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Des vacances inattendues

Chapitre 1

Hétéro
1 - Le projet
Élise et moi sommes mariés depuis près de 20 ans. Nous avons deux enfants, Florian et Bastien qui ont maintenant 15 et 17 ans. Comme nous sommes, enseignants, professeurs d’anglais tous les deux, nous avons toujours passé la plupart de nos vacances avec eux, à l’exception d’une ou deux semaines parfois en été. Nous voyageons beaucoup en famille, essentiellement dans le monde anglophone et, Élise étant très prévoyante, elle organise généralement tout plusieurs moi à l’avance.
Nous étions en plein moi d’août, en Haute-Savoie, chez mes beaux parents et ma femme commençait à regarder ce que nous pourrions faire durant les vacances de Noël. C’est une proposition de Josiane, ma belle-mère, qui a légèrement chamboulé nos projets de sacro-saintes vacances en famille (les enfants et nous).
– Vous savez ce qui me ferai plaisir, nous avait-elle dit, ce serait d’avoir tous mes petits enfants avec de moi pendant les fêtes et sans leurs parents, uniquement les cinq (les deux nôtres et ceux de ma belle-soeur). Je suis certaine que quinze jours de ski chez Papi et Mamie sans vous sur le dos ne sera pas pour leur déplaire et vous, vous en profiterez pour vous offrir un séjour de rêve n’importe où. Vous retrouver tous les deux en amoureux ne devrait pas vous faire de mal.– Mais, Maman, c’est quoi cette drôle d’idée ? Interrogea ma femme. Et Papa, il est d’accord ?– Bien sûr que ton père est d’accord et il pense comme moi. Si nous n’en profitons pas maintenant alors que l’on tient encore la route, on ne le fera jamais.– Mais enfin, ajoutais-je, ça va vous faire une charge de travail énorme !– Penses-tu mon petit jean-Luc ! Vos enfants sont bien plus facile à garder quand vous n’êtes pas là... ils m’aident toujours beaucoup et en plus, ce ne sont plus des gamins. Ils sont a peu près autonomes.– Bon, Maman, on va y réfléchir...– Ça me ferait tellement plaisir ma chérie...
Nous n’avons pas tergiversé trop longtemps et avons accepté la proposition de Josiane. Il ne nous restait plus qu’à définir notre lieu de villégiature. Après quelques discussions, nous sommes tombé d’accord pour aller goûter le soleil des tropiques et comme il nous arrive parfois de pratiquer le naturisme, nous avons intégré cela à nos critère de recherche.Un soir, nous étions tous les deux assis devant notre ordinateur et nous avons navigué sur les pages de différents centres, hôtels et tours opérateurs spécialisés. L’objectif pour nous n’était alors que d’établir une liste de possibilités en tenant compte de la destination et du niveau de confort des différents établissements. C’est alors que nous avons ouvert la page d’une agence de voyage qui proposait deux types de vacances : les naturistes et les libertines. Nous avons pas mal rigolé car nous étions elle et moi à mille lieues de se douter de l’existence de tels voyages. Élise à toujours été très curieuse, aussi elle a tout de suite activé le lien vers les séjours et hôtels de cette gamme pour le moins surprenante. Il y avait des établissements en Espagne mais aussi au Mexique et à la Jamaïque. Ce n’était que des hôtels de luxe qui offraient dans leurs tarifs l’accès à un grand nombre d’activités sportives, nautiques ou de détente. L’établissement jamaïcain autorisait, quand à lui, le nudisme et le naturisme dans tous les espaces de l’hôtel et les photos qui étaient accessibles laissait présager d’un lieu vraiment idyllique. Notre curiosité satisfaite, nous sommes retourné vers les vacances naturistes, afin de sélectionner quelques centres dans des destinations analogues. Mais la plupart étaient en Europe méditerranéenne et ne convenait pas pour la période de nos congés. Il y en avait bien un au Mexique mais les tarifs étaient excessifs pour un niveau de confort qui ne semblait pas refléter les cinq étoiles affichées. Nous étions un peu perplexe et l’un et l’autre nous nous disions que peut-être nous devrions nous rabattre sur un projet plus conventionnel. Nous avons éteint l’ordinateur et nous sommes allé nous couché.
Nous étions perdus dans nos réflexions silencieuses et ne dormions pas. Je repensais à cet hôtel jamaïcain. Que le lieu accueille une clientèle libertine n’impliquait pas nécessairement de franchir le pas. Finalement, parmi tout ce que nous avions vu, c’était l’endroit qui me paraissait le mieux, sans compté que nous n’avions aucun problème de langue. Je décidait de faire part de cette réflexion à Élise.
– Tu sais à quoi je pense, commençais-je– Non... dis moi– J’ai l’impression que l’endroit qui correspond le mieux à ce que l’on cherche, c’est cet hôtel de Jamaïque.– Oui, j’en était à une conclusion assez proche mais il y a quand même un hic... C’est un établissement libertin et échangiste...– On n’est pas obligé de participer... ça m’étonnerai que ce soit strictement imposé.– Bien sûr mais on sera sans doute sollicités... enfin je veux dire...
– Ça te fais peur ? Tu sais, je n’ai aucune crainte ; on est marié depuis bientôt vingt ans et je t’aime toujours autant ma chérie. Les gens autour peuvent bien faire ce qu’ils veulent...– T’en es certain ? On n’a jamais mis les pieds dans ce genre d’endroit alors qu’est-ce qu’on sait de comment on va réagir ? Si jamais je me laissais aller, tu ferais quoi ?– Pourquoi ? Tu penses que tu te laisserais aller ?– Non,... j’en sais rien, j’ai pas envie... mais j’ai peur qu’on soit tenté. Je ne crois pas que j’apprécierai de te voir dans les bras d’une autre femme. Et toi, tu serais content de me voir coucher avec un autre homme ?– Eh bien, si on choisit de partir la-bas, c’est sûr que c’est un risque que je prends... mais tant que ça reste purement sexuel, je m’efforcerai de rester philosophe. Moi, je t’ai dit, je pense être capable de résister. T’auras peut-être juste à supporter un mari un peu plus excité que d’habitude... c’est tout.– Je ne crois pas que j’en serais vraiment fâchée. Mais bon,... faut qu’on réfléchisse, ça me fais un peu peur quand même.
La réflexion dura environ une semaine. Personnellement, je m’efforçais de l’imaginer dans des situations scabreuses avec des inconnus pour être sûr de ne pas me ridiculiser dans une crise de jalousie au cas où elle me tromperait. Mais comment en être certain et puis tout cela restait très virtuel finalement. Pour essayer de me faire une meilleur idée du ressenti que je pouvais avoir, je balayait tous les blogs contenant des témoignages d’hommes, de femmes et de couples pratiquant l’échangisme et d’autres plaisirs approchant. En lisant tout ça, je me disait que Élise et moi nous faisions figure de pépère et mémère. Mais tout cela ne m’aidait pas à rationaliser un choix et j’en était presque arrivé à la conclusion que ce n’était sans doute pas pour nous quand Élise donna son verdict.
– Chéri, pour les vacances, c’est d’accord. On va réserver un séjour à l’hôtel que nous avons vu en Jamaïque, si il y a encore de le place bien sûr.– Ce... ça ne te dérange plus que ce soit un hôtel libertin ?– Non, mais ce qui me plaît le plus, je t’avoue, c’est de savoir qu’on peut y passer sa journée à poil. Ensuite, la Jamaïque, ça me branche bien. J’ai regardé un peu, il y a plein de choses à voir en faisant attention car il y a une forte criminalité mais, avec un bon guide, il n’y a pas de souci.– Mais... tu n’as plus peur que nous soyons tentés ?– C’est un risque à prendre... J’en ai pas mal discuter avec Josiane (une collègue prof de physique) cette semaine...– Qu’est-ce que t’es allé raconter ça à Josiane ?– Parce que c’est la seule personne dans mon entourage qui pratique régulièrement, avec son mari, l’échangisme, en club et chez eux. Alors je lui ai demandé un peu comment ça se passait. C’est tout.
Je restait scié ! Josiane et son mari étaient bien les dernières personnes que j’aurais imaginer aller s’envoyer en l’air dans des « boites à partouzes ». Notre collègue avait simplement expliqué que le milieu libertin qu’elle connaissait était toujours très respectueux et que personne ne forçait personne, que beaucoup de couples pratiquaient uniquement le mélangisme. Elle lui avait aussi décrit l’érotisme qui se dégageait des lieux libertins qu’elle et son mari fréquentaient et l’effet que ça avait sur leur libido, en ajoutant même que, pour peu que l’on accepte de faire l’amour devant des regards étrangers, on pouvait généralement le faire n’importe où. Élise a marqué un temps d’arrêt après sa synthèse des propos de Josiane avant de rajouter.
– Mon chéri, ça fait 20 ans qu’on est ensemble et je sais que tu m’aimes plus que tout comme moi je t’aime. Tu es mon seul amour...– Tu as envie d’essayer ? Je croyais que tu ne supporterais pas de me voir dans les bras d’une autre femme ?– Eh bien, oui... c’est vrai mais bon si moi même je suis occupée, objectivement, je ne pourrais pas t’en vouloir et si comme le dit Josiane ça peut booster un peu notre libido, on ne sera pas perdants. Si, comme tu disais l’autre jour, on arrive à être philosophes... l’important c’est qu’on s’aime.
Je me suis penché vers elle pour l’embrasser et j’ai glissé une main sous sa jupe. Elle a écarté légèrement les cuisses pour faciliter ma progression. Mes doigts ont rapidement atteins sa culotte, en ont apprécier la moiteur. Ils se sont glissés sous l’élastique, Élise avait élargi le compas de ses jambes, deux doigts ont pénétré sa chatte trempée, ils ont glissé à l’intérieur sans aucune résistance. Aussitôt, j’ai commencé à la masturber.
– Mmm, t’es trempée ; c’est de penser qu’on puisse échanger de partenaires ou simplement que tu vas te faire sauter devant moi qui t’excite ? Hein, dis-moi...– Oooh– C’est de faire l’amour avec d’autres hommes qui t’excite, c’est ça ?– Mmm, oooh– Tu voudras que je te regarde en me masturbant, dis-moi ?– Oooh– Tu vas niquer devant moi pendant 15 jours c’est ça ?– Oh ouii– Tu pourras essayer avec plusieurs aussi ; t’aurais envie, avec plusieurs ?– Ouiii ! Aaah !– Tu vas être une vraie cochonne alors ?– Ouii ! Aaah t’arrêtes pas ! Tu m’fais jouir, continue.– Tu voudras que je te prenne aussi ou seulement que je me branle ?– Oooh– Juste me branler, c’est ca ? Toi tu baiseras et moi je me branlerai, dis-moi, c’est ça c’que tu veux ?– Aaaaah– Répond-moi, tu veux que j’me branle pendant 15 jour en te regardant baiser ?– Aaah ! Aaaaah– Dis-moi, c’est ca ?– Oh ouiii ! Aaah tu vas te branler ! Aaah je jouis ! Aaah ta queue ! Baise moi, Jean-Luc ! Aaaah !
Je ne me suis bien évidemment pas fait prier, ma bite était tendue au maximum. J’ai baissé mon pantalon et mon caleçon d’un coup, j’ai retroussé sa jupe, je n’ai pas enlevé sa culotte ; j’ai juste écarté l’élastique pour passer et je l’ai pénétrée d’un coup. J’ai tout de suite pris une cadence rapide, elle jouissait déjà de toute façon et moi je n’ai pas tardé à en faire autant. Nous étions sur le canapé du salon et heureusement nos enfants n’étaient pas à la maison. Quand nos esprits se sont calmés, nous avons remis de l’ordre dans nos tenues et validé le choix de notre destination. Nous avons tout de suite effectué nos réservations pour les 15 jours et Élise m’a dit : « tu m’as vraiment fait dire n’importe quoi toute à l’heure... » J’ai souri en me disant qu’elle devait bien y penser quand même. Élise est beaucoup plus jalouse qu’elle ne veut bien l’admettre.
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