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La descente aux enfers d’Aurélie

Chapitre 5

SM / Fétichisme
Le vendredi, Véronique me conduisit en ville, afin, me disait-elle, de me faire couper les cheveux. Au salon de coiffure, je m’assis sans un mot dans le siège. La coiffeuse s’approcha de moi et me demanda :
— Comment les coiffe-t-on ?— Rasez-lui la tête, ordonna ma maîtresse, pas plus d’un demi-centimètre de cheveux.— Vous êtes sûre ? quel dommage, de si jolis cheveux. Qu’en pensez-vous, mademoiselle ?— Faites ce que ma maîtresse vous demande, répondis-je d’une voix mal assurée.
En entendant le mot ‘maîtresse’, la coiffeuse comprit ce qu’il en était. Sans ajouter un mot, elle me lava les cheveux. Cela fait, elle s’empara de ciseaux et commença à tailler dans la chevelure. Ayant bien raccourci les cheveux, elle s’empara d’une tondeuse et régla le sabot à un demi centimètre. Lorsque je sentis l’appareil s’attaquer à mon crâne, j’eus envie de pleurer, mais je savais que cela ne ferait pas changer d’avis ma maîtresse et je subis l’humiliation avec stoïcisme. Lorsqu’elle eut terminé, je levai les yeux et me regardai dans la glace. Devant moi se tenait une autre femme. Je ne me reconnaissais plus. Qui était cette belle femme aux cheveux courts ? Il me fallut un long moment pour me faire à l’idée que c’était moi. Lorsque je croisai le regard de Véronique dans la glace, j’y vis un air de triomphe. Sans ajouter un mot, elle se détourna et se rendit à la caisse pour payer. A la sortie, je sentis l’air doux caresser mon crâne quasi dénudé et je me plus à aimer cette sensation. Le retour se fit en silence. En entrant dans l’appartement, ma maîtresse me remis mes bracelets de poignets et de chevilles, ainsi que mon collier.
— Demain, me dit-elle, pour le service, tu mettras un chemisier blanc sans manche et une jupe noire, ainsi que tes ballerines. Je verrai si je te mettrai ton corset. Pas de culotte, bien entendu.— Bien maîtresse.
J’appréhendais le port du corset sur mes marques de cravache car, même si la douleur s’était atténuée, je ressentais encore la morsure du cuir sur tout l’ensemble de ma chair. Pourtant, je prenais plaisir à contempler ces traces rouge vif qui marquaient mes seins et mon ventre. Je savais qu’il en allait de même sur celles qui marquaient mon cul.Le soir, ma maîtresse vint m’attacher sur mon lit et me quitta en éteignant la lumière.Le samedi matin, Véronique vint me lever à huit heures trente. Il y avait déjà bien longtemps que j’étais réveillée, et pendant l’attente, je pus cogiter. Cogiter sur ma situation d’esclave, sur cette réception du soir, ces personnes qui allaient me connaître dans ma nouvelle position, celle de moins que rien. Cela m’excitait et me terrifiais tout à la fois.Aussitôt levée, je dus faire la toilette de ma maîtresse, puis la mienne, préparer son petit déjeuner puis faire le ménage. J’eus terminé vers onze heures du matin. Ce fut ensuite le repas. A la fin, Véronique me convoqua au salon et me donna les consignes pour la réception :
— Ce soir, nous serons cinq, deux femmes, dont moi, et trois hommes. Tu seras d’abord chargée de l’accueil. tu attendras leur arrivée dans le hall. Tu les feras entrer et tu les débarrasseras de leurs manteaux, compris ?— Dans le hall, maîtresse ?— Devant la porte, près de l’ascenseur et tu les conduits à l’appartement.— Bien maîtresse.— Tu devras les appeler uniquement monsieur ou madame, pas autrement. Ils auront les mêmes droits que moi sur toi, sauf te fouetter. Tu seras à leur disposition entière. Tu ne refuseras aucune caresse, aucune demande sexuelle de leur part, compris ?— Oui maîtresse.— Bien. Lorsqu’ils seront tous là, tu serviras l’apéritif au salon. Bien sûr, interdiction de plier les genoux pour te pencher. N’oublies pas que tu n’es qu’une esclave sexuelle et qu’il importe peu que les invités voient ta chatte et ton cul.
— Bien maîtresse.— Lorsque nous passerons à table, là aussi tu feras le service. Si personne ne te demandes quelque chose, tu viendras t’agenouiller à mes pieds, bras croisés dans le dos.— Bien maîtresse.— Je vais te remettre ton corset. Je ne veux pas t’entendre gémir si cela te fait mal, compris ?— Oui, maîtresse.— Bon, allons-y.
Nous retournâmes dans mon réduit et ma maîtresse sortit le corset de l’armoire. La sensation que je ressentis lorsqu’elle me le passa, me surpris. J’avais l’impression qu’un manque venait d’être comblé. En effet, cette retenue, cette sensation d’oppression me manquaient et je ne poussai aucun gémissement lorsqu’elle ferma les crochets de maintien. J’eus beaucoup plus de mal à retenir un gémissement lorsqu’elle serra les lacets. Il me semblait qu’elle venait de réduire ma taille de plusieurs centimètres. Curieusement, je ne ressentais aucune douleur sur les marques de coups. Je respirai à petites inspirations pour me faire à cette nouvelle torture.
— Comment ça va ? j’ai réduit ta taille d’un centimètre. Tu arrives à respirer ?— Difficilement, maîtresse, haletai-je d’une voix éteinte, mais je vais m’y habituer.— Je l’espère bien. Tu es superbe comme cela, ta taille est si mince, tes hanches et te fesses si rondes. Viens te voir dans la glace.
En effet, le miroir me renvoya l’image d’une femme aux cheveux courts, à la taille étonnement mince, sur des hanches évasées, et de dos, des fesses rebondies. Même mes seins semblaient avoir grossi. J’avais du mal à me reconnaître. Pourtant, c’était bien moi.Ma maîtresse me rappela à l’ordre. Je me précipitai dans ma chambre où elle m’attacha de nouveau. Je restai ainsi jusqu’à dix-sept heures trente.
— Lève-toi et vas mettre la table.— Bien maîtresse !
Je m’exécutai rapidement. Une fois la table mise, je préparai l’apéritif dans le salon. Cela fait, ma maîtresse me dit :
— Viens m’aider à me préparer.
Aussitôt, mon cœur s’emballa. Je le déshabillai fébrilement, faisant glisser ses vêtements, effleurant de mes doigts sa peau si douce. Je ne sais pas si elle percevait l’émoi qu’elle me procurait en me permettant de la dénuder, mais si elle s’en aperçut, elle ne me montra rien. Entièrement nue, elle s’assit à sa coiffeuse et me demanda de l’apprêter. Maquillage léger, coiffure en chignon, elle fut bientôt prête.
— Sors mon ensemble string et soutien-gorge balconnet bleu. Je mettrai mon pantalon en lin et mon tee-shirt bleu sans manche.— Bien maîtresse.
En me baissant pour lui passer son sous-vêtement, je ne pus m’empêcher de respirer son odeur. Au niveau de son entrejambe je pouvais distinguer les lèvres roses de sa chatte, et je m’attardai un moment à les contempler.
— Tu vas rester longtemps comme cela, me demanda-t-elle d’une voix rieuse.— Excusez-moi, maîtresse.
Et je fis remonter le string sur ses cuisses. Je passai derrière elle pour ajuster la ficelle dans la raie des fesses, puis je lui passai le soutien-gorge. Je ne pus, là aussi, m’empêcher de palper délicatement les globes, sous le prétexte d’ajuster le vêtement à sa poitrine.
— C’est étrange, me dit-elle, que tu saches aussi bien t’occuper de mes seins, toi qui n’en a pas.
Cette remarque me mortifia et m’excita à la fois. Il est vrai qu’avec mon petit quatre-vingt-cinq A, je ne pouvais rivaliser avec sa fabuleuse poitrine. Lorsque j’eus fini de la vêtir, elle m’envoya dans mon réduit, afin que je m’habille également. En passant mon corsage, je ne pus m’empêcher de constater que la transparence du tissus permettait de vois mes seins, leurs marques de cravache et la présence de mon corset. Lorsque je levais les bras, mes petits seins se voyaient par l’échancrure de mes emmanchures. Je passai ensuite la jupe, toujours aussi courte, à mi-cuisses. Je savais qu’en me penchant, j’allais dévoiler la totalité de mon intimité aux invités de ma maîtresse. Tout cela m’angoissait et m’excitait en même temps, témoin, l’humidité que je sentais sourdre dans ma chatte. J’enfilai mes ballerines et vint me présenter devant ma maîtresse.
— Tu es magnifique, me dit-elle, tu vas faire sensation. N’oublie pas les consignes : ne jamais plier les genoux pour faire le service, ne jamais refuser quoi que ce soit de mes invités, compris ?— Oui maîtresse.— Si l’un d’eux fait une seule remarque désobligeante, tu seras aussitôt fouettée, compris ?— Oui maîtresse, n’ayez crainte, vous serez fière de moi.— Je l’espère. Allez, il est l’heure, va te mettre en place.
Je sortis sur le palier, laissant la porte entre-ouverte et j’attendis que l’ascenseur veuille bien déposer les invités de ma maîtresse. L’angoisse de savoir, mais aussi l’excitation d’être ainsi montrée se battait en moi. Je n’eus pas longtemps à attendre sur le palier. Au bout de cinq minutes, j’entendis l’ascenseur s’arrêter à l’étage et les portes s’ouvrirent sur une jeune femme que je reconnu immédiatement. Solène, une de mes collaboratrices. Mon cœur manqua un battement. La jeune femme avait toujours l’air timide lorsqu’elle s’approcha de moi.
— Bonsoir, madame, lui dis-je d’une voix mal assurée, bienvenue chez ma maîtresse, madame Véronique.
Je me retournai et ouvrit la porte pour la faire entrer. Je lui retirai son manteau et lui fit signe d’aller dans le salon. Si elle me reconnut, elle n’en montra aucun signe, fixa simplement mon collier avec la médaille où était inscrit ‘Cybèle’, mon nom d’esclave. Je ressortis dans le hall attendre les autres invités. Je savais à présent quels étaient les autres invités. Véronique avait convié tous mes anciens collègues, tous ceux qui faisaient partis de mon équipe. Cinq minutes plus tard, l’ascenseur s’arrêta de nouveau à l’étage et deux hommes en sortirent. Je reconnus Paul et François. Là aussi, ils ne firent pas mine de me reconnaître. Toutefois, contrairement à Solène, ce furent mes seins, bien visibles à travers le tissu qu’ils reluquèrent un long moment. Je les conduisis dans le salon et les laissai en compagnie des deux jeunes femmes. Je retournai sur le palier, attendre le dernier des invités, Gérard, le plus ancien aussi. J’attendis plus de dix minutes avant que l’ascenseur ne le dépose à l’étage. Là aussi, mes seins retinrent son attention, plus que mon visage.Lorsque j’entrai dans le salon, toute l’équipe était réunie. Ma maîtresse me fit signe d’avancer au milieu de la pièce.
— Solène et vous, messieurs, je vous présente Cybèle, mon esclave. Pendant toute la durée de votre présence, elle o ordre de vous obéir en toutes circonstances. Elle est votre chose. La seule interdiction, c’est de l’abimer. Pas de violence. D’ailleurs, elle est d’accord pour se soumettre à toutes vos envies. Pas vrai Cybèle ?— Oui maîtresse.— Voilà, ceci étant dit, sers-nous l’apéritif au salon.— Bien maîtresse.
Lorsque je revins avec le plateau, ma maîtresse devisait avec les hommes. Dans son coin, Solène ne disait rien, jetant de temps à autre des regards étranges vers moi. Je demandai :
— Que désirez-vous boire ?— Gérard, dit ma maîtresse, à vous l’honneur !
Elle savait très bien qu’en me penchant pour le servir, j’allais dévoiler toute mon intimité aux autres hommes et à Solène. — Un whisky, sans glace, sans eau.
Je me penchai vers lui, écartant légèrement les jambes. Le silence se fit et je sus que ma chatte était l’objet de toute leur attention. Je versai lentement le liquide dans le verre et me redressai lentement pour leur faire face. Les hommes me regardaient avec un sourire salace, mais gêné. Solène, elle, rougissait, la tête baissée, me regardant par en-dessous. Gérard leur lança un regard étonné, regard qui reçut la réponse lorsque je me retournai pour servir les autres. A son tour, il eut la vision de ma fente et de mes fesses nues, dévoilées par la jupe trop courte. Une nouvelle fois, je sentis le regard de Solène s’appesantir sur moi, sans que je puisse en deviner la raison.Lorsque j’eus servi tout le monde, j’allai m’agenouiller auprès de ma maîtresse, main dans le dos, cuisses écartées. La plupart des invités avaient une vue imprenable sur mon pubis et ma chatte glabre. Malgré ma tête baissée, je savais quel était l’endroit où tous les yeux étaient fixés.A ce moment, Gérard prit la parole :
— Cybèle, ce n’est pas ton vrai prénom ?— Non monsieur, c’est le nom d’esclave que m’a choisi ma maîtresse.— Tu n’as pas toujours été une esclave, n’est-ce pas ?— Non monsieur, c’est tout récent, en effet. Quelques mois !— Et cela te plait ?— Oui monsieur, je suis faite pour cela. Je suis une esclave, une chienne, faite pour servir ma maîtresse ou toute autre personne qu’elle pourrait me désigner.— Aurélie… vous êtes Aurélie, cria soudainement Solène, les yeux écarquillés.
A cette révélation, le silence se fit. Je vis une lueur amusée dans le regard de Véronique. Enfin, quelqu’un m’avait démasquée. En plus, c’était la personne à laquelle je m’attendais le moins. Je repris, après un instant d’hésitation :
— Oui, avant, je m’appelais Aurélie.— Ah ben, ça alors, s’exclama Paul, qui l’aurait dit !— Exact, renchérit François, la fière et guindée madame Segner. Devenue une esclave. Comment as-tu fait, Véronique, pour parvenir à ce résultat ?— Beaucoup de patience. Tout d’abord, je lui ai piqué son mec. Cela s’est passé au cours d’un cocktail. Cela n’a pas été trop difficile. Le pauvre était en manque de tendresse. Ensuite, je me suis occupée de son boulot. Vous vous rappelez, le document perdu ?— Bien sûr.— Eh bien, il n’était pas perdu pour tout le monde. C’est moi qui l’avais retiré du dossier. Ça, c’était la première partie. Ensuite, il a fallu l’empêcher de retrouver du travail. J’ai contacté une amie afin qu’elle s’occupe de son dossier. Résultat, pas de travail, même au plus bas de l’échelle. Pour terminer, c’est son mec qui l’a soumise, au début. Puis, lorsqu’il a dû partir en Afrique, il me l’a confiée. Et voilà. Aurélie est devenue Cybèle, esclave dévouée et soumise à sa maîtresse. N’est-ce pas Cybèle ?— Oui maîtresse !— Dit leur ce qu’il va t’arriver bientôt. Raconte leur ta vie d’esclave docile et soumis.— Ma maîtresse va me faire poser des anneaux et une barrette. Un anneau de trois centimètres de diamètre et quatre millimètres de section à chaque mamelon, puis à la chatte, quatre anneaux de deux centimètres de diamètre pour trois millimètres de section à chaque lèvre, une barrette sur mon pubis, juste au-dessus du capuchon du clitoris, tout ceci, afin de pouvoir fermer l’accès à mon vagin par une tige munie d’un cadenas et passant dans les anneaux. Le sommet de la tige est pourvu d’un anneau qui permettra de fixer une petite plaque, rattachée à la barrette de mon pubis, dans le but de recouvrir mon clitoris et empêcher toute masturbation. D’autre part, je suis fouettée tous les trois, quatre jours, afin d’avoir des marques toujours fraîches. Je porte en permanence, comme vous pouvez le constater, des bracelets aux poignets et aux chevilles, ainsi qu’un collier où est inscrit mon nom.
Ne voyant plus que dire d’autre, je me tais. Je jette un regard sur l’assemblée médusée, plus particulièrement vers Solène, qui me trouble. En effet, je la vois frotter discrètement les cuisses l’une contre l’autre, comme si elle cherchait à se caresser discrètement. Ma maîtresse, placée comme moi ne peut pas ne pas s’en rendre compte. D’un regard, je vois qu’elle affiche un sourire carnassier et fixe la jeune femme.Solène est totalement différente de moi. Elle est aussi rousse que je suis brune, petite, un mètre-soixante, boulotte, avec de gros seins, sans doute du quatre-vingt-quinze D, de grosses fesses et de bonnes cuisses dodues. Elle porte des lunettes qui la vieillissent, sa coiffure, bouclée ne lui donne aucun attrait et, lorsqu’on la fixe, elle détourne rapidement le regard. Serait-elle, elle aussi, une soumise qui s’ignore ?Je n’ai guère le temps de chercher des signes supplémentaires. Une voix, celle de Gérard retentit :
— Ainsi, ce soir, tu es à notre entière disposition ?— Oui monsieur.— Alors, approche.
Je m’approche de lui à quatre pattes. Je sais le spectacle que j’offre aux autres en avançant ainsi, et je sens l’excitation monter en moi. Il écarte les jambes et me fait signe de me placer entre elles. Je sais déjà ce qu’il va me demander.
— Suce-moi, me dit-il d’une voix rauque.
Je fais doucement glisser la fermeture éclair de son pantalon. Sous le tissu, je sens la dureté de son membre. Comme il porte un shorty, j’ai du mal à sortir sa queue. Je déboucle donc sa ceinture et déboutonne son pantalon, que je fais glisser, ainsi que son sous-vêtement, sue ses cuisses. Sa queue est courte, pas plus de quatorze centimètres, mais large et épaisse. Le gland est circoncis et je passe ma joue sur la douceur de sa bite. Un grognement impatient m’incite à le prendre en bouche. Il me distend presque la mâchoire mais je peux l’avaler jusqu’aux poils du pubis. Je salive sur la queue, la faisant coulisser entre mes lèvres disjointes. Je m’applique sur cette fellation. Gérard semble apprécier et donne des petits coups de reins révélateurs. Tout à coup, je le sens durcir encore, et soudain, il se crispe. Ma bouche s’emplit de sa semence, que je m’empresse d’avaler difficilement, tant il y en a. enfin, la source se tarit et il me repousse.
— Ah la vache, ça fait du bien. Putain, elle suce bien, la salope, dit-il en se rhabillant.
Sur un geste de ma maîtresse, je me dirige vers Paul et pose ma main sur sa braguette. Dessous, je sens une bosse conséquente, bien plus grosse que celle de Gérard. Là encore, je suis contrainte de retirer le pantalon et le slip. Une queue longue et fine me saute au visage, que j’embouche aussitôt. Sa bite me fait un drôle d’effet, après celle, si épaisse de Gérard. Là, je ne peux pas la prendre en entier dans ma bouche. Il reste environ trois centimètres à chaque fois que le gland heurte le fond de ma gorge. Paul ne semble pas s’en formaliser et se laisse faire. Au bout d’une dizaine de minutes, il se tend et projette au fond de ma gorge une belle quantité de sperme que je ne peux qu’avaler. C’est au tour de François de profiter de mes capacités buccales. Contrairement aux autres, il ne bande pas lorsque je le dénude. Il se laisse faire passivement et je prends en bouche sa bite molle. Il me faut quelques minutes pour parvenir à obtenir une érection qui se tienne. Quelques instants plus tard, il me lâche une grosse quantité de foutre, sans doute la plus importante des trois, dans la gorge. Là aussi, j’avale avec délice tout ce qu’il éjacule. Je passe ensuite à Solène. Lorsque je touche ses cuisses, je la sens tressaillir. J’écarte doucement ses jambes et elle se laisse faire. Je sens son regard sur moi. Lui ayant suffisamment écarté les cuisses, je glisse ma tête vers sa culotte. Sous la robe, je devine une culotte sage, bleue, tâchée au niveau du sexe, preuve qu’elle apprécie ce à quoi elle assiste. Lentement, j’approche ma bouche du tissu et je commence à sentir son odeur de femme, une odeur forte, enivrante, poivrée. Au moment où je darde ma langue pour la passer sur la tache humide, Solène se raidit, repousse ma tête et serre les cuisses en disant d’une voix tremblante :
— Non… non, s’il vous plait, je ne veux pas. Laissez-moi.
Interloquée, je me retire et tourne mon regard vers ma maîtresse. Celle-ci me fait signe de revenir vers elle. Je n’insiste pas et reprend ma place auprès d’elle. Pourtant, j’aurais bien aimé gougnotter Solène. Son odeur me rendait folle de désir et je sentais mon con couler sur mes cuisses, plus encore qu’avec les hommes.
— Cybèle, apporte-nous le repas, dit soudain ma maîtresse.
Je me levai et me dirigeai vers la cuisine afin de rapporter le buffet froid qu’on avait livré dans l’après-midi. Je ne fis aucun effort pour rabattre la jupe qui avait remonté sur mes hanches, laissant à découvert mon ventre et mes fesses. Je sentais le regard des hommes sur elles en entrant dans la pièce. Lorsque je revins, ce fut au tour de mon sexe rasé d’être la cible des regards lubriques. Ma chatte s’excitait et je la sentais couler. Nul doute que ces pervers devaient voir l’humidité sur mes cuisses. Je jetai un œil vers Solène, mais elle ne me regardait pas. Je m’aperçus toutefois qu’elle continuait à frotter ces cuisses l’une contre l’autre, preuve que le spectacle ne devait pas lui déplaire.Pendant qu’ils mangeaient, je me suis agenouillée aux pieds de ma maîtresse. A plusieurs reprises, la jeune femme jeta des regards vers moi, que je ne sus pas véritablement interpréter. Était-ce de l’envie, de la jalousie, de la tristesse, je n’aurais su le dire, mais elle me regardais souvent et bougeait beaucoup les fesses sur le siège. A plusieurs reprises, je surpris le regard de ma maîtresse sur Solène et j’en conçus une gêne. Elle la regardait comme elle me regardait au début de ma soumission. Était-ce cela, qu’il y avait dans le regard de la jeune femme ? De la soumission ? Qu’allait faire ma maîtresse ? Y avait-il la place pour une deuxième soumise ?Le repas continua et lorsque j’eus fini de débarrasser la table, j’obéis aux consignes que ma maîtresse m’avait données avant de m’envoyer dehors. Lentement, je me déshabillai devant les invités et je leur déclarai :
— Je suis à vous, vous pouvez user de moi selon votre bon plaisir.
Une fois de plus, ce fut Gérard qui prit l’initiative. Il se leva du fauteuil et se déshabilla. Les deux autres suivirent son exemple, et bientôt, j’eus trois hommes nus, trois bites raides en face de moi. Je m’agenouillai en face d’eux et je commençai par les sucer alternativement. Puis Gérard, encore lui, me fit mettre à quatre pattes et me pénétra brutalement. Les autres continuaient à se faire sucer. Je sentais la bite de Gérard me défoncer la chatte et je commençais à prendre du plaisir. Il ne fallut pas longtemps avant qu’il ne se répande sur mon cul. Aussitôt, François prit sa place. Comme Gérard, il ne mit pas longtemps à jouir sur mon dos. Paul se plaça derrière moi et m’enfila. Au bout d’un moment, il se retira, enfonça ses doigts dans ma chatte et, lorsqu’ils furent bien lubrifiés, les introduisit dans mon cul. Il me le tritura quelques instants, puis je sentis son gland remplacer ses doigts. Il s’introduisit dans mon fondement et commença à me limer. Pendant ce temps, Gérard avait empoigné mes seins et les malaxait durement J’aimais tout ce qu’ils me faisaient mais je n’osais me branler, ma maîtresse ne m’ayant pas autorisée à le faire. Heureusement, François eut la bonne idée de me caresser la chatte. Je me sentais comme une chienne en chaleur sous l’assaut de mes trois mâles. Je ne résistai pas longtemps à ces caresses et je poussai un cri lorsque je jouis pour la première fois. Deux autres orgasmes m’emportèrent avant que Paul ne se lâche dans mon cul, aussitôt remplacé par François. Lorsque celui-ci eut jouit à son tour, Gérard m’encula lui aussi. Pendant plusieurs heures, je dus sucer des bites afin de leur redonner une vigueur, puis me faire saillir comme une salope. J’eus des bites dans tous mes trous et du sperme plein le cul, le visage, les seins, le dos. Pas un seul d’entre eux ne déchargea dans ma chatte.Tout au long de cette orgie, ma maîtresse et Solène n’avaient pas bougé. Pourtant, à plusieurs reprises, j’avais pu constater le regard de la jeune femme posé sur moi, et elle n’avait cessé de frotter ses cuisses l’une contre l’autre. J’eus même l’impression qu’elle avait pris du plaisir et avait jouis, surtout lorsque j’avais été prise par les trois trous en même temps.Vers deux heures du matin, tous nous quittèrent, remerciant Véronique pour cette fabuleuse soirée. Incapable de tenir debout, j’étais étendue de tout mon long sur le sol. Véronique revint après avoir raccompagné les invités et resta un moment assise dans le fauteuil près de moi. Lentement, comme émergent d’un rêve, je me redressai et me tournai vers elle. Je m’approchai et déposai des baisers sur ses pieds. Puis, je défis ses chaussures et commençai à lui lécher les orteils. Elle me laissa faire, amusée.
— Tu n’en as jamais assez. Tu es vraiment une belle salope.— Oui maîtresse, répondis-je en cessant un instant de lécher ses pieds, je suis votre salope, votre chienne.
Elle se mit debout, quitta son pantalon et son tee-shirt, puis se rassit, en string et soutien-gorge. Elle écarta les cuisses, les posa sur les accoudoirs et je pus voir l’auréole humide sur le devant de son sous-vêtement.
— Tu m’as excitée, salope. Maintenant, suce-moi la chatte, dit-elle d’une rauque de plaisir, fais-moi jouir.
Je ne me le fis pas dire deux fois. Je m’approchai de son entrejambe, respirant à plein poumon l’odeur de son excitation. Puis, d’une main, j’écartai le slip et commençai à lécher son bourgeon turgescent. Aussitôt, elle réagit en cambrant les reins. Ma langue monta et descendit tout le long de sa fente, s’arrêtant un instant, le temps de titiller le clitoris, puis repartait vers le bas. Les coups de reins de ma maîtresse en disaient long sur son appréciation et bientôt, elle se mit à haleter. Je ralentis mes caresses pour faire durer le plaisir, mais bientôt, elle ne put se retenir. Je sentis un liquide chaud, poivré se diluer sur ma langue. Je plaquai ma bouche sur sa chatte afin de ne pas en perdre une miette. Véronique jouit longuement dans ma bouche, inondant mon menton de cyprine. Lorsqu’elle se calma, je continuai un moment à la lécher. Elle finit par dire :
— Arrête, maintenant, cela suffit.— Bien maîtresse. Je vais débarrasser la table.
Je me mis au travail. Lorsque j’eus fini, ma maîtresse, toujours assise dans le fauteuil, mais dans une position plus classique, me demanda :
— Tu as apprécié cette soirée ?— Oui maîtresse. Beaucoup !— Beaucoup ?— Oui, à présent, j’aime être baisée, être une chose pour les autres, prises par tous les trous, recevoir du sperme partout ! j’aime être une salope, votre salope, maîtresse.— Eh bien, dis donc, que de changement en si peu de temps.— Oui maîtresse, ceci grâce à vous. Soyez-en remerciée. Je me donne à vous, corps et âme. Vous pouvez faire de moi ce que vous voulez, j’obéirai.— Oui, nous verrons. Qu’as-tu pensé de l’attitude de Solène ?— Je ne sais pas maîtresse. Il n’est pas de mon ressort de penser, je ne suis là que pour vous chérir et vous obéir !— Peut-être, mais là, je te demande ton avis !— Elle a semblé troublée par ma situation, maîtresse. On aurait dit qu’elle voulait être à ma place, ou plutôt, avec moi. J’ai vu que vous l’aviez remarqué, maîtresse.— Ainsi, tu l’as senti.— Oui maîtresse. Je peux vous dire que lorsque je me suis glissée entre ses cuisses pour la lécher, elle était particulièrement excitée. Sa culotte était mouillée et je sentais son odeur. D’ailleurs, elle m’a affolée et excitée comme jamais. Entre autre, elle n’a cessé de me fixer tout le temps durant lequel j’ai été le jouet des trois hommes. Elle passait son temps à frotter ses cuisses l’une contre l’autre. Peut-être s’est-elle-même laisser aller à jouir, mais cela, je ne peux en être certaine.— Tu as donc constaté la même chose que moi. Aimerais-tu avoir une compagne ?— Je vous ai déjà vous, maîtresse.— Bien sûr, mais je veux dire, une compagne de soumission !— Qu’il en soit fait selon votre désir, maîtresse !— Je vais y réfléchir. Allons dormir, Cybèle. Il est très tard.— Oui maîtresse, bonne nuit maîtresse.
Véronique quitta le salon et j’entendis bientôt la porte de sa chambre se fermer. Je rejoignis la mienne après avoir pris une douche. J’eus un peu de mal à retirer tout le sperme qui collait à ma peau depuis des heures. A peine couchée, je m’endormis comme une masse, sans même faire attention au fait que ma maîtresse ne m’avait pas attachée avant d’aller se coucher.
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