Romain, le fils de Marc qui est encore puceau, a vu cette scène à travers une petite fenêtre qui se situe dans le vestiaire. Ses mains sont encore pleines de semences, il n’a pas pu se retenir. Il s’est masturbé en voyant la scène, et secrètement, il espère qu’un jour, il pourra goûter au fruit défendu. Pedro de son côté s’est échappé par une porte de secours afin de ne pas éveiller les soupçons de Marc. Maryse le rejoint, il est en train de boire une sorte de liqueur dans son sofa. Elle ne veut pas trop le déranger, donc elle s’assoit sur un fauteuil face à lui. Le silence est pesant, mais rien d’électrique. Il prend alors la parole, lui demande si cette fête a été agréable. Elle répond par l’affirmative. Il continue de la questionner, sur le soulagement qu’aurait pu apporter la douche. Cette dernière répond que se fut agréable. Puis soudain, Romain fait irruption dans la pièce. Son père l’interroge sur sa présence, le fils lui répond simplement qu’il voulait boire un coup avant d’aller au lit. Puis d’un ton à la fois autoritaire et sarcastique, son père lui demande s’il ne veut pas tirer son coup plutôt en désignant Maryse du doigt. Le jeune homme outré par le langage de son père lui indique qu’il n’a pas besoin de lui pour ça. Il reconnaît tout de même qu’il s’agit ici d’une belle femme, mais que le respect est une vertu importante pour séduire. La femme d’Antoine ne sait plus où se mettre, et valide de la tête la réplique du garçon. Marc excédé par cet affront propose à Maryse de dormir dans la chambre d’ami et de repartir le lendemain matin. Le comportement de ce dernier est complètement honteux, et pourtant lorsqu’elle commence à s’endormir, elle ne peut s’empêcher de repenser au moment sympathique qu’elle a eu avec lui dans les toilettes du bar. Elle essaye tout de même de se convaincre que ces évènements sont dus aux effets nocifs de l’alcool, ou à la pression qu’il doit avoir en ce moment concernant la récolte du raisin. Elle prend la décision de le rejoindre dans sa chambre afin d’avoir une discussion. Elle toque à la porte, elle apparaît devant l’homme en nuisette et commence son monologue. Elle lui indique qu’il a exagéré concernant son fils, qu’il n’avait pas à le traiter ainsi, et de même en ce qui la concerne. Marc lui répond qu’il en a marre de savoir son fils puceau, et qu’il aimerait bien le voir évoluer dans ce domaine. Maryse essaye de le convaincre en lui disant qu’avec les saisonnières et les filles de l’école, il finira par avoir sa chance. L’homme range sa fierté de côté, et invite Maryse à la rejoindre dans son lit. Elle s’allonge à côté de Marc, reste immobile, ne sachant que faire. Le côté imprévisible de son amant l’oblige à adopter une attitude un peu particulière. Celui-ci la complimente sur sa tenue puis commence à caresser la poitrine de cette dernière. Elle ne reste pas longtemps insensible à cet effet, et part en direction du membre de son partenaire. Elle le prend en bouche, lui offre une fellation bien savoureuse, puis positionne ses jambes de chaque côté du visage de Marc. Il lui offre un cunnilingus. Il lèche la vulve de cette dernière de bas en haut, joue avec le clitoris de la femme en le mordillant, le léchant et en l’aspirant. Quelques fois, il s’aventure même sur l’œillet de Maryse. Aimant particulièrement le soixante-neuf, la femme d’Antoine ne tarde pas à expulser des jets de cyprine sur le visage de l’homme. Elle se positionne à présent à califourchon au-dessus du sexe de Marc et s’empale d’un coup. Elle reste immobile quelques secondes, puis commence à effectuer des mouvements avec son bassin. Elle augmente la cadence afin de prendre le plus de plaisir possible. L’homme saisit les seins de la femme afin de lui apporter encore plus de sensation. Maryse se positionne maintenant sur le dos, Marc lui écarte les compas, puis la pénètre en missionnaire. Ce dernier se montre un peu plus bestial, la femme d’Antoine adore ce genre de situation. De plus, son amant relève les jambes de cette dernière afin d’aller au plus profond de son vagin. Afin de se calmer un peu, l’homme met la femme sur le côté, il la prend en cuillère, lui caresse les seins dans le même temps et lui doigte l’anus.
Cette double sensation propulse Maryse au septième ciel. Elle éjecte une bonne dose de cyprine. Marc profite de la situation afin de préparer l’œillet de cette dernière. Une fois prête, l’homme présente sa verge à l’entrée du petit trou, puis la sodomise. Il y va petit à petit, puis augmente franchement la cadence. La femme ne peut s’empêcher de grogner de plaisir. Les mouvements de Marc deviennent de plus en plus rapides, son gland gonfle de plus en plus, au bout de dix minutes, il se retire puis se masturbe sur les fesses de la femme. Cette dernière l’aide en lui caressant les testicules. L’homme est satisfait de cette initiative puis éjacule. Maryse en a sur le dos, la main, elle prend la décision d’aller se rafraîchir brièvement. À son retour, elle câline Marc, ils s’embrassent et dorment ensemble. Romain, le fils, ne s’est pas fait prier pour regarder ce spectacle à travers la serrure. Après tant d’émotion, il descend dans la cuisine pour boire un verre d’eau puis sort sur la terrasse afin de fumer une cigarette. Le calme règne autour de la ferme et du domaine viticole. Cela permet de se relaxer assez facilement. Il est deux heures du matin, il n’y a aucune lumière en direction des camions aménagés appartenant aux saisonniers, et du côté des vignes, c’est la même chose. Le jeune homme repense aux mots blessants de son père, se dit qu’il serait peut-être temps qu’il trouve une fille afin de découvrir les plaisirs du sexe. Mais, pour l’instant, il n’a personne en vue. Quand soudain, Anita, une saisonnière le sort de ses pensées. Anita, c’est plutôt une jolie fille, elle a vingt ans, brune, avec des yeux en noisette. Ils discutent ensemble pendant quelques minutes, elle le questionne sur la véracité des propos de son père. Romain ne peut que confirmer, la jeune femme trouve cette attitude plutôt charmante, car il est rare de trouver des garçons de son âge purs. Ce dernier réplique tout de même en disant qu’il a très envie de découvrir ces plaisirs-là, mais pas avec n’importe qui, qu’il en a assez de vivre des activités sexuelles en solitaire.Anita devient de plus en plus enjôleuse avec Romain, elle le drague clairement, lui fait quelques accolades, quelques bisous sur les joues. Le jeune homme ne sait plus où se mettre. Ses joues rougissent d’émotion avec ces gestes de tendresse. Maladroitement, il essaye de faire de même avec sa partenaire. La tension sexuelle est palpable entre eux. La fille se rapproche de lui, le câline une nouvelle fois, lui fait des bisous dans le cou, et passe sa main derrière la nuque. Le fils de Marc ne peut plus se retenir. Une bosse commence à se former dans son pantalon. Heureusement qu’il fait noir, car cette dernière pourrait s’apercevoir de cet évènement. Mais, lors d’une énième accolade, Anita comprend très vite la situation. Elle lui fait une réflexion, en lui disant qu’il n’est pas insensible, et que c’est un bon début.Elle prend l’initiative de porter sa main en direction de ce sexe tout neuf. Romain ne recule pas, laisse faire sa partenaire. Elle descend le bouton puis la fermeture éclair du pantalon, puis fait sortir la verge du garçon. Elle le masturbe, ce qui ne manque pas de provoquer des sursauts au fils de Marc, puis se met à genou. Elle offre alors à Romain sa première fellation. Le sexe de ce dernier est d’une taille raisonnable. Dans un premier temps, elle avale la tige de chair, puis elle titille le bout du gland avec sa langue. Elle s’applique du mieux qu’elle peut afin de satisfaire son partenaire.Elle continue ses préliminaires en caressant les testicules du jeune homme et en lui aspirant le gland. Cette action excite énormément Romain, il est au bord de l’explosion, mais est complètement muet. Il n’a pas le temps de prévenir la jeune femme qu’il est en train d’envoyer par saccade des jets de sperme au fond de son palais. Anita qui a un peu plus d’expérience avale sans broncher. Le garçon semble gêner d’avoir fait ça, s’excuse auprès de sa partenaire. Mais cette dernière le rassure en lui disant que la première fois, c’est tout à fait normal. Les jeunes adultes s’embrassent puis vont dans leur chambre respective. Romain semble avoir repris confiance en lui, et s’endort comme un loir.
