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Deux gang bang pour un quadragenaire

Chapitre 1

Gay
Je ne suis pas un apollon, ni un jeune trav efféminé. Un peu ventru, petit bouc coupé à ras, de longs cheveux bouclés et de jolies fesses charnues toutes blanches avec une rosette anale étroite qui se dilate facilement sous les coups de boutoir.En fait je suis une vraie salope des trous. J’aime le sexe vicieux, viril, sale et ordurier bref, je suis un quarantenaire avide de bites, une vraie chienne.
Ce qui m’est arrivé fait suite à un dialogue avec un dénommé Salim, jeune maghrébin de 27 ans, sur un site de rencontre gay lorsque j’habitais un petit village de Gironde il y a 4 ans.
On a bien accroché. Ce mec recherchait une vulgaire salope, de préférence d’origine européenne, pour lui purger régulièrement les couilles. Par la suite, je le rencontrais plusieurs fois par semaine, quelques fois jusqu’à 5. Ces rencontres étaient extrêmement hard, Salim est un gros pervers qui aime jouer sadiquement avec mes trous. J’étais sa salope soumise du moment, il me baisait comme une chienne et je me régalais. Salim est un gars d’environ 1m85 pour au moins 90/100 kg et une bonne bite de 18cm large et endurante avec un gros gland dilatateur d’anus.
Un après midi, après une bonne partie de cul qui avait duré 2 bonnes heures, je lui demande s’il n’a pas des potes intéressés pour me baiser en groupe. Il me répond aussitôt : Ah ouaih ? Sérieux ? Ca te plairait de te faire défoncer par des arabes de la cité ? Je lui dis : oui, c’est même mon fantasme numéro un. Il m’avoue qu’en fait il y avait déjà pensé et déjà parler à quelques uns. Il paraît même que certains savent déjà que je suis une grosse pute à arabes et que je risquais de me faire coincé si je me baladais dans le coin. On organise donc cette rencontre. Ce fut assez rapide puisque rendez-vous était donné pour le lendemain soir derrière un bâtiment de la cité, au milieu des containers poubelles, la nuit tombée. Salim me dit : Tu vas dérouiller je t’avertis. Avec eux, les culs blancs de grosses tapettes s’en prennent plein la gueule en principe. Ils vont te déboiter le cul et tu vas en prendre pour ta face, grosse pute ! Et je vais participer aussi.
Le lendemain, je fus excité dès mon réveil. C’était un samedi et toute la journée je me caressais l’entre-cuisses et le petit trou en pensant au gang bang qui m’attendait le soir même.
Vers 22h, j’enfile un long tee-shirt me couvrant à mi-cuisses, un petit string dentelles blanc, un mini short me rentrant bien dans les fesses laissant sortir les deux lobes fessiers et un plug dans le cul histoire de préparer le terrain de ces enculeurs de blancs.
Je pars en voiture, 10 minutes de routes pour rejoindre la cité…
(arrivée sur le parking des hlm)
je descend de la voiture extrêmement excité la queue raidie et tendue au maximum au point qu elle ne tient plus dans mon petit string déjà trempé de jute. A moitié cul nu je me dirige vers les containers poubelles comme convenu. Je les aperçois ils se trouvent à à peine quelques 20 mètres de ma voiture. Une fois derrière le mur a l’abris des regards, je vérifie si personne ne me voit et m ‘accroupis pour me doigter mon petit trou, histoire de l’élargir un peu vu le plan que j’ai prévu avec salim.
5 minutes que je suis là et j’entends des voix à proximité, je me penche et vois 5 jeunes blacks et arabes de la cité qui s’approchent de moi. Je reconnais Salim, je sais maintenant que mon fantasme va se réaliser. Sous l’effet de l’excitation, je me rentre directement 4 doigts dans le cul en remuant comme une folle avant de me mettre a 4 pattes pour les accueillir comme il se doit.
A peine arrivé Salim me traite comme convenu comme une vulgaire pute et me colle une bonne claque sur le cul en disant à ses potes : voilà le trou à bites de cul blanc qu on va defoncer. Et là il me sors sa queue devant le visage. Bonne queue pas encore au garde à vous mais je la prends en bouche goulûment en couinant un peu histoire de montrer mon excitation à ces messieurs. J’entends déjà des insultes fuser autour de moi : Ouah la putarasse il avale sa bite cette merde ! Ouaich, il va en prendre de la bite de vrai mec ce gros cul de blanc bec.
Ce qui a pour effet de m’exciter encore plus pendant que Salim prend de l’ampleur entre mes lèvres et me refile quelques claques pendant qu’il me bourre littéralement la bouche.
Au bout de quelques instants seulement je commence à sentir ses acolytes que je n ai même pas vu me claquer les fesses et me labourer la raie du cul que j ai bien écarté. Plusieurs mains me tripotent le cul de plus en plus violemment avec les insultes de plus en plus dégradantes. Je gémis tellement je me sens aux anges. Salim me dit en riant, t’as pas fini sale merde, y a d’autres fréros qui vont radiner dans pas longtemps. Tu vas te faire cartonner pendant des heures, t’as des couilles a vider grosse pute.
Un des mecs, excité par la salope que je suis sort son dard et le présente à l’entrée de mon orifice en chaleur. Je ne le vois pas mais sens son gland contre mon trou. Je m’écarte bien tout en continuant de bouffer la grosse bite de Salim de bonne taille maintenant et commence à pousser pour faciliter l’entrée de son engin dans mon fessier en libre service.
Immédiatement ce pilonneur me défonce violemment jusqu’à la garde en beuglant des insultes pendant que ses collègues me claquent joliment les fesses. Je suis à 4 pattes avec 5 racailles qui me défoncent les trous.
J’aspire goulûment cette magnifique bite qui suinte dans ma bouche gourmande et écartèle mes lèvres vu sa largeur plus que correcte pendant que je sens cet épieu qui me dilate le trou du cul et m’oblige à m’écarter au maximum et ressentir son gland qui me remue l’intérieur du cul. Je prend mon pied avec ces salauds pendant qu’ils m’aspergent d’insultes dégradantes pensant m’humilier alors que ça m’excite au maximum. J’aime me faire déboîter le cul comme une vulgaire grosse truie que je suis.
La baise bien salace dure depuis une bonne demi heure. Salim m’a envoyé son foutre dans ma bouche avide. J’ai avalé avec délectation sa crème amère en le regardant dans les yeux et en réclamant d’autres bites.
Les bites de ces racailles se relaient dans mes deux trous, à la chaîne, je suis secoué de toute part, je prend des claques, ma bouche n’est plus qu’un vide couilles réservoir à sperme, mes fesses sont rouges de prendre des coups et des claques tout comme mon visage et je jouis en giclant mon foutre au sol sous les coups de boutoir d’un gros black heureux de défoncer le cul d’une pédale de blanc. J’ai giclé mais je suis toujours sous les coups de bites de ces lascars. Je sens des jets de sperme m’arroser le cul, les cheveux. Pendant que je me régale d’un jet tiède et épais dans ma bouche grande ouverte, 3 autres mecs de la cité invités par Salim font leur apparition.
Je relève la tête pour les voir. Je suis dans un état pitoyable, je suis recouvert de foutre, il en ressort de ma bouche, j’ai les cheveux en bataille tout collants, je suis toujours à 4 pattes, le cul bien ouvert et rempli de crasse et de sperme. Les 3 nouveaux invités sont 3 immenses blacks, je me dis que ca va vraiment être ma fête, je m’avance d’eux, toujours et encore à 4 pattes et, arrivé à leurs pieds, je me retourne docilement pour leur exhiber mon cul de salope déjà souillé.
Un premier lance aux autres : c’est ça votre grosse tepu ??!! Il me dit alors : retourne toi grosse pute de ta race, suce moi la bite, aller, suce grosse bouffe bite !!!!
Je me retourne, je m’exécute en baissant son short et avale son chibre déjà énorme au repos. Je me régale de cette saucisse bien noire qui durcit dans ma bouche pendant que les autres s’approchent de ma croupe cambrée de laquelle suinte du sperme de toute part. Je sens déjà des mains me fouiller le trou du cul, m’écarter les fesses, me les pincer. La bite qui m’occupe la bouche est maintenant une énorme matraque qui m’étouffe à moitié. Je la ressort, plonge mon visage sous ses bourses pour lui aspirer les couilles une à une dans ma bouche. Il m’attrape la tête et me force à planter ma bouche dans la raie de son cul, il oscille violemment son bassin sur mon visage comme s’il s’essuyait le cul sur ma langue. Il lance en se marrant : regardez moi ça cette grosse putasse ! il me nettoie le cul. Un blanc qui lèche le cul d’un black, c’est pas beau ça, mes frères ?? Vas y Malek, explose lui le cul cette grosse tapette de blanc, éclate lui la rondelle !!!!
Je gémis, je crie : oui, explosez moi le cul, s’il vous plaît, je suis une grosse pute, défoncez moi le cul, oui, j’aime ça, allez y les mecs !!!
Ta gueule, salope ! Bouffe moi la teub ! Aller , aspire, avale tout sale merde !
Il me saisit les cheveux, se frotte la bite et les couilles sur mon visage, me relâche, me fout une bonne claque, me ressaisit les cheveux et plante son énorme bite dans ma bouche et la remue dans ma cavité buccale, mon garage à bites. Derrière moi passent à la chaîne les deux autres blacks qui me pilonnent le trou du cul comme si ils cherchaient à me le faire exploser. De nouveau une suite de bites viennent me défoncer le cul pendant que je suce à la chaîne les autres sortant encore chaudes de mon entre-fesses.
Ce petit jeu délectable dure encore une bonne heure avant que chacun se retrouve les bourses bien vides. Je reprends encore quelques giclées de foutre dans la gueule et dans la raie.
Salim et un des blacks entreprirent alors de se vider la vessie sur moi. Je tire la langue en direction des jets et prends goulûment les deux jets tièdes de pisse dans le gosier et me fais un shampoing avec.
Regardez ça les mecs, cette putasse réclame même la pisse. C’est vraiment une grosse tepu cette charogne ! Aller salope, prend ça !
A ce moment là je commence à sentir d’autres jets tièdes de pisse sur mon cul encore ouvert et débordant de sperme. J’écarte mes fesses avec les mains pour recevoir le liquide, ce qui a pour effet de me nettoyer les fesses crasseuses et foutreuses. Un des lascars dit aux autres :
Mate ça, Abder, il se lave à la pisse, cette grosse larve de pute !
Je force mon cul pour faire ressortir la pisse et le foutre qui y serait entrés. Quelques temps plus tard, la bande s’éloigne, mine de rien, en crachant dans ma direction en me traitant de sale merde de vide-couilles.
Tu vas revenir, on va te déchirer sale chienne à arabes ! On va t’ouvrir le cul en deux ! Casse toi de là maintenant ou on te pète ta face de pute, compris ? Casse toi le fromage à sperme ! (Rire général)
Je me retrouve comme ça pendant quelques minutes, à 4 pattes, le cul cambré, la bouche souillée et les cheveux trempés d’un mélange de foutre et de pisse.
Salim qui se tenait toujours derrière moi se marre, il me claque le cul et me lance :
T’es vraiment aussi salope que je le pensais. On va bien se marrer avec toi putasse. Il me prend les cheveux et me tire en direction de sa voiture. Je saisis rapidement mon short au passage avant d’avancer tant bien que mal vers sa voiture à 4 pattes.
Il ouvre la portière, me balance sur la banquette arrière et prend le volant.
Au bout d’une minute ou deux, il me dit qu’il m’emmène à un endroit où je vais me faire embiter à la chaîne. Je viens de me faire défoncer les trous par 8 mecs et Salim m’emmène à un autre gang bang dans la foulée. Je ne regrette pas de l’avoir rencontrer celui-là.

SUITE DE LA SOIREE
Au bout de 10 minutes de voitures, on arrive dans une petite citée où se trouve, légèrement excentrée, une sorte de petit foyer avec table de ping pong, baby foot, mini bar, etc.
J’ai pris soin de me rhabiller dans la voiture durant le court trajet. Enfin…rhabiller…juste ce qu’il reste de mon short car je suis cul nu dessous. Je le tire au maximum pour bien me le rentrer dans la raie du cul et ainsi laisser dépasser largement mes deux lobes fessiers. Avec le sperme que j’ai partout sur moi et mon cul à moitié à l’air, j’ai l’air d’une bonne grosse pédale à tirer comme une chienne.
Salim me prend le bras et me fait entrer dans la salle remplie d’une bonne trentaine de mecs. Des blacks et des arabes de tous âges. Je suis étonné d’en voir des jeunes qui me reluquent d’un air sadique. A leur regard et à certains autres, je me dis : je vais me faire défoncer comme une vulgaire grosse chienne dans pas longtemps et ça pour la deuxième fois de la soirée.
Il m’entraîne alors dans un genre de petit vestiaire au fond de la salle, un mur sépare un chiotte où se trouvent 3 urinoirs et 1 WC. En entrant là-dedans je sens la main de Salim me rentrer sous le short et me malaxer l’entre fesses. Ce salaud a encore envie de m’en mettre un coup. Il me chuchote à l’oreille : tu vas dérouiller ma pute. Je vais pour me retourner pour me saisir de sa bite mais avant qu’il ait eu le temps de sortir sa queue, 2 gros blacks l’air sévère et interrogatifs arrivent et demandent à Salim :
C’est quoi ce truc ? En me désignant.
C’est une vide couilles d’arabes et de blacks. Il kiffe nos bites cette chienne Il vient juste de vider les couilles de 7 frérots et les miennes. Il a des bons trous j’te jure.
Un des deux blacks fait demi tour en se touchant la bite et lance :
Putain t’es un gros pédé, jsuis pas un pédé moi. Je nique des femmes pas des connards de blancs.
Là dessus un 3ème mec, que je ne voyait lui répond :
Eh, si Chiko, on le démonte cette tepu ! Toi tu jutes dans son gros cul de femelle, c’est pas toi le pédé, c’est cette grosse tapette. C’est la chienne qui prend les bites dans le cul qu’est un gros pédé de sa race, pas toi ! Aller viens, on va le défoncer. Il kiffe nos bites, il va voir ce que c’est des vrais hommes ce bâtard.
Salim dit en riant :
Il va repartir avec le trou du cul bien éclaté ce mange bites !
Depuis maintenant quelques minutes, ils sont bien une bonne quinzaine à être soit entrés soit la tête à moitié entrée dans les chiottes et me visent d’un air salace et sadique. Et même si certains sont prêts à me virer avec perte et fracas, j’en vois beaucoup qui se touchent furieusement la bite et leur regard me dit qu’ils ont la ferme intention de me défoncer le cul.
Excité et à la fois honteux, je me mets naturellement à 4 pattes et me baisse le short. Je me mets une main dans la bouche pour simuler une pipe. Je sors ma main un instant et annonce à l’assemblée :
Mes deux trous sont à votre disposition. Je suis une bonne chienne.
Grands rires de l’assemblée, tous se foutent de ma gueule et m’insultent d’un air dégouté. Ils crachent au sol pour me montrer que je ne suis qu’une salope de merde, une roulure.
Certains s’approchent déjà de moi me défiant en sortant leur bite. Je me retrouve d’un coup au milieu de 9 bites d’arabes et de blacks alors que je n’ai que deux trous à disposition. La nature est mal faite…
J’entends de tout, et tout ça m’excite. Je jouis presque rien qu’à entendre ces gros vicelards m’insulter et me doigter l’entre fesses.
Putain de tapette cette chienne ! ça réclame des bites ! Tu vas en avoir grosse chienne, écarte ton gros cul grosse truie. Garage à bites !!
Un des deux gros blacks que j’avais remarqué tout à l’heure, une armoire d’au moins 1m90 voire 2m me sort une bite de 25cm juste devant mon nez, une énorme matraque noire à moitié molle avec gros gland que je m’empresse d’avaler comme un mort de faim.
Mais il me colle une bonne claque, se penche par dessus mes fesses et me saisit une cheville, il me retourne sans ménagement, me place sur le dos et m’écarte violemment les cuisses.
J’entend la foule acquiescer à grand renforts et hurler : Ouaiiiiih ! Nique lui sa race à cette grosse tepu !
Ce gros black place son gland déjà durci sur ma rosette. Il me regarde méchamment et me dit :
Tu me regardes dans les yeux quand je t’encule grosse chienne !
Il me la rentre doucement d’abord comme pour se délecter d’enculer une salope comme moi, il me dilate peu à peu la rosette. Je pousse pour faciliter l’entrée de son énorme gland. D’un coup, je sens ce pylône me défoncer l’intérieur du cul. Une fois à l’intérieur, il se déchaîne et me secoue dans tous les sens en m’insultant et beuglant des insanités. Son ventre vient claquer violemment mes fesses. C’est trop bon, je hurle de plaisir, je me sens dilaté, je sens sa grosse bite entrer entièrement dans mon cul. Je gémie comme une truie quand soudain, je suis à moitié étouffé par une autre bite qui se plante sans prévenir dans ma bouche. Je prends les claques qui vont avec.
J’aspire tout ce que je peux, j’aspire cette bite sans savoir à qui elle appartient, je pompe pour aspirer tous les nectars qui peuvent en sortir et finir dans ma bouche. Pas le temps de finir, une autre bite vient aussitôt la remplacer…
Le gros black continue de me besogner l’arrière train en me lançant des insultes de plus en plus racistes et dans mon esprit lubrique de chienne en chaleur et sachant que ça allait encore plus les exciter, je lui hurle entre deux bouffage de bites :
Vas-y gros bicot, bourre mon cul de blanc !!! Il réclame vos bites !
Je prends d’un seul coup une pluie d’insultes et de claques :
Les bougnouls, ils vont déchirer la raie sale grosse pute de blanc ! On va te dilater, petite bite, nous on en a des grosses ! Tu vas les sentir. (Rire général)
Je me prends des glands à la chaîne, je n’arrive pas à compter combien de bites me défoncent la bouche. Le gros black a décharger et a déjà été remplacé par un autre. Ils m’enculent avec violence, ils m’enculent même la bouche :
Même sa bouche est un trou du cul, salooope !! Regardez, son trou du cul sous le nez !
Je branle des bites avec les mains, d’autres se relaient dans ma bouche et encore d’autres se relaient dans mon petit trou maintenant aussi large qu’une autoroute tellement qu’il est dilaté par tous ces assauts répétés.
Cela dure bien plus d’une heure. Je suis inondé de sperme, au moins ½ litre sur la gueule, autant dans l’estomac et certainement autant dans le trou du cul, je n’ai pas fait attention. Je ne ressemble plus à rien, je suis dans un état plus que pitoyable, une chose à bites, avide de sperme, la langue tirée avant qu’une autre bite vienne bourrer cette bouche à queues vicieuses.
Ils étaient 14 sur moi. Je viens de subir mon plus beau gang bang. Je suis à plat ventre, couvert de sperme des pieds à la tête et pense que c’est terminé. Je ne sens même plus mon trou du cul. Il doit être encore ouvert de plusieurs centimètres…en diamètre.
Mais à peine le temps de relever la tête qu’un mec fait entrer 2 petits jeunes autour de 1_ ans « à dépuceler ». Des arabes encore plus vindicatifs que leurs aînés. Ils se ramènent vers moi la bite à la main. Salim leur gueule :
Allez y les ptits frères ! Rachid, tu vas voir, un trou c’est mieux que de se branler. En plus t’encules un blanc, alors te retiens pas !
Le plus jeune se place devant moi et me gifle fièrement la gueule puis me rentre sa queue pas encore bien dure dans ma grotte buccales encore pleine de sperme.
Je commence à sentir des mains m’écarter les fesses et une bite, celle du second jeune, se placer à l’entrée de mon trou béant et gluant. Il ne force même pas la rondelle qui est déjà ouverte comme une huître et déjà trop large pour sa bite de puceau.
Celui qui se déchaîne dans ma bouche me colle encore une claque et tout en gémissant et beuglant des : Aaaaaaah, ouaaiiiih, putasse, ouuuuuuh, me lance :
Vas-y salope, bouffe moi la teub ! Avale ordure, avale moi ça, grosse chienne. Ouaiiiih
Je déguste sa bite, j’aspire, ma langue tourne sur son gland et mes lèvres aspire tout le membre, je me régale de son jus pré-éjac, il sent la pisse ce petit sale, mais j’aime ça la pisse, l’odeur m’excite, ca tombe bien. Ce petit salaud est plutôt bien monté, un bon 20 dans la gorge que je suis entrain de me prendre pendant que son collègue me tape le trou à grand coups de reins jusqu’à me faire avancer sur mes 4 pattes de 10 cm à chaque coup de boutoir.
Ma sucette fait gicler en seulement quelques minutes, quelques coups de langues ont suffit tellement ce chien était excité à l’idée de me baiser la bouche. Je prends tout dans la gorge, surpris par la rapidité de l’éjac.
Derrière moi, c’est pareil. Le jeune qui me pilonnait les fesses, trop excité de regarder sa bite entrer et sortir de mon trou et me voir pomper son pote décharge son foutre quelques secondes après. 5minutes qu’ils me bourrent et je suis de nouveau rempli des deux côtés.
Aaaaah, grosse pute. Je te baise sale merde, je te baise. T’aimes les bites d’arabes, tu vas revenir et on va te défoncer à la chaîne.
Je couine comme une petite truie, le sperme dégouline de ma bouche et je sens mon cul gluant au maximum. Je ne serais pas contre prendre encore des coups de bites, je suis trop excité et je n’ai jouis qu une fois. Mais la salle a été désertée pendant le gang bang, ceux qui ne souhaitaient pas baiser un mec sont partis. Les autres m’ont fait ma fête.
Je suis maintenant dans la salle, cul nu, sale, crade et je me dirige vers la voiture de Salim comme ça, je ne prends pas le soin de me rhabiller.
Il me ramène à ma voiture et me donne rendez-vous pour le même traitement dans 3 jours car ils font une petite soirée entre potes. Ces soirées et certains après-midi comme ceux là ont duré pratiquement 1 an. Je n’avais vraiment plus besoin de faire les lieux de drague, sauna ou sites de rencontres. Je me faisais défoncer par des hordes de blacks et d’arabes 1 à 2 fois par semaine et je prenais mon pied.
Puis il m’a fallu déménager pour venir dans la Drôme pour du travail. Depuis maintenant 4 ans je suis très rarement baisé…les mecs ici ne sont pas ceux de l’Ouest de la France. La nature est vraiment très mal faite.
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