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Dick

Chapitre 1

Zoophilie
Je m’appelle Valérie et j’habite dans un petit village de Bourgogne où je suis venue après avoir épousé Bruno.Mon homme est très bricoleur et nous avons été contraint d’acheter une vieille maison de garde-chasse près de la forêt à cinq cents mètres de toutes habitations.La seule concession pour venir habiter ici a été d’avoir un mur entourant les mille mètres carrés de terrain.Le mur de presque deux mètres est construit mais ils nous restent à faire poser le portail, j’ai choisi un modèle tout en aluminium et aussi haut que le mur avec ouverture automatique.Il est commandé mais la fabrication prend du temps et nous ne l’aurons que dans un mois jour pour jour.Au fond du terrain cinq enclos sont aménagés attendant les pensionnaires qui sont en ce moment dans mon ancien chenil au centre du village.Le sixième enclos près de la maison recevra le nouveau mâle que j’ai acheté à un élevage près de Montpellier pour remplacer Dick que j’ai eu le malheur de perdre, il y a huit jours.Comme tous mes chiens, je les incinère et Bruno a placé l’urne dans le carré du souvenir que nous avons prévu dans un coin du jardin.En effet, je suis éleveuse reproductrice de Labradors mais mes voisins actuels ont porté plainte pour nuisance, le tribunal leur à donner raison et nous avions six mois pour déménager ou tout arrêter.Toute la journée je me suis occupé des trois femelles m’ayant donné cinq, six et quatre chiots. Un enclos est vide car je souhaite agrandir mon élevage lors du déménagement. Ma quatrième chienne a été conduite au mâle aujourd’hui chez une amie qui a un mâle avec un pedigree me permettant de valider la saillie et la lignée et pouvoir vendre les chiots.Je l’ai laissé chez elle car il faut toujours apporter la femelle au mâle et non l’inverse car neuf fois sur dix elle sera dominante sur son terrain et le repoussera.Dans ma camionnette, j’ai bien une séparation avec l’arrière où l’on place les chiens mais Pizza est ma chouchoute et à ce titre, elle a le privilège de monter sur le siège avant près de moi. De retour à la maison, j’entre et je constate qu’un joint dans la salle de bains a lâché et l’eau à tout inonder. Elle a descendu l’escalier pour s’étendre jusque dans la cuisine et la salle à manger.Je ferme l’arrivée d’eau et avec la raclette que je viens d’acheter pour nettoyer les enclos, je remets tout en état.Pour que la maison sèche, j’ouvre la porte d’entrée ainsi que les fenêtres et les portes de toute la maison.Ce travail terminé, je vais dans notre chambre. Je suis toujours nue sous ma combinaison de travail car lorsque j’ai besoin d’aller aux commodités, ce petit bout de tissu n’est vraiment pas pratique car il me faut tout enlever.Je l’ôte, en ouvrant les fermetures éclaire permettant de la défaire plus facilement et je la mets dans la panière de linge sale. Je ne peux pas me doucher mais je vais mettre mon Jeans sec. Comme toute femme mon Jeans a une taille au-dessous de celle que je devrais prendre aussi, je m’assoie sur le lit dans une position pas très orthodoxe si quelqu’un entrait, ma chatte exposée en avant. Un grognement se fait entendre et quand je lève la tête un énorme chien noir me regarde en me montrant ses crocs.L’expérience des chiens m’évite de perdre mon sang-froid, sans mouvement brusque risquant de déclencher l’attaque, je le fixe ne lui faisant pas voir la peur qui s’empare de moi. Il a profité de la situation pour venir jusque dans notre chambre.Il grogne une nouvelle fois et montre de nouveau ses dents. Il faut que je réagisse avec la bonne mesure car vu le poids qu’il doit faire, j’ai de fortes chances de me faire égorger. C’est certainement l’odeur de ma femelle que j’ai véhiculée toute l’après-midi qui a imprégné mon corps et son instinct de mâle a senti depuis des kilomètres qu’il y avait un bon coup à tirer.J’essaye un ordre sec mais en s’en être agressive.
• Assis.
Le chien étonné me regarde mais fait un pas en avant.Je réitère mon ordre.
• Assis.
Encore un pas vers moi.J’ai eu l’occasion lors de ma formation de voir un film où le chien est dit inversés.Lorsque vous leur dite « attaque », ils se couchent et si vous leur donné l’ordre « couché », ils attaquent.J’hésite à lui donner l’ordre de se coucher ne sachant pas à quel chien j’ai affaire.La combinaison pourrait m’aider mais elle est trop loin de moi, il n’est pas nécessaire de m’attarder sur cette solution.L’ordre assis le fait avancé mais je remarque qu’il semble moins agressif.Je réitère l’ordre.
• Assis.
Ma constatation est juste, mon gros toutou vient vers moi en penchant sa tête comme un gros bon toutou pourrait le faire. Ces yeux agressifs deviennent plus doux.Si je redonne l’ordre une nouvelle fois, il sera à cinquante centimètres de ma chatte qui est toujours placée en parfaite vision pour lui.Sans que je donne d’ordre, il réduit la distance et me donne un grand coup de langue juste sur le clito.Je vis avec des chiens depuis deux ans et c’est la première fois que l’un d’eux se permet une telle familiarité.Le salopiot, il est efficace, Bruno lorsqu’il me suce, n’a pas une langue râpeuse comme ce chien et il ne m’a jamais apporté d’orgasme.Je suis médusé, je viens de partir sous la langue d’un chien.Je ne suis pas née de la dernière pluie et je sais que des humains ont des rapports avec des animaux mais que moi, épouse modèle, je me fasse lécher par ce mâle même pour sauver ma vie me semble inconcevable.Et pourtant c’est moi qui me laisse glisser vers le pied de mon lit pour saisir cette verge immense comparée à celle de mon tendre et cher mari qui serait étonné s’il arrivait et trouvait sa femme se comporter comme une chienne.Cette verge que je caresse semble encore prendre plus de volume dans ma main.Mon chien non satisfait de cette simple masturbation me donne de grand coup avec sa tête.
• Oui pépère, je sais ce que tu veux.
Ces mots que je lâche au chien doublé de la position que je prends me confirment que je ne suis plus maître de moi-même.Ce n’est pas Valérie qui se met à quatre pattes pour recevoir dans la seconde qui suit le poids de Médor sur mon dos avec son sexe cherchant le mien.Quel grand couillon, il essaye deux fois et chaque fois tape à côté.
• Tu vas y arriver, Bruno ne me loupe pas lui.
Je suis folle, je parle à Dick comme si je parlais à un amant que je n’ai pas et pour l’aider, je vais même jusqu’à passer ma main sous mon corps pour le placer pour qu’il me pénètre.Il entre et sans ménagement il est au fond de mon vagin. La sensation est incroyable, j’ai l’impression que son long pieu me transperce même le col de l’utérus.C’est sans compter sur la base de sa queue qu’il me fait entrer et qui grossit, grossi et grossi encore. J’ai une boule qui nous soude ensemble et qui manque de déchirer mon vagin.C’est à ce moment qu’il choisit d’arroser mon intérieur. Je ne compte plus le nombre des jets de semence qu’il m’injecte.Je ne compte plus parce que l’orgasme atteint avec sa langue n’est rien que celui que je ressens lorsqu’il éjacule.Sensations, éjaculations, orgasmes sont confondus et pendant quelques secondes mon amant canin me fait tourner de l’œil.Lorsque je reviens sur terre, nous sommes collés. Dick ne bouge plus pensant ensemencer la femelle qu’il a conquise.Femelle qui dès cet instant est toute à lui.Je sens la mâchoire puissante de mon chien venir prendre ma nuque pour me faire sentir ses crocs. J’ai peur d’être marqué et que Bruno s’en apercevant me pose des questions dont j’aurai bien du mal à répondre. J’ai assez de fois vue Dick, mon labrador faire des sailli avec mes femelles. Je ne perde pas mon sang-froid et je sais qu’il ne me reste plus qu’à attendre que sa boule se réduise pour me libérer.Je sens son liquide compressé au fond de ma vulve distendue bougé dans mon ventre et de petits soubresauts de plaisir irradient de nouveau mon corps.Le temps passant, il se retire m’arrachant un petit cri de douleur où peut être de plaisir.Je tombe au sol et je le vois se coucher et se lécher le sexe.J’ai à mon côté un bon gros toutou ayant eu ce qu’il voulait et étant redevenu mon gentil toutou.Au bout d’un certain temps, je reprends conscience que Bruno va arriver et qu’il aura du mal à croire que j’ai baisé avec Dick pour sauver ma vie.Je me remets en position chatte en avant pour enfiler mon Jeans lorsque Dick relève la tête, souligne sa tige prête à m’en remettre un petit coup.
• Couche, Dick.
Quelle idiote, heureusement il n’attaque pas.Pieds nus, sein nu, je l’entraîne vers le rez-de-chaussée le faisant sortir et rejoindre l’enclos sous notre fenêtre prévue pour mon labrador mâle.Lorsqu’il voit qu’il est enfermé, il me regarde l’air méchant d’avoir été piégé par sa femelle.Je vais dans mon laboratoire où je lave, soigne et prépare le repas de mes chiens cherchés de l’eau et une gamelle de croquette.Il apprécie que je le nourrisse semblant ne rien avoir avalé depuis plusieurs jours.
Je reviens vers la porte d’entrée lorsque la C4 de Bruno franchit le portail.
• Bonjour mon chéri, tu ne vas pas croire ce qu’il m’est arrivé.
Je l’entraîne sur le côté de la maison et je lui montre mon chien.Dès qu’il voit un concurrent, Dick montre ses crocs.
• Calme Dick n’est pas peur, tu ne crains rien, c’est Bruno, mon mari, tu verras, il est très gentil.• Où as-tu trouvé cette bête si énorme ?• Il est venue tout seul quémandé des caresses.• Je le conduirai à la S.P.A demain.
Lorsqu’il dit ces mots, j’ai l’impression qu’il cherche à m’arracher le cœur.
• Non, je veux le garder.• Il est peut-être à quelqu’un.• Je regarderai à la boulangerie, c’est toujours là que les gens mettent des annonces et je leur rapporterai.Je suis seule et il me protégera.• Et tes Labradors ?• Tu sais bien que mon élevage est réputé par leur docilité.• Alors, d’accord, à part cela.• Monte changer un joint dans la salle de bains, il y a eu une inondation.
Il me prend par la taille et m’entraîne à l’intérieur en me saisissant un sein
• Viens, je réparerai cela demain matin avant de partir au boulot.
Panique à bord, je me vois sur le lit, en levrette recevoir sa queue dans ma chatte emplie du jus de mon amant.
• J’ai travaillé moi, j’ai besoin d’une bonne douche et je ne pourrai pas préparer la soupe.
J’évite ainsi tout drame, nous sommes nus sur notre lit, la chaleur de juillet étant étouffante.Comme souvent dans la nuit, Bruno vient frotter sa verge sur mes fesses.Je me retourne et il vient m’embrasser.Rapidement il se couche sur moi et son sexe me pénètre.À ce moment, des bruits de pleurs comme ceux d’un bébé me parviennent. Sous notre fenêtre Dick pleur tout le temps que Bruno me laboure.Au moment qu’il éjacule, j’ai un orgasme et je chante mon plaisir, les pleurs de mon amant canin augmentent de volume, pour s’arrêter dès qu’il m’a quitté.Au matin, je suis heureuse car dans peu de temps je vais retrouver mon chien chéri…
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