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La descente aux enfers d’Aurélie

Chapitre 6

SM / Fétichisme
Je me réveillai fort tard le matin suivant et je me précipitai dans la cuisine.ma maîtresse était déjà levée et avait préparé le petit déjeuner.
 Bonjour Cybèle, bien dormi ? Oui maîtresse. Je suis désolée maîtresse, de ne pas m’être occupée du petit déjeuner. Ne t’inquiète pas pour cela. Je l’ai fait exprès. Tu avais bien besoin de repos après la séance d’hier soir. Après ton petit déjeuner, ce sera le moment d’être fouettée. Bien maîtresse.
Je terminai de déjeuner, débarrassai la table te attendit les ordres de ma maitresse. Celle-ci m’emmena dans le salon et m’ordonna : Mets-toi à genoux, penchée en arrière, en appui sur les bras, cuisses bien écartées, tête en arrière. Je reviens tout de suite.
Je pris la position, sachant pertinemment ce qui m’attendait. Ma maîtresse allait me fouetter les seins, le ventre et la chatte. Cela ne faisait aucun doute. A cette idée, je sentis mon sexe mouiller. Une nouvelle fois, je me sentis salope. Que de changements en si peu de temps. En quelques mois, j’étais passée de bourgeoise frigide et hautaine, à salope nymphomane et masochiste. Quelle progression !Ma maîtresse revint avec sa cravache fétiche. Elle caressa ma peau avec le bout, allant de la pointe des seins à ma chatte. Je me tendis vers le cuir, cherchant un contact plus étroit encore. Ma maîtresse s’en aperçut et me lança :
 Tu es vraiment une maso, Cybèle. Tu aimes être fouettée. Oh oui, maîtresse, fouettez-moi sans pitié. Je suis une salope qui le mérite. Je ne vais pas te fouetter les seins et la chatte. N’oublie pas que tu vas être annelée mardi. Oh non, maîtresse, je ne l’oublie pas.
Véronique tourna autour de moi, caressant ma peau du cuir de la cravache, puis sans que je ne m’y attende, claqua le premier coup sur mon ventre. Je ne pus retenir un cri de douleur. Ma maîtresse n’en eut cure et me fouetta à quatre reprises. Je serrai les dents pour retenir mes cris.
 Mets-toi à quatre pattes, maintenant, dit ma maîtresse.
Je me mis en position et attendis. Je savais qu’elle aimait me faire attendre, espérer et redouter le premier coup. Une nouvelle fois, la cravache caressa mes fesses, mon dos, s’insinua entre mes cuisses et flatta ma chatte. Je coulais littéralement. Véronique s’en aperçut, car, en retirant la cravache, le bout était humide de ma mouille.
 Tu mouilles salope ! me dit-elle en riant.
 Oui maîtresse !
Je n’avais pas plutôt répondu que la cravache s’abattit violemment sur mes fesses. Je me cambrai sous la douleur et poussai un gémissement sourd. Un deuxième, puis un autre, un autre encore se suivirent à cadence rapide. Je reçu une dizaine de coups, sur les fesses et le dos. Lorsqu’elle cessa de me frapper, j’avais les cuisses trempées de désir et la chatte brûlante.
 Ne bouge pas, je reviens, déclara ma maîtresse.
Durant son absence, je contemplai les marques de coups sur mon ventre. Elle savait y faire et les traits rouges qui marbraient mon ventre n’allaient pas s’en aller de sitôt. Je passai un doigt sur les traits légèrement boursouflés et tressaillis de plaisir. Je n’eus pas le temps de faire autre chose. Du coin de l’œil, je vis Véronique revenir. Elle s’était harnachée d’un gode ceinture de bonne taille. Elle allait me baiser, peut-être même m’enculer, comme elle le faisait habituellement, à la hussarde, sans douceur.
 Debout, m’ordonna-t-elle, écarte les cuisses, penche-toi en avant et prend tes chevilles dans tes mains.
La position n’avait rien d’agréable et était peu stable. Mais je ne protestai pas, sachant qu’elle s’en moquait. Je sentis le gland du gode se poser contre ma chatte et d’une poussée, s’enfoncer dans mon vagin. Je faillis basculer vers l’avant et je redressai difficilement la position. Je poussai un grognement de satisfaction. Véronique me saisit aux hanches, enfonçant au passage ses ongles dans ma chair et commença à me besogner à grands coups de reins. Elle me bourrait la chatte violemment et à chaque coup, je sentais le gland cogner contre mon col. Je ne tardai pas à jouir du traitement, mais cela ne la calma pas pour autant et j’eus encore deux orgasmes avant qu’elle ne cesse d me baiser. Je m’écroulai sur le sol lorsqu’elle se retira et lâcha mes hanches. Elle vint devant moi et m’ordonna :
 Nettoie-le, salope, enlève ta cyprine de dessus.
Servilement, je m’agenouillai et embouchai la bite de latex. Lorsqu’elle jugea que c’était assez propre, elle me repoussa en arrière et je tombai, cuisses écartées. Elle jeta un regard blasé à ma chatte rouge d’avoir été besognée et quitta la pièce. Je me redressai en m’agenouillant, mains derrière la nuque. Je restai un bon quart d’heure dans cette position, avant qu’elle ne revienne.Véronique était habillée et je sentis une grosse pointe de déception de ne pas l’avoir fait moi-même.je me gardai bien d’en faire mention, mais, à son sourire, je sus qu’elle avait deviné mes pensées.
 Relève-toi et suis-moi.
Elle se rendit dans ma chambre, ouvrit l’armoire avec sa clé, armoire contenant des vêtements à ma taille, et sortit une robe bleue.
 Enfile-là, m’ordonna-t-elle.
Elle était parfaitement à ma taille. Toutefois, je la trouvais plutôt courte, car elle ne descendait qu’à environ trois centimètres en dessous de la fourche de mes cuisses. Cela voulait dire que toute position assise, tout mouvement de bras levé, dégagerait aussitôt mon pubis et exhiberait ma chatte et mon cul, cul, je le rappelle, marqué à la cravache. Toutefois, je savais qu’il était inutile d’en faire la remarque à ma maîtresse, car je savais que c’était exactement l’effet qu’elle tenait à avoir. Elle compléta mon habillement par des escarpins mi- hauts, de même couleur, et m’intima l’ordre de la suivre. Où allions-nous ? Depuis que j’étais devenue son esclave, je n’avais jamais mis le nez dehors. Elle prit les clés de sa voiture et se dirigea vers la porte de l’appartement. Quelques instants plus tard, nous quittions l’immeuble. Elle se dirigea vers la sortie de la ville, et s’arrêta dans une pharmacie ouverte tous les jours, même le dimanche. Lorsqu’elle revint, je ne sus pas ce qu’elle avait acheté, elle n’avait rien dans les mains. Nous reprîmes la route, et, bientôt nous entrâmes dans le bois de C… Je commençais à voir où Véronique m’emmenait. Elle bifurqua sur une route forestière et s’arrêta sur un parking assez encombré. Il y avait là de nombreux joggers et quelques joggeuses. Certains d’entre eux effectuaient des étirements, d’autres semblaient s’échauffer avant de partir courir.
 Viens, suis-moi, me dit-elle en sortant de la voiture.
Je la suivis, ne voyant pas vraiment où elle voulait en venir réellement. Elle se dirigea vers une table, dans un coin retiré du parking et me dit :
 Assied-toi sur la table, pieds sur le banc et écarte les cuisses.
Devant mon hésitation, elle éleva la voix.
 Qu’est-ce que j’ai dit ? Tu es sourde ? Assise sur la table, cuisses écartées, dépêche-toi !
Vaincue, je montai sur le banc, non sans dévoiler mon intimité à tous les curieux qui s’étaient tournés vers moi, et m’assis sur la table, écartant les cuisses. C’était la première fois que j’étais ainsi exhibée devant des inconnus et je sentis bientôt un trouble m’envahir. Sans même m’en rendre compte, j’écartai plus encore les cuisses, ce que ma maîtresse, elle, s’aperçut. Elle me gratifia d’un sourire et se retourna vers les gens qui commençaient à s’approcher.Les regards lubriques des hommes m’excitaient et je sentis ma chatte se liquéfier. Je fus surprise par la présence de femmes parmi les voyeurs. Il y en avait trois, toutes en tenue de jogging, et apparemment plus intéressées par ma plastique que par l’envie d’aller courir. Il y avait également cinq hommes, dont deux au moins étaient les compagnons de joggeuses. L’un des hommes s’approcha de Véronique et demanda :
 On peut la toucher ou c’est juste de l’exhibition ? Qu’en penses-tu Cybèle ? On peut me toucher, maîtresse, si vous le désirez ! Maîtresse ? remarqua l’homme, elle est soumise ? Oui, monsieur, je suis soumise à ma maîtresse, répondis-je suite à un regard impérieux de ma maîtresse. Je suis aussi salope et masochiste, monsieur. Vous pouvez user et abuser de moi.
Sans rien ajouter d’autre, l’homme s’avança. Sa main se posa sur ma cheville, pendant que ses yeux ne quittaient pas ma chatte de vue. Il n’eut aucun mal à se rendre compte que j’étais trempée.
 Oh, la salope, elle est trempée.
La voix qui venait de s’élever n’était pas celle d’un homme, mais de la petite femme qui se serrait contre son compagnon, fixant avec intérêt mon entrecuisse luisant. Pendant ce temps, la main de l’homme remonta le long de ma cuisse et ne tarda pas à caresser mon chaton glabre. Il insinua deux doigts dans ma chatte et lança un va et vient qui me fit haleter. J’aurais été bien incapable de dire à quoi il ressemblait. En bonne soumise, j’avais gardé la tête baissée. Par contre, de cette façon, j’avais une vision parfaite sur la bosse qui déformait son cycliste. Ses doigts enserraient maintenant mon clitoris et le titillaient en douceur. Je sentis le plaisir monter en moi, l’humiliation d’être ainsi exhibée, tripotée ajoutait encore à la caresse précise. J’entendis l’homme demander à ma maîtresse :
 On peut la baiser ? Répond, Cybèle ! Oui monsieur. Vous pouvez me baiser, m’enculer, me faire tailler une pipe, comme il vous plaira. D’accord, je veux te baiser. Prépare-toi ! Retire ta robe, Cybèle, m’intima ma maîtresse.
Plusieurs personnes ne purent retenir des petits cris de surprise lorsque je me présentai, nue devant eux. Les marbrures de mon ventre, de mon dos et de mes fesses les laissaient ébahis. Je me rassis sur la table et attendit que l’homme qui voulait me baiser m’indiqua la position. Véronique lui tendit un petit sachet. Un préservatif. Voilà ce qu’elle avait acheté dans la pharmacie. L’homme baissa son cycliste et une bite de taille moyenne, assez épaisse me sauta à la vue. L’homme enfila le préservatif, s’approcha de moi et me coucha sur la table. Je grimaçai quelque peu, car le contact du bois raviva la douleur de mes coups. Il me tira pour amener mes fesses au bord de la table, positionna mes chevilles sur ses épaules, présenta le gland devant mes lèvres et m’enfila d’un seul coup de reins.
 Oh, la salope, elle est brûlante, dit-il en commençant à me besogner.
A chaque coup de reins, ses couilles venaient heurter mes fesses et cela décupla mon excitation. Ses va et vient faisaient un clapotis dans ma chatte. Je me sentais tellement bien et en même temps tellement humiliée. Véronique savait ce qu’elle faisait en m’amenant ici et en me donnant à ces hommes. L’homme qui me baisait commença à m’insulter :
 Oh la salope ! Sa chatte est brûlante, une vraie fontaine. Ça coule sur mes couilles. Quelle truie ! Elle aime se faire défoncer. Ah, ça vient. Je jouis. Tiens, prend ça, salope !
Quelques coups de reins désordonnés m’apprirent que l’homme jouissait dans ma chatte. Malheureusement, la capote m’empêchait de savourer pleinement l’éjaculation de celui qui me saillait. Lorsqu’il se dégagea, il fut aussitôt remplacé par un autre qui me baisa tout aussi vigoureusement, mais en silence. Au moment où il éjacula, j’eus un formidable orgasme qui me tordit les entrailles. Des mains me retournèrent et me firent me positionner à quatre pattes. L’homme me baisa en levrette, cette fois-ci.Lorsque tout cela cessa, lorsqu’il n’y eut plus personne à me baiser, j’avais quelque peu perdu la notion du temps. La seule chose dont j’étais sûre, c’est que j’avais été saillie un certain nombre de fois. J’avais également ressentit trois ou quatre orgasmes.A présent, il ne restait plus que le petit couple près de nous. Celui dont la femme avait commenté mon excitation. Il s’approche de ma maîtresse et l’homme demanda :
 Je ne voudrais pas vous déranger, mais puis-je vous poser quelques questions ? Bien sûr, répondit Véronique, que voulez-vous savoir ? Mon épouse serait éventuellement attirée par la soumission et aimerait avoir des renseignements sur cette pratique. Et comme vous semblez vous y connaître… Accepteriez-vous de venir prendre l’apéritif à la maison, demanda la femme, comme cela, nous pourrions parler plus librement. D’accord, déclara ma maîtresse, nous allons loin ?  Non, répondit l’homme, c’est à cinq minutes d’ici. Allez, rhabille-toi m’ordonna ma maîtresse.
Je repassai ma robe et nous prîmes notre voiture, suivant nos hôtes jusque chez eux. Ils habitaient un petit pavillon coquet qui respirait le bien-être. Le couple semblait à l’aise financièrement. Nous entrâmes dans le salon et ils nous invitèrent à nous asseoir. Véronique se positionna dans un fauteuil en cuir moelleux et je vins m’agenouiller à ses côtés, cuisses écartées, mains derrière la nuque, tête baissée. Le couple s’assit sur le divan, nous faisant face. Je savais qu’ils avaient un vue complète sur mon sexe découvert. Après avoir servi l’apéritif, auquel je n’avais pas droit, les questions commencèrent :
 Comment devient-on une soumise, demanda la femme. Répond, Cybèle, ordonna ma maîtresse. Il n’y a pas de façon particulière, madame, répondis-je. Moi, c’est à la suite de la perte de mon travail. Je me suis sentie inutile. Il faut dire que je n’étais pas douée, que ce soit en amour ou en cuisine, par exemple. Mon compagnon a commencé à me rabaisser et m’humilier et j’ai apprécié. Je me suis soumise à lui. Ensuite, comme il a dû partir à l’étranger, il m’a laissé entre les mains de sa nouvelle compagne, qui est devenue ma maîtresse. Il faut dire, renchérit ma maîtresse, qu’avant, Cybèle était ma supérieure hiérarchique. Elle me traitait de haut, ainsi que tous ses subordonnés. Par vengeance, je lui ai piqué son compagnon et j’ai fait d’elle mon esclave. N’est-ce pas, Cybèle ? Oui maîtresse, c’est tout à fait exact ! Et vous ne le regrettez pas ? demanda la femme. Non, madame. Oh, vous pouvez m’appeler Elise. Certainement pas, rétorqua Véronique. Une esclave n’a le droit qu’à quelques mots pour parler à quelqu’un : maître, maîtresse, monsieur ou madame. Aucun prénom, aucune familiarité. c’est indispensable. L’esclave n’est rien. Il n’a aucun droit, sinon celui de servir son maître, sa maîtresse ou quel qu’autre personne désignée par lui ou elle. Et cette position ? demanda l’homme en me désignant. C’est la position d’attente la plus courante. Il existe des variantes, plus ou moins dure pour l’esclave. Tout d’abord la position à genoux peut être, talons aux fesses ou bien droit, les cuisses à angle droit par rapport aux mollets. Ensuite les mains et les bras, deux possibilités, les mains derrière la nuque ou bras croisés dans le dos. Vous pouvez imaginer ce que donne une position à genoux, bien droit, les mains derrière la tête. Un esclave aura bien du mal à garder cette position longtemps. Est-il nécessaire que l’esclave soit à genoux ? continua l’homme. Non, bien sûr, mais quel meilleur moyen de lui faire sentir son infériorité ! L’épilation est-elle obligatoire ? dit à son tour la femme, je vois qu’elle est entièrement épilée. En général, oui. C’est le lot des esclaves. Si c’est un esclave qui ne travaille pas à l’extérieur, vous pouvez aussi lui raser les cheveux, épiler les sourcils, comme bon vous chante. Votre esclave reste toujours à la maison, ou travaille-t-elle ? Elle reste à la maison. Elle est enchaînée en permanence et porte des bracelets d’immobilisation aux chevilles et aux poignets. De plus, elle vit nue et ne dispose d’aucun vêtement. Tous sont enfermés dans une armoire dont je détiens la clé.  Allez-vous lui faire ce que vous avez dit ?  Sans doute. Pour l’instant, elle n’est qu’au début de son dressage. J’ai vu que vous l’aviez fouettée, reprit l’homme. Oui. Il y a deux sortes d’esclave, normal et masochiste. L’esclave normal ne doit être fouetté que lorsqu’il commet une erreur. L’esclave masochiste adore être fouetté. Cybèle est de cette race. Alors, tous les quatre à cinq jours, je la fouette pour qu’elle ait des marques toujours fraîches. Ce qui n’augure en rien des punitions, si elle commet une erreur. Et l’amour, demanda timidement la femme. Il n’y a pas d’amour dans la relation entre un esclave et une maîtresse, sinon celui de l’esclave pour sa maîtresse. Quant à l’acte sexuel, pas de caresses pour l’esclave. On baise, on saille une esclave, on ne lui fait pas l’amour. Jamais ! l’enculer est souvent nécessaire. Cela permet de remettre l’esclave à sa place. Que pouvez-vous nous dire d’autre sur la soumission, la relation entre un maître et un esclave ? Pour ma part, je vais faire anneler mon esclave. Cela se fait beaucoup. Bientôt ses seins seront ornés de gros anneaux, suffisamment lourds pour distendre ses tétons et faire affaisser ses minuscules seins. A sa chatte, d’autres anneaux ayant deux fonctions. La première, distendre ses lèvres pour les faire pendre, elles aussi. Ensuite, pouvoir interdire tout accès à son vagin en cadenassant ensemble les anneaux. De plus, je vais la faire marquer. Là encore, plusieurs possibilités, les plus courantes étant le tatouage ou le marquage au fer rouge.  Peut-on avoir plusieurs esclaves ? Bien sûr. Certains en ont une dizaine. Mais cela fait beaucoup. Je pense en avoir deux. J’ai en vue une autre collègue qui semble avoir des dispositions. Voilà, vous savez tout, à vous de voir, monsieur, si madame se sent capable de se soumettre.
Sur ces mots nous quittâmes le couple pour aller déjeuner. Pour une fois, j’eus le droit de manger assise en face de ma maîtresse. Tout au long du repas, je la sentis pensive, mais je n’osai pas lui en demander la raison. Il lui appartenait de m’en faire part si elle l’estimait nécessaire. A la fin du repas, elle m’entraîna une nouvelle fois dans un bois. Au bout d’un moment, nous parvînmes à une clairière. Ma maîtresse hésita un instant, soupira et étala à terre la couverture qu’elle avait apportée. Elle s’étendit dessus et me fit signe de venir à côté d’elle. Elle me considéra un instant, puis me demanda :
 Tu as aimé te faire baiser tout à l’heure ? Oui maîtresse. Pourquoi ? Je me suis sentie ravalée au rang d’objet, de trou à boucher. Rien d’autre. J’aime n’avoir aucun choix, maîtresse, vous obéir sans discussion.  N’as-tu aucun regret ? Si, maîtresse. J’aurais aimé qu’ils me baisent sans capote, afin de me remplir de sperme, qu’ils m’enculent et m’obligent à les sucer. Sans capote ? tu n’as pas peur ?  Un peu, maîtresse. C’est pour cela que je n’ai rien dit.  Tu aimerais que je te prostitue ? Oh oui, maîtresse, j’adorerais. Tu es sûre ? Sûre et certaine, maîtresse. Devenir un réceptacle à sperme, avoir les trois trous remplis. Et recevoir de l’argent pour cela, de l’argent qui vous reviendra de droit, maîtresse. Bon, d’accord. Dès que tu seras annelée, je créerai un site où je te proposerai à la location. Je te prostituerai à des hommes ou à des couples. D’accord ? D’accord maîtresse. Je demanderai que chaque client fournisse un test HIV de moins de trois mois. Comme cela, il pourra te baiser sans capote. Oh merci maîtresse !  Eh bien, dis donc, que de changement en si peu de temps. Vous avez su me révéler ma véritable nature, maîtresse. Rentrons, nous allons faire des photos pour le site.
Nous rentrâmes rapidement à l’appartement. Véronique me fit me déshabiller et commença à prendre des photos.je dus prendre de nombreuses positions, à genoux, cuisses écartées, mains derrière la nuque, tête baissée. A quatre pattes, exposant ma chatte et mon dos zébré, de face, avec mon ventre fouetté bien visible, tête plaquée au sol, cul relevé, exposant ma chatte et mon anus, à plat ventre, jambes ouvertes, coups de cravache bien visibles. Je me demandais si l’on verrait sur les photos l’état d’excitation dans lequel je me trouvais. La séance se termina au bout d’une demi-heure et ma maîtresse mit les photos sur l’ordinateur afin de choisir celles qui figureraient sur le site. Elle choisit une photo de face où mon visage reconnaissable et les marques bien visibles, une où j’étais à quatre pattes, une où je montrais mon cul, écartant les fesses de mes mains, ouvrant ma chatte et mon trou du cul. Cela fait, elle déclara :
 Nous attendrons mardi pour mettre le reste, lorsque tu auras tes anneaux. Maintenant, il faudrait rédiger l’annonce. Voilà ce que l’on pourrait mettre :
Elle, Cybèle, 27 ans, mince, petits seins (85 A), annelée seins et sexe, tatouée, fouettée régulièrement, soumise, masochiste, très disponible, heureuse de servir de vide couilles par tous ses trous, véritable sac à foutre, Est louée par sa maîtresse à homme, groupe d’hommes, couples, à l’heure, à la demi-journée, la journée. Adore fessée, palette. Pas de fouet ni de cravache.Certificat HIV négatif de moins de trois mois, vous permettra de la baiser sans préservatif. Contact au 06 XX XX XX XX.
En relisant l’annonce, je sentis ma chatte se liquéfier. Je faillis jouir ainsi, sans même me toucher.
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