Je m’appelle Tom, je suis un homme grand de 1m84 pour 82kilos, de stature athlétique avec des cheveux blonds et yeux bleus (que vous visualisiez le personnage). Je travaille dans l’événementiel et ce soir-là avec mon collègue Bob, nous faisions quelques heures supplémentaires afin de préparer un futur projet qui soit y en passant, nous cassaient la tête au plus haut point !!! Il était aux alentours de 22h15, lorsque nous fumes interrompu par l’arrivé de la copine à mon collègue, Diane, après avoir salué son homme d’un baiser langoureux, celle-ci s’approcha vers moi pour me dire bonjour en me mettant la main sur la hanche avant de me faire la bise, ce petit geste, presque anodin m’avait fait frissonner, car elle n’avait jamais eu ce genre de geste, je fus gêné à l’idée que mon collègue ai pu voir ma gène mais celui-ci étaient déjà replongé dans ses dossiers. Diane était une femme à la plastique parfaite, tout ce qu’il faut où il le faut, une belle poitrine, de belle forme et un visage avec des yeux à vous faire tomber. Je l’avais déjà observer de loin quelque fois en ayant des idées pas très catholique comme on dis, mais, n’importe quelle personne, vu son charme, aurait succomber. Cela faisait environ 15min qu’elle s’était installé dans notre bureau quand celle-ci poussa un soupir de lassitude cela afin de faire comprendre à son homme qu’elle voulait rentrée avec, il n’eut pour unique réponse à lui donner qu’un : « Écoute je suis déjà assez énervé par ce foutu dossier, alors n’en rajoute pas, je fais au plus vite… » A ces mots, elle lui répondit qu’elle allait faire un tour dans le coin pour patienter. Je lu sur son visage qu’elle avait été gênée par cette scène devant moi, mais je fis comme si je n’y avait pas prêter attention. Cinq minutes après son départ, je devais moi-même quitter le bureau, rentrer auprès de ma femme, j’avais fini ma journée, mais mon cher collègue ne put s’empêcher de me donner un carton de paperasse à aller ranger. Cela m’irrita, mais vu son caractère, si je refusais, je m’exposais à une semaine merdique avec, alors je pris son carton et sortit du bureau direction la réserve. J’étais en train de ranger énervé, quand tout à coup, la porte de la réserve s’ouvrit. - ah, c’est toi Diane, tu m’as fais peur, - désolé, me dit-elle, j’ai vu de la lumière alors je suis venu voir qui c’était. - Ok, je suis en plein rangement, désolé si je parle pas trop ok. - Désolé pour la scène avec Bob tout à l’heure !? - C’est pas grave, il faut excuser ton mari, il est stressé par son taf tu sais !!! lui dis-je en la regardant. - Oui mais bon... A ce moment précis où je m’apprêtais à me retourner pour continuer mon rangement, celle-ci me retourna face à elle, et commença à me caresser le sexe au travers de mon pantalon.
- Que fais-tu arrête !? lui dis-je, - Tu ne vas pas me dire que tu n’aimes pas ça, et je t’ai déjà vu me regarder avec insistance, je te laisse pas indifférente n’est-ce pas !? - Oui mais arrête ton homme est là quand même, imagines qu’il nous surprenne ?! - Cet imbécile ne sait pas ce qu’il rate, il est tellement dans ses dossiers que si on ne l’interrompt pas, il pourrait bosser jusqu’à demain. Tu as de la chance, c’est toi l’heureux gagnant, Elle me dit ça, en approchant ses lèvres des miennes et commença à m’embrasser de manière langoureuse, elle pris mes mains pour en mettre une sur ses seins et une sur ses fesses. J’étais scier par la situation si érotique qui était en train de m’arriver, j’étais stressé à l’idée de me faire choper, et je culpabilisait en pensant à ma femme. Mais ce fut de courte durer, j’étais trop exciter à l’idée de ce qui pourrait ce passer. Continuant de la peloter, Diane, défit mon bouton de pantalon et descendit ma braguette et sortit mon sexe qui était déjà bien dressé et bien dur. -Et bien en voilà une sacré marchandise me lança t-elle en me lançant une sourire, tu dois être une bête au pieux dis donc !? - Merci, J’étais tellement excité que je n’avais trouvé que ça à lui dire, et là, elle commença des mouvements de va et viens sur mon sexe, alternant vitesse et lenteur. Je bandais comme un fou, j’avais l’impression d’être dans un film. Lorsque je voulu lui descendre la bretelle de son débardeur pour voir ses seins, celle-ci ne se fit pas attendre puisqu’elle le retira complètement ainsi que son soutient gorge. - Comment les trouves-tu me dit-elle !? - Magnifique. Je commença alors à les caresser et à lui embrasser les tétons, elle poussait de petits gémissements de plaisir, en même temps, elle avait repris ma queue entre ses mains. Diane commença à gémir de plus en plus et cela m’excitait encore d’avantage. Ma verge devenait de plus en plus rouge, jamais je n’avais ressentie une si agréable sensation ! J’étais tellement en train d’apprécier que je m’étais sans réellement m’en rendre compte, arrêter de lui caresser les seins. Et pensant être déjà au summum de l’extase, celle-ci me lança : - Ta bite est vraiment trop bonne, je suis sûr qu’elle est à mon goût, je peux te sucer !? Me dit-elle tout en s’accroupissant comme si elle savait déjà ma réponse, - Oui, si ça te gêne pas je veux bien, je me suis jamais fais sucer, - Comment !? Dit-elle étonnée ta copine ne ta jamais sucée, - Hélas non, - Je vais faire ça bien alors!!!me fit elle avec un clin d’œil. A mesure où je la vis s’approcher, ma respiration devint de plus en plus incontrôlable jusqu’au moment où je sentis sa bouche se refermer sur mon sexe, je pouvais sentir la chaleur produite par sa bouche sur ma verge. Mon Dieu, c’est si bon, je n’avais jamais connu quelque chose, d’aussi agréable. Vu la dextérité qu’elle avait, je pense que cette chère Diane est une grande amatrice de sexe. Elle commença à me lécher sur toute ma longueur tout en me caressant les testicules, je lui dis : - Il faut t’arrêter je vais éjaculer, elle retira, très brièvement sa bouche pour me dire - T’en fait pas lâche tout si ton sperme est aussi bon que ta queue, je veux tout boire Elle accéléra encore, et me fis quelque gorges profondes qui me firent tout lâcher dans sa bouche. Elle fit sa de manière divine, jusqu’à la dernière goutte de sperme, je pus ressentir la dextérité de se fellation.Elle retira mon sexe de sa bouche et me montra qu’elle avait tout avalée. - Wahou, lui dis-je, si je m’attendais à ça ce soir !!! - Je peux te retourner le compliment, j’en voudrais bien une comme ça tout les jours ! J’eus un moment où je repris mes esprits et où je lui dis : « Il faut qu’on arrête, on est déjà aller trop loin là !! » - Alors là non, tu vas pas t’en tirer comme ça me lança t-elle. Tu crois que tu peux me laisser comme ça ??? - Je viens d’éjaculer, je risque de plus être opérationnel si tu vois ce que je veux dire !!! - Ta copine ne te remets jamais en condition après avoir éjaculer !? - Non lui dis-je !!? avec un regard interrogateur. - Viens je vais te montrer, Elle commença a me resucer en alternant suce et branlage, il ne me fallut pas longtemps pour être à nouveaux raide comme du bois. Lorsqu’elle jugea ma queue assez dure, elle me dis : « Allez, je veux que tu me prennes, lâche toi !!! » Elle baissa son tailleur et me tourna le dos pour me laisser admirer son beau cul, elle portait un string rouge , que je lui enleva très rapidement.Je la fis se cambrer pour me positionner derrière elle. J’avançai lentement, mais je sentis du bout de ma verge qu’elle était déjà trempée, d’ailleurs lorsqu’elle sentit ma verge l’effleurer, elle poussa un gémissement de plaisir, je m’enfilai tout d’un bloc. Elle cria de plaisir et se mordit la main pour essayer de faire le moins de bruit possible. Tout en la prenant en levrette, je lui caressais les seins « oh oui, vas-y, c’est bon » j’accélérai, « vas-y plus fort oui », je sentais que se petit jeux allais ne pas s’éterniser puisque je sentais la sauce monter à nouveau par l’excitation provoquée. J’enfonçai ma queue encore plus en elle, tout en lui malaxant les seins « oui vas-y, vas -y oui, plus fort, c’est bon oui ». Et je lui lâcha tout en elle, elle se retira délicatement et ressaisi ma queue pour la nettoyer à grand coup de langue. - Et bien, je voudrai bien des soirées heures supplémentaires comme ça plus souvent dis-je sur le ton de la rigolade, - Ça peux se négocier vu comme tu m’as fais mouillé, dit-elle en souriant. Lorsque je regardais ma montre je vis que ça faisait presque 1heure qu’on était dans la réserve, je lui dis que l’on devais se rhabiller et y aller. Tout en se réajustant les cheveux, elle m’embrassa en me disant : - Je veux qu’on remette ça très vite - Pas de problème, lui dis-je tout en lui rendant son baiser. Lorsqu’on retourna près de mon collègue celui-ci n’avait rien capté sur la durée de notre départ et qu’on est baisés à seulement 15mètres de notre bureau. Depuis ce soir là, Diane et moi même pimentons notre couple par des jeux coquins où elle et moi réalisons nos fantasmes. Mais ça, ce sera une autre histoire...
