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Des vacances et des épreuves

Chapitre 9

Gay
Où il était question d’un empalement et où il sera question de mon épreuve.Je n’arrivais pas à croire que mon Mâle m’avait abandonné à ce sort ! Seule, au milieu de nulle part, habillée en tout et pour tout d’un porte-jarretelles et de bas nylon, en sandalettes mais surtout empalée sur un énorme Phallus organique qui me tenait prisonnière par le cul ! J’arrivais à peine prendre appui sur mes talons et chaque mouvement me rappelait par la douleur que mon fion en était l’enjeu. J’avais soif, j’étais lamentablement à la merci de n’importe quoi, de n’importe qui ! Je pleurais comme une gamine et chaque sanglot m’arrachait de la douleur. J’avais fait pipi sans pouvoir rien contrôler, ma ridicule virilité entre mes jambes que je ne sentais plus était elle aussi sous l’emprise du Phallus. Mes tétons huilés restaient dressés comme pour me dire que cela me plaisait d’être ainsi humiliée. Le soleil commençait gentiment à décliner quand j’entendis des bruits derrière moi. Puis des voix : « Regarde, y’a quelqu’un à l’arbre des supplices ! ».
Les pas se firent plus présents. Honteuse, le regard baissé, je n’osais défier les deux inconnus, impuissante et ridicule.
— OOOh ! Mais c’est Pascaline, notre copine lopette !! .— Mon Dieu oui !
Stéphane et Daniel !! Oui c’était bien eux que j’avais devant moi qui me regardaient comme un oiseau en cage : « Pitié, libérez moi, je vous en supplie !! ».
— Ô ma pauvre, commenta Daniel, me caressant la joue, comme cela doit être douloureux pour toi. — On n’a pas le droit de libérer une lopette du Phallus, argumenta Stéphane. Ce serait une violation. — Pitiiiiéé !— Désolé Pascaline mais on ne peut pas faire cela. Mais soit courageuse. On est avec toi de tout cœur !— Salauds !! Vous êtes des salauds !!— OOh ! Tu entends cela chéri ? Elle est nous insulte ! Après tout ce que nous lui avons fait ! Tu devrais avoir honte ! Daniel me gifla de deux claques suivi par Stéphane qui m’en balança deux autres.
Je fondis encore en larmes, suppliant et priant mais rien ne leur fit changer d’avis. Stéphane m’attrapa les parties génitales et les serra dans sa main. La douleur vint dépasser celle du Phallus dans mon cul : « Tu vois, tu peux t’estimer heureuse car il y a des douleurs encore plus vives !!! ».Ils me regardèrent ainsi durant plusieurs minutes, sans rien faire pour moi : « En tout cas tu portes très bien la lingerie pour femme ! On savait que tu allais devenir une bonne petite femelle et inutile de te dire que ta place n’est pas dans la communauté gay mais bien dans la catégorie lopette, hi hi hi !
— En fait, renchérit Stéphane, on savait que tu étais ici, c’est David qui nous l’a dit. On est venu te dire au revoir. Nous partons demain matin. On espère que tu survivras à cette épreuve et nous voulions t’offrir un petit cadeau d’adieu !
Sur ces paroles, mes deux amis commencèrent à s’embrasser et se masturber devant moi. Quelques minutes plus tard, Daniel et Stéphane éjaculèrent sur moi, mon ventre, mes jambes gainées de bas, mon sexe. Ils récoltèrent un peu de leur semence et me la portèrent à mes lèvres que je nettoyai avec désespoir tant j’avais soif.Dégoulinante de foutre, ils me laissèrent à mon sort.Je perdis la notion du temps. Le froid s’empara de moi tandis que la nuit recouvrit d’ombres ce lieu terrible.A peine conscient, j’eus tout de même la lucidité de sentir la présence de mateurs autour de moi, des chuchotements, des petits bruits de branlettes, de fermetures éclair, de langues fourrées. Des hommes de la nuit me rendaient visite pour s’amuser de moi. J’étais leur victime impuissante qui ne pouvait refuser d’être souillée de leurs jets de spermes visqueux, de leurs léchouilles à mes parties génitales et mes tétons. On m’enduisait de foutre, on m’embrassait de force, on me pissait dessus comme on pisserait au pied d’un arbre. On me traitait de salope, de pédale, de lopette. Il en est un qui est même venu avec une tondeuse me raser le crâne, un autre me voler mes bas nylons et mes sandalettes qui m’ont encore empalé plus profond. On m’a mis ma petite culotte dans la bouche après l’avoir aspergé de foutre et de pisse. Un couple de lesbiennes sont venues me fouetter avec des branches d’ortie, sur le sexe, les jambes, le torse. Elles m’ont craché dessus et déféqué à mes pieds. Le patron du camping est venu avec sa femme me poser des pinces sur les tétons, sur le sexe et les bourses, on m’a prise en photos des dizaines de fois pour me montrer que je leur appartenais.
Pascaline était mise en pâture, exhibée comme une fiotte, asservie et utilisée comme vide couilles.
Quand les premiers rayons du soleil vinrent scintiller sur mon corps avili, j’étais à peine conscient. Une ombre humaine s’avança vers moi pour me soulever de cette Bite monstrueuse. Une panique incontrôlable se fit en moi. Je ne voulais pas être libérée ! Je voulais que ce Phallus retrouve la place qui était la sienne ; dans mon cul. Ce vide immense en moi était insupportable. L’inconnu s’enfuit, me laissant toute seule, nue et couverte de sperme.J’essayai de marcher, trébuchai plusieurs fois, me relevai, encore et encore pour essayer de rejoindre mon bungalow. Il m’a fallu deux heures, rampant comme une chienne pour atteindre le camping.Les genoux et le cul en sang j’entrevis les premiers bungalows tandis que mes forces me lâchèrent. Je tombai dans une sorte de coma durant ce qu’il me parut être une éternité. Quand je revins à moi, le soleil avait fait son œuvre. Je sentais des brûlures sur tout mon corps, le sperme avait séché en croûtes douloureuses. Je me levai comme j’ai pu, claudiquant avec comme unique vêtement un porte-jarretelles à ma taille. Le regard cynique de certaines personnes me fut indifférent et, sans rien pouvoir penser, mes pas me conduisirent à l’appartement de David.Il m’ouvrit la porte et m’accueillit dans ses bras.
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