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Des hot dogs particuliers

Chapitre 1

Gay
Franchement, ce travail en extra pour un traiteur ne me réjouit pas ! Mais je dois bien payer mes études, mes fringues, mes sorties en boîte. Alors, quand cet ami de mon père, propriétaire d’une salle de réception, m’a demandé de venir faire le service, je n’ai pas pu refuser. En général, ce sont des mariages guindés, avec toujours le même cérémonial. Quand bien même je remarquerais parmi les invités un ou deux mecs bien baisables, je ne peux rien tenter, entre les verres, les assiettes, les nappes, les pièces montées, les coupes de champagne, et le nettoyage au milieu de la nuit. Je rentre chez moi épuisé, sans la force d’aller draguer en boîte ou ailleurs. Bref, ce sont des week-ends d’ascète qui se présentent pour cet été…
Je ne me suis pas encore présenté : je m’appelle Ronan, j’ai 19 ans, assez grand, cheveux châtains, yeux bleus ; je fais pas mal de sport et suis donc assez musclé. Depuis que j’ai découvert que je pouvais prendre du plaisir avec mon sexe, je ne me suis pas privé : branlettes quotidiennes, quelques tentatives avec des filles pour faire comme les mecs de ma classe, mais c’est avec la queue des autres que je prends le plus mon pied : je suce, je lèche, je me fais prendre ; j’aime autant l’autre sens : être sucé, léché, ou enfourner ma bite de 18 cm dans un petit cul.
Aujourd’hui, ce n’est pas pour un mariage que mon patron a loué sa salle, mais pour une réunion de club nautique. Il n’y a presque que des hommes ; la plupart sont en tenue décontractée : bermudas, chaussures à carreaux, polos ou chemisettes. Leur goût pour les activités sportives les a rendus musclés. Il y a parmi eux quelques trentenaires tout à fait à mon goût. Un, en particulier : sa bosse à travers le bermuda a tout de suite attiré mon regard, je ne peux m’empêcher de la regarder. Oups ! je crois qu’il vient de s’en apercevoir. Comme si de rien n’était, j’essaie de revenir le plus fréquemment possible vers lui, avec un plateau ; à chaque fois, il me dévisage ; j’essaie d’envoyer un sourire charmeur ; son regard commence à descendre plus bas, vers mon entrejambe. Il profite d’un instant où je me trouve seul derrière le buffet :— Comment t’appelles-tu ?— Ronan, M’sieur.— Salut Ronan, moi, c’est Thomas. J’ai quelque chose à te proposer. J’organise une petite fête mercredi prochain avec des amis et j’aurais besoin d’un serveur. Tu seras bien payé. Mais c’est un job un peu particulier.— C’est-à-dire, M’sieur ?— Appelle-moi Thomas. En fait, j’organise une partie entre mecs, si tu vois ce que je veux dire.— Euh…— Je t’ai observé et je crois que tu pourrais faire l’affaire. Je cherche un gars bien bâti, et j’ai vu que tu n’étais pas insensible à certains détails de mon anatomie. Tu ne seras pas choqué de la façon dont cette soirée se déroulera, ni de ce que je te demanderai. Je t’attends à la fin de ton service et je t’explique plus en détail.
Je sens mes jambes fléchir : cet homme avec lequel je meurs d’envie de baiser depuis une heure, est en train de me proposer de faire le service à sa prochaine partouze.
Deux heures plus tard, je le retrouve au volant de sa voiture sur le parking. Il m’explique le déroulement de sa soirée : mon job consiste à faire le service, en sous-vêtement, je peux être appelé à me dévêtir, et bien sûr, si on me le demande, à participer. Thomas souhaite d’ailleurs tester mes aptitudes, il me demande si je veux le sucer, tout en approchant ses lèvres des miennes. Elles se touchent, nos langues entrent en contact, dans un baiser voluptueux : après plusieurs semaines d’abstinence, je fonds littéralement, ma queue a grossi à son maximum, elle est à l’étroit dans mon boxer. Ma main constate que la queue de Thomas aussi n’attend que d’être libérée. Je m’y emploie, et découvre un large gland, qui surmonte une hampe très droite, qui doit bien faire 20 cm. J’approche mes lèvres, humidifie le gland par de petits coups de langue. J’entends Thomas soupirer. Puis j’avale cette queue, doucement, et commence à faire des allers et retours. Il m’interrompt pour me demander de me masturber en même temps. J’abaisse mon boxer et lui montre mon sexe, d’une taille moyenne mais très large. Je reprends ma fellation tandis qu’il commence à me masturber. Au bout de quelques minutes, je sens sa bourse se contracter, sa queue se raidit et ma bouche se remplit de son jus. Son goût est sucré ; tandis que j’avale ce nectar, des picotements remontent dans ma queue sous l’effet de sa masturbation, et je jouis entre les doigts de Thomas, qui me félicite : le test est plus que concluant.
Mercredi après-midi, je me présente chez Thomas. Il m’ouvre avec un grand sourire, m’embrasse sur la bouche, puis me fait visiter sa maison : la terrasse où la soirée doit commencer, puis l’immense pièce aménagée de canapés et de matelas où doit se dérouler la partie, ainsi que les cuisines où le traiteur vient de déposer le buffet. Au milieu des victuailles que je dépose sur les plateaux, j’aperçois des hot-dogs qui me donnent une idée – mais je n’en dis rien à Thomas, après tout, j’ai bien le droit de prendre des initiatives ?
Quelques heures plus tard, les premiers invités sont là. Il fait chaud, la plupart sont en bermuda ou en short, en tee-shirts moulants ou en chemises ouvertes sur le torse. En général, ils sont tous séduisants, entre 20 et 40 ans, d’allure sportive. Voilà qui annonce une soirée des plus chaudes ! Quant à moi, je suis torse nu, mon bermuda taille basse laisse apparaître le haut de mon boxer. Je commence à servir les premiers verres, puis fais passer les plateaux ; les invités sont agréables, ils m’adressent un mot gentil, certains me mettent déjà la main aux fesses ou au paquet, ce qui a pour effet de faire gonfler ma queue. Assez rapidement, des couples, des trios ou des groupes plus nombreux se forment : on se roule des pelles sur la terrasse, on se palpe les fesses ou la bite à travers le tissu des shorts. C’est le moment de ma surprise : je retourne en cuisine chercher les hot-dogs, je n’ai plus qu’à ouvrir ma braguette, je sors ma queue bien raide, la dépose sur le plateau entre deux morceaux de pain. Au milieu des autres sandwichs, la ressemblance est frappante !
Je défile au milieu des invités avec mon hot-dog surprise. Je m’approche d’abord de Thomas, qui prend son sandwich machinalement, sans regarder, il effleure ma queue, puis sent que la saucisse ne veut pas suivre les morceaux de pain. Alors, il regarde ce hot-dog un peu particulier, me sourit, et dit :— J’ai peur que ce sandwich ne soit un peu sec, Ronan, j’ai bien envie d’y ajouter de la sauce.Et il joint le geste à la parole : il commence à caresser mon sexe sur toute sa longueur, puis le masturbe au-dessus du pain. Tout en faisant cela, il plonge son regard dans le mien. Attirés par le spectacle, les convives se rapprochent et je sens des mains me caresser le dos, la nuque ; un grand blond au torse poilu me pince les tétons. Certains invités commencent à se déshabiller, libérant des queues qui me semblent toutes plus grosses les unes que les autres. Je sens une main se glisser sous mon boxer et effleurer mon anus. Je suis de plus en plus excité par la situation. Thomas fait coulisser à merveille mon prépuce, je ne tarde pas à jouir. De longs jets de sperme s’écrasent sur les deux morceaux de pain. Thomas étale cette sauce et fait passer le sandwich aux invités : chacun en prend une bouchée. On me complimente sur le goût de mon sperme.
Cet intermède « culinaire » a lancé le début de la partouze. Bientôt, sur la terrasse, nous sommes tous à poil : une vingtaine de beaux mecs qui se lèchent mutuellement la queue, l’anus, et qui se pénètrent. De mon côté, et bien que je sois serveur, je participe autant que les invités. Pendant que je suce à quatre pattes le blond poilu de tout à l’heure, je sens une langue tenter de s’insérer dans mon trou, me provoquant des frissons, je me cambre et bientôt l’inconnu enfile un préservatif et me pénètre doucement. Un rapide coup d’œil autour de moi et je constate que d’autres sont dans la même situation. Un petit brun est passé sous moi et commence à sucer ma queue. Le gars derrière moi se retire et me jouit sur le dos, vite remplacé par celui à qui je fais une fellation. Lui non plus ne tarde pas à jouir dans sa capote, dont il me fait boire le contenu. Le mec qui me suce me demande de le pénétrer, ce que je fais avec plaisir : son cul est bien rond, accueillant, et il sait très bien contracter les muscles de son anus autour de ma queue. Combien de mecs ai-je sucés ? Combien de mecs ai-je pénétrés ? Combien de mecs m’ont-ils sucé et/ou pénétrés ? Impossible de me souvenir, ce ne furent que jouissances toute la soirée.
A la fin de la nuit, alors que les convives étaient partis un à un, ou parfois en couple, je me retrouve seul avec Thomas : je dois finir mon service et ranger la cuisine. Il me dit :— Laisse, cela peut attendre, tu dois être fatigué, autant que moi. Viens te coucher.— Merci, c’est sympa.— Suis-moi, je te montre ma chambre.Il m’invite dans son lit, et nous nous endormons, nus, collés l’un à l’autre, tels deux amoureux. Quelques heures plus tard, allongé sur le dos, en me réveillant, je vois Thomas qui m’observe en silence et qui me sourit.— Tu es beau, me dit-il avant de m’embrasser tendrement sur la bouche. Ses mains parcourent mon corps, effleurent ma peau. Il se montre doux, précautionneux. Sa langue abandonne mes lèvres et descend sur mon torse, avec la même attention pour n’oublier aucun recoin de mon corps. Je me laisse faire, abandonné. C’est au tour de mes testicules et de ma queue de recevoir ce traitement buccal, tout mon corps ondule, je gémis comme un fou. Je sens un préservatif se dérouler sur mon sexe, et Thomas s’assoit doucement sur cette tige, tout en me fixant droit dans les yeux. La chaleur de son anus envahit ma queue. Il se soulève, s’abaisse, recommence, accélère progressivement, tout en me regardant avec tendresse ; ses soupirs sont devenus des cris, je sens les contractions de son anus. Je prends son sexe en main : sans que j’aie à le branler, ses va-et-vient de bas en haut sur ma queue imposent le rythme de la masturbation. Simultanément je sens nos deux queues se raidir. Thomas éjacule sur mon torse en criant : « Je t’aime ! » pendant que je remplis la capote dans ses entrailles. Il reste en moi et se penche pour m’embrasser et me remercier d’être entré dans sa vie, par hasard, en servant des hot-dogs d’un genre particulier.
N.B. : Ce texte a déjà été publié sur d’autres sites d’histoires érotiques gay, sous le même pseudo ou sous celui de YAYI
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