand on était gamins .. ».« Ah, ok mais vas y mollo car je risque de décharger trop vite. »
Je poursuis ma caresse très lente en le décalottant un peu et en passant la pulpe de mon index sur son frein …. Il frémit et même gémit « ouiiiii ». J’arrête ma caresse quelques secondes pour la reprendre très lentement après l’avoir laissé décompresser un peu. Sa queue « bave » littéralement. Son méat est devenu une fontaine de pré-jute, claire et visqueuse, qui coule tout le long de sa queue et sur mes doigts, lubrifiant le tout, ce qui fait que je maîtrise de plus en plus difficilement l’opération. Michel a fermé les yeux et se laisse aller à gémir et à me répéter :« C’est bon, c’est boooon, c’est boooooon , vas-y mais pas plus vite, fais durer, putain que c’est bon , fais durer, c’est trop boooon ».
Je n’ai pas l’intention de brusquer les choses et je lui caresse doucement les couilles en les enduisant de sa mouille abondante puis je lui demande s’il a déjà utilisé un E-stim. Il me fait non de la tête. Je le questionne aussi au sujet des « glory-holes » où l’on peut se faire branler ou sucer anonymement dans les sex-shops des grandes villes ! Il me répond qu’il en a entendu parler mais qu’il n’a jamais osé y aller … Je lui propose alors de faire une expérience ! J’ai, dans ma voiture, un plaid troué au milieu (genre poncho) qui peut très bien faire l’affaire pour lui montrer. Michel me demande pourquoi je lui propose ça et je lui réponds que le fait de ne pas me voir (même s’il sait que c’est moi qui vais le branler) va lui procurer des sensations nouvelles (j’ai déjà essayé à Paris et j’ai adoré cette pratique).
Sans lui laisser le temps de prendre une décision, je déploie le poncho et le jette sur lui en rigolant.Puis je cherche sa queue par le trou du milieu du poncho. Il me dit « déconnes pas » et je lui réponds « laisse-toi faire : tu vas aimer » et j’empoigne sa queue après avoir balancé un coin du poncho sur sa figure pour qu’il ne me voie plus ! Il est allongé au sol et à ma merci s’il se laisse faire ….. et il se laisse faire !!! Sa queue est luisante de mouille et très dure. Je la prends en main et la fais doucement coulisser. Michel adore car je l’entends gémir … « Putain, je vais juter ». Moi « Non, attends, je vais faire durer : tu vas déguster, tu vas voir … » Et là, je me penche vers son gland et il peut sentir mon souffle le long de sa queue sans savoir ce que je fais ! C’est ça qui est géant dans la technique du « glory-hole » : ne pas voir-savoir ce que va faire son partenaire …..
Mais ça, ce sera une autre partie de l’histoire ...... si vous le désirez ! A vous de me le dire :o)
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