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deuxième étape de franchie

Chapitre 2

Zoophilie
Pas la peine de vous dire que cette nuit fut longue, très même, je me remémorais tous les instants que j’avais vécus le soir, incroyable, j’avais baisé avec mon chien, et j’ai trouve ça super, le matin, en me levant, je vis mon amant qui louchait vers moi, et mi gratifia, d’un aboiement, qui semblait dire : _alors pétasse, t’a eu ton compte, il me semblait qu’il me narguait en plus, je continue mon chemin jusqu’à la salle de bain, et je laisse couler, au fond de la baignoire, en sortant après, deux heures, si ce n’est plus, le salon était désert, le chien n’était pas là, je passe a la cuisine, je me sert un café chaud, que je prends avec moi au salon avec des croissants, je m’installe confortablement, et commence a siroter mon café, en zappant les chaînes. ouf !, rien d’intéressant, je clique sur la télécommande, la pose et me dirige vers mon micro, que je connecte, je n’arrivais pas a me décider sur quoi aller me poser, et sans que je su comment, j’étais déjà sur un site de zoophilie, je matais des vidéos de femmes baisant, et suçant des chiens, et des chevaux, je sentis mon cœur battre, ma respiration s’accélérait, je me surprend en train de me caresser le corps, j’étais en chaleur, j’avais envie, très envie, telle une droguée en manque, j’allais crier, je me serre les seins, a me faire mal, j’étais toute mouillée,quoi? inondée plutôt, oui. que vais je faire? je me lève, j’ouvre la porte, j’avais l’intention, de prendre ma voiture, et de rouler, a grande vitesse dans n’importe quelle direction, quand je vis, zoltan, zoltan, c’est l’un des mes trois chiens, le troisième c’était dragon, enfin c’est pas moi qui leur ais donné ces noms, ils les avait quand ils ont élus domicile chez moi, je le siffle, et luis fis signe de me suivre, zoltan, était de ces chiens bâtards croisés, et qui avait plus du loup que du chien, musclé, le poils roux, obéissant, mais imprévisible, je n’irais pas jusqu’à dire docile, non, il ne se doutait pas de ce que je voulais de lui, d’ailleurs comment pouvait il s’en douter ? je me dis qu’avec lui je devais faire très attention, et être très prudente, je pris des chaussettes, les lui enfilent en prenant soin qu’elles ne glissent pas, et que ses pattes, et ses griffes ne se trouvent libérées, je dispose des coussins sur le sol, l’un a coté de l’autre, et je me mets sur le dos a poils, sur les coussins, vous devinez pourquoi, pas la peine de vous faire un dessin, ma chatte me faisait un drôle d’effet, elle avait envie, d’être dilatée,je mouillais, j’entre mes deux doigts et les ressortis, tout humides, mon chien était a coté de moi essayant de comprendre ce qui se passait dans ma tête._viens mon bébé lui fis ! approches toi ! là: tout a coté de moi! oui comme ça! t’es chou, je lui tend ma main presque ruisselante, il tend sa langue, curieux mais prudemment et il commença instinctivement a me la lécher, il trouve très vite goût, j’avance l’autre main et je commence a le masturber, je ressentis sa bite qui enflait et essayer de se frayer chemin, de la gaine, je toisais ce bel engin qui fut que mon envie se transforma en folie, je pouvais plus attendre, fallait que je le fasse, j’étais comme qui dirait hystérique. Je lui pris la tête et l’avança, doucement de ma chatte ruisselante, sans gestes brusques, sa langue se mit a la besogne, doucement au début, puis le rythme s’accéléra, j’allais m’évanouir, tout vacillait autour de moi, je ne peux vous décrire le plaisir qui m’envahissait, un plaisir diabolique, intense, qui a fait que je perde toute faculté de raisonner, est ce un rêve? est ce un cauchemar ? je m’en fichais du moment que je vivais un instant ferrique, j’étais a mes pensées quand le chien sauta sur moi et me fit atterrir, sa bouche était contre la mienne, ses pattes de devant m’enserrait la poitrine, son engin cherchait fébrilement une entrée, je passe ma main sous lui, attrapa sa quéquette et la guida, entre les lèvres de ma chatte, ce que je sentis entre mes mains me fis un choc, et je me dis que je ne pouvais jamais absorber ce bidule, et qu’il fallait que je stoppe tout maintenant, trop tard, une douleur me traversa le corps, il était déjà dedans et ses vas et viens, ont commencé, je jouis, j’étais dans un état de droguée la bête me fourrageait inexorablement, je ressentis comme un flot qui se déversait en moi, des rasades a ne pas en finir, je tenais le chien, je le serrais comme si j’avais peur qu’il ne change d’avis, sa langue me léchait le cou, le visage, j’ouvris la bouche et l’attrapa, je me mis a la lécher, il bavait et dans la position, où j’étais, j’étais obligée d’avaler, il ne cessait de jouir, le salaud, et je me demanda combien de litres mon ventre pouvait contenir, lorsqu’un coups brusque, je fus jetée en arrière, l’engin au complet se trouvait a l’intérieur de mes boyaux, la boule est parvenu a se frayer passage, elle aussi, j’étais au ciel, je flottais sur un nuage, la douleur s’estompa laissant place au plaisir immense qui m’électrisait le corps, je sentais ma chatte se dilater, je me demande même s’il ne m’a pas vraiment déchiré le vagin, brusquement il s’immobilisa, il avait fini, de se vider en moi, et c’est là qu’il fallait être attentive, et prudente, maintenant il va se retirer, quand? comment, je n’en sais trop rien, mais la chose que je ressentais en moi, s’il fait ça brusquement, risque de m’arracher le vagin, je me mis a lui parler doucement, et a le lécher,tout et le caressant afin qu’il patiente le temps nécessaire pour la boule de déverser ce qui restait bloqué en elle de sperme, parce que je ressentais en moi les jets qui continuaient a me fouetter,_ t’es beau chéri ! m’entendis je murmurer, restes gentil ! je t’adore ! et je le serrais encore plus, contre moi, sa langue me gratifia d’un moment a l’autre d’une lèche magistrale, je désirais que ça n’en finisse pas, ah! s’il pouvait me comprendre, je lui aurais murmurer, a l’oreille des mot doux, mais n’empêche que je lui murmurais _ bravo mon chou, je pourrais jamais te remercier pour ce que tu m’a fait vivre, t’es mon bébé, suis ta chienne, t’es mon amant, _t’es un amour, et je plaque ma bouche contre la sienne dans un long baiser, a croire qu’il comprenait, _ suis folle ! je parlais a un chien et me disait qu’il me comprenait ! ou alors j’étais une chienne et que je ne le savais pas, je ne peux estimer le temps qu’on est resté en sembles enlacés comme deux amants qui avaient peur de na plus se retrouver une autre fois, quand il se retourna, et resta un moment collé a moi, _ mais putain, ça coule encore, cette fois ci, de nous deux, les deux foutres se mélangèrent, de là où j’étais, je voyais son derrière, j’étais essoufflée, _ quand il se libéra enfin, avec un flocccccccccc! je sentis que mon ventre déversait sur le sol une quantité impressionnante de sperme, et de mouille mélangés, qui venaient rencontrer le parquet avec un bruit de ruissellement, mon amant se retourna, et commença a m’essuyer, avec tact, il me lécha partout, la chatte, les cuisses, et le cul qui dans la position où j’étais a eu sa part de semence, puis il s’affaira sur la marre au dessus de mon cul, et il se donna a cœur joie, tandis-que je restais a marmonner je ne sais quoi d’incompréhensible, je me tire un peu loin en rampant, tant la douleur était dure a supporter, je bascule des coussins, et je m’allonge a même le sol toute nue, _si mon mari venait a me surprendre dans cette position, avec le chien qui lapait nos deux semences !_ c’est ce qui me fait me redresser avec peine, rejoindre la douche, je restais assise, ne pouvant me mettre debout et commença a me savonner, tout en laissant l’eau couler sur mon corps, et salope que j’étais, et perverse a l’extrême je me mis a imaginer, les deux chiens en train de me sauter comme j’étais, là
ce qui tarda pas a se concrétiser après quelques jours...
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