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Le désir d'enfanter de Magalie

Chapitre 2

Mon mari me regarde avec un autre

Hétéro
Sagement couchée sur le bureau de travail, les yeux bandés, mon mari me tenait les deux mains comme pour me rassurer, mais je le sentais lui-même nerveux, peut-être plus que moi. L’homme s’avançait lentement vers nous. J’étais prête à le recevoir.
Après ma tentative ratée de tomber enceinte via un inconnu à l’insu de mon mari, j’avais décidé d’arrêter ce jeu dangereux. Nous savions maintenant, après avoir passé une série d’examens, que c’était Stéphane le maillon faible dans l’équation. Au moins, maintenant c’était plus clair et nous pouvions à commencer à envisager nos options.
Après plusieurs semaines de réflexion, nous avions finalement tranché. Nous ne voulions pas de procréation assistée pour une foule de raisons, délais, coûts, tout l’aspect artificiel de la chose. Surtout, nous voulions un enfant qui avait les caractéristiques physiques de mon conjoint et moi, nous voulions choisir le géniteur. Aussi, Stéphane tenait à ce que ça demeure un secret, que sa famille croit que notre enfant venait de nous deux. En fait, c’est surtout lui qui avait élaboré le plan, c’est de lui que venait l’idée, il m’avait convaincu. J’avais fini par accepter.
Mon mari avait tout prévu dans les moindres détails, il est de nature très organisé. Premièrement, il avait lui-même choisi l’homme qui allait me copuler, ça allait être sa contribution disait-il. J’avais évidemment un droit de veto que je n’ai pas exercé car après avoir vu la photo du type en question, j’étais satisfaite. Il avait sélectionné une version améliorée et plus jeune que lui! C’était un beau grand jeune homme de vingt ans! J’en avais vingt-huit et mon mari quarante. Il disait que sa semence serait de meilleure qualité vu son âge. Je n’avais aucune idée où il l’avait déniché, son nom devait me rester inconnu et vice versa. C’était plus simple d’un point de vue légal. Il allait m’ensemencer et disparaître à jamais.
Stéphane avait loué une chambre d’hôtel dans une autre ville, loin de la maison. Il avait établi toute une série de consignes à respecter afin que tout se passe rapidement et efficacement. Je soupçonne aussi qu’il voulait être sûr que la relation demeure le plus platonique possible, il ne voulait pas voir sa femme prendre trop son pied avec un autre homme. Il avait même décidé d’être présent dans la chambre. Je m’étais promise de demeurer silencieuse durant l’acte et de ne démontrer aucun intérêt envers l’homme, par respect pour mon conjoint. L’homme avait promis de faire rapidement et d’arriver à la chambre prêt à jouer son rôle immédiatement. À cet âge c’est plus facile!

J’enfile une petite robe d’été sous laquelle je ne porte aucun petite culotte pendant que Stéphane éteint les lumières. Il me bande les yeux puis je me retourne pour l’embrasser et lui dire que je l’aime juste avant de me coucher sur la petite table de travail qu’il avait pris soin de placer au centre de la pièce. Il texte aussitôt à l’homme de venir à la chambre. Je présume qu’il devait attendre le signal de mon mari tout prêt, dans le hall d’entrée de l’hôtel peut-être. Rapidement on cogne à la porte, l’homme entre. Il s’avance en silence vers nous. Mon mari est debout derrière moi et nous nous tenons les deux mains. J’entends une ceinture se dénouer puis un pantalon tomber. Debout face à moi, il s’avance entre mes jambes qu’il prend et écarte doucement. Ma robe se retrousse sur mon ventre, révélant ma chatte que j’avais pris soin de raser, au risque de fâcher Stéphane. Ce dernier avait prévu une petite bouteille de lubrifiant sur le coin du meuble, j’ai presque honte de ne pas en avoir besoin, ma chatte est déjà toute humide. L’homme presse son entrejambe contre ma chatte humide, je sens sa queue déjà bien dure à travers le tissu de son boxer. Il semblait attendre ce moment avec impatience.
Au moment où l’homme abaisse son sous-vêtements, les deux mains de Stéphane se crispent autour des miennes, comme pris de panique. Aussitôt, le géniteur place son gland sur mes petites lèvres et lentement il s’introduit en moi. Je comprends alors la réaction de mon mari. Son pénis est énorme. Il doit faire le double de celui de Stéphane en diamètre, mon mari n’avait pas prévu ça. Lentement, il s’insère en moi laissant le temps à mes lèvres d’accommoder cette masse énorme, de s’étirer au-delà d’un niveau qu’elles n’avaient jamais eu à franchir auparavant. Sa verge fini par entrer non sans difficulté, il est tellement plus long que Stéphane, j’ai l’impression qu’il touche au fond de mon utérus. Je suis craintive à l’idée que cette chose me pistonnera sous peu, je crains la douleur mais du même coup je suis de plus en plus excitée. J’imagine le desarroi de mon conjoint qui constate que sa petite femme peut prendre un pénis à ce point plus imposant que le sien, j’ai peur qu’il se sente humilié…
L’inconnu commence alors ses mouvements de va-et-vient en moi. Son engin me prend sur toute sa longueur, je suis moi-même étonnée de voir qu’une toute petite femme comme moi puisse accueillir en son sein et avec tant d’aisance un phallus si considérable. Non seulement il n’y a pas de douleur mais la sensation est fantastique. À mesure que l’homme coulisse lentement en moi, je réalise à quel point me faire baiser par une si grosse queue avait été un manque dans ma vie sexuelle. Mon mari n’est jamais parvenu à me faire jouir par simple pénétration. L’excitation monte très vite en moi, je tente de rester impassible, je ne veux pas que Stéphane soit témoin de mon plaisir, je ne veux pas le vexer. Mais c’est trop ardu, tous les ingrédients sont présents pour que j’atteigne le septième ciel. Les éléments d’un fantasme longtemps refoulé refont surface. Le fait d’être en quelque sorte contrainte, d’être retenue, d’avoir les yeux bandés et surtout d’être copulé par une verge massive, tout ça m’enflamme à un point que je n’aurais pas cru possible. J’en viens à me demander si le fait que Stéphane soit temoin impuissant de tout ça n’ajoute pas au fantasme. À mesure que l’homme me prend et que le plaisir continue de monter en moi, j’en ai presque la certitude.
Il me baise de plus en plus vigoureusement, je suis incapable de me retenir, les sons de plaisir qui sortent de ma bouche sont de moins en moins discrets. La sensation d’être possédée par une queue si puissante est grisante, je ne me suis jamais sentie aussi femme. Mes clameurs sont maintenant évidentes, je n’y peux rien. Mon mari doit me retenir pour que je reste bien en place dû aux coups de bassin de l’invité qui sont de plus en plus francs. Désormais, j’émets des sons de plaisir très clairs et très audibles, je ne peux plus cacher ma satisfaction à Stéphane. Il est évident pour lui que sa femme prend son pied comme jamais alors que ce n’était pas le but de l’exercice du tout!
Il demande à l’homme d’en finir. Ce dernier ne se fait pas prier, il relève mes deux jambes vers le haut et pose mes mollets sur ses épaules. Il commence alors à me sauter brutalement, son énorme pénis pénétrant encore plus loin en moi. Ses abdominaux durs frappent contre mon bas ventre à chaque coup. Je cris. Désormais je n’ai plus aucune retenue, je suis incapable de jouer la comedie, ma respiration est de plus en plus intense, je m’accroche aux mains de mon mari pendant que la verge me laboure. Le dessus de ma tête est appuyé sur son entrejambe, je ressens quelque chose de très dur, j’ai peine à y croire, il est en érection. Clairement, Stéphane est excité de voir sa petite femme se faire défoncer par un inconnu et y prendre plaisir. C’est la goutte qui fait déborder le vase, je jouis, l’orgasme que me procure cet homme est époustouflant, intense, profond, long. Je cris comme une actrice de film porno. Je me trouve presque ridicule de m’exclamer ainsi mais je n’y peux tout simplement rien, c’est le meilleur orgasme de ma vie, mon premier orgasme purement vaginal. Le genre d’orgasme que mon conjoint n’a jamais pu m’offrir, debout derrière moi, il le sait très bien et ça l’excite autant que moi.
Puis une chaleur se répand en moi, je sens plusieurs giclées de sperme me tapisser l’utérus, les mouvements ralentissent, il vient de m’ensemencer. Je profite de la sensation d’avoir cette immense queue en moi encore quelques secondes. Il se retire finalement, se rhabille et repart aussi vite qu’il est arrivé sans mot dire. Les yeux fermés, mon mari debout à mes côtés, nous nous tenons encore les mains. Je demeure ainsi étendue sur la table de longues minutes, pour donner toutes les chances au foutre de bien m’imprégner. J’espère de tout mon cœur tomber enceinte mais je souhaite également que ça ne soit pas la dernière fois que je goûte au plaisir d’un homme pourvu adéquatement pour satisfaire mes fantasmes. Plus je réfléchie, plus je me convaincs que ça ne sera pas la dernière fois, mon mari devra s’y faire. Il devra aussi se faire à l’idée, qu’à l’avenir, il devra me regarder commettre l’adultère devant lui. 
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