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Dick

Chapitre 3

Zoophilie
Il y a deux jours que je me donne à Dick mon gros bon toutou.Hier lorsque Bruno est entré, je l’ai enfermé dans son enclos et je suis allé prendre une bonne douche bien méritée après la belle saillie pratiquée par mon amant.Impossible de prendre le risque que des proches s’aperçoivent que je suis adepte des amours animals.Nous dormons bien comblés tous les deux lui dans son enclos sous mes fenêtres moi dans mon lit.J’ai de bonnes chances, Bruno est du genre à tirer un coup par semaine.
Le lendemain, je porte une gamelle à Dick car hier après nos exploits, j’ai complètement oublié de le nourrir.Je le laisse pour la première fois dans son chenil et je vais m’occuper de mes autres animaux.Avant je vais récupérer Pizza que je ramène au refuge. Avec mon amie, nous avons eu du mal à récupérer les deux chiens qui jouent ensemble sur la pelouse.
• Pruneau vient voir maman.
Pruneau, c’est le mâle que j’ai emprunté en attendant mon nouveau Labrador.Pour mon élevage, c’est du manque à gagner, car je dois donner après sevrage l’un des petits chiots de Pruneau pour payer la sailli.La réaction du chien lorsque sa maîtresse l’appel est étonnant.Il se désintéresse de ma chienne, vient vers Anaïs et lui place le museau à la hauteur de son sexe. Il donne des coups de tête sur le short de la jeune femme.La belle serait-elle adepte de son chien comme je le suis de Dick. Anaïs n’est-elle pas la chienne de Pruneau ?Il est difficile de lui demander si elle se fait prendre par son chien et c’est plein d’incertitude que je la quitte.Dommage, j’aurai bien aimé demander son impression à cette femme. Est-ce moi qui suis vicieuse où existe-t-il, une pratique plus fréquente que l’on ne croit entre des femmes et leur chien.
De retour à la maison je libère mon chien et l’emmène dans ma cuisine.Je mange légèrement à midi, j’ai enlevé ma combinaison comme je le fais tous les jours et c’est nu que je suis assise sur ma chaise lorsque je vois Dick quitter le coin où je lui ai demandé de ce coucher.Monsieur mon toutou en a assez de me voir me balader devant lui à poil. Je lui donne l’ordre de rester sans bouger, mais il m’est impossible de l’arrêter. Il passe sous la table et vient me lécher la chatte qui dégouline d’envie.
Pas question qu’il me pénètre même si je rêve de l’avoir en moi, si je me fais coller ce qui est probable, le temps qu’il me libère risque de me faire louper notre premier cour de dressage.Pendant plus de deux heures, je guide mon chien comme me le demande Paul. Je suis crevé de le faire avancer, arrêter, assoire, relever, coucher à mes pieds et autres mouvements pour que le chien intègre tous ces ordres et surtout comprenne que c’est sa chienne qui est maîtresse du jeu et non lui.C’est sa chienne qui dans le futur décidera de se servir de sa queue. C’est moi qui accepterai qu’il me monte sur le dos pour me pénétrer et apprendre à ne rien avoir.Bien sûr, j’extrapole, Paul ne me fait donner aucun ordre direct lié au sexe à Dick. Mais lorsque je lui apprends à attendre à toucher sa gamelle qu’a mon ordre, je peux transférer cet exercice sur des ordres l’autorisant ou pas à s’occuper de moi.
• Valérie, c’est très bien pour un premier jour, pour voir, comment il progresse, tu fais l’exercice tous les jours une heure et nous nous revoyons la semaine prochaine pour voir la progression et les défauts à améliorer.
Je veux le payer, mais il me propose un contrat d’un mois à une somme très raisonnable.L’investissement que me coûte l’éducation de Dick sera rentabilisé par le nombre de fois où il viendra m’éclater la chatte ou le cul. Le cul parce que l’accident d’hier devra se répéter tellement, j’ai aimé même si ce grand méchant m’a fait souffrir.Chez les humains, l’usage des sévices dans les couples est très fréquent et avoir mal par l’intermédiaire de mon chien découle du même cheminement.
Dès le lendemain et les jours qui ont suivi, j’ai accepté d’être sa chienne et comme me l’a demandé Paul, à deux jours du premier contrôle, je me refuse en lui donnant des ordres lui interdisant de bouger.Dick semble ignorer pourquoi mais comme pour sa gamelle qui touche qu’à mon ordre, je métrise de mieux en mieux ses instincts de mâles.Le midi du contrôle, je lui donne l’ordre de se coucher. À aucun moment j’autorise qu’il bouge jusqu’à ce que je lâche l’ordre de venir à mes pieds.Je me suis assise face à lui les jambes écartées la chatte offerte.À cinquante centimètres de mon intimité, je donne l’ordre « assis », la langue pendante prête à me lécher, il s’assoit et attend.Lorsque je dis « viens », il réduit les quelques centimètres de distance et me lèche avec application comme jamais, il ne l’a fait content que j’accepte de redevenir sa chienne.Pour voir jusqu’où je le métrise l’ordre de se coucher claque.Il s’en fiche, il a retrouvé son rôle de dominant et il refuse de me laisser de nouveau la main.J’ai encore du travail à faire avec lui, car lorsque j’arriverais à le faire reculer, j’aurais gagné mon dressage et la métrise de mon animal.
Je m’habille avec une tenue plus féminine avec l’une de mes minis que je porte lorsque j’ai fini de m’occuper de mes chiens.Je suis une chienne et une chienne se déplace nue sous sa jupe même courte.Je dois être nue pour faire plaisir à mon amant qui pose sa tête à la hauteur de mon aine à quelques centimètres de ma vulve lorsque je le fais coucher à mon côté dans la camionnette pour aller au terrain d’entraînement et que sa truffe peut sentir que je mouille dans cette situation.La banquette de la camionnette est toujours éclatée et lorsque je lui donne l’ordre de se coucher, je sais que ses testicules sont posés directement sur les ressorts du siège.Pourquoi seraient-ce nous les femelles qui devrions toujours souffrir.Je vois ce qu’il endure chaque fois que la route à un trou ou malencontreusement mes roues passent.Jamais il ne se plaint me montant que lui aussi sait souffrir par amour en me montrant des yeux d’enfant fautif.La progression de Dick impressionne Paul jusqu’au moment où il se prend dans mes jambes avec la laisse, je tombe lourdement ma chatte offerte.Aux rougeurs qui lui montent aux joues, il est sûr qu’il a vu mon manque de culotte.
• Valérie enferme ton chien dans le box là-bas et viens dans mon bureau il faut que je te parle.
Lorsque j’entre, il a ouvert sa braguette et tient sa queue à la main.
• Je me doutais que tu avais envie de moi et quand j’ai vu que tu étais venue sans ta culotte, j’en déduis que tu veux que je te fasse l’amour.Viens me sucer.
Aucune alternative, je dois lui céder, je me vois mal lui dire que c’est pour Dick que j’ai mis cette petite jupe sans ma culotte.On dit qu’il faut souffrir pour être belle, il faut aussi savoir sucer et se faire prendre sur le bureau pour garder mon beau secret.Pendant tout le temps où il me laboure, je lâche des « ouis, oui » lui donnant l’impression que je suis en train de jouir.Pendant toute la pénétration mon cerveau refuse de penser que je trompe Bruno, mais c’est Dick qui vient à mon esprit.Je subis peut-être la verge de cet homme, mais c’est pour mieux recevoir celle de mon amant dans les jours et les mois suivants.Considérant que les leçons données à Dick sont suffisantes le lendemain, je mets un chèque à la poste assez substantielle pour que les quelques heures de cours de Paul soient largement couvertes.En rentrant pour me faire pardonner cette trahison, j’entraîne mon amant dans le laboratoire et sans me déshabiller la porte bouclée, je me fais coller pour de longues minutes.Dick avec son instinct animal montre son mécontentement de l’avoir trompé, en me mettant la nuque dans sa gueule et en serrant assez pour que quelques gouttes-de-sang perlent.Il faudra dans le futur que je fasse attention d’éviter d’exacerber sa jalousie, car avec sa puissance, je risque d’y laisser la vie. Lorsque pour me faire pardonner, je le laisse venir la grande giclée qui emplit mon ventre me lave de la petite souillure qui a coulé dans ma chatte lorsque Paul a éjaculé et ressoude notre amour. Pour pouvoir dire que cette journée a tout de même été bénéfique une animalerie de Dijon m’appelle pour me commander trois chiots ayant vendu tout les leurs. Ils veulent deux femelles et un mâle.
Pendant les jours suivants, j’ai affiché sur mon site Internet que des chiots étaient sevrés et prêt à être vendus. En quelques heures ils partent tous et les mères se reposent avant la période où elles seront de nouveau fécondes.Lorsqu’une mère a eu assez de porter, il faut la remplacer, car il faut respecter les animaux. Il m’est impossible de les garder, car le chenil serait en péril à nourrir tous ces animaux.Aussi lorsqu’un enfant vient visiter mes animaux et que les parents sont trop justes pour payer la somme importante d’un chiot, je prends son nom et son adresse et je lui donne cette mère qui pour les quelques années leurs restants à vivre retrouve un foyer et surtout une petite-maîtresse.Une bonne action est toujours récompensée, sur les dix mères que j’ai données depuis le démarrage de mon élevage la vie de sept d’entre elles s’étant terminé chaque fois le petit garçon ou la petite fille est venu m’acheter un jeune chiot.
L’éleveur où j’ai acheté Dick II me prévient qu’il est sevré et je vais le chercher à trois cents kilomètres de chez moi.Pour éviter les frais, l’aller et retour étant impossible en une journée, je mets la couverture à l’arrière de la camionnette et le soir avant d’arriver chez mon collègue, je m’arrête dans un petit chemin.Nous folâtrons dans de l’herbe fraîche où je me suis déshabillé et après que mon amant m’est honoré avec toute sa puissance, nous dormons enlacés lui et moi.Ce qu’il y a de bien avec Dick, c’est que j’ai la certitude qu’aucune personne ne viendra nous chercher des noises.Si Dick n’a pas assez de hauteur dans la camionnette pour me prendre au matin, ma bouche va le satisfaire trois fois de suite, en suçant goulûment sa verge et en avalant avec délice les longs traits de semence que mon amant me distille.Enfermé dans cette camionnette, je prends doublement conscience du degré de chiennerie que j’ai atteinte avec mon gentil ami.
Après avoir couru nue dans le champ bordant le chemin et avoir réussi à arrêter Dick qui voulait profiter de me prendre étant insatiable, je remets ma combinaison et nous arrivons au chenil où le propriétaire est fier de me montrer son levage avec les animaux.Dès que je suis arrivé, je laisse Dick à l’avant de la camionnette évitant qu’il s’énerve après les mâles présents dans les box et c’est avec mon nouveau chiot dans mes bras que je visite tous l’installation. Dans ma visite, il me donne une bonne idée pour développer mon élevage sans avoir trop d’animaux personnels, il a des enclos pour faire du gardiennage de chien pendant les vacances des propriétaires. Je suis bien placé, car je suis entre Paris et la côte Méditerranée cela pourrait fonctionner à moindres frais, je dois démonter les cages de mon ancien chenil et je pourrais les remonter sur la partie de mon terrain où il y a de l’espace.À un moment, nous passons près de la camionnette et Dick montre les crocs en voyant le chiot que je porte dans mes bras.
• Voilà tous les papiers nécessaires dont le carnet de vaccination de Dick II. Nom que j’ai donné au vétérinaire avant qu’il lui implante sa puce de signalisation.Vous avez le numéro qui lui a été implanté avec tous les documents pour le pedigree enfin la facture à me régler par un chèque attestant que la transaction a été tout à faite normalement.Il me reste à vous souhaiter bonne route pour votre retour.
Je lui serre la main et lorsque j’arrive à la voiture, la portière avant gauche est à moitié arrachée et Dick a disparu.Je place le chiot dans le panier que j’ai apporté et l’éleveur me dit qu’il a mon numéro et que s’il a des nouvelles, il me préviendrait.Je tourne toute l’après-midi, mais il me faut rentrer, Danielle a son travail et il est nécessaire qu’un humain soit toujours présent et il lui ait impossible de rester seul trop longtemps à l’élevage.Les kilomètres me semblent longs jusqu’à la maison espérant désespérément que mon téléphone sonne.Pour me réconforter, j’ai installé le petit près de moi et cette petite boule de poils me réconforte un peu.Arrivée chez moi, Danielle, est catastrophée d’apprendre que Dick, est partie, mais elle tombe sous le charme du chiot que je ramène.Lorsque Bruno, arrive, il refuse que je laisse Dick II dans son panier dans la cuisine me rappelant notre accord d’avoir aucun de ces animaux dans la maison.Je commence à avoir sérieusement ras le bol de ce mec qui ne me fait même pas jouir comme mon grand amour savait le faire.Dick serait encore là, je lui dirai de prendre ses affaires et de se tirer, car tout l’argent que j’ai investi provient de l’héritage que m’a laissé ma grand-mère à sa mort. Tout est à mon nom.Pour éviter un conflit, je conduis le chiot dans le laboratoire et je l’installe dans la baignoire sur une couverture pour qu’il ait bien chaud quoique nous soyons en été.Je laisse la porte ouverte pouvant l’entendre s’il y a le moindre problème.Dans la nuit, je descends trois fois le voir et je sors nue dehors jusque devant le portail pour voir si Dick arrive.Quelle folle, trois cents kilomètres en huit heures, ce serait une vraie fusée.C’est plus fort que moi, une heure après, je reviens au même endroit.Au matin, j’ai passé une nuit blanche. Je retourne voir Dick II qui a pris la position qu’il semble beaucoup apprécier pour dormir. Il est allongé sur le dos ses petites noisettes à portée de ma main me faisant penser irrémédiablement à celle de mon amant perdu.
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