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Des papy s'échangent leur petite fille.

Chapitre 6

Inceste
Trois papy vicieux, trois petites filles salopes:— Yannick, 65 ans, black,23x5,3, et sa petite fille Emma, 20 ans.— Charlie, 68 ans, black, 25x6, et sa petite fille Vanessa, 18 ans.— Moi même, Eric, 62 ans, blanc, 18x4,5, et ma petite fille Anne-Laure,19 ans. Suite à une annonce de sexe on se retrouve à six pour un long week-end incestueux de débauche, luxure, stupre et fornication. On a démarré nos orgies le samedi, et après deux après-midi et deux nuits bien crapuleuses, nous voici déjà au lundi.Comme les autres jours, on est sage le matin, on se remet de notre nuit agitée, on déjeune à l’extérieur, et on rentre vers quatorze heures pour s’offrir une partie débridée.
Le samedi on s’est partagé en trois et trois, Anne-Laure avec les deux papy blacks, et moi avec leurs ravissantes petites filles.Le dimanche on est resté les six ensemble, et on a baisé deux par deux, en s’échangeant les partenaires mais toujours des couples hétéros.Ce jour lundi, il nous faut trouver une nouveauté, et on va rester encore les six ensemble, mais faire deux équipes, une de quatre et une de deux. Chacune des filles va être à son tour la proie consentante des trois hommes, tandis que les deux autres vont s’aimer entre elles.On est au salon, on a fait de la place et on a emmené un matelas. Les deux minettes noires s’installent dessus et vont pouvoir s’envoyer confortablement en l’air, tandis que nous allons, nous les mâles, nous occuper d’Anne-Laure juste à côté. Elles vont pouvoir ainsi assister à notre spectacle, et nous au leur.On est tous à poil et on vient se coller à ma petite fille. Nos mains salaces courent partout sur son jeune corps, pour la caresser, la peloter, la tripoter. On lui fouille la chatte et le cul, on lui met jusqu’à trois doigts dans chaque, les trois doigts d’une même main, ou un doigt de trois mains différentes. Elle semble apprécier cette mise en matière, tout comme on apprécie ses mains qui branlent nos queues ou massent nos couilles. Les deux jeunes sur le matelas, sont dans les bras l’une de l’autre, s’embrassent tendrement, jouent à touche pipi.Après s’être bien chauffé, on va passer à des choses plus intimes, à l’amour buccal. On va l’embrasser, la lécher sur tout le corps, on va surtout s’occuper de ses trois orifices. Yannick est en place pour lui dévorer la chatte, Charlie pour lui brouter le cul, et moi pour lui rouler de chaudes pelles incestueuses. Elle m’embrasse comme jamais elle ne l’a fait, des patins brulants et voraces prouvant que nos deux partenaires lui font beaucoup de bien. On inverse les places, et chacun peu glisser sa langue dans ses trous de plus en plus ouverts. C’est chaud aussi sur le matelas, et les filles s’offrent un 69 gourmand.Une séance doigts, une séance bouches, et on va passer à la séance queues. J’encule ma petite fille, debout, et Yannick lui fait face pour pistonner sa chatte. On la baise tous les eux et Charlie va chercher une chaise, monte dessus, pour se faire sucer. Notre salope est aux anges, et gémit, jouit, nous balance des obscénités pour nous encourager. C’est très chaud à côté aussi. Elles sont toujours en 69, mais ne se contentent plus de se lécher gentiment le minou. Elles se dévorent, elles se fouillent, la chatte et le cul.On change les positions, pour profiter de chacun de ses trous à bites. C’est moi qui suis dans sa bouche et elle a une très grosse bite dans son ventre, et une énorme entre ses reins. Nos deux partenaires la soulèvent à la force de leurs engins, et la font sauter sur leurs colonnes. Elle me suce activement, mais ça ne me suffit pas. Je prends sa tête à deux mains et je la fais aller et venir énergiquement sur moi. Son nez s’écrase toutes les secondes sur mon ventre, à chaque fois que mon gland est dans sa gorge. Je stoppe pour ne pas jouir, pas encore, et je me retire:— Putain de salope, tu es encore plus chienne que je ne le croyais. Ca te plait trois bites rien que pour toi, surtout qu’il y en deux de blacks, comme tu voulais.— Oh oui papy, oh putain ce que c’est bon tout ce que vous me mettez. Reviens papy, baise moi la bouche, je suis ta pute, la pute à Yannick et Charlie, la pute à tout le monde.....— Salope, je suis fier de toi, tu es ma digne petite fille, aussi putasse que moi.— Oui papy, j’aime savoir que je te plais, que tu me veux comme une trainée, mais gratuite pour toi.— J’espère bien putain de salope, mais je vais te payer quand même, et tes deux autres amants aussi, en liquide si tu vois ce que je veux dire.— Oh oui, allez-y, remplissez moi, je veux votre sperme partout en moi.Je replonge ma queue, la baise au rythme de mes deux comparses infatigables. On s’entend pour s’attendre, jouir en même temps, et on la remplit de triples éjaculations simultanées. On a tout donné, tout mis, et on reste encore en elle le temps de souffler. Nos deux partenaires s’adressent alors à leurs petites filles pour leur dire qu’ils ont besoin de nettoyeuses. Elles comprennent de suite leur souhait, et viennent nous rejoindre. Ils se retirent et elles bouffent chacune un orifice intercuissal, celui dans lequel a joui leur grand-père. Elles vident tout, se remplissent la bouche sans avaler. Ma petite fille n’a pas avalé elle non plus, et elles vont nous sucer incestueusement toutes les trois, chacune son papy, nous souiller la queue de notre foutre chaud et épais, avant de la nettoyer à la perfection.
Notre première partie est terminée, et on se repose. Les petites viennent sur nous, on se fait des câlins, puis le temps passant nos manches reprennent de la vigueur. On est prêt pour remettre çà.
On se refait le plan à l’identique, sauf que cette fois c’est Emma qui va subir nos assauts, pour son plus grand plaisir, et qu’ Anne-Laure va goûter au plaisir lesbien en compagnie de Vanessa. Elles s’aiment comme des chiennes, tandis que notre nouvelle partenaire se fait exploser tous ses trous sans modération, d’autant plus que ses jouissements infernaux nous motivent à la défoncer encore plus.Comme pour ma petite fille, on se vide dans tous les trous de celle de Yannick, les deux autres petites salopes viennent nettoyer leurs orifices remplis de semence familiale, et elles nous souillent puis nettoient dans des sublimes pipes incestueuses.
On se repose, avec un câlin, et on recommence, nous les hommes avec Vanessa, et Anne-laure et Emma ensemble.
On se repose une dernière fois, un dernier câlin, entièrement à poil. On se douche, on s’habille, et on sort s’aérer et diner.Vingt-deux heures, on est de retour, pour une troisième et dernière nuit.Yannick a passé la première avec Vanessa, la seconde avec sa petite fille, et il lui reste Anne-Laure.Charlie a passé la première avec ma petite fille, la seconde avec la sienne, et il lui reste Emma.Pour moi, j’ai passé la première avec Emma, la deuxième avec la chair de ma chair, et il me reste Vanessa, la plus jeune, la plus jolie et j’espère la plus coquine.
On est en couple dans nos chambres, à poil, au moins en ce qui nous concerne, et je me penche sur ma jeune partenaire, à peine sortie de l’adolescence avec ses dix-huit années accomplies. Je prends sa bouche pour l’embrasser, elle s’abandonne, participe, je fouille sa chatte et elle me branle le manche. Elle mouille à volonté, j’ai les doigts trempés et je viens les essuyer sur ses seins de toute beauté, un sublime 90C d’une fermeté et d’une tenue irréprochables. Je nappe ses globes de sa crème généreuse, repasse deux ou trois couches, puis ma bouche quitte la sienne pour venir la téter. Je suce ses pointes aussi bandées et réceptives que le sont mon gland ou son clitoris. Je me recule pour pouvoir la mâter:— Oh Vanessa, tu es trop belle ma chérie. Ses seins, ses seins que tu as, ils sont magnifiques. Vous avez de la chance avec ton papy, lui d’avoir une aussi jeune et aussi belle petite salope, et toi d’avoir son énorme queue incestueuse.— Oui, c’est vrai, mais tu as de la chance toi aussi avec Anne-Laure. Je la trouve très jolie et j’ai dans l’idée qu’elle doit être super bonne pour un papy cochon.— Oui, tu as raison, dommage que je n’ai pas un énorme sceptre à lui offrir.— C’est peut-être mieux, je peux te dire que celui de papy ce n’est pas toujours évident. Et maintenant qu’il sait qu’il peut me le mettre dans le cul, je n’ai pas fini de charger. Si j’avais à choisir, je préfèrerais le tien. Elle est belle ta queue, elle est grosse mais juste ce qu’il faut. Et puis surtout c’est tes couilles que j’aime. Elles sont énormes, deux fois plus grosses que celles de papy. Ca doit être trop bon de te pomper quand elles sont archi pleines.— Petite salope, tu vas me donner des regrets de ne pas t’avoir comme petite fille. Je t’adopterai bien si c’était possible.— Oui ce serait bien, et mon papy pourrait adopter Anne-Laure. Vous devriez en parler, ce serait cool.— Ne t’emballe pas, on fantasme mais tu sais que ce n’est pas possible.— Oui, mais on peut rêver. Par contre on pourrait se revoir tous les quatre, pour de vrai.— Oui, pourquoi pas, et même tous les six. — Non, à six je vais devoir prendre celle de Yannick, et elle est très grosse elle aussi. C’est la tienne que je veux, et tes couilles aussi. Baise moi, baise moi, ça me chauffe de discuter comme ça.Je viens sur elle, et je plante mon pieu dans son huître accueillante. Je la lime en douceur dans un premier temps, puis de plus de plus fort, jusqu’à la tringler sans retenue. Elle est si jeune, si mignonne, que je m’inquiète de mes pénétrations viriles:— Ca va ma puce, je ne te fais pas mal?— Non, au contraire, c’est bon. Baise moi, baise moi fort, elle est trop bonne ta queue.Je l’aime de toutes mes forces, et je décharge rapidement dans son petit con qui n’attendait que ça:— Tu prends la pilule, j’espère?— Oui, heureusement, sinon avec tout ce qu’il m’a mis mon papy, j’aurais pu faire un élevage!— Ah bon! Il y a longtemps que vous baisez ensemble?— Non, je plaisante, ça fait trois mois, le jour de mes dix-huit ans.— Et tes parents! tu ne vis pas avec eux?— Non, ils sont restés en Afrique, et j’ai rejoint papy en France pour faire des études.— Ah, un peu comme ma petite fille. C’est bon des jeunes étudiantes libérées.Je me retire et on se fait un 69. Je vide sa chatte, j’en ai plein la bouche, et je lui roule une longue pelle pour lui faire tout bouffer:— Tu es un gros cochon toi, encore plus que papy.— Ca te choque?— Non, au contraire, j’ai envie d’être initiée à des choses perverses, par un vieux vicieux à la belle queue et aux grosses couilles.— En, dis moi, c’est moi ce vicieux?— Oui, demande moi tout ce que tu veux, je veux tout faire avec toi.— Et si je te prenais au mot petite vicieuse!— Ne te gênes pas, c’est peut-être ma seule chance d’essayer.— Ok, mais je ne fais pas tout; pas de scato ni de sm.— Oui, bien sûr, et la pisse, tu le fais?— Oui, j’aime bien. — Je le savais, elle m’a tout raconté Emma, ça me donne envie.— La salope, et elle l’a dit à ma petite fille?— Non, ne t’en fais pas, ça reste entre nous.Comme avec Emma, je vais chercher de l’eau, et on boit en prévision de notre plan.J’ai repris des forces et avant d’aller à la salle d’eau, je vais l’enculer, lui mettre une ramonée sévère qui la fait grimper aux rideaux. Je jouis entre ses reins, je vide son cul, et on s’embrasse.On a envie de pisser et on se fait le même plan qu’avec Emma. Elle est ravie de la séance cette petite putain, et on ne cesse de boire, de l’eau et de l’urine, pour pisser, pisser toujours, pisser encore.
On a fini notre orgie et on repart se coucher. On s’est un peu reposé, et on va remettre le couvert. Je commence par lui bouffer la chatte, me régale de ce dessert couleurs chocolat fraise, au creux duquel sa chantilly ne cesse de jaillir. Je la lape, je la lèche, je la bois, je la dévore jusqu’à ce qu’elle demande grâce. Je m’allonge à côté d’elle, et elle ne résiste pas à mon sexe épanoui et dressé.Elle s’installe pour me sucer, et je lui demande un autre truc cochon, qui doit rester entre nous. Je veux qu’elle me bouffe le cul, qu’elle me doigte, qu’elle me fouille. Elle accepte et me fais un bien infini. Elle me fouille sans ménagement, se servant de sa salive et de sa mouille toujours abondante pour mieux glisser, elle en est à quatre doigts, et je lui demande de me mettre la main. Elle hésite, j’insiste, et elle finit par me fister. Je prend un pied pas possible, et je mords les draps pour ne pas que nos voisins de chambre m’entendent jouir comme une salope. Je me tiens une trique béton, je la prends à pleine main et je me branle. Elle laisse sa main dans mon fion, la fait aller venir, la tourne, tandis qu’elle se penche sur moi. Elle me gobe les couilles, les suce, les lèche. Je vais bientôt jouir, je la préviens, et elle se saisit de ma queue, embouche mon gland et me branle sauvagement. Je gicle, plusieurs fois, et elle avale tout.
Elle retire sa main d’entre mes miches, la passe dans son dos, et se fouille le petit trou. Elle voudrait se fister, n’y parvient pas et me demande de l’aider. J’ai déjà vu des vidéos, connait les positions adéquates, et on y parvient. Elle rentre et sort , s’excite, et me demande de la fister à mon tour. Je lui fait remarquer que ma main est bien plus grosse que la sienne, mais elle s’en fout, elle veut essayer. On tente, elle s’est bien préparée, et à ma grande surprise je finis par lui mettre, et son oeilet se resserre sur mon poignet. Je la travaille aussi longtemps qu’elle me le demande et elle finit par capituler. Je me retire et lèche son trou pour l’apaiser.On va se laver, on se couche, et on se fat une dernière baise au petit matin.
On est mardi, notre week-end est fini. On déjeune, toujours dehors, on rentre à quatorze heures, et les filles nous font une pipe éclair avant que l’on ne se quitte. On a nos adresses internet, mais on s’échange aussi nos numéros de téléphone, pour une éventuelle nouvelle partie.
Je reste avec ma petite fille, on va se coucher pour une sieste sage, suivie d’une baise épuisante.Elle ne fait que parler de ces grosses bites de blacks, et je lui propose d’acheter un énorme gode ceinture noir, adapté aux hommes, pour m’en servir quand ma queue sera en panne.Elle me saute au cou, me dit que je suis le plus gentil des papy.
FIN
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