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Des vacances voluptueuses

Chapitre 11

Inceste
   Toujours en pleine conversation avec Mathieu et Gabriel, Jessica avait désormais complètement oublié son petit frère et ses amis. Chacun parlait beaucoup et leur discussion ne s’interrompait que lorsque l’un des trois camarades se levait pour aller chercher de nouveaux verres d’alcool. Ils avaient dépassé le stade des présentations depuis longtemps et désormais chacun s’épanchait sur les formes d’art qu’ils préféraient. La nuit était déjà à sa moitié et l’atmosphère au bord de la piscine devenait de plus en plus érotique. Autour des trois adolescents, des couples s’embrassaient, voire se pelotaient allègrement, sans embarras aucun de ce que tout le monde pouvait les voir.
    Au fil de la discussion, chacun des trois adolescents se montraient de plus en plus affables et familiers. Rien qui ne fût trop osé ou impoli, Mathieu et Gabriel se comportaient toujours en gentlemen; mais subrepticement, et l’alcool aidant, les trois adolescents se débridaient quelque peu. Mathieu se laissa même aller à quelques dithyrambes sur les courbes de la Vénus au Miroir. Son langage était toujours élégant et soutenu, mais la ferveur avec laquelle il décrivait les fesses de la Vénus laissait transparaitre une intense passion. Jessica ignorait si la manœuvre avait pour but de la séduire, mais c’était pourtant bien le résultat. En effet, la jeune fille aimait les garçons au verbe haut et à la culture étendue. Plus que tout, elle adorait que l’on sanctifiât le corps féminin; et Mathieu, en évoquant les fesses planétaires de la Vénus, la comblait amplement et répandait doucement les graines d’une invincible excitation dans le corps de ses deux partenaires.
    Jessica avait perdu depuis bien longtemps le décompte des verres qu’elle avait bu jusqu’ici, mais sentait bien qu’ils étaient largement suffisant et qu’un seul de plus l’empêcherait peut-être d’apprécier la suite de la soirée. En effet, la jeune fille avait désormais la plus grande peine à tenir debout quelques instant, et seule l’envie de faire l’amour avec ses deux compagnons occupaient obsessionnellement son esprit. Cette soirée dégageait en plus quelque chose de merveilleusement érotique, qui traversait l’air et réveillait chez elle les pulsions les plus enfouies. Elle se retint pourtant bien de se jeter sur ses deux camarades et dut lutter contre la chaleur impérieuse qui s’était logée entre ses jambes; car si elle mourrait d’envie de faire l’amour, elle souhaitait plus que tout poursuivre le jeu de la séduction. Elle s’amusait en outre beaucoup de voir l’effort avec lequel les deux garçons flirtaient avec elle, et surtout leur lutte perpétuel afin que leur regard ne se perdît pas dans son décolleté.
    Finalement, la discussion se poursuivit quelque temps, sans qu’aucun des deux garçons ne prenne les devants, se contentant jusqu’ici de légères allusions tendancieuses. Si Jessica trouvait que les deux garçons manquaient quelque peu d’audace, elle ne pouvait que louer l’élégance et la courtoisie dont ils faisaient preuve. Tous trois parlèrent encore un peu,  jusqu’à ce qu’un invité, visiblement ivre, se jette, tout habillé, dans la piscine, éclaboussant les trois adolescents ainsi que tous ceux qui se trouvaient non loin. La stupeur passée, nombreux furent ceux qui le suivirent et foncèrent immédiatement dans l’eau. Ils étaient déjà une dizaine déjà à s’être lancé dans la piscine lorsque Mathieu reprit la parole.
    « Puisque nous sommes de toute façon trempés, pourquoi ne pas en profiter pour nous jeter à l’eau avant de nous faire engloutir par la prochaine vague?    -Ça me semble une excellent idée, renchérit Gabriel.    -Eh bien, dit Jessica qui s’était levée et commençait déjà à enlever sa robe, qu’est-ce que vous attendez ? »
    La jeune fille, qui trouvait les deux garçons trop peu entreprenant, comptait sur l’irrésistible attirance de son corps pour les pousser à être davantage audacieux. Comme elle l’avait prévu, Gabriel et Mathieu peinèrent à cacher leur trouble à la vue de son corps seulement couvert de ses sous-vêtements. Elle fit cependant mine de ne rien percevoir de leur furtif regard, trouvant drôle de voir l’effort avec lequel ils flirtaient avec elle depuis le début de la soirée. A sa suite, Gabriel et Mathieu enlevèrent leur costume. Ils avaient tous deux une morphologie assez semblable : ils étaient grands, et plutôt fin. Non pas qu’ils paraissaient frêles, loin de là, mais ils n’étaient pas très musclés. Hormis cela, ils étaient assez dissemblables sur bien d’autres caractéristiques : Gabriel était très poilu, notamment sur le torse tandis que Mathieu semblait avoir une peau de bébé. Jessica ne put se retenir, en évaluant les deux garçons, de lorgner vers leur entre-jambe : si elle convenait qu’il était difficile de juger la taille de leurs sexes sous leur caleçon, ceux-ci lui paraissaient parfaitement convenable, en particulier le pénis de Gabriel. La jeune fille n’eut pas le temps de profiter plus longtemps du spectacle car tous sautèrent immédiatement dans l’eau, en même temps que plongèrent d’autres invités qui avaient aussi préférés enlever leurs vêtements.
    Il se trouvait désormais dans cette piscine deux ou trois dizaines d’adolescents, habillés ou en sous-vêtement, qui formaient plusieurs groupes. L’érotisme qui planait sur la soirée se montra encore plus vif dans l’eau, tandis que bien des adolescents se trouvaient désormais seulement en sous-vêtements. Nombreuses étaient les mains baladeuses et Jessica aperçut même, à l’autre bout de la piscine, un garçon dont elle devina que la main droite s’était infiltré sous la culotte de la fille qui se trouvait face à lui. Même si l’eau brouillait la vue de Jessica, le visage traversé de plaisir laissait peu de doute quant au type d’activité que pratiquaient les deux adolescents.
    Dans la piscine, dont l’eau caressait langoureusement la chair, Jessica sentit que son excitation se trouvait à son summum; une seule étincelle suffirait désormais à allumer un feu ardent en elle. Tous trois jouèrent à s’éclabousser mutuellement. Leurs corps dansaient majestueusement tandis que se poursuivait ce petit jeu. Que ce fût volontaire ou non, il arrivait souvent que les mais des deux garçons se perdent sur le corps de Jessica et touchent les seins ou les fesses de la jeune fille. Gabriel et Mathieu firent tout pour ne rien laisser paraître de leur excitation, mais Jessica se montrait follement amusée de ce jeu.
    Le jeu se poursuivit quelques instants jusqu’à ce que, las et le souffle un peu court, les trois adolescents s’accoudent au bord de la piscine. La jeune fille souhaitait encore s’amuser avec les deux garçons, mais ces éclaboussures l’avaient intensément excitée, et elle ne pouvait plus attendre qu’ils prennent les devants. Au cours d’une éclaboussée, Jessica se pencha vers Mathieu et le gratifia d’un baiser passionné. Le jeune homme parut surpris, s’attendant sans doute à ce que ce fusse lui fît le premier pas, mais il n’en accueillit pas moins ce baiser avec bonheur. Gabriel, qui sentait que la voie était désormais libre, se posta derrière la jeune fille et l’embrassa sensuellement dans le cou tandis que celle-ci continuait d’enlacer Mathieu. En un instant, toute la tension sexuelle qu’ils avaient accumulée se relâcha, si bien qu’aucun des trois adolescents ne s’inquiétât aucunement de l’environnement.
    Mathieu, sans cesser d’embrasser la jeune fille, empauma les seins de Jessica et commença à les masser. Embarrassé dans ses mouvements par le soutien-gorge de la jeune fille, il le dégrafa et le jeta au loin, de sorte que ses seins étaient désormais à la vue de tous, même si elle était loin d’être la première poitrine dénudée dans la piscine. De son côté, Gabriel continuait de l’embrasser sensuellement dans le cou tandis qu’il avait glissé les mains sous le string de Jessica afin de palper ses fesses. Lorsqu’il en eut assez, il fit tourner sa main droite le long des hanches de la jeune fille et commença à la doigter, recueillant de légers murmures de plaisir. Jessica posa quant à elle ses mains, à travers le caleçon du jeune homme, sur le sexe de Mathieu, en érection, mais qui peinait à se déployer dans l’eau. Excitée comme rarement, elle baissa alors le caleçon du jeune  homme et commença, lentement, à le branler. Malgré l’eau qui les environnait et qui troublait sa masturbation, elle sentit doucement le sexe du jeune homme se raidir sous le mouvement de ses doigts. Quand elle jugea que le sexe du jeune homme fut assez rigide, Jessica, soucieuse de l’égalité entre ses partenaires, se tourna afin d’inverser les rôles : tandis qu’elle branlait désormais Gabriel et que celui-ci lui massait les seins, Mathieu masturbait la jeune fille.
    Une fois que son sexe fut aussi dur qu’il le pouvait sous l’eau, Gabriel proposa de sortir de la piscine afin de pouvoir passer aux choses sérieuses. Ses deux partenaires acceptèrent, eux-mêmes ardents de désir. Lorsqu’ils furent sortis, Jessica sentit, comme une masse, les effets de l’alcool qu’elle avait d’ingurgiter tout au long de la soirée lui brouiller l’esprit, à telle point qu’elle tituba un peu lors de ses premiers pas hors de l’eau. Gabriel se proposa pour la soutenir, mais elle affirma avec une impressionnante constance que tout allait bien et que c’était seulement le jeu dans la piscine qui l’avait un peu fatigué. Elle ajouta même, visiblement excitée, que jamais elle n’avait eu tant envie de faire l’amour et que les deux garçons feraient mieux d’en profiter plutôt que de poser des questions idiotes. Du reste, elle n’exagérait aucunement en affirmant cela, sentant au creux de ses cuisses la chaleur impétueuse du désir. Devant tant d’assurance, Mathieu et Gabriel la crurent, ou du moins firent semblant. Le premier, soucieux de satisfaire le vœu de la jeune fille, désigna, vers la gauche, un sentier qui pénétrait dans une forêt :
    « Ce chemin mène au village par le nord, dit-il, mais ça m’étonnerait qu’on y croise quiconque à cette heure-ci. On pourra y baiser tranquillement. »    

    Il s’agissait de la route que Jessica avait emprunté la première fois qu’elle était venue ici afin de revenir au village. Rassérénée de faire l’amour dans un endroit qu’elle connaissait, et impatiente de jouir du sexe de ses deux partenaires, elle accepta la proposition de Mathieu.
    Les trois adolescents rejoignirent donc le sentier, et s’enfoncèrent de plusieurs mètres dans la forêt, de sorte que la lueur de la lune les baignât juste assez pour qu’ils puissent s’apercevoir. Dès qu’ils furent arrivés, Mathieu et Gabriel enlevèrent leur caleçon. L’appétit toujours aussi ardent, Jessica s’accroupit sans attendre au pied de ses amants et entreprit de les sucer. Si le sexe des deux garçons avait eu à peine le temps de débander lorsqu’ils gagnaient le sentier, la bouche de Jessica leur rendit rapidement leur rigueur. Néanmoins, les mouvements de la jeune fille étaient plus grossiers et maladroits qu’à son habitude, la faute à l’alcool qui l’embrouillait toujours. Le sexe de Gabriel, surtout, lui posait problème de par son épaisseur telle que qu’elle avait du mal à l’engloutir et qu’il n’était pas rare que par quelques mouvement maladroits, les dents de la jeune fille viennent cogner contre son gland, suscitant chez lui un léger frisson de douleur. Mais Jessica compensait largement son manque d’efficacité par l’ardeur dont elle faisait preuve. En effet, elle alternait entre les deux sexes de ses partenaires à une vitesse phénoménale, et tandis qu’elle suçait l’un, elle branlait l’autre avec non moins de ferveur.
    Gabriel, cependant, fut plus vite lassé et demanda à sa partenaire d’élever sa croupe afin de se mettre en quatre pattes. Jessica s’exécuta et tandis qu’elle continuait à sucer Mathieu, Gabriel fit glisser son  string le long de ses hanches et posa son gland contre son vagin. Comme il l’espérait, la mouille de sa partenaire était suffisamment abondante pour qu’il puisse s’introduire sans problème. Il gratifia donc Jessica de puissants coups de rein, d’abord lents et saccadés, puis de plus en plus sauvages, tandis que celle-ci continuait de dévorer avidement le sexe de Mathieu bien qu’elle peinait à retenir quelques gémissements de plaisir.
        Lorsque son sexe fut lubrifié, Mathieu proposa à Gabriel de prendre sa place afin qu’il puisse à son tour profiter de la vulve de la jeune fille. Cependant, contrairement à ce à quoi elle s’attendait, Mathieu ne posa pas immédiatement son gland à l’entrée de son vagin, mais il s’accroupit derrière elle et entama un cunnilingus. Sa langue était vive et il bavait abondamment, de sorte que sa salive excédait largement le simple espace de son vagin et qu’elle pouvait en sentir couler le long de ses jambes ou investir l’extérieur de son petit trou. Quand il y eut entre les cuisses de Jessica autant de bave que de mouille, Mathieu se releva et présenta cette fois son gland contre la vulve de sa maitresse et la pénétra. S’il se montrait moins doux que son partenaire, il semblait avoir plus de finesse et Jessica prit un pied monstre tandis qu’elle continuait de sucer Gabriel du mieux qu’elle le pouvait.
    Mais alors que Mathieu sortit du vagin de la jeune fille, celle-ci fut surprise de sentir le doigt du garçon pousser non contre sa vulve, mais contre son petit trou. La jeune fille ne montrant aucun signe de déplaisir, Mathieu laissa couler un filet de bave entre les fesses de sa maîtresse avant de l’étaler lentement contre l’anus de Jessica.
    « La voie est libre par-là ? demanda fébrilement le jeune homme.    -Elle l’est, répondit Jessica, d’une voix chaude et érotique.    -On a vraiment touché le gros lot, ce soir, se réjouit Mathieu. Ne t’en fais pas, Jessica, je serai très doux. »
    Loin d’être vierge de cet orifice, Jessica avait déjà eu bien des occasions de stimuler son plaisir anal, que ce fût lors de plaisirs solitaires ou de relations avec quelque amant; mais c’était la première fois qu’elle tentait l’expérience avec des inconnus et si elle avait pu craindre que l’un des deux garçons ne fût trop téméraire à son goût, son excitation avait finalement primé sur toute autre considération. Avec toute la douceur qu’il avait promise, mais non sans impulser une certaine force à son mouvement, Mathieu fit rentrer son pénis petit à petit au cœur de l’anus de sa maitresse. Largement désensibilisé par l’alcool, Jessica ne sentit aucune douleur lors de la dilatation de son anus, mais une vague de plaisir qui la traversa de part en part. Ainsi, à son étonnement, elle ne put bientôt plus se retenir et hurlait de toute la force de ses entrailles, dans un cri délicieusement érotique.
    Si Jessica continuait de sucer Gabriel afin que celui-ci ne débande pas, les incessants coups de butoir de Mathieu rendaient la fellation compliquée. En outre, le jeune homme, impatient d’explorer à son tour l’étroit couloir de sa maitresse demandait avec insistance à son partenaire d’inverser les rôles. Par souci d’équité, Mathieu dut bien lui accorder cette faveur et une fois de plus les deux garçons échangèrent leur rôle. Entretemps, Mathieu s’enquit de la réaction de Jessica quant à la sodomie. La jeune fille, qui peinait encore à reprendre son souffle, se laissa aller à quelques litanies dans un langage volontairement vulgaire
    Galvanisé par l’ardeur toujours croissante de Jessica, Gabriel se plaça à son tour derrière elle et poussa de son gland la porte étroite de la jeune fille. Alors que celle-ci s’attendait, du fait de la dilatation à laquelle son anus avait eu droit grâce au sexe de Mathieu, à ce que le pénis de Gabriel glissa facilement, elle oublia que celui-ci était légèrement plus épais et son anus prit à nouveau quelques minutes avant de s’accommoder. Gabriel, ravi d’avoir accès au trou du cul de la jeune fille, faisait preuve d’un peu moins de douceur que son compagnon et gratifiait Jessica de coups de reins immodéré. Celle-ci ignorait si cela était dû à ce que Gabriel fût moins doué que son compagnon, ou bien au fait que la sodomie demandât un effort trop grand, mais elle éprouva un plaisir à peine moins intense que quelques instants auparavant.
    Gabriel dut pourtant calmer sa pénétration, car à cette vitesse, il sentait qu’il ne tarderait pas à jouir et il souhaitait tenir le plus longtemps qu’il put. Bien à contre cœur il se retira de l’anus de la jeune fille et vit sa rondelle se refermer doucement. Epuisée de maintenir sa croupe en l’air, Jessica s’accroupit afin de se reposer un peu tandis que ses deux partenaires l’entourèrent de leur pénis. A nouveau, elle en suça un tandis qu’elle branlait l’autre. Si elle était moins alerte qu’au début, elle ne témoignait pas de moins d’ardeur qu’auparavant; au contraire, se faire sodomiser par des inconnus semblait avoir éveillé en elle une excitation encore plus grande. Et elle ne le cachait pas, si bien que Gabriel voulut en profiter et lui demanda, non sans malice, si la double pénétration la tentait. Jessica parut surprise de la question et ne répondit d’abord pas. Mais le désir était encore trop intense en elle et faisait impétueusement vaciller sa volonté. Si elle avait à ce point apprécié la sodomie, pensa-t-elle, il n’y avait aucune raison que la double pénétration ne la satisfasse, d’autant que c’était la meilleur position pour que chacun  y trouve son plaisir. Convaincue par tous ces arguments, chacun rehaussé par l’intense excitation qui la traversait, Jessica finit donc par accepter.
    Les deux garçons en hurlèrent de joie et promirent à la jeune fille qu’elle allait connaître le véritable sens du plaisir. Impatients et le sexe parfaitement lubrifié, Gabriel et Mathieu se s’activèrent immédiatement. Ainsi, après que le premier a rapidement lubrifié la rondelle de Jessica, le second se coucha dos contre le sol et invita la jeune fille à venir s’empaler sur son sexe. Si la position de la cowgirl renversée lui était familière, Jessica ne l’avait que rarement pratiquée en position anale. Pourtant, le gland de Mathieu pénétra presque sans douleur dans son trou du cul grâce à la dilatation de la première sodomie. Sans que le plaisir fût aussi intense que lors de la levrette, Jessica prenait largement son pied d’autant plus qu’elle soulevait son bassin de plus en plus rapidement avant de s’empaler sur le sexe de Mathieu.
    Tandis que la sensation de plaisir était déjà intense, Jessica sentit poindre contre sa vulve le sexe de Gabriel, qui la pénétra sans plus attendre. Si elle n’éprouva que peu de douleur, elle laissa s’échapper un long hurlement de plaisir lorsqu’elle sentit ces deux sexes qui tour à tour emplissaient l’intérieur de son corps. Il lui fallut quelques instants pour dépasser le dérangement que provoquait une telle position, mais lorsque ce fut le cas, Jessica, prit plus de plaisir que jamais auparavant au cours de la soirée.
    La pénétration dura un moment et ne s’interrompit que lorsque Gabriel insista pour changer de position et profiter à nouveau du petit trou de la jeune fille. Mathieu rechigna un peu mais fut forcé d’accepter devant l’insistance de Gabriel. Jessica, alors, se leva et se retourna afin de revenir à une position de cowgirl classique et de s’empaler à nouveau, mais avec son vagin cette fois, sur le sexe de Mathieu. Celui de Gabriel, lubrifié encore par la mouille de la jeune fille, pénétra presque aussi facilement dans son trou du cul.
    Au cœur de la pénétration, alors que Gabriel donnait le plus d’intensité à ses coups de rein, il ne put plus se contenir et finit par jouir, involontairement, dans le trou du cul de la jeune fille, l’emplissant d’une extraordinaire abondance de sperme. Gabriel se retira alors et Mathieu cessa lui aussi sa pénétration, afin que Jessica puisse sentir le foutre chaud glisser en elle et ressortir par son trou du cul en un long filet qui s’étalait sur le sol. Gabriel, en s’écartant un peu, murmura ensuite quelques reproches à son égard, se sermonnant de n’avoir pu tenir plus longtemps, tandis que Mathieu fut assez content de ne pas avoir éjaculé le premier, d’autant plus qu’il manqua à plusieurs moments de jouir dans la vigueur de l’action.
    Mathieu proposa alors à Jessica d’arrêter la pénétration et lui proposa une éjaculation faciale. La jeune fille, pleinement habituée à ce procédé, accepta sans rechigner, toute traversée qu’elle était par quelque désir surhumain d’une chaleur débordante. C’est ainsi qu’elle le suça une ultime fois, avant de recevoir, en deux énormes giclées de sperme chauds, le foutre de son amant qui recouvrit son visage. Une flaque coula lentement depuis son front jusque sur son menton en passant le long de ses joues, tandis qu’elle nettoyait le gland de son amant d’un dernier coup de langue.
    Christopher et Charlotte avaient déjà vidé plusieurs verres ensemble depuis que Grégoire les avaient présentés, si bien que si Christopher restait quelque peu embarrassé par la splendeur angélique de la jeune fille, sa pudeur naturel s’était muée en une affabilité assez étonnante. Le jeune homme se laissait même aller à quelques blagues, dont toutes n’étaient pas forcément du meilleur goût. Mais quelle que fût la qualité de son humour, Charlotte y riait toujours de bon cœur; car si la jeune fille était déjà affable par nature, l’alcool la rendait encore plus familière et extravagante. Il s’agissait d’un rire profond et sincère, qui s’étendait telle une mélodie dont les premières notes suffisaient à séduire le jeune homme.
    Leur discussion était confuse et discursive, chaque sujet semblait surgir aléatoirement et être objet d’un intérêt égal de la part des deux adolescents. Ceux-ci parlèrent études, arts, sports jusqu’à ce que le sujet, presque imperceptiblement, déviât sur la sexualité. Sans qu’aucun ne pût se souvenir du chemin parcouru pour en arriver là, Charlotte et Christopher en venait à évoquer leurs expériences les plus agréables. Si le jeune homme gardait toujours cette pudeur naturelle qui le caractérisait, Charlotte, sans tomber dans la vulgarité, se montrait beaucoup plus directe. Elle ne rechignait pas en détail et surtout ne manquait pas d’expérience sur le sujet. Et alors que Christopher l’écoutait avec attention, elle lui demandait fréquemment ce qu’il pensait de pratiques telles que la sodomie ou le pluralisme. La conversation était assez surréaliste tant Charlotte pouvait décrire les situations les plus chaudes avec un naturel confondant. Le jeune homme, d’ailleurs, peinait souvent à dissimuler son excitation.
    Il sentait que le moment était venu de l’embrasser, mais il ne parvenait pas à passer outre sa timidité. La discussion s’éternisa tant que Charlotte, lasse d’attendre une réaction de la part de Christopher, finit par prendre les devants et embrassa le jeune homme. Ravi que sa partenaire ait fait le premier pas, il se sentait maintenant libéré et fit glisser ses mains le long des hanches de Charlotte afin de l’enlacer au bas de son dos. La jeune fille interrompit le baiser et susurra à l’oreille de Christopher :
    « Je commençais à croire que je ne t’intéressais pas…    -Non, ne crois pas ça, répondit-il, embarrassé.  C’est  juste que… j’avais peur que tu ne le prennes mal.    -Ah ha, tu es trop mignon, Chris. Mais tu devrais quand même te montrer plus entreprenant avec les femmes. »
    Christopher se demanda avec exaspération pourquoi chaque fille lui disait, l’air taquin, qu’il était mignon avant de coucher avec lui, mais il oublia vite son ressentiment lorsque Charlotte l’embrassa à nouveau, dans un baiser encore plus langoureux que le premier. La nuit était à sa moitié quand la jeune fille lui proposa de s’esquiver de la foule afin de trouver un endroit plus tranquille où faire l’amour. Le jeune homme accepta et la suivit à travers un couloir, dont l’entrée se trouvait opposée au corridor dans lequel il était entré un peu plus tôt dans la soirée. Ils passèrent devant plusieurs portes, derrières lesquels Christopher entendit les mêmes murmures que précédemment, et pénétrèrent enfin, par la cinquième porte, dans une grande chambre, éclairée faiblement.
    A peine Christopher eut-il passé le pas de la porte qu’il entendit celle-ci se refermer violemment derrière lui tandis que Charlotte se jeta sur lui et le plaqua contre le mur pour l’embrasser. La jeune fille respirait bruyamment et, tout en continuant à l’embrasser, se mit à le déshabiller avec une fureur impressionnante. Christopher peinait à croire qu’il s’agissait de la jeune fille à laquelle il parlait depuis près d’une heure. Il avait conversé avec une femme élégante et distinguée malgré son extrême affabilité, qui, sous l’impulsion de l’excitation, se muait en bête assoiffée de sexe. La chemise du jeune homme gisait déjà à terre que Charlotte déboutonnait son jean et susurra à nouveau à son oreille :
    « J’ai tout de suite senti que tu n’étais pas l’un de ces crétins de bourgeois, qui parlent bien haut et qui sont incapables de se servir de leur bite pour faire jouir une femme. Même s’il est dissimulé par ta timidité, il y a quelque chose de bien plus bestial en toi. Et c’est ce dont j’ai besoin : un homme avec des couilles et qui sache s’en servir. J’ai envie de me faire prendre sauvagement, bestialement, comme une chienne, une salope. J’espère que tu es en forme, car je compte bien te vider les couilles ce soir. »
    D’un côté, Christopher avait encore du mal à encaisser le changement subit dans l’attitude de sa partenaire, et davantage encore la description qu’elle venait de faire de lui, alors que lui-même se considérait plutôt comme un homme doux et calme quand il faisait l’amour. Mais de l’autre, la fureur et l’envie de sexe dans la voix de la jeune fille était communicatives : Christopher avait complètement oublié Emilie et il sentait une incroyable excitation monter en lui, comme peu de fois ce put être le cas auparavant. Il prit la voix la plus déterminée qu’il le pouvait et répondit par l’affirmative, alors que Charlotte, impatiente, commençait déjà à lui enlever le pantalon afin de le jeter au pied du lit. La jeune fille descendit ensuite son slip jusqu’à ses pieds et put vérifier par elle-même l’ardeur du jeune homme, dont le sexe, d’une taille des plus respectables, pensa-t-elle, se tenait face à elle droit et rigide comme une lance.
    Sans attendre plus longtemps, Charlotte entama sa fellation avec une ardeur toujours aussi éclatante A la manière d’Emilie, elle salivait beaucoup en suçant le jeune homme, ce qui lui plaisait beaucoup, tant il avait l’impression que son sexe voyageait à travers une mer chaude et épaisse. Christopher, tout en confiance qu’il était en voyant l’excitation de la jeune fille, n’hésitait pas, lorsque l’envie lui prenait, à saisir la tête de sa partenaire afin de la bloquer tandis qu’il enfonçait son sexe jusqu’à sa glotte. Charlotte suçait Christopher avec tellement de dextérité et de vélocité que le jeune homme lui proposa un cunnilingus, arguant qu’il souhait lui rendre la pareille alors qu’il souhaitait seulement arrêter cette fellation et éviter de jouir trop vite.
     La jeune fille parut déçue de stopper sa fellation aussi tôt, mais elle avait hâte que Christopher s’occupât d’elle afin de juger de ses compétences. Elle se leva alors et enleva sa robe. Elle portait des sous-vêtements transparents à travers lesquels Christopher pouvait distinguer, au-dessus, une poitrine certes assez petite mais suffisamment rebondie au goût du jeune homme, et au-dessous, une vulve d’un rose claire surmontée d’un triangle de poils châtains rasés. Charlotte fit ensuite un tour sur elle-même afin que Christopher puisse apprécier le reste de son anatomie. Et si le devant avait comblé le jeune homme, le derrière se présentait au-delà de toute description, car Charlotte avait une chute de rein à faire pâlir de jalousie les plus célèbres mannequins. Deux fesses au galbe rebondi, séparée par un goulet mystérieux d’une fascinante obscurité, une vallée vers l’infini : le cul de la jeune fille, dont la blancheur divinisait la rondeur, formait un trône superbement impudique, tout en splendeur et en promesse. Bien des années plus tard, Christopher devait garder le souvenir des fesses de Charlotte; et bien que sa vie sexuelle fût loin d’être un désert, Christopher se prenait souvent à se désoler de n’avoir jamais plus observé de cul si parfait.
    Charlotte savait parfaitement quels étaient ses atouts et elle se flattait beaucoup de l’effet que procuraient ses fesses à son partenaire, d’autant plus qu’elle pouvait désormais percevoir dans ses yeux la lueur d’une passion nouvelle qui ne demandait qu’à s’exprimer. La jeune fille se coucha ensuite sur le dos et écarta les cuisses afin de lui présenter sa vulve. Devant le talent de la jeune fille, Christopher craint un moment de ne pas se montrer à la hauteur de ses attentes, mais il était trop tard et il ne pouvait se défiler. Il posa alors sa bouche sur la vulve de la jeune fille afin d’entamer son cunnilingus. Malgré l’alcool qui l’embrouillait, Christopher fit de son mieux pour rassembler ses esprits et offrir à sa partenaire le meilleur cunnilingus dont il était capable. Si elle semblait satisfaite, ou du moins ne témoignait rien de négatif, elle se lassa néanmoins assez vite et se plaça à quatre pattes afin que Christopher la pénétrât en levrette.
    Christopher, ravi de se retrouver en face de cette croupe qui l’excitait tant, se releva donc et empauma fermement les fesses de Charlotte, dont la chair s’avéra plus ferme encore que ce qu’il aurait jamais pu rêver. Le jeune homme fit longuement glisser ses mains sur chaque parcelle du cul de sa maîtresse, et se laissa aller à les pincer quelquefois. Sous les exhortations de la jeune fille et bien contre sa volonté, Christopher ne s’attarda pas plus longtemps et introduit sans plus tarder son gland à l’entrée de la vulve de sa maîtresse. Comme elle le souhaitait, le jeune homme ne la ménagea pas et mis toute la violence qu’il put dans ces impulsion. A chaque coup de butoir de Christopher, les fesses de la jeune fille ondulaient dans un lent et voluptueux mouvement. Charlotte parut ravie des capacités de son amant, du moins c’est ce qu’elle semblait affirmer entre  la puissance de ses gémissements laissait à penser, gémissements qu’elle ponctuait de quelques obscénités destinées à encourager le jeune homme à poursuivre avec plus d’ardeur encore. Du reste, Christopher se donnait vraiment au maximum de ce qu’il pouvait, de sorte qu’il dut à nouveau freiner la cadence s’il ne voulait jouir sur-le-champ.
    Le jeune homme se retira donc de sa maitresse et se coucha sur le dos afin que Charlotte s’empalât sur son sexe en position de la cowgirl. Celle-ci s’exécuta et en quelques secondes, le gland du garçon écartait légèrement l’entrée de la vulve de la jeune fille. Charlotte souleva alors son bassin et le laissa retomber jusqu’à enfouir entièrement le sexe du jeune homme. Elle répéta ce mouvement incessamment et toujours avec la même rapidité. De nouveau, elle se laissa aller à des puissants gémissements rythmés par les réguliers claquements de ses fesses contre la chair du jeune homme. Le jeune homme profitait de la passivité que lui accordait cette position pour faire balader ses mains le long des hanches de la jeune fille en direction de sa poitrine qu’il empauma tendrement. Si les seins de Charlotte n’étaient pas assez gros pour remplir les paumes du garçon, celui-ci appréciait énormément leur fermeté et leur rondeur.
    Lorsqu’elle fut lasse de soulever son bassin, Charlotte se levait et demanda à son amant de se tenir debout à côté du lit. Bien qu’il ne comprît pas immédiatement ce qu’elle souhaitait, le jeune homme s’exécuta. Charlotte le prévint que cette position lui demandera beaucoup d’énergie avant de sauter à son cou en l’enlaçant de ses jambes. Son amant parvint à la soutenir par les fesses, heureux que la jeune fille fût petite et légère. Lorsqu’il se fut stabilisé, Christopher posa son gland contre la vulve de la jeune fille et abaissa puis souleva successivement le cul de Charlotte aussi vite qu’il le pût. Il ne put néanmoins tenir cette position bien longtemps et il finit par déposer la jeune fille sur le lit avant de la rejoindre.
    Charlotte ayant apprécié les efforts successifs de son amant, entreprit une nouvelle fellation dont elle avait le secret. Tandis qu’elle s’attelait à sucer son amant, celui-ci avait saisi ses fesses et les avait fait passer par-dessus son visage, se trouvant ainsi nez-à-nez avec la vulve de la jeune fille. Ainsi positionné, le jeune homme saisit fermement les fesses de sa maitresse dont le simple contact tactile lui procurait un plaisir infini. Soigneusement, il s’attela ensuite à rendre son plaisir à la jeune fille et alternait entre sa langue, avec laquelle il dessinait de légers cercles sur les lèvres vaginales de sa maitresse, et entre ses doigts, qu’il faisait lentement pénétrer en Charlotte afin de stimuler son bouton d’amour.
    Jugeant que l’étape de lubrification avait assez durée, Charlotte roula sur le côté gauche de Christopher, l’invitant à la pénétrer en position de la cuillère. Le jeune homme s’exécuta et enlaça tendrement sa maitresse avant de placer son gland au creux des cuisses de Charlotte. Profitant de l’intimité que permettait cette position, il laissait ses mains virevolter délicatement sur le corps de sa maitresse, s’attardant tant sur ses seins que le long de ses hanches. En même temps, il poursuivait sa pénétration, qui s’était elle-même ralentie afin de s’accorder avec la paix de cet instant, sans pour autant cesser de soutenir un rythme assez vif à la demande de Charlotte.
    Pleinement satisfait de la tendresse qu’offrait cette position, Christopher craignait que Charlotte ne s’ennuyât et lui proposa donc de se repositionner à quatre pattes afin de reprendre la levrette. Visiblement ravie de la proposition, Charlotte s’exécuta et le jeune homme saisi fermement ses hanches avant de la pénétrer de nouveau. La seule vue de sa maîtresse, la croupe surélevée, revivifia Christopher à un tel point que sa cadence se fit plus vive encore qu’auparavant. Comme traversé d’un second souffle, il assenait Charlotte de vigoureux coups de butoir et se ravissait des hurlements de plus en plus puissants qu’il parvenait à lui arracher, elle qui ne semblait n’être plus en mesure que d’écorcher quelques mots entrecoupés par des râles irrépressibles. Christopher ne put soutenir une telle cadence et, dans la vigueur de l’action, il se sentit traversé d’un éclair de jouissance. Il n’eut guère le temps que de quitter le vagin de Charlotte afin de recouvrir ses fesses de deux jets de spermes chauds avant de se laisser lourdement tomber aux côtés de sa maîtresse. Celle-ci, désormais allongée sur le ventre, le fixait sensuellement tandis qu’elle récoltait la semence du jeune homme du bout des doigts avant de les porter à sa bouche. Tous deux avaient le souffle court, et ce ne fut qu’au bout de plusieurs instants que Charlotte put parler :
    « Je savais que sous tes dehors timides et réservés tu cachais une véritable bête sexuelle, souffla-t-elle en riant. Sérieusement, Chris, quelle fougue.    -J’en suis le premier surpris. D’habitude je suis plus calme, mais là, rarement une fille n’aura fait autant d’effort pour m’exciter.     -Hé hé, j’admets être plutôt douée pour faire tourner la tête des hommes et faire raidir leur queue, s’amusa la jeune fille d’un air faussement arrogant.    -C’est peu de le dire. C’était vraiment parfait. J’espère que tu as passé un aussi bon moment que moi, conclut-il en adressant un léger sourire à la jeune fille."
    La jeune fille susurra un faible « et comment », avant d’embrasser langoureusement son amant. Ils restèrent un moment enlacé, observant un silence religieux durant lequel la jeune fille sombra dans un profond sommeil tandis que son amant, qui avait dormi toute la journée, ne parvenait pas à fermer l’œil; mais cela lui importait peu, car il pouvait ainsi admirer la beauté tranquille de sa maitresse, d’autant plus angélique lorsqu’elle était endormie.
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