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Déviation sexuelle

Chapitre 1

Zoophilie
J’avais vingt ans lorsque cette histoire s’est passée, c’est-à-dire il y a plus de trente ans. A l’époque j’avais une copine de 18 ans et nous étions en train de découvrir petit à petit notre sexualité.J’ai beaucoup hésité avant de vous la faire partager car Marine, c’est son prénom, n’est plus avec moi depuis de nombreuses années, mais nous avons gardé d’excellentes relations et, je ne suis pas sûr qu’elle appréciera que je vous livre ce côté obscur de notre sexualité à cette époque, car elle connaît le pseudo que j’utilise pour écrire sur le site. Pour être sûr qu’on ne nous reconnaisse pas (mais c’est peu probable), j’ai changé nos prénoms.Nous étions en train de nous remettre de nos émotions après avoir fait l’amour, allongés côte à côte à même la moquette du salon.Marine avait gardé les cuisses relevées, après que je me sois retiré d’elle, et venait de me dire qu’elle sentait mon sperme sortir de sa chatte, coulant lentement entre ses fesses.Elle passa sa main pour en recueillir une partie et se l’étala sur le ventre, en disant qu’elle aimait sentir mon sperme sur son ventre.En rigolant, je lui dis :
— Moi j’adore te remplir la chatte de mon jus mais je n’aimerais pas trop te faire une gâterie après.— Et quand tu me tiens la tête pour me le faire avaler, tu t’es déjà demandé si j’aimais ça ?
Effectivement je ne m’étais jamais posé la question, mais jouir dans sa bouche était tellement bon, qu’égoïstement je pensais qu’elle aimait.Inutile de s’éterniser sur le sujet aussi je décidais de prendre la poudre d’escampette, prétextant une soif soudaine. C’est alors que Démon, notre jeune mais déjà imposant mastiff, entra dans la pièce et se dirigea droit vers Marine.Il commença à lui faire la fête comme il avait l’habitude de le faire puis, tout à coup, après avoir marqué un temps d’arrêt, renifla sa poitrine pour descendre vers son ventre maculé de sperme. Là, il commença à la nettoyer de sa grosse langue baveuse.Marine étonnée, frissonna sous les premiers coups de langue me regarda et repoussa Démon en disant :
— Eh mais qu’est-ce qu’il fait ce grand nigaud. Arrêtes Démon tu me baves dessus et en plus tu me chatouilles.
Démon grogna de frustration puis la suivit en lui reniflant l’arrière-train comme le font les chiens derrière les femelles en chaleur.En rigolant je lui dis que son odeur devait exciter Démon et qu’il aurait certainement aimé lui fourrer sa truffe entre les cuisses.
Marine me traita d’imbécile puis s’éclipsa rapidement vers la douche.L’incident aurait pu en rester là mais quelques jours plus tard, Marine d’habitude d’humeur enjouée, pas du genre à se prendre la tête pour des futilités, m’annonça qu’elle avait quelque chose à me dire, quelque chose que je n’apprécierais peut-être pas mais qu’il fallait absolument qu’elle me dise.Tout allait bien entre nous, je n’avais donc aucune raison de m’inquiéter. Il y avait bien quelques copains qui lui faisaient une cour assidue mais bon, rien d’alarmant. Qu’avait-elle de si important à me dire ?Pour donner le change, je lui dis que s’il y avait un problème, l’important c’était d’en parler.Marine resta malgré ma bonne humeur apparente, résolument sérieuse. Enfin elle commença à parler, s’approchant de moi pour me prendre la main et la serrer si fort, qu’elle finit par m’inquiéter sérieusement.
Allait-elle m’annoncer notre rupture ? Je ne pus m’empêcher de le lui demander, mais elle me rétorqua que ce n’était pas ça, mais qu’après l’avoir écouté, ce serait peut-être moi qui allait vouloir rompre.Je décidais donc de la laisser parler et voici comment débuta sa confession :
— Ce que j’ai à te dire n’est pas facile aussi j’aimerais que tu me laisses parler sans intervenir. Je vais essayer de faire le plus simple possible et après je te promets de répondre à toutes les questions que tu voudras bien me poser sans chercher à me dérober.— Ok. Je t’écoute.— Bon eh bien tu dois te souvenir la semaine dernière quand Démon est venu me lécher après que nous ayons fait l’amour. Je n’ai rien dit sur le coup mais en fait, cet incident m’avait fait tout drôle. Je veux dire sexuellement, ça m’a troublée. C’est pour ça que je me suis carrément sauvée sous la douche, un peu honteuse et craignant que tu ne te sois aperçu de mon trouble.Bref, le lendemain matin, tu m’as refait l’amour avant de partir au travail. Comme j’étais de repos je suis restée au lit. Comme la veille, j’avais ton sperme qui s’écoulait doucement de ma chatte et j’étais en train de repenser à ce qui s’était passé la veille, lorsque Démon est rentré dans la chambre pour me faire la fête, comme chaque matin lorsque je flemmarde au lit.Il a tout de suite commencé à me renifler puis à me lécher les mains qui sentaient l’amour puis les jambes pour remonter vers mes cuisses.C’était très agréable. Personne ne pouvait me voir, aussi n’ayant pas à faire semblant de ne pas apprécier, je n’ai pas bougé et je l’ai laissé faire. Rapidement il est remonté vers l’origine de l’odeur forte qui l’attirait et, sans réfléchir, j’ai ouvert un peu mes jambes pour voir ce qu’il allait faire. Sa grosse langue baveuse courant sur ma peau me déclenchait des frissons partout et quand il a posé sa truffe sur mon sexe puis, avec une incroyable douceur, a commencé à insinuer sa langue entre mes lèvres pour me lécher le minou, c’était carrément du haut voltage qui m’inondait le bas-ventre.J’aurais dû refermer mes cuisses et le repousser mais il s’y prenait si bien que je me suis dit que personne n’en saurait jamais rien et, j’ai carrément attrapé mes jambes en tirant sur mes genoux pour les plaquer sur ma poitrine et lui permettre de mieux me lécher. En quelques minutes, je me suis mise à mouiller comme une folle. Je sentais ma mouille s’écouler de ma chatte et Démon s’empressait de la boire en la recueillant sur sa langue.Ça n’était plus agréable, mais divin. Démon avec sa grosse langue et sa truffe, qui me frottait en même temps le clito, s’y prenait mieux que n’importe quel homme, je me suis mise à délirer en poussant des soupirs de plus en plus forts en le suppliant de continuer, appuyant sur sa tête pour le maintenir au bon endroit.Je n’ai pas réalisé sur le coup ce que j’étais en train de faire, emportée par le plaisir, sa langue couvrait à chaque passage toute ma vulve mais aussi tout autour de ma vulve où c’est si sensible.Ça devait faire un moment qu’il n’y avait plus de ton sperme sur mon sexe mais Démon s’est mis à m’enfoncer sa langue dans la vulve à la recherche du jus, qu’il semblait tant apprécier, déclenchant dans mon ventre des spasmes incontrôlables.On aurait dit un serpent, c’était beaucoup plus gros que ta langue mais plus long aussi, j’ai commencé à jouir sans même me toucher. C’était tellement fort que j’ai crié, hurlé même.C’était comme dans un rêve, j’entendais ma voix exprimer mon bonheur, abasourdie, terrassée par la jouissance. Ça a duré longtemps, une éternité, jusqu’à devenir douloureux de sensibilité, car Démon continuait à laper ma mouille qui avait coulé jusque sur mon anus. Je l’ai laissé faire jusqu’à ce qu’il se calme un peu, les jambes coupées par l’intensité du plaisir, sans force.Inutile de te dire qu’en réalisant ce que je venais de faire, j’étais morte de honte de m’être laissée gougnotter la moule par notre chien, mais en plus d’avoir joui comme une folle en risquant d’ameuter les voisins avec mes cris.Je me suis alors levée pour prendre une douche tandis que Démon, toujours excité comme une puce, s’est agrippé à une de mes jambes. En m’apercevant que son sexe était sorti de son fourreau, j’ai été abasourdie par sa longueur et sa grosseur, c’était impressionnant. Je l’ai laissé faire et, en quelques coups de reins, frottant son mandrin contre ma jambe, il s’est mis à éjaculer, m’aspergeant d’un jus visqueux que je me suis empressée de nettoyer de peur que tu t’en aperçoives en rentrant.Le surlendemain, nue comme d’habitude avant de partir au boulot, alors que j’étais occupée à nettoyer des traces encore visibles sur la moquette du salon, j’ai senti Démon dans mon dos. Il a posé sa truffe entre mes fesses. J’ai voulu le repousser mais il s’est mis à grogner d’une manière autoritaire. J’ai eu un peu peur alors je n’ai pas bougé, pensant qu’il voulait encore me lécher comme la veille. Cette fois-ci, toute honteuse mais à peine forcée, je me suis à nouveau laissé faire. Avec son museau, il m’a poussé en avant, et je me suis retrouvée à quatre pattes, les fesses en l’air, avec la truffe de Démon enfouie entre mes fesses.Comme la veille il a commencé à me lécher et, j’ai de nouveau écarté mes jambes au maximum pour qu’il puisse me passer sa langue sur toute la longueur de la chatte en m’arrachant des râles de plaisir.Je me suis entendue l’encourager en lui disant que c’était bien, de continuer comme ça, qu’il allait me faire jouir encore une fois.Comme la veille, excitée par la situation car c’était presque un viol, je me suis mise à jouir comme une chienne, à quatre pattes, bavant sur la moquette, sonnée.J’étais en train de récupérer lorsque j’ai senti Démon sauter sur mes reins, pour ensuite m’agripper au niveau des hanches comme tu le fais pour assurer ta prise avant de t’enfoncer en moi.J’ai paniqué en pensant qu’il voulait me prendre, mais quand j’ai voulu me dégager, Démon a de nouveau grogner d’une manière vraiment agressive en posant sa gueule sur ma nuque, comme s’il allait me mordre. Ça m’a fait peur.Je ne savais plus quoi faire à part lui parler doucement, mais déjà je sentais sa grosse queue visqueuse se frotter sur mes fesses en m’aspergeant d’un liquide épais.Je me suis dit qu’il allait me violer ce con, mais avec ses crocs posés sur ma nuque, j’ai eu plus peur d’un coup de crocs que de me faire embrocher. Affolée j’ai réalisé qu’il allait m’enfiler comme une vulgaire femelle à quatre pattes. Démon grognait doucement, son souffle sur ma nuque me faisait frissonner de peur comme de plaisir. Sa bite cognait maladroitement sur mes fesses. En quelques secondes, sachant qu’il ne me laisserait pas me dégager, résignée à me faire saillir, je pris la décision de lui faciliter la tâche pour qu’on en finisse. J’ai passé ma main sous mon ventre et attrapant la grosse bite entre mes doigts, je l’ai dirigée vers l’entrée de ma vulve. En la prenant dans ma main, j’ai réalisé qu’elle était vraiment grosse avec une énorme protubérance au bout de la hampe, j’étais morte de peur mais en même temps j’allais une folle envie de me l’enfiler.Il s’est immédiatement enfoncé en moi, en poussant des petits jappements attendrissants, ça m’a ouvert le ventre d’un seul coup, mais sa queue était tellement visqueuse, qu’il s’est planté au plus profond de mon ventre avec une facilité déconcertante. J’ai senti mon fourreau se serrer autour de l’intrus sous l’impact. Malgré ma peur et ma honte, c’était déjà bon de sentir un tel mandrin s’agiter en moi. Il avait l’air d’être parti pour un cent mètres, déclenchant de ma part des aaaahhhhhh et des oohhhhhh en continu devant le rythme rapproché de ses coups de reins.Perdant toute retenue, je me suis presque plaquée au sol pour lui permettre de me posséder plus facilement en surélevant mon fessier et, j’ai commencé à le caresser pour le calmer. Ses coups de reins désordonnés même si ça n’était pas pour me déplaire, allaient le faire jouir trop vite et surtout, ses griffes me labouraient les flancs en s’agrippant à moi pour garder son équilibre.Dès mes premières caresses, il s’est étrangement calmé jusqu’à s’arrêter de bouger, ce qui m’a un peu frustrée, aussi j’ai pris le relais, m’empalant moi-même sur cette grosse et longue queue. En l’encourageant de la voix. « C’est bien mon chien. Doucement, mon chien, calme. »Je n’en revenais pas d’être à quatre pattes, comme une chienne, en train de me faire mettre par notre chien, pesant de ses soixante kilos sur mes reins, presque le poids d’un jeune homme. J’étais en train de jouir, grâce à l’énorme bite de Démon. Je me suis traitée de salope, tandis que des larmes coulaient en même temps sur mes joues.Le répit n’a pas duré longtemps car Démon s’est laissé reprendre par l’excitation et il s’est remis à me secouer en me plantant ses pattes dans les flancs.En me traitant à haute voix de salope, pleurant de honte et de plaisir, je l’ai laissé me perforer de plus en plus vite, l’encourageant même de la voix, lui disant :— Vas-y mon chien. Vas-y. Plus fort mon chien. Tu fais du bien à ta maîtresse, continue tu vas la faire jouir avec ta grosse bite.Tout à coup, ses coups se sont encore accélérés et j’ai senti son mandrin s’épaissir, prendre encore du volume en écartant mes chairs, presqu’à m’en faire mal et, enfin les soubresauts de l’éjaculation, puissante, longue comme s’il était en train de me pisser dans la chatte.Démon s’est mis à jouir en poussant des petits cris aigus, comme si la jouissance lui faisait mal. Il est resté un moment comme ça, figé en moi, la queue toujours raide, énorme, sans débander. C’était super bon de sentir sa grosse tige bien raide dans mon ventre alors que ça coulait de partout sur mes cuisses. J’ai rapidement déchanté quand j’ai compris qu’on était coincé comme les chiens dans la rue.Je n’ai même pas réalisé que quelqu’un aurait pu débarquer à la maison à l’improviste et me trouver collée à Démon. Je pensais seulement qu’il m’avait fait jouir aussi bien qu’un homme, peut-être plus à cause des interdits.Quand nous nous sommes séparés, un flot de son jus est sorti de mon ventre pour m’éclabousser copieusement les cuisses et les jambes, une vraie inondation.Démon s’est léché le gland en me regardant puis est venu me faire la fête comme pour me remercier de m’être laissée sauter, enfin violée devrais-je dire car même si j’ai participé par la suite activement, au début c’était vraiment contrainte et forcée. Bon, après avoir obtenu ce qu’il voulait, c’est vrai qu’il se comportait comme un vrai gentleman à quatre pattes.— Là, j’étais encore plus perturbée que lorsqu’il m’avait fait jouir en me léchant. Presque tous les jours jusqu’à hier, j’ai fait l’amour avec Démon dès que tu quittais la maison, arrivant même en retard au travail pour nettoyer les dégâts causés par ses éjaculations et je t’avoue que je prends un pied d’enfer avec notre chien. Voilà tu sais tout, j’ai voulu tout te dire car ça devenait trop dur à gérer. Si tu veux que je parte, je comprendrais et je partirais sans faire d’histoire mais j’aimerais que tu gardes ça pour toi.
Je laissais passer un grand moment avant de parler car, comme vous pouvez l’imaginer, ce n’était pas le genre d’aveux facile à entendre. Nous fantasmons peut-être tous un peu sur la zoophilie mais lorsque c’est votre copine qui vous avoue qu’elle s’est fait mettre par notre chien et qu’en plus elle en jouit, je peux vous assurer qu’une bonne claque en pleine figure ne vous ferait pas plus d’effet.En y repensant, il me semblait bien avoir senti le trouble deMarine lors de ce premier contact charnel avec Démon mais j’avais mis ça sur le compte de mon imagination ou peut-être déjà d’un fantasme de mec. A bien y réfléchir, j’aurais d’ailleurs bien aimé que ce jour-là, Marine ne l’empêche pas d’aller plus loin.
En un éclair je pris ma décision, et je décidais de tirer parti de la situation pour en faire un jeu mais sans prévenir Marine de mes intentions. Je l’embrassais à pleine bouche puis feignant d’être énervé, je lui dis :
— Je n’en reviens pas que tu m’aies laissé te sucer et te lécher la chatte alors que Démon t’avait inondé le ventre de son jus quelques heures auparavant. T’es une grosse vicieuse et t’as intérêt à être gentille pour te faire pardonner.
Je me levais en l’attrapant par le bras pour la mettre à genoux à mes pieds devant le canapé, à même la moquette du salon.
— Tu vas commencer par me sucer et tout avaler quand je vais juter, petite salope.
Marine, les larmes aux yeux, mais visiblement résignée, prête à tout pour se faire pardonner, se rapprocha toujours à genoux et, fit glisser à mes pieds pantalon et slip pour m’enfourner d’un seul trait.
A suivre...
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