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Des potes pas si hétéros que ça

Chapitre 16

Gay
De fil en aiguille, je m’étais rapproché d’Antoine et nous avions finis par nous mettre en couple mais je manquais terriblement de liberté. Ainsi, je ne me gênais pas pour jouer avec d’autre mec sans qu’il ne le sache. J’étais en première et j’avais le bac de français à la fin de l’année. Je passais donc le plus clair de mon temps au lycée au fur et à mesure que le bac blanc approchait. J’avais même demandé à pouvoir rester une heure plus tard après la fin des cours car l’ambiance chez moi n’était pas propice au travail: j’étais trop facilement distrait par mes amis.
Ce qui se passa un vendredi soir au lycée resta gravé dans ma mémoire pour de longues années. Il était sept heures quand j’eus finis mon travail au CDI et que je voulus rentrer chez moi. Quand j’arrivai devant les portes pour sortir, je me rendis compte avec horreur qu’elles étaient fermées: j’étais bloqué dans le lycée sans aucun moyen de sortir. Heureusement pour moi, j’aperçus de la lumière qui filtrait de la vie scolaire. Je frappai à la porte et après avoir entendu un "entrez" prononcé d’une voix rauque, je m’exécutai. Je découvris alors Maxence, un surveillant qui m’excitait énormément.
Il était grand, châtain, avec des yeux assez noir et une barbe virile. Il avait l’air de faire du sport et paraissait musclé. Mais ce qui me faisait craquer par dessus tout, c’était certainement ses lèvres en forme de cœur que beaucoup de mes camarades, moqueurs, appelaient "bouche de suceuse". Maxence était le type même de l’hétéro. La voix rauque, les manières viriles, fan de foot, bref, rien en lui n’aurait pu me faire penser qu’il était aussi attiré par les hommes. Quand il me vit, il haussa les sourcils et me dit:
"Qu’est-ce que tu fais là toi? Tu sais que les cours sont terminés depuis une heure?
-Oui, je suis au courant mais j’ai demandé à ce qu’une salle soit ouverte pour que je puisse travailler ici plutôt que chez moi. D’habitude les portes sont ouvertes donc ça ne pose pas de problème, m’expliquai-je rapidement.
-J’ai jamais entendu parler d’une autorisation comme ça moi, ça me semble louche ton affaire là!"
Maxence pianota alors sur son ordinateur pour chercher trace d’une quelconque autorisation qui je le savais m’avait été attribuée oralement mais non par un quelconque mail. C’est ce que je tentai d’expliquer au pion mais il ne voulut rien savoir.
"Qui me dit que t’as pas été faire des conneries, hein?, me demanda-t-il sur un ton soupçonneux.
-Tout simplement parce que je suis tout seul, et que je n’ai rien sur moi qui puisse vous faire penser ça, rétorquai-je légèrement agacé par la tournure que prenait la situation.
-Tu sais j’en ai connu des malins donc me fait pas le coup du mec innocent s’teuplait. Qu’est-ce que tu foutais là-haut? Tu taggais un bâtiment? Tu fumais dans les chiottes? Tu te branlais?, me questionna-t-il, insistant sur sa dernière question.
-Rien de tout ça, je bossais au CDI c’est tout!, tentai-je de me défendre en fronçant les sourcils."
Maxence prit son menton entre ses mains et se gratta la barbe d’un air adorablement sexy. Je me forçai à détourner le regard pour ne pas aggraver mon cas s’il me surprenait à le mater. Enfin, le surveillant reprit de sa voix grave:
"Bon je vais te faire une petite proposition. Moi je suis là encore une heure et je me fais totalement chier. Y’a personne comme tu le vois donc si tu veux pas avoir des emmerdes avec la CPE, tu vas faire ce que je te dis, okay?
-Heu... d’accord, répondis-je sans comprendre trop le début d’allusion du jeune homme.
-Faut que je remplisse des trucs sur l’ordi, viens là et occupes moi je m’emmerderais pas autant comme ça."
Alors, le pion commença son boulot, ses yeux rivés sur l’écran. Je ne savais pas trop quoi faire, ne comprenant pas vraiment ses allusions qui étaient tout sauf clair mais au bout d’un moment, le jeune homme prit ma main et la plaça sans aucun gêne sur son jean, au niveau de son entrejambe. Il avait de la chance que je sentis l’excitation monter en moi. Presque inconsciemment, déjà ma main droite débutait son travail et malaxait le paquet encore mou dans ce jean trop serré. Maxence ne laissait transparaître aucune émotion, se contentant de remplir les fiches d’élèves absents comme si tout était normal. Le manège dura encore quelques minutes puis, quand je sentis la bite du pion bien dur dans le pantalon, le garçon le baissa et se retrouva en boxer devant mes yeux émerveillés.
"Penches toi et sens, c’est la meilleure bite que tu goûteras dans ta vie."
J’obéis, fasciné par l’énorme paquet que camouflait le boxer de mon surveillant. Je voyais le gland qui se dessinait, sa grande tige, ses couilles, mais sans m’autoriser vraiment à sortir le tout. Ce fut Maxence qui prit l’initiative en enlevant son boxer après s’être assuré qu’il n’y avait personne dans le couloir. Il libéra sa grosse bite qui me faisait saliver. Pour la première fois, je voyais enfin son chibre immense. Il se dressait devant moi, imposant, et c’est surtout sa largeur qui me choqua. Maxence était "un homme, un vrai" comme il aimait s’appeler et ne se rasait absolument pas. Son sexe était entouré de poils mais il n’en ressentait apparemment aucune gêne. Ses cuisses poilues et musclées m’excitèrent aussi, et ses tétons qui pointaient me donnèrent envie. Pendant que je prenais en main ce gros morceau de chair et commençai mes vas et viens de façon tranquille, ma bouche trouva d’elle-même le téton du garçon. Maxence frémit quand je le pris en bouche, le suçotant tendrement. Lentement, mes lèvres descendirent le long e son corps, léchant ses abdos recouverts d’une légère couche de poils eux aussi. Ma main accélérait le mouvement sous les gémissements du jeune homme. Je sentais qu’il appréciait que je passe sur son gland doucement puis que j’accélère le mouvement le long de sa grande tige. Ma main arrivait à peine à encercler cette grosse pine. Je malaxai d’une main ses couilles étonnement douces malgré le duvet brun qui se trouvait dessus. Je ne pus m’empêcher de regarder l’anus poilu de Maxence, tout fermé, et mon doigt commença à descendre quand il m’arrêta:
"C’est moi qui décide de ce qu’on fait ici. Tu me toucheras pas le cul si je l’ai pas décidé. Allez suces maintenant."
Il me l’ordonnait, je m’exécutai, c’était aussi simple que cela. Je me penchai et, accompagné de sa main qui me prenait le derrière de la tête, je débutai une pipe langoureuse. Je mettais beaucoup de salive, utilisant ce lubrifiant naturel pour que mon surveillant ressente chaque sensation, chaque coup de langue que j’opérais sur ce sexe. Quand je léchai son frein, puis le bout de son gland, je le fis fermer les yeux de plaisir. Il ne voulait pas le montrer mais il adorait ce que je faisais. D’ailleurs, sa bite dure dans ma bouche ne trompait pas. Il bandait comme un âne, et cela faisait monter le plaisir en moi. Désormais je me tripotais au fur et à mesure que mes lèvres descendaient sur son pénis. J’embrassai ce dernier, jouai avec un moment en le regardant comme une salope et lui agit comme un macho, prit sa queue et me bifla avec, me suppliant de l’embrasser alors que je continuais mon petit numéro de cochonne. Puis, je pris en bouche et je masturbai en même temps, je devenais un pro à cela. Vinrent les gorges profondes, qui le firent pousser des râles bestiales. J’arrivais presque à prendre les couilles de Maxence malgré son épaisse et longue teub. Je taillai cette pipe du mieux que je pouvais, offrant à l’objet de mes fantasmes un moment qu’il n’oublierait certainement pas. Je voyais déjà la sueur perlait sur son torse, ses lèvres se tordre dans des mimiques de plaisir et son corps se contracter quand je léchais un peu trop ses bourses ou bien que j’allai trop loin.
"Putain tu suces vraiment comme une salope. Allez lèves toi je vais te prendre tu vas moins faire le malin, crois-moi, s’écria le pion d’une voix rauque."
Il débarrassa d’un geste les objets qui se trouvaient sur le bureau puis me fit me pencher dessus. Là, il découvrit mon cul et commença par me donner quelques fessés bien senties. Ensuite, il entra un doigt dans mon anus sans ménagement, poussant violemment pour que mon cul accueille malgré lui l’index. Il continua un moment son vas et viens à l’aide de son doigt unique puis il en rajouta un deuxième dès qu’il comprit que ce n’était pas la première fois que je faisais tout cela. Là, contre ce bureau, je me sentais renaître, plus particulièrement quand Maxence choisit de m’enfoncer sa langue dans mon cul. Je pouvais voir ses grosses lèvres aspirer, suçoter, et sa belle longue langue sortir de là pour venir lubrifier mon anus. Il m’offrit un anulingus merveilleux, un des meilleurs que j’avais reçu jusque là. La raison de son incroyable dextérité au niveau de sa langue devait être qu’il avait du beaucoup expérimenter avec les meufs. Je n’en pouvais plus, j’agrippai sa tête pour qu’il aille s’enfoncer plus profondément dans mes fesses puis quand Maxence n’en pu plus, il se releva et présenta sa queue à l’entrée de mon anus.
"Hm tu t’es déjà pris des bites toi ça ce voit! Tu vas prendre cher, je vais te faire voir des clochettes ma pute." me dit-il de cette même voix qui m’excitait.
Et il ne mentait pas. Il rentra brusquement sa queue dans mon cul puis cracha dessus pour qu’elle coulisse plus facilement. Là, je fermai les yeux pour que la sensation m’envahisse tout entier. Je frémi et il continua ses allers retours qui me pétait le cul, sans prendre attention à ma douleur. Seul comptait son plaisir. Il me prit rapidement, enchaînant les coups de bassins à une vitesse folle et son expérience me surprit. Je voyais son torse musclé se contractait et je le léchai donc avec avidité. Mes mains passaient sur son corps musclés, malaxaient désormais sa paire de fesse qui m’avait été refusé. Pour l’heure, Maxence était trop occupé à me défoncer pour dire quoi que ce soit. Ce beau cul se contractait à mesure qu’il s’activait. Je contrôlais aussi la sodomie en variant les pressions de mon anus sur son chibre, chose que j’avais réussi à faire au fil du temps. Apparemment, cela le rendait fou car il augmenta encore la vitesse en criant un peu plus fort. Il mettait une main sur ma bouche mais faisait plus de bruit que moi à me défoncer comme un fou. Ses couilles claquaient contre mes fesses mais il s’en moquait, kiffant seulement ses vas et viens brutaux.
Il me retourna pour me prendre en levrette toujours sur le bureau. Là, ses mains agrippèrent mes fesses avec force pour prendre appui et aller encore plus vite. Il variait désormais la vitesse, poussant des grands coups certaines fois puis bougeant certaines fois juste sa bite dans mon cul pour que la sensation de plaisir m’envahisse aussi. Il me donna une fessée, m’insulta un peu mais tout cela ne me gênait absolument pas. J’étais habité par mon désir. Bientôt, il finit ses vas et viens en hurlant de plaisir puis se retira de moi à mon grand soulagement car les mouvements de pénétration commençait à me faire mal au cul. Il me mit à genoux sans me demander mon avis, et se branla en me regardant. Il se mordait la lèvre et je dus lui lécher les couilles, en profitant aussi pour caresser ses fesses, passant un doigt dans sa raie, puis Maxence éjacula avec des gémissements bestiaux, libérant une quantité impressionnante de sperme qui se libéra sous mon visage et qu’il ne tarda pas de me demander d’avaler car il n’y avait aucun mouchoir dans la vie scolaire. Je dus sagement tout nettoyer puis il se laissa aller et me branla même pour finir. J’éjaculai sur le torse poilu de mon surveillant qui souriait d’un air goguenard en me voyant me tordre de désir. Il lécha rapidement mon sperme dans l’excitation général puis me fit signe de prendre mes habits et de partir. Je le regardai une dernière fois avec regret et sortit du bureau, heureux d’avoir couché avec l’objet de mes fantasmes.
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