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Des potes pas si hétéros que ça

Chapitre 6

Gay
Des semaines passèrent sans que rien ne se produisit. J’avais décidé d’être sage et par conséquent, j’arrêtais de chauffer tous les mecs que je croisais. Cela faisait désormais deux mois que j’avais fait l’amour avec mon professeur de sport et ce dernier me traitait comme si rien ne s’était passé. Je voyais toujours Louis, mais rien de sexuel ne s’était produit depuis la dernière fois que j’avais sucé sa bonne queue.
J’avais décidé de passer chez lui pour aller discuter et que ne fut pas ma surprise quand je vis le frère de Louis, adossé contre le canapé familial, entrain de causer avec son frère quand j’arrivai. Je ne sus pas où me mettre. Louis ne savait pas que j’avais baisé avec Antoine et inversement. Du coup, j’étais plutôt gêné par la situation. Mes yeux se fixaient sur le sol tandis que je ne participais que très peu à la conversation. Au bout d’un moment, Antoine sortit et la normalité reprit; Louis et moi recommencèrent à parler normalement.
Au bout de quelques heures de rigolades, j’eus envie d’aller aux toilettes qui se trouvaient être dans la même pièce que la douche. Je montai à l’étage et rentrai malgré la musique qui émanait de derrière la porte. Cela aurait du me mettre la puce à l’oreille. Une fois à l’intérieur de la salle de bain, j’ouvris grand mes yeux devant le spectacle qui s’offrait à moi. En effet, Antoine se tenait sous le jet d’eau, les gouttes ruisselant sur ses adbos, ses fesses musclées et... sa queue en érection! Le jeune homme se donnait du plaisir en se mordillant la lèvre inférieure, sa main coulissant sur son gros sexe qui m’avait tant manqué. Je sortis sans rien dire car Antoine n’avait pas remarqué ma présence de part le bruit et la buée dans la pièce, puis je me rendis en bas pour aller raconter à Louis ma mésaventure.
"Putain, mon frère était entrain de se branler sous la douche? C’est trop drôle, je vais le surprendre pour rigoler!"
Sans rien dire de plus, Louis monta à l’étage, moi-même sur ses pas, puis ouvrit la porte de la salle de bain avec un grand bruit. Cette fois là, Antoine entendit et arrêta tout de suite son mouvement. Quand il aperçut son frère cadet, il commença à l’engueuler en se cachant avec une serviette rapidement.
"Mais tu fais quoi là Louis?! Tu frappes jamais avant d’entrer merde?
-Et calmes toi c’est pas parce que tu te branles comme un gros puceau que c’est de ma faute hein, rétorqua Louis en le provoquant d’un sourire moqueur.
-Commences pas avec moi Louis, à mon avis j’ai eu plus de chattes en une soirée que toi dans toute ta vie donc fermes la. C’est pas avec ta petite queue de douze centimètres que tu vas faire ton Casanova!
-Je suis sur que les meufs veulent même pas te toucher tellement t’es con de toute façon, mais peut-être que t’es plutôt intéressé par les mecs après tout, on te voit pas souvent ramener des copines à la maison, le taquina mon ami.
-Moi je suis intéressé par les mecs? Mais va te faire foutre mon gars! se mit à crier le jeune homme avec violence.
-Moi je vais me faire foutre et toi t’es plein de foutre le samedi soir quand tu te fais prendre dans des caves par des rebeus qui kiffent les pédés comme toi, répliqua Louis rapidement avant de sortir rapidement de la salle de bain en courant, son frère sur ses trousses."
Il avait du dire le mot de trop. Antoine avait l’air d’avoir le sang chaud et quiconque le provoquait en payait le prix. Plus âgé et plus rapide, il rattrapa Louis quand ce dernier arrivait à son lit et le prit d’une main forte pour venir le coller contre sa queue tandis que j’ouvrais de grands yeux étonnés:
"Alors tu crois que j’ai une petite bite, que c’est moi le pédé de la famille?! Et bah je vais te prouver le contraire tu vois!
-Arrête de déconner Antoine, c’est bon lâches-moi, rétorqua Louis qui commençait à être inquiet."
Mais ce dernier n’en fit rien et le colla un peu plus contre la bosse que formait sa serviette. Il l’enleva d’ailleurs rapidement, sa grosse bite venant se dresser contre le visage de son frère qui se mit à demander à son frère d’arrêter, au début calmement puis avec plus de force ensuite. Mais Antoine ne voulait rien savoir et finit par donner une gifle monumentale à Louis, ce qui arrêta ses supplications, puis il mit de force son chibre dans la bouche de son petit frère.
J’étais passablement excité, je voyais Louis qui prenait un pénis dans sa bouche, violemment qui plus est. Antoine ne lui faisait pas de cadeau, tout comme moi la dernière fois, et baisait de plus en plus fort les lèvres de son frère. Il commençait doucement avant d’accélérer au fur et à mesure, contrôlant les mouvements de Louis en l’agrippant par les cheveux. Il lui donnait des ordres brefs du genre "Branles", "Suces" ou encore "Prends plus profond" mais cela s’arrêtait là. Antoine donnait des grands mouvements de bassin pour forcer le passage tandis que je vis une larme couler le long du visage de Louis. Je compris qu’il n’était vraiment pas pour coucher avec son frère. Je voulus alors intervenir mais Antoine me fit taire d’un regard. Je ne sus alors pourquoi je m’exécutai, mais sous les ordres du jeune homme je me déshabillai et vint tendre ma queue à Louis à mon tour. Ce dernier, obligé, suça les deux chibres encore et toujours avec une moue dégoûté. Quand nous le forcions à faire des gorges profondes, il commençait à crier mais était bien vite calmé par son frère. Nous le fîmes prendre nos deux bites en même temps, puis mélanger nos deux paires de couilles dans sa bouche. L’odeur de sexe était forte, et elle ne devait que plus dégoûtait Louis mais pour l’heure je m’en moquais. Je voulais qu’il soit esclave comme je l’avais été.
Les pipes n’étant pas assez, Antoine déshabilla son frère sans lui demander son avis et le retourna pour accéder à cette belle paire de fesse qu’il possédait. Le jeune homme y enfonça donc un doigt au fur et à mesure que Louis criait. Plus le nombre augmentait, plus les gémissement devenaient durs à contenir et je dus enfonçais mon pénis dans sa bouche pour le faire taire. Apparemment, ça avait l’air plus douloureux que pour moi. Puis, vint le moment où Antoine le pénétra d’un coup de bassin. En voyant la tête de Louis, je compris que la douleur était insoutenable. Mais je savais que le plaisir viendrait après alors je baisai un peu plus sa bouche pour qu’il s’occupe d’autre chose. Antoine l’insultait de la même façon qu’il avait fait avec moi et je touchai alors son torse, très excité. L’envie de le sucer me prit alors. Je me dégageai de la bouche de Louis et la main d’Antoine prit le relai comme bâillon puis je vins sucer les boules de ce dernier avec vigueur tandis qu’elles se balançaient d’avant en arrière au rythme des vas et viens. J’avais l’anus de Louis en gros plan au-dessus de mes yeux qui peinait à s’ouvrir pour accueillir pleinement le chibre de son frère, encore plus imposant vu d’en dessous. Antoine gémissait, prenait son pied et n’écoutait pas les suppliques de son frère, étouffées par sa main. Tout ce qu’il voulait, c’était continuer ses vas et viens jusqu’à ce que son plaisir soit prit.
"Et, tu veux rentrer toi aussi?, me demanda-t-il, Cette salope a besoin d’une vraie leçon je crois.
-Avec plaisir, répliquai-je en me redressant pour venir mettre ma bite dans le trou déjà trop serré de Louis."
Ce dernier avait commencé à crier plus fort à l’annonce des deux bites qui allaient le marteler. Une fois que je l’entrai pour de bon, il n’en finit pas de tenter de se dégager alors que nous allions de plus en plus vite en prenant notre pied. Ma pine se frottait à celle d’Antoine en rythme, le torse de ce dernier était collé à mon dos, je pouvais sentir son souffle saccadé et ses mouvements violents. Je touchais encore une fois ses bourses qui me fascinaient, continuant de défoncer Louis par la même occasion. Les choses devenaient vraiment hard et Louis n’était pas du tout partant mais malgré ça, je continuais. Antoine finit par se retirer et me laissa seul baiser son frère tandis qu’il se dirigeait vers sa bouche.
Au bout d’un moment, Antoine éjacula dans la bouche de son frère avec un râle de bonheur, Louis prenant un visage horrifié tandis qu’il sentait le sperme dans sa bouche et que son agresseur le forçait à tout prendre en bloquant sa tête sur le sexe immense. Je vins dans l’anus de Louis après un dernier coup de bassin et violent et je laissai le sperme dégouliner le long des cuisses du garçon. Après cette séance de baise, nous observâmes Louis qui nous fusillait du regard. Il avait souffert et était couvert de sperme, humilié alors qu’il se croyait hétéro. Antoine finit par se pencher et lui cracha dessus:
"Maintenant tu sais qui est le maître ici alors l’oublies pas."
Puis il partit sans rien dire de plus. Moi je regardai une dernière fois mon ami avant de partir par la porte d’entrée en sifflotant gaiement. Je savais que Louis se sentirait en colère mais la honte primerait sans aucun doute et de peur que nous n’allâmes ébruiter cette histoire, il allait bientôt nous reparler à Antoine et moi. Je ne me souvenais donc aucun souci là-dessus. Ma liste de proies s’allongeaient mais désormais j’avais un autre fantasme: je voulais qu’Antoine connaisse la soumission à son tour. Et je savais exactement comment mener mon plan à exécution.
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