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Des potes pas si hétéros que ça

Chapitre 7

Gay
Le temps passait mais je n’avais pas oublié mon souhait de voir Antoine enfin perdre de sa superbe et connaître les joies de la soumission. J’avais reparlé avec Louis depuis le petit incident de son frère qui l’avait humilié et mon pote n’avait qu’une envie: se venger. Il était d’accord avec le plan que je lui exposa et invita donc Timothée, Pierre et quelques autres amis à venir chez lui tandis que son grand frère y était aussi.
Au final, nous fûmes six chez lui: il y avait la bande habituelle des quatre mecs que nous formions avec Tim, Pierre et Louis ainsi qu’Aurélien et Thomas. Le premier était un rugbyman grand et baraqué avec déjà une grosse barbe et dont les exploits sexuels avec les filles faisaient jaser tout le lycée et le deuxième se trouvait être un beau petit portugais châtain au corps parfait. Nous savions qu’ils étaient tous plus ou moins chaud pour avoir une expérience gay. Alors sans attendre, nous leur exposâmes notre plan. Il était simple: dès qu’Antoine serait en caleçon bien installé dans sa chambre, nous entrerions tous, le prendrions de force pour venir le baiser sauvagement.
Certains exprimèrent leur scepticisme quand à ce plan bancal mais finalement nous acceptâmes tous de venger Louis. Sur ces entre-faits, nous nous dirigeâmes vers la chambre d’Antoine puis entrâmes sans faire de bruit. Le jeune homme n’eut pas le temps de dire un mot que déjà nous étions sur lui entrain de l’attraper pour qu’il ne puisse plus bouger. Antoine se débattait comme un beau diable, tentait de crier mais la grande main d’Aurélien couvrait entièrement les sons qui s’échappaient de sa bouche. Louis s’approcha alors avec un sourire vicieux:
"Alors frérot, tu pensais que tu pouvais m’humilier comme ça, me baiser comme une chienne sans que je dise rien?! Je suis pas ton vide couille frangin, faudra que tu comprennes ça. Et maintenant tu vas payer. Sauf que moi j’ai ramener plus de potes."
Antoine tenta de se dégager encore plus fort à ces mots mais nous le tenions fortement. Son frère commença doucement en lui baissant seulement le pantalon. La bite qui était si grande autrefois n’était pas du tout bandée pour l’heure. Louis s’amusa à sortir la sienne, toute dure et droite pour comparer en humiliant son grand frère. Il caressa la queue pour la faire grossir mais rien n’y fit: la victime avait trop peur pour bander. Alors, les mecs le firent se pencher en avant et Louis boucha le nez du garçon pour pouvoir mettre son chibre dans sa bouche. Commença alors une longue séance de pipe. C’était la première fois qu’Antoine faisait cela et il peinait à tout prendre, à lécher les couilles correctement, car il ne voulait pas passer pour une salope.
Bien vite néanmoins il comprit qu’il n’avait pas le choix car nous le tenions. Timothée et Pierre sortirent leurs bites rapidement à côté de celle de Louis pour que leur aîné est au moins trois sexes bandés à prendre entre ses lèvres. Les insultes pleuvaient sur lui tandis qu’il était obligé de lécher le gland, de sentir les couilles, de se prendre des bifles de tout côté qui écœuraient totalement le garçon. Mais plus il se sentait mal, plus son frère prenait son pied. Bien vite, Aurélien se déshabilla et je découvris une bite immense qui se cachait dans son boxer. Il bandait comme un âne. Le rugbyman enleva son T-Shirt, dévoilant un torse musclé et poilu à nos yeux, puis finit de baisser son short. Je sentais mon sexe grossir en observant ses cuisses fermes que j’avais envie d’embrasser. Aurélien se dirigea rapidement vers Antoine et le força à lui faire une fellation. On sentait qu’il avait l’habitude de contrôler, ainsi il mettait sa main derrière la tête du suceur pour l’inciter à faire de plus amples mouvements, à prendre plus profond ou à utiliser plus sa langue. Thomas fut le dernier à se dévêtir, il avait un pénis de taille moyenne et au contraire d’Aurélien, était tout rasé au niveau de son intimité.
Nous étions tous en cercle, Antoine au milieu, ce dernier suçant toutes nos queues de force. Nous savions très bien qu’il n’appréciait pas cela, la queue du jeune homme restant toute molle malgré nos caresses sur son corps, mais cela ne nous dérangeait pas. C’était à notre tours de prendre notre plaisir. Je m’aventurais dans les plaisirs de l’orgie, je goûtais aux immenses joies du changement de partenaire. Une fois j’allais embrasser Louis avec passion puis l’autre je caressais les fesses musclées d’Aurélien en faisant traîner un doigt du côté de son anus que je sentais contracté. Nous nous touchions tous, que ce soit les abdos, les fesses ou les bourses gonflées par le plaisir. Moi qui croyais que mon plaisir ne serait seulement pris qu’avec Antoine, je me trouvais agréablement surpris.
"Hm... Il suce comme une grosse chienne mon frère, murmura Louis avec plaisir.
-Je confirme, on dirait qu’il a fait ça toute sa vie, enchaîna Thomas avec un petit clin d’œil malicieux tandis qu’Aurélien faisait sentir ses bourses à Antoine.
-Dis-moi que t’aimes ça sentir mes grosses boules poilues là. Tu sais je me suis pas branlé pendant longtemps juste pour pouvoir éjaculer dans ta face de pédale, cria ce dernier en collant la tête du frère de Louis à ses deux grosses testicules.
-Prends mon gland maintenant, je sais que t’en meurs d’envie ma cochonne, rétorqua Timothée, vicieux au possible."
Les commentaires de ce genre allaient bon train pendant que notre aîné était à quatre pattes comme un soumis entrain de lécher, de sucer, de mordiller, de sentir. C’était incroyablement bon. Au bout d’un moment, nous décidâmes de passer aux choses sérieuses. Louis retourna son frère et le jeta sur le lit sans ménagement. On voyait désormais le cul de ce dernier, galbé et poilu, qui m’excitait terriblement. Ma bite n’avait jamais été aussi dure. Louis enfonça un doigt dans l’anus de son frère et le regarda avec un sourire pendant qu’il se crispait:
"Tu vois, c’est chiant de se faire doigter le cul comme ça hein?! Quand t’es encore vierge. Et bah c’est ce que tu m’as fais espèce de connard!"
Et il continua, inlassablement à enfoncer des doigts au plus profond de son être. Pierre arriva et glissa un doigt à son tour. Antoine commençait à crier. Quand les vas et viens avec les doigts commencèrent à être lassants, Louis pénétra son frère d’un violent coup de bassin. Un grand frisson parcourut le corps d’Antoine tout entier et Louis continua d’enfoncer son chibre dans le corps de son frère. Quand les couilles du jeune homme furent arriver au bout, il commença à baiser plus fort. Antoine endurait mal les coups violents qui lui étaient portés, tandis que les autres mecs le regardaient en se branlant vivement. Thomas finit par arriver et lui mit sa bite dans la bouche, une main sur la tête pour lui donner le rythme. Aurélien, Timothée et moi vinrent nous placer aux côtés d’Antoine pour qu’il nous branle en même temps qu’il se faisait enculer et qu’il suçait. Enfin, Pierre était à quatre patte entrain de sucer les boules de Louis au fur et à mesure que ce dernier rentrait son pénis dans les profondeurs de son frère.
Le gang bang, car c’en était bien un, dura pendant longtemps. Pendant au moins vingt minutes, Antoine se fit pilonner comme une chienne par son frère. Antoine voulait que ça s’arrête mais Timothée le baisa à son tour. Sa bite en érection entrait et ressortait rapidement du trou du cul de la victime. Les bites s’échangeaient dans la bouche d’Antoine. Quand Timothée fut lassé de l’enculer, se fut au tour de Pierre, puis de Thomas. Enfin, celui que je voulais voir en action arriva. C’était Aurélien, qui avait la plus grosse bite du groupe certainement. Il prit son énorme chibre dans sa main et vint le coller contre l’anus d’Antoine. Il poussa de toutes ses forces avec un grognement bestial et le passif émit un cri déchirant: le gros sexe était en lui. Le rugbyman commença à faire des vas et viens de plus en plus violent en agrippant les hanches du jeune homme, en lui touchant de ses grosses mains toutes les parties de son corps, lui demandant s’il aimait telle ou telle chose. Aurélien mordillait son cou, lui fit même un suçon puis lui murmura des paroles possessives au creux de l’oreille. Je voyais les grosses bourses du sportif rebondir contre l’anus du frère de Louis. Tout le monde l’observait se déchainer comme un fou sur ce cul en nous disant que demain, Antoine ne pourrait certainement plus marcher. Ce dernier continuait d’ailleurs de crier et de lui demander d’arrêter sans qu’il n’écoute. Aurélien finit par le pénétrer à toute vitesse en grommelant des insultes puis quand l’excitation du groupe fut à son comble, il sortit sa bite et alla la faire sentir à Antoine:
"T’aimes ça l’odeur de ton cul? Bah suces, j’ai envie de t’éjaculer dans la bouche! dit-il à son aîné en lui collant son gland sous le nez."
Dès qu’Antoine l’eut en bouche, Aurélien éjacula de toutes ses forces comme annoncé et le sperme déborda même sur sa bite de la bouche de la victime. Il força Antoine à tout avaler: ce dernier était totalement dégoûté et cela se voyait. Dès lors, nous vînmes nous mettre près de lui en nous branlant. Nous éjaculâmes tous avec des grands râles de plaisir sur son corps, sur ses lèvres, dans ses cheveux, sur son petit cul et à chaque fois Antoine frémissait de dégoût. Quand nous eûmes tous finis, Louis se rapprocha de son frère, lui prit le menton entre les mains et cracha sur sa tête:
"Maintenant tu sais qui est le VRAI maître de la maison."
Et sans dire un mot de plus, il sortit de la chambre en laissant son frère nu, couvert de sperme, l’anus et la bouche totalement démontés. Nous suivîmes notre pote sans rien dire, tous contents d’avoir fait notre premier gang bang. Antoine allait surement tenter de se venger, mais loin de m’inquiéter, cette idée m’excitait.
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