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Des hommes et des chiens pour ma petite chatte.

Chapitre 2

Version 2, côté hommes 1 partie

Zoophilie
J’ai connu Sabine dans un parc, un matin. Marco et Jean-Lou étaient partis de leur côté voir si on pouvait pas trouver de quoi bouffer et un lieu pour se poser. Moi je suis rentré dans un parc. Il y a souvent des vieilles qui laissent trainer leur sac. Il y a parfois de bonnes occases. Tout à coup, sur un banc, j’ai aperçu Sabine. J’ai tout de suite vu qu’elle était bonne. Elle bouquinait. Elle avait une sorte ce caraco qui moulait ses gros nichons. Et une jupe assez courte. On lui voyait bien les guiboles.
J’ai tout de suite dit à Lupus, mon chien que je n’était pas venu pour rien et que j’allais probablement pouvoir soulager mes burnes en mal de femelle depuis un moment. D’ailleurs, à ce moment là, elle m’a regardé avec insistance. C’est clair qu’elle m’allumait. Sans me vanter, je suis plutôt bien gaulé. Alors j’ai tiré à bloc sur mon marcel pour qu’il se tende et fasse saillir les pecs et les abdos. Et je me suis approché d’elle. Bon, clairement, je bandais déjà. J’ai commencé à lui parler doucement. Vu qu’elle lisait, je lui ai demandé si c’était intéressant ou des conneries comme ça. Au début, elle a rien répondu puis elle m’a dit de m’asseoir si je voulais parler du libre avec elle. Puis elle s’est rapprochée de moi à me toucher. On pouvait pas être plus clair.
Alors, j’ai posé ma main sur son genou. Elle a rien dit. Bon ! Alors direct j’ai remonté jusque vers la chatte. Et là, elle s’est levée et s’est barrée. Je l’ai suivi en lui présentant des excuses, que j’étais allé trop vite et que je serai patient, mais elle, elle marchait droit devant en tortillant son petit cul de pétasse pour me chauffer. Comme elle était pas pressée, je la collais et je me disais qu’elle cherchait sans doute un endroit plus discret. Mais elle est sortie du parc. En face, il y a le poste de police. Elle s’est retournée. Elle m’a insulté la salope ! Elle m’a dit que je puais, que j’étais un gros con et qu’elle préférait encore se taper mon clebs. Putain, qu’est-ce qu’elle aurait pris si y’avait pas eu les flics. J’aime pas les petites allumeuses qui savent pas ce qu’elle veulent ou qui se foutent du monde. Elle cherchait quoi ? Elle me drague et me balance....
J’ai retrouvé Marco et Jean-Lou. On a partagé ce qu’on avait pu dénicher. Je leur ai raconté l’histoire. Ils se sont bien foutus de moi. Marco m’a dit.
— C’est vrai que tu pues. Imagine si la meuf elle a eu envie, de te renifler après ça l’a écœurée. Faut comprendre.
J’ai dit :
-  Ah ouais, et ben on pue tous je crois. On devrait trouver un coin pour se laver.
Jean-Lou a rajouté :
-  Sur la queue, elle a pas tort. Ton chien en a un plus longue que toi.-  Connard ! Elle peut pas savoir, elle l’a pas vu triquer le clebs, tandis que moi... Sous mes fringues, j’te jure, elle a bien maté le paquet la garce !
Puis, on s’est cassé de ce trou. On est passé par un petit village. Il y avait dur bruit. C’était la fin d’un match de foot. On est entré voir mais on s’est tenu à l’écart à cause des chiens. Outre Lupus, il y a aussi Bitsa, celui de Jean-Lou et Speedo qui est à Marco. On s’est foutu dans un coin. On a vu les joueurs aller aux vestiaires. Marco a dit :
-  Là y’a sûrement des douches !
Les douches, putain, c’est vrai que c’était notre rêve du moment, presque autant que de tirer un coup.
Il y a des gens qui sont restés tard sur le terrain. Il faisait beau. Il y a même des jeunes qui ont fait un feu. Quand ils se sont barrés vers minuit, on s’y est installé. Puis Marco a réussi à forcer la serrure du local et on a pu dormir sur les tapis des équipes de sport, un peu plus confortablement que d’habitude. J’avoue que toute la nuit j’ai pensé à cette salope que j’aurais bien voulu niquer et le matin, je me suis réveillé avec un vrai piquet de tente. Tout le monde était déjà près, alors on est allé se doucher. Quand on est en manque de sexe trop longtemps, on tire au sort un des trois qui doit prêter son cul aux deux autres et on se vide les couilles dedans. Comme je bandais à mort, les autres se sont vite excités et on a décidé de s’en tirer une petite. C’est Marco qui devait s’y coller.
On était en train de s’astiquer le manche quand la petite garce de la veille est entrée. On a été surpris mais on s’est vite rendu compte qu’elle nous matait grave la bite cette truie. Alors le me suis rapproché d’elle.
-  Eh mais c’est la petite demoiselle d’hier. Tu vois, je me suis lavé.
Elle a dit :
-  Alors les PD, on s’fait plaisir ? Et en me défiant, elle a précisé. T’avais pas l’air d’aimer les mecs hier !
Les copains m’ont suivi et on s’est rapproché d’elle avec nos sguègues à l’air, tout émoustillés et bien vibrants.
Elle a fait un pas en arrière, sans doute surprise de voir les trois mecs fondre sur elle, mais comme les chiens étaient derrière elle, elle a pas pu reculer.
Déjà j’étais sur elle.
— Allez-viens. On va te prendre en douceur.
Et on l’a suivie plus qu’on l’a emmenée dans la pièce à côté. Elle avait déjà attrapé mon zob. Elle a immédiatement enlevé ses vêtements, sans hésitation et sans crainte, nous montrant ses gros seins blancs, ronds fermes, l’aréole bien dessinée et le téton déjà durci par le désir. Jean-Lou l’a prise par le bras pour lui demander se se mettre à genoux mais elle à fait de la résistance. Elle avait l’air de préférer continuer à nous branler tout en essayant de palocher avec le premier venu. Alors on l’a tous pressée, lui caressant les nichons lui plongeant le doigts dans le cul ou dans sa chatte déjà toute humide. Je me régalai. Je fouillais sa moule à deux ou trois doigts et je les suçai pour me préparer déjà à lui bouffer le trou.
Alors je me suis allongé sur un tapis qui sentait la poussière et la sueur, et les potes me l’ont présentées. Elle s’est assise sur mon chibre en pignant à cause de sa taille puis elle s’y est fait. Marco, l’avait prise par les cheveux pour qu’elle ouvre bien sa bouche et il y enfournait sa queue. Elle bavait. J’en avais plein le torse. Jean-Lou, lui tripotait la rondelle. Puis il a pris position de telle sorte que j’ai compris qu’il voulait l’enculer. Il a eu un peu de mal à lui forcer l’anus vu le diamètre de son calibre mais j’ai senti sa masse s’insérer pendant qu’elle continuait à mouiller sur mon nœud profondément fiché en elle. Une fois qu’il a été calé, il s’est cramponné aux nibards et à commencer à la défourailler sec. Il bougeait tellement que je n’avais quasiment rien d’autre à faire sentir monter la pression.
Et puis on a tous changé nos places, chacun lui passant dans le cul, la chatte ou la bouche . Elle ne faisait pas semblant, elle ne simulait pas. Elle se donnait à font. Elle gémissait de bonheur, et quand on changeait de place, la bouche enfin libre, elle pouvait nous encourager. C’est Marco, je crois, qui a cédé en premier. Il lui a giclé toute sa jute à la gueule en l’incendiant de conneries.
-  Il es t bon mon jus, hein sale pute. T’aime qu’on te fourre de sperme, tu jouis un salope ?
Elle ne répondit que par des grognements de satisfaction.
-  Comment tu t’appelles ma poulette ?-  Sabine.-  Sabine, ça rime avec pine ça ! Hein t’aime la pine grosse truie ?
Elle a répondu en reprenant son zob qui mollissait et en le ressuçant.
Jean-Lou et moi on la fourrait toujours en double. Elle était trop bonne alors j’ai pas pu résisté et je lui ai balancé toute la purée à la tronche. Elle s’est précipité sur mon gland pour pomper jusqu’à la dernière goutte et bien me mettre les burnes à sec.Jean-Lou l’a terminée en missionnaire en la déglinguant un long moment. Puis il s’est allongé la bite entre ses seins pour éjaculer là.
Elle était couverte de foutre.
On a causé un peu. Elle nous a dit qu’elle avait bien aimé mais, bon, elle a dit ça comme une banalité, comme si ça avait pas été exceptionnel, toujours provocante.
Au bout d’un moment, Marco a dit :
-  J’vais pisser.
Et il est allé vers les douches. Elle la suivi. J’ai pas été long à faire l’association d’idée et je me suis levé. Marco a pigé au quart de tour.
Comme Jean-Lou avait déjà commencé, elle s’est agenouillé devant lui. Il a dirigé son jet entre ses gros seins. Puis, quand il a eu fini, elle s’est assise et a bine écarté ses cuisses pour qu’on vise bien la chatte. Marco et moi, on l’a aspergée en dirigeant le tir sur les seins et les poils du con. Putain, c’était super.
Après, elle s’est douchée et elle est revenue reprendre ses affaires.
Comme elle était en train de reprendre son soustingue, j’ai amené mon chien Lupus pour rigoler.
-  Et mais ta pas fini garce ! Alors ma petite chérie ? Je pue? Tu préfèrerais baiser mon chien ? Ça doit être un meilleur coup que moi ? Et bien tu vas pouvoir comparer !
Alors, elle a tourné le dos en haussant les épaules du genre, elle est lourde ta blague. Puis elle s’est penchée pour attraper sa culotte et c’est là que le chien lui a mis la truffe entre les cuisses. Puis il a passé un coup de langue. Elle a gémi et a écarté un peu plus les jambes.
J’ai dit :
-  Vas-y Lupus, régale, elle est bonne, elle aime ça, tu l’as bien méritée;-  Oh putain, regarde comment il trique ton clébard Phil. Ce clebs est encore plus chaud que toi. C’est Marco qui a dit ça.
Elle s’est foutue à quatre pattes, les coudes appuyés sur un banc.
-  Eh, il commence à juter, y’a pas de temps à perdre.
Elle a passé une main entre ses jambes pour entrouvrir son abricot. Le chien a compris et il l’a grimpée. On l’a aidé un peu tout de même. Il était temps. Sa boule commençait à enfler et, pour un peu, il aurait pas pu la pénétrer mais là, il s’est dilaté à l’intérieur. Elle a a gueulé la chienne ! Elle aimait ça. Je peux vous dire qu’on n’en perdait pas une miette et on regardait de près. Les autres chiens se sont approchés et ils bandaient à leur tour.Mon clebs a mis au moins un quart d’heure à sa vider les couilles. Il a dégonflé rapidement. Un autre a pris sa place. La chatte était bien souple, le nœud est entré sans problème, même la boule. On était hyper excité. On s’est remis à triquer et à se faire sucer pendant la saillie.
Les deux autres chiens sont restés moins longtemps. Tu parles ! Ils étaient déjà chauffés à blanc.
Quand Bitsa, le chien de Jean-Lou l’a montée, je me suis amusé à voir ses testicules ballotter dans l’entrejambe. Les mouvements étaient rapide et saccadés? Dès qu’il s’est retiré, j’ai plongé mon dard dans la masse, toute pleine de foutre. C’était chaud., hyper bon.
J’ai lâché tout mon sperme à mon tour pendant que les potes se finissaient à la main sur sa bouche et qu’elle avalait tout.
Elle s’est à nouveau douchée, puis rhabillée. Elle nous a rouler une mégapelle à chacun en nous tripotant le pacson, elle a caressé les chiens puis elle nous a quitté.
On serait bien resté plus longtemps pour qu’elle revienne. On a trainé encore deux ou trois jours en ville en espérant la revoir et comme rien ne se passait, on a mis Sabine dans nos beaux souvenirs.
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