Je baise avec Emma et Vanessa, lorsque Yannick (le grand-père d’Emma), débarque, sa grosse bite noire bien dressée (il a de bonnes raisons pour cela puis qu’il baise avec ma petite fille en compagnie du grand-père de Vanessa, un black lui aussi, encore mieux monté)- Excuse moi Eric, mais tu peux venir?— Oui, mais qu’est-ce qu’il se passe? Il y a un problème?— Non, tout va bien, ne t’inquiète pas. On a juste besoin de toi.Je le suis en laissant mes partenaires à regrets et en leur promettant de revenir au plus vite. Il m’explique qu’alors qu’ils sont venus avec la promesse d’Anne-Laure de se faire sodomiser, celle ci semble hésiter maintenant. Ils pourraient la prendre de force, puisque c’était la condition de notre rencontre, mais ils s’y refusent. Ils sont comme moi, vicieux, pervers, font tout sans tabou, mais toujours avec l’accord de l’autre. C’est Anne-Laure qui lui a demandé de m’appeler, pour la soutenir, l’encourager, l’aider à tenir sa promesse.On entre dans la chambre, et je la vois debout, penchée en avant. Charlie est derrière elle, lui bouffe le cul, la doigte, attendant désespérément le feu vert. Je m’agenouille devant elle et prend son visage à deux mains:— Alors ma puce, ça ne va pas? C’est pourtant toi qui l’a voulu pour assouvir ton fantasme!— Oui, je sais papy, mais elles sont énormes leurs queues. Je te jure que j’en ai envie, mais j’ai peur. Il faut que tu m’aides, que tu restes avec moi, que tu me donnes du courage.— Je vais t’aider ma chérie, mais il faut que tu y arrives, je suis sûr que tu ne le regretteras pas. Ton plus grand regret ce serait de ne pas l’avoir fait, au moins essayer.— Tu as raison, c’est ce que je me dis, mais ça ne suffit pas. — Pense à ta première fois, quand tu m’a fais l’honneur de le dépuceler ton petit trou. Tu avais peur aussi, et puis on l’a fait. Ca t’a fait un peu mal, mais maintenant tu es contente de te faire mettre tous les jours par ton papy. Tu as fait le plus dur, et passer à la taille au dessus ce ne sera qu’une autre petite douleur, pour un plaisir décuplé. Je lui propose alors de l’enculer, pour préparer son anus, sachant que si je la fais jouir elle va s’offrir sans résistance à nos copains de jeu. Elle accepte sans hésiter, et Charlie me laisse la place. Il l’a bien ouverte, et je m’introduis entre ses fesses. Je la sens malgré tout serrée, tendue, inquiète, mais après quelques allers retours de lime elle s’abandonne:— Oui, c’est bien ma chérie, relaxe toi, sois cool. Tu l’aimes la bite à papy?— Oh oui, c’est bon. Mais elle est normale ta queue. — Ne t’en fais pas, celle de Yannick est à peine plus large, et pour la longueur il ne te mettra que ce que tu voudras. Il est gentil, tu as vu, et Charlie aussi; ils auraient pu te forcer puisque tu avais promis, et ils ne l’ont pas fait.— Oui je sais. Je voudrais bien leur faire plaisir, mais j’ai peur qu’ils ne me déchirent.— Ne dis pas de conneries. Je t’ai montré celle belle blonde qui se prend une double sodomie, et il y en a qui prennent encore plus, des femmes et aussi des hommes. Ton cul ne risque rien, ça va juste te faire un peu mal au début, comme avec moi le premier jour, et ensuite tu vas connaître un plaisir intense. Elle a confiance en moi et va me laisser faire. Je l’encule de plus en plus fort, je la matraque, sachant qu’elle aime ça, et encouragé par ses gémissements. Je la sens prête et je me retire pour que Yannick, le moins bien membré des deux vienne me remplacer.Je reviens devant ma petite fille, reprend son visage entre mes mains, lui souffle des mots d’encouragement à l’oreille, l’embrasse à pleine bouche. Elle passe ses bras autour de mon cou, et je sens ses ongles s’enfoncer dans ma chair, en même temps que son amant s’enfonce dans la sienne.Elle m’étreint de toutes ses forces et m’offre sa bouche pour que j’étouffe ses cris. Son étau se desserre, nos lèvres se dessoudent, la douleur est partie pour laisser place au plaisir. Yannick lui a mise toute entière, il la ramone en douceur, et tout semble aller bien. Elle me donne l’autorisation de repartir tandis que Charlie s’empresse de venir dans sa bouche. Je rejoins mes jolies minettes en espérant qu’elles ne se soient pas ennuyées. S’ennuyer! tu parles! salopes! je les retrouve l’une sur l’autre dans un 69 torride. Elles veulent arrêter leur exercice en me voyant, mais je les supplie de continuer, c’est vraiment trop beau. Elles me demandent alors ce qui se passe à côté, s’inquiètent sincèrement pour ma petite fille. Je leur raconte tout, et Emma me demande si elle peut aller les voir. J’accepte, du coup Vanessa veut y aller elle aussi, et on y va tous les trois.
Emma s’approche de son grand-père et contemple sa prestation sous tous les angles pour ne rien rater, et s’assurer qu’il est bien dans le bon trou:— Oh papy, c’est bon de voir comme tu l’encules. Je suis contente pour toi que tu aies enfin trouvé quelqu’un qui accepte.— Merci ma chérie, mais c’est surtout Anne-Laure que je dois remercier. Elle est vraiment trop gentille cette petite.— Tu veux dire plus que moi! Tu m’en veux de ne pas t’offrir mon petit derrière?— Ne dis pas de bêtises Emma, tu sais que c’est déjà inespéré ce qui se passe entre nous. C’est parfait comme c’est mon amour.Ils en restent là et c’est au tour de Vanessa de s’adresser à son grand-père:— Et toi mon papy, tu crois qu’elle va vouloir de ta grosse queue?— Je ne sais pas, mais je l’espère.— Moi aussi, je le souhaite pour toi. On va repartir pour s’occuper d’Eric, tu m’appelles si tu arrives à lui mettre, j’aimerais trop voir ça.On est prêt à regagner notre chambre lorsque Anne-Laure repousse son amant buccal pour intervenir. Elle disjoncte à nouveau comme elle le fait souvent quand elle est bien baisée:— Non, restez là, je veux qu’il me la mette devant vous, je veux que vous voyez quelle putain de salope je suis.Elle fixe Charlie droit les yeux, lui demande de lui passer sa petite culotte:— Encule moi, encule moi, fais toi plaisir. Casse moi le cul avec ta grosse matraque, explose moi, je vais bouffer ma culotte pour ne pas crier et tu pourras me défoncer tant que je ne la recrache pour te supplier d’arrêter. Elle engloutit son très joli string, et Charlie me regarde comme pour me demander ce qu’il doit faire. Je lui donne ma bénédiction pour réaliser le souhait de ma putain de salope de chienne de petite fille en chaleur.Yannick se retire pour lui laisser la place, et il tente son insertion. Sa bite est vraiment épaisse, encore plus que prévue devant cette réalité qui le fait bander à mort, et on le voit pousser de toutes ses forces pour introduire son énorme sceptre. Cette pute d’Anne-Laure ne recrache pas son dessous pour ne pas abandonner, et elle se tortille, pousse en arrière, pour mieux venir à la rencontre de ce chibre démentiel.On est tous scotchés devant ce spectacle, inquiets, puis soulagés lorsque l’on voit cette belle colonne disparaitre entre les miches de ma petite fille, puis se mettre à coulisser avec de plus en plus de facilité. J’observe ma petite chérie, je vois de grosses larmes perler de ses yeux, je viens les lécher, les boire, lui propose d’arrêter si c’est trop douloureux. Elle ne veut rien entendre, persiste à se faire démolir, jusqu’à enfin retirer sa culotte pour hurler de plaisir. On est impressionné, mais aussi libéré, par la réussite de cette impossible copulation. On en a pris plein les yeux, je laisse ma petite fille en toute sécurité, et je remmène mes autres petites salpes dans ma chambre.On parle bien sûr de sodomie, elles me confirment qu’elles n’ont jamais osé s’offrir par là à leur grand-père, et m’avouent être pucelles anales. J’ai eu la grande chance de déflorer la pastille de ma petite fille, et ces deux petites salopes, émoustillées par ce qu’elles viennent de voir, me demandent de dévirginiser leur petit trou avec ma queue plus acceptable que celles trop larges de leurs papy.Je suis fou de joie de leur envie, d’autant plus que si ma petite fille s’était engagée à offrir son cul à leurs grands-pères, aucune des deux ne m’avait proposé le sien.C’est Emma, la plus âgée, pour ne pas dire la moins jeune, la plus délurée, qui veut s’offrir la première. Je la fais remettre en 69 avec sa nouvelle compagne, elle dessus, et Vanessa dessous qui va se charger de bien écarter ses fesses. Je suis à quatre pattes sur le lit, derrière elle, admiratif de ses charmes. Je salive à l’avance à l’idée de la bouffer, et j’enfouis ma gueule dans sa raie appétissante. Je la lèche, je la langue, je la doigte, j’ouvre son anus peu à peu. Il est bien dilaté, je lui propose de l’enculer et elle me dit qu’elle ne demande que ça. Je plaque mon gland épanoui sur sa rosette frétillante, et je sens la main de Vanessa qui s’empare de mon manche pour le pousser dans ce trou vierge et innocent. Elle m’enfonce la queue autant qu’elle le peut, dégage sa main, et je termine pour enfouir le reste, jusqu’aux couilles. Emma ne dit rien, je m’étonne de son silence, puis je comprends: Cette putain de Vanessa enferme sa tête entre ses cuisses, la maintient plaquée contre sa chatte. J’allonge mes bras pour la saisir par les genoux, et ouvrir son emprise:— Laisse la salope, laisse la respirer, laisse la me dire qu’elle aime ma bite dans son cul.— Oui, elle l’aime, et c’est elle qui m’a demandé ça, pour l’empêcher de crier et que tu ne te retires.Je n’ai pas besoin de demander à ma partenaire si c’est vrai, ses soupirs et ses gémissements ne font que confirmer. Je m’applique à bien la monter, qu’elle ait un bon souvenir de sa première fois, mais Vanessa est là pour me rappeler qu’elles sont deux, et qu’elle aussi à envie de se faire dépuceler la rondelle:— Ne m’oublie pas vieux cochon, j’ai envie de ta queue moi aussi. Encule moi tant que tu es en forme.— Pas de souci salope, c’est bien mon intention. Mets toi en place, je vais te prendre la température.Je me recule, elles changent de place, et c’est au tour d’Emma d’ouvrir les miches de sa copine pour m’offrir son cul de rêve. Elle a, elle aussi, un sillon et une rondelle de toute beauté, et j’enfouis ma gueule pour la dévorer, l’ouvrir de ma langue et de mes doigts. Elle est prête et je vais la prendre. Elle est à son tour emprisonnée entre les cuisses de sa partenaire, incapable de protester. Je l’embroche jusqu’à la racine, la ramone, et lorsqu’elle peut enfin parler c’est pour m’encourager à la défoncer encore plus fort.Je lui en met autant qu’à Emma, ni plus ni moins qu’il n’y ait pas de jalouse, puis je les fais changer de position. Elle sont toujours en 69, mais sur le côté cette fois. Je viens derrière elles, chacune son tour, pour les sodomiser tout en les matant se bouffer la chatte:— Hum, c’est bon de vous enculer mes chéries, c’est bon de vous voir vous lécher. Je vais sortir ma jolie, et tu vas voir comme je vais bien l’enculer ta putain d’amante. Mais avant ça je vais lui donner ma bite à sucer, comme je vais te la donner après avoir bien fourrer son cul.Je fais ce que j’ai dit, et renouvelle plusieurs fois le changement, jusqu’à épuisement. C’est alors qu’Anne-Laure nous rejoint:— Vous baisez encore! Nous on a fini, on est crevé, et on aimerait un câlin pour se reposer. — On termine mon amour, on va se reposer nous aussi.Je me lève, mes deux jolies compagnes s’agenouillent devant moi, joue contre joue, bouche ouverte, langue tirée. Je me masturbe au ras de leur lèvres et ma petite fille intervient:— Je peux te branler papy?— Oui, bien sûr. Mais quand je vais jouir il faudra t’appliquer à bien leur recouvrir la langue.— Oui papy, comme si c’était pour moi.Elle m’astique énergiquement, j’annonce mon plaisir qui monte, et elle me fait éjaculer dans leurs bouches, sans ne rien laisser perdre. J’ai terminé ma vidange, les deux petites salopes se roulent une pelle pour tout bouffer, et ma putain de petite fille me nettoie la queue, récupère les dernières gouttes.On est crevé nous aussi, et on va aussi se reposer. J’ai préparé la troisième chambre et on va se faire une sieste réparatrice, deux par deux, chaque papy avec sa petite fille. A suivre..................
