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Des vacances entre père et fille

Chapitre 6

Inceste
En arrivant à notre hauteur Maxime afficha un sourire radieux et donna l’accolade à mon père, puis il effaça son sourire en passant devant moi et m’adressa un salut à peine audible. Voilà, je ne représentais rien d’autre que la petite fille chérie de son pote, un tantinet coincée, et qui serait dans ses pattes le temps de son séjour chez nous. Et moi je restais planté là, à canaliser toutes les sensations qui grandissaient en moi depuis que mon père avait réactivé l’œuf vibrant. Il avait un sourire vicieux quand il entraina Maxime dans la villa. Il l’accompagna jusqu’à sa chambre pour que son invité puisse poser son sac et me laissa à mon triste sort. Il fallait que je me soulage avant leur retour. Mon père ne m’en voudrait pas. Je montais à pas pressés dans la chambre d’amis, devenue ma chambre, la fermais à clé et m’allongeais sur le grand lit. Mon père qui avait dû m’entendre aller dans la chambre, avait cessé de faire fonctionner l’œuf et frappa discrètement à la porte :-« Ça va ma chérie ? Je peux entrer ? »Je lui ouvrais la porte, écarlate. Il ne put réprimer un éclat de rire en voyant dans quel état il m’avait mise. Il m’informa que Maxime finissait de ranger ses affaires et que nous avions quelques minutes devant nous. J’étais en colère contre lui, car s’il n’avait pas mené Maxime à sa chambre, pendant combien de temps m’aurai-il fait subir la décharge de l’œuf ? M’aurait-il emmené au bout de l’extase devant son ami ? Et alors que je chuchotais de rage il m’empoigna et me jeta sur le lit. Et, en moins de temps qu’il n’en avait fallu pour me l’insérer il tira sur la ficelle de l’œuf, ce qui me provoqua une immense chaleur dans le bas ventre, et mon orgasme déferla dans tout mon corps.J’étais toute pantelante sur le lit. L’excitation, la rage, le plaisir, toutes ces émotions entremêlées m’avaient épuisée. Et alors que je me remettais à peine de cet orgasme, mon père, qui était resté debout, au bord du lit, m’ordonna de faire la sieste, pour me remettre de ces émotions. Je me retrouvais enfin seule, et des larmes que je ne pus retenir se mirent à couler sur mes joues. Je me sentais humilié car Lionel avait joué avec mon corps comme bon lui semblait et m’avais ensuite laissé à mon triste sort. Mais à quoi je m’attendais ? Quand j’ai commencé cette relation avec mon père je lui ai très bien fait comprendre ce que je souhaitais : qu’il me possède comme il possédait ses maîtresses, et c’est ce qu’il faisait. La présence de Maxime dans la villa ne faisait qu’accroitre son excitation et ne faisait qu’augmenter mon doute fasse à cette relation. A force de tourner le problème dans tous les sens je commençais à avoir mal au crâne, et finalement dans la fraicheur de la chambre je fini par m’endormir. Je me réveillais une petite demi-heure plus tard en me sentant mieux. Mon mal de tête était parti et je fini par conclure que mon état émotionnel était dû au faut que Maxime ne me calculait pas comme je souhaitais et que c’était mon ego qui était frustrer.
Après m’être rafraichie je décidais de rejoindre Lionel et Maxime, mais la villa était vide. Je retrouvais Maxime au même endroit où je l’avais laissé plus tôt ce matin, allongé sur un transat, il bouquinait, lunette de soleil sur le nez, chose que je n’aurais pu imaginer. Il ne prêta aucune attention à moi et m’informa sans lever les yeux de son livre que mon père était parti en ville voir une amie. Une claque !!! Mais je n’en laissais rien paraître, après tout, j’avais bien envisagé de flirter avec Maxime alors mon père était libre de faire ce que bon lui semblait. Je décidais, moi aussi, d’ignorer Maxime et de profiter de cette chaude après-midi. Je laissai glisser ma petite robe sur mon corps afin d’être en maillot de bain. Mon magnifique maillot qui me rend si sexy, qui n’avait pas laissé indiffèrent mon père, ne fît aucun effet à Maxime. Tanpis. Je pris soin de bien m’appliquer ma crème solaire mais ne risqua pas de demander à Maxime de m’en mettre sur le dos. Puis une fois que cette cérémonie fût finie, je me dirigeai vers la piscine où je rentrai sans problème, la température de l’eau était exquisément fraiche. Une fois complètement mouillée, je commençai à faire quelques longueurs. Ça me permit de me défouler de toutes les émotions que j’avais accumulées ces derniers jours. Après plusieurs minutes je me sentais vide et tellement bien. J’attrapai le transat gonflable qui était au bord de la piscine et m’y installai. Je me laissai bercer par les clapotis provoqués par ma nage, le soleil me sécha et je laissai pendre une jambe dans l’eau afin de garder un peu de fraicheur. Tout était si calme et si apaisant.Un bruit fini par briser le silence. Maxime venait de poser son livre et de se lever de son transat. Il se dirigea vers la piscine. Je décidai de continuer de l’ignorer et retournai à mon oisiveté. Je l’entendis rentrer dans l’eau. Mon transat qui ne tanguait plus, repris son doux balancement. Maxime devait nager maintenant car le balancement était plus fort. Puis, d’un coup tout s’arrêta. J’ouvris les yeux, surprise. Il se trouvait à ma droite, ses deux avant-bras sur mon transat. Son regard était sévère, mais il restait affreusement sexy, les cheveux mouillés. J’aurais tant aimé voir l’eau ruisseler sur sa peau. Il finit par interrompre ma contemplation :« -En effet, tu n’as pas l’air si prude que ça quand je voie tout le cirque que tu fais pour attirer mon attention. Bien que tout cela soit inutile.-Je ne cherche pas à attirer ton attention, car je sais bien que je ne t’intéresse pas, après je ne vais pas jouer les pudiques juste parce que tu es là.— Tant mieux, j’aurais été déçu de ne pouvoir te contempler.-Je suis perdue, je ne t’intéresse pas, mais tu me mates quand même.-Décidément tu comprends tout de travers. »
Maxime se mit bruyamment à rire et dans un geste rapide, me fit tomber dans l’eau et me rattrapa en me collant, avec un bras ferme, à son corps. Mais yeux étaient perdus. Il me dévisageait, d’un air grave. Je sentais sa peau contre ma peau nue qui n’était pas couverte par les tissus de mon maillot de bain. Et bien que je ne sois déjà pas beaucoup vêtu j’avais l’impression qu’il me déshabillait du regard. Malgré la fraîcheur de l’eau, je me sentais défaillir sous le regard de cet homme. Il me serra plus fortement. J’avais l’impression que les secondes duraient une éternité. Il cala une mèche de mes cheveux derrière mon oreille. Son doigt humide caressa le lobe de mon oreille, descendit le long de ma mâchoire, s’attarda sur mon coup et fini sa course en suivant le contour de ma poitrine avant de se perdre dans l’eau. Que me veut-il ? Me désire-t-il ? Je me serais alors trompée ? Pourtant il était si odieux, si méprisable avec moi. Et là, nous étions tous les deux, face à face, dans la piscine, il me tenait étroitement contre son corps avec un bras, et son autre main venais de faire la caresse la plus sensuel que j’eus connu. Je sentis même son érection contre mon ventre.Après de trop longues secondes, ses lèvres finirent par venir se poser sur les miennes. Tout alla alors très vite. Il me plaqua contre le rebord de la piscine. Sa bouche dévorait ma bouche. Sa langue valsait avec ma langue. Ses mains étaient partout sur moi. Dans un geste expert il défie le nœud de mon maillot de bain à mon coup et glissa le tissu qui tomba au fond de la piscine. J’étais nue, dans l’eau. Cette sensation était exquise. Il fît de même avec son short de bain. C’était une douce extase de sentir son corps mouillé contre le mien. Il agrippa mais deux jambe autours de sa taille et me tenant fermement par les hanches il me pénétra dans un soupir. Il commença des va et viens lents et délicats puis accentua le rythme. Mon bassin venait à la rencontre du sien à chaque mouvement. Son sexe remplissait le mien avec tant d’aisance. Nos lèvres étaient toujours sceller par notre fougueux baiser, et je poussais des cris à l’intérieur de sa bouche tandis qu’il me répondait par des râles roques. Un dernier coup de reins fini par m’emmener au septième ciel, où il me retrouva rapidement, se libérant de notre baiser et reposant sa tête sur mon épaule en chuchotant mon nom. Nous restâmes ainsi enlacés quelques minutes et nous finîmes par sortir de l’eau après avoir récupérer nos maillots de bains.
Maxime m’attira contre lui, allongé sur un transat. Nous gardions les yeux fermés, bercés par la chaleur descendante de la fin d’après-midi. Mon père n’allait probablement pas tarder à rentrer et il fallait que Maxime et moi nous expliquions sur ce qui venait de se passer :« - Tu m’expliques,-Mhhh-Qu’est ce qui vient de se passer ?-T’as besoin d’un dessin ?-Ah, je comprends mieux…tu avais besoin de tirer ton coup !!! »J’allais me retirer de son étreinte mais il la sera plus fort.« - Depuis hier soir j’ai envie de toi, tu m’excites au plus haut point, mais t’es la fille de Lionel, je ne pouvais pas avoir envie de toi, c’est mal…alors je préférais faire le con, être distant. Et toi tu continus à te pavaner devant moi. Tu m’as piqué au vif. Si tu savais ce matin comme j’avais envie de toi. Et non je n’avais pas besoin de tirer mon coup, mais tu avoueras que c’était un bon coup, ça en valait la peine.-Oui je dois l’avouer. Puis c’est assez gratifiant qu’un mec canon et sexy comme toi ai eu envie de moi.-Je te retourne le compliment-Alors on en reste là ? Enfin je veux dire, pourquoi se câliner si c’était juste comme ça, pour se faire du bien ?-Peut-être parce que ce n’est pas juste comme ça ma belle. »Olala j’étais prête à accepter que ce n’était peut-être qu’un coup comme ça, et là sa dernière phrase me laissait entrevoir d’autres possibilités. Je venais de baiser avec un Apollon, et ce n’était peut-être pas terminé. Finalement je ne le laissais pas si indiffèrent que ça.
Je me laissais bercer par ses bras quand le bruit des pneus dans l’allée nous réveilla de notre sieste post-coïtal, nous laissant perplexe. J’avais oublié l’espace d’un instant l’existence de mon père.
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