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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Je désire mon fils

Chapitre 2

Hétéro
Merci pour vos témoignages et vos conseils.
J’ai commencé par le plus facile à suivre : Faire en sorte que mon fils voit le souvent possible mon corps. J’ai donc changé mes habitudes :Je laisse toujours les portes de ma chambre et de la salle de bain entrouvertes.Je dors avec une chemise de nuit bien plus courte et sans culotte.Je ne porte plus de soutien-gorge sous mes corsages . J’ai d’ailleurs constaté que le frottement de l’étoffe sur la pointe de mes seins me fait de l’effet, au point que je dois, quelquefois me soulager par une rapide masturbation, debout les jambes écartées, penchée en avant, ma main gauche appuyée contre le mur, ma main droite s’activant sous ma jupe. Comme mon bourgeon est déjà en alerte, je jouis très vite en gémissant et, bien des fois, je me suis écroulée sur le sol vaincue par l’orgasme.Dès que mon fils rentre à la maison, je retire ma culotte, pas toujours discrètement.Je déploies ensuite des trésors d’ ingéniosité pour lui montrer mes fesses sans en avoir l’air.
J’ai vite constaté un changement dans l’attitude de Jean.Son regard notamment, une lueur dans son oeil surtout.Il a perdu son air rêveur pour devenir plus attentif.Et puis il a complètement arrêté de parler de sexe comme il le faisait auparavant, en plaisantant grassement sur ses copines.Il s’écarte, gêné, quand il est assis à côté de moi et qu’il me touche par inadvertance alors qu’en temps normal il est à la fois à l’aise et indifférent.Le pauvre chéri me fait fondre et j’ai envie de le prendre dans mes bras et le couvrir de baiser.A plusieurs reprises, bien qu’il fasse tout pour la cacher, je remarque qu’une bosse bien caractéristique déforme son pantalonQuelques fois il file précipitamment dans sa chambre, sans un mot, pour ressortir, quelques instants plus tardle visage rouge mais apaisé.Manifestement, je fais de l’effet à mon fils.J’aimerai profiter de la situation, mais je n’arrive pas à me décider sur la façon d’agir. Mon désir, aussi puissant soit il, est bloqué par je ne sais quelle convenance, et quand l’occasion est passée, je le regrette amèrement.Et puis la nuit dernière....
Je vous ai déjà dit que je prends des somnifères pour dormir.Comme Jean ne ramenait plus de filles à la maison, je n’ai pas arrêté mon traitement. Je l’ai au contraire forcé un peu, pour calmer ma tension.
Un matin je me réveille avec une impression bizarre, une sensation curieuse entre les cuisses.J’y porte ma main : je suis trempée. Ma vulve dégouline et mes poils sont tout poisseux.Je me redresse brusquement, sans comprendre et j’inspecte le drap.Ce que j’y découvre me remplit d’effroi et de joie mêlés.A côté de mon jus qui avait coulé abondamment, il y a des traces bien caractéristiques : DU SPERMEIl a beau avoir été essuyé , la giclée avait dut être si forte que les restes sont bien visibles.Ce sperme ne peut venir que de mon fils ... Ma tête est prête à exploser.Que s’est il passé exactement ?Quelle doit être ma réaction ?Jean va -t-il assumer ?Tout se bouscule dans mon esprit et je manque fondre en larmes.Si prête du but que je me suis fixé, j’angoisse. Que vais je faire ?Nous sommes dimanche et Jean est sûrement dans sa chambre. Je suis paralysée.Je décide d’aller me laver dans le bidet. Je reste longtemps à me rincer tout en réfléchissant. C’est décidé, il faut absolument que je parle à mon filsJ’enfile une robe de chambre et me dirige vers la porte de sa chambre.Je frappe ... pas de réponse. Je recommence ... toujours rien.J’ouvre la porte, inquiète, et je trouve Jean, assis sur le lit, vêtu de son boxer, prostré et le regard vide.— ? Jean ! ... Jean mon chéri, que se passe t il ? ?Mon fils me regarde et ses yeux se mouillent.— ? oh maman j’ai trop honte ?— ? mais non mon chéri ?— ? maman je t’ai touchée pendant que tu dormais, tu étais trop belle sur ton lit, la chemise relevée, les cuisses écartées. Je t’ai touchée avec ma main. Tu mouillais dans ton sommeil. J’ai enfoncé mon doigt dans ta fente, tu t’es mise à gémir, j’ai continué ?Il parle vite, sans s’arrêter et moi je l’écoute, tétanisée.
— ? je t’ai touché avec ma langue aussi, j’ai bu ton jus, j’ai léché ton bouton. Tu gémissais de plus en plus fort, tu remuais la tête, comme pour dire non. Et puis tu t’es cabrée en donnant de grands coups de reins. J’avais le visage écrasé sur tes poils mouillés, je ne pouvais plus respirer. Pour finir, tu as poussé un cri de bête blessée et tu n’as plus bougée. Mon excitation était à son comble. J’ai baissé mon boxer pour libérer mon sexe et... J’AI VOULU TE BAISER MAMAN !! Pardon maman ! Oh pardon ! Heureusement mon envie était trop forte et j’ai déchargé sur le lit avant de pouvoir te pénétrer.?Il bredouille, des sanglots dans la voix.— ? je t’ai souillée, maman! Jamais je ne me le pardonnerai ?Je m’assois sur le lit et je le serre avec tendresse dans mes bras .Je suis toute molle car son récit a éveillé mes sens.— ?Jean, moi je te pardonne d’autant plus que je suis la seule responsable. ?— ?Comment ça ? ?— ?Je te désire depuis longtemps mon fils et ces derniers temps j’ai tout fait pour t’aguicher. ?Il me regarde avec des yeux ronds et je le sens se détendre .Alors j’attire son visage et je l’embrasse à pleine bouche . Ma langue cherche la sienne.Le baiser dure... dure... passionné.Sa main passe sous ma robe de chambre et s’empare de ma poitrine avec détermination.Je lui caresse moi aussi la poitrine. Ses muscles sont fermes, sa peau douce. Je suis aux anges. Mon entre-jambe est trempé et attend sa main .Elle est bien trop occupée par mes seins qui durcissent sous la caresse.La mienne, en revanche, est trop impatiente. Elle descend, rencontre la ceinture du boxer, descend encore et touche l’objet de mes désirs. Nos bouches se quittent :— ?Oh maman, je t’aime. ? ?Mon fils chéri. ?Tout va très vite. A deux mains, je tire son slip vers le bas. Son sexe se dresse triomphant.Je ne l’ai jamais vu d’aussi près mais je ne m’attarde pas.J’écarte les pans de ma robe de chambre et je m’allonge sur le lit, entraînant Jean sur moi.Sa poitrine s’écrase sur mes seins, je le serre de toutes mes forces.Je lui mitraille le visage de mille baisers. Il me sourit.Je sens son sexe impatient sur mon ventre, je desserre mon étreinte, j’écarte les cuisses et j’insinue ma main entre nos deux corps.Je prends son pénis à pleine main et l’introduit entre mes lèvres. Il entre en moi doucement et nous poussons ensemble un long soupir. Jean ne bouge pas, il ferme les yeux, savourant ce plaisir.Il me remplit ! Une joie immense m’envahit.JE FAIS L’AMOUR AVEC MON FILS !Je resserre les muscles de mon vagin sur ce membre qui commence à bouger. Mes mains se crispent sur ses fesses pour lui donner le rythme.Un sublime va et vient commence. Le sexe de mon fils coulisse avec force et douceur dans mes chairs lubrifiées.Jean halète, son plaisir ne va pas tarder. Tant pis si je ne jouis pas, pourvu qu’il soit heureux.Mais Jean résiste, ses coups de reins s’accélèrent. La chaleur enfle dans mon ventre.Et le plaisir commence à monter dans mes entrailles. Je cris maintenant à chaque coup de boutoir.Mon fils grogne, il accélère encore... et soudain il se fige... planté au plus profond de moi.Il jouit en poussant un cri bref et lâche sa semence avec des secousses terribles.Les jets de sperme me foudroient ... Je hurle de joie en secouant la tête.J’entoure les fesses de Jean avec mes jambes et je serre fort. Je le garde en moi de longues minutes en lui disant que je l’aimePuis je le libère. Il se redresse me laissant sur le lit les jambes écartéesJe sens sa semence s’écouler de ma vulve.Il me regarde ... Et ce que je lis dans ses yeux me fait comprendre que ceci aura une suite.Une suite au delà de toutes mes espérances.


Louise looisse@caramail .com
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