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Le dessert

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Pour fêter notre anniversaire, dans ce restaurant gastronomique, tu m’avais gâté : apprêtée comme rarement, tu étais sublime dans ta robe noire fluide qui tombait sur tes formes à croquer. Elle masquait subtilement ta poitrine que je savais libre dessous, et dévoilait une partie de tes cuisses galbées. Tes cheveux tombaient en cascade dans ton dos partiellement nu, et portaient ton parfum que j’aimais tant. Les plats défilaient, raffinés et novateurs, et enchantaient nos papilles. Nous caressant du bout des doigts, nous savourions ce moment parfait.Ton petit manège ne m’avait pas échappé, et m’amusait follement : à chaque passage d’un certain serveur, ton regard fuyait et tu le détaillais de pied en cap, gourmande. Il était grand et élancé, moulé dans sa chemise noire, et il faut bien avouer que son pantalon lui faisait un cul sûrement très appétissant pour une demoiselle. Je te sentais excitée, te voyais te tortiller sur ta chaise, imaginant je ne sais quoi.Le plan avait germé dans ma tête tout au long du repas, et après la commande du dessert, j’étais prêt.
— Il te plaît hein ?. A la fois coquine et rougissante, — Ui…
Je caressai de manière un peu plus appuyée ta main, te souris, malicieux, et appelai ledit serveur. Tu me fusillas du regard, soudain alarmée. Je me levai à son arrivée, et te tournai le dos, lui te faisant face. Je lui glissai quelques mots, il te jeta un regard par-dessus mon épaule. Tu ne savais plus où te mettre. Il acquiesça, et s’en fut. Je me rassis, histoire de te faire mariner un peu.
— Qu’est-ce que tu lui as dit ?. Silence. — Tu lui as quand même pas dit qu’il me plaisait ! Hein ?!
Nouveau silence. Je quittai enfin ma chaise, sans te laisser le choix, pris ta main, et t’enjoignis de me suivre. Nous traversâmes la salle, descendîmes à l’étage inférieur. Les toilettes étaient spacieuses, dominées de marbre, très classes, et manifestement désertes. Je choisis la dernière cabine et t’y poussai. Sans te laisser le temps de respirer, je plaquai ton buste contre la paroi et me collai à toi. Je retroussai ta robe, dégageant tes fesses. Je plongeai sans attendre dans ta culotte, et pris à pleine main ta vulve, trempée comme il se doit. Ton appréhension passagère avait laissé place à l’excitation qui te rongeait depuis le début du repas, et le désir lâchait la bonde.
— Alors comme ça, tu as envie de lui ? te glissai-je à l’oreille, faussement jaloux.
Je te pénétrai sans ménagement de trois doigts, et tu gémis de plaisir. J’écrasai mon pubis contre tes fesses, dévoilant une érection conforme à tes attentes. De mon autre main, je caressai l’intérieur de tes cuisses, te rendant folle d’impatience, immobilisée et impuissante contre le mur. Tu parvins à dégager un bras, et de la main tu fouillas mon jean, trouvas une cuisse, remontas, et enfin frottas ta paume contre mon sexe dressé. Je t’abandonnai un instant pour arracher ma ceinture et me libérer de mon carcan, puis agrippai ton ventre, t’emprisonnai à nouveau, m’assis sur la cuvette, t’attirant à moi, ton dos plaqué à mon torse.
Je soulevai tes fesses et t’empalai sur ma verge. Tu répondis d’un cri étouffé, savourant ma présence soudaine et impérieuse, et adaptas ta position : appuyée sur mon buste, les plantes des pieds rivées au sol, la tête posée sur mon épaule, les mains sur les bords du battant. Mon chibre profondément enfoncé en toi, palpitante, surexcitée, entraînée dans tu ne savais quelle machination diabolique. J’approchai ma bouche de ton oreille, la mordillai un instant, puis te chuchotai des mots doux…
— Je lui ai dit de nous rejoindre.
Un frisson remonta ton dos. J’imaginai les images les plus folles déferler dans ton esprit. Tu ondulas sur moi délicieusement, je me sentis me durcir encore un peu plus. Il ouvre la porte, la referme, nous sommes maintenant trois dans cette cabine exiguë. Il te fait face, les yeux brillants de désir. Il déboutonne lentement sa chemise, prend tout son temps, savoure la vue de ton sexe dilaté par le mien, les lèvres douces et épilées écartées par mon membre englouti. Il imagine ce qu’il te fera dans quelques instants.
Les lèvres entrouvertes, les yeux mi-clos, tu enfonças une main dans mes cheveux, les massas doucement. Tu bougeas à peine les hanches, mais cela suffit à nous soulever de plaisir.Il écarte les pans de sa chemise. Du coin de l’œil, tu observes avec avidité ses pectoraux généreux et lisses, son ventre plat et musclé. Il ouvre sa ceinture, et sans te quitter des yeux, baisse son pantalon. Il est enfin nu, magnifique, conforme à tes espoirs. Il s’approche. Tu te redresses. Tes mains trouvent sa poitrine, savourent cette peau parfaite, tendue par ces muscles admirablement dessinés.Tu soupiras, impatiente.
— Et après ? me demandas-tu dans un souffle.— Je le suce ?
Je souris, ravi de te constater embarquée dans le scénario.
— Non. Tu lèves le regard, captes le sien. Pendant que tes mains descendent impitoyablement, ne s’attardent pas sur son ventre, et saisissent ses couilles et sa bite. Tu lui souris, montrant ton appréciation. Il est puissant et généreux, long et très dur. Epilé, il est doux, et frémit sous tes caresses expertes.
Tu bougeas un peu sur moi, comme mal à l’aise.
— Mais je le suce pas ???
Je te mordis l’oreille.
— Allez, vas-y… Tu quittes ses yeux, te penches enfin, et sans préliminaires linguaux, engloutis une bonne partie de sa verge. Il peine à réprimer un cri de ravissement, alors que tu te retires, et lui jettes un regard plein de sous-entendus : alors tu aimes ? Ce n’est rien à côté de ce qui va suivre !
Tes ondulations des hanches reprirent, comme si tu étais rassurée par la tournure des événements, enfin maîtresse de la situation.
Ta nouvelle position tend mon sexe au maximum. C’est bon. Je vois tes fesses ouvertes me présenter ton anus palpitant. Je ne peux pas m’empêcher t’approcher un doigt et de le masser. Tu en gémis d’anticipation. Tu le suces maintenant goulûment tout en malaxant ses couilles. La tête rejetée en arrière, il t’accompagne d’amples mouvements de hanches, cherchant ta gorge. Tu broies un peu ses boules pour le calmer, et il s’immobilise, te rendant le pouvoir. Il est très raide dans ta bouche, et tu pressens qu’il va te faire jouir très fort tout à l’heure.
Je posai une main sur ton clitoris et me mis à le titiller doucement. Mes lèvres englobèrent ton oreille. Tu te cambras pour venir à mon contact, laissant monter lentement l’extase.
— Et après ?
— Quelle impatience ! ricanai-je.
Je te soulève et me retire. Mon sexe dur s’écrase contre mon ventre. Je te repose sur mes cuisses. Je te bascule en arrière, te colle à moi, écarte tes jambes, offerte. Ses yeux brillent d’impatience. Il fléchit et se penche sur toi. Son visage vient tout près du tien, à ton oreille gauche quand je suis collé à la droite. Tu sens la chaleur de son buste se propager au tien, alors qu’il s’approche. Il saisit sa verge, et tu sens son gland établir le contact avec ton ventre, et telle une tête chercheuse, fouiller la zone à la recherche de la terre promise. D’un frôlement sur ton clitoris il t’arrache un cri, puis une décharge de plaisir alors qu’il s’insinue entre tes lèvres brûlantes. Enfin, l’entrée de ton vagin, béant. Il pousse…

— Mais ?… Tu ne me prends pas par derrière ??? lances-tu avec une pointe de déception. — Mmm coquine… Pas cette fois-ci !— Ah…
Il pousse, donc, te pénètre, pousse encore. Son sexe te paraît démesurément long. Il ne cesse de s’enfoncer, toujours plus loin, dur au possible. Comme c’est bon ! Enfin, il s’immobilise, béat de bonheur de t’enfiler ainsi, de te voir au comble du ravissement, totalement offerte. Lentement, pour que tu sentes bien tout, il se retire, puis te possède à nouveau. Tu agrippes ses triceps, prête à subir ses coups de boutoir. Il comprend le signal et te lime furieusement. Je te sens vibrer contre moi. C’est comme si tu me transmettais ta jouissance par tes frissons, tes cris, tes ajustements de position. Enfin vous éclatez tous les deux, sa décharge accompagnant tes tremblements. Il te glisse un remerciement, se relève, et se rhabille rapidement, nous laissant seuls.
Tu te limes deux ou trois fois sur mon sexe, au comble de l’excitation.
— Mmm c’était bon… mais j’aurais voulu que…
Tu t’arrêtas, hésitante, presque honteuse.
— Que ?— Que tu m’encules ! , finis-tu par lâcher. — Ah oui ? Vraiment ? Tu en as envie ? Maintenant ? demandai-je, sentant monter en moi une envie irrépressible de te satisfaire.
Pause d’incertitude.
— Ouiiii…
Nous voilà de retour en position debout, à nouveau contre la paroi. La suite fut délectable, ton puissant désir de moi t’ouvrant au-delà de mes espérances, mon sexe sucé par ton cul, secoué de spasmes extatiques, alors que nous jouissions simultanément.Nous nous rajustâmes en silence, avant que tu ne me demandes amusée ce que j’avais bien pu lui dire là-haut.
— Qu’il nous attende pour servir le dessert, tout simplement…
Il était temps de remonter, de profiter de ce dessert. Ce second dessert… Bon anniversaire, chérie…
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