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Un dimanche avec toi

Chapitre 3

Lesbienne
A mon tour d’aller reprendre une douche. Mes jambes tremblent, plein d’images inondent ma tête. Je repense à ce qui vient de se passer. Je suis toute chose. Pendant que je me douche, toi, tu nous prépares un petit quelque chose à boire. Un thé délicieusement parfumé pour toi, un café pour moi. La douche m’a fait du bien, mais j’ai du mal à penser à autre chose.
Tu m’as merveilleusement bien troublée ma puce. Je sors de la salle de bain, je te rejoins. Je suis restée nue, totalement nue. Je te retrouve sur la terrasse, allongée sur un transat, à profiter de ce délicieux soleil. Il fait chaud pour la saison, il faut en profiter. Je te donne un baiser, et j’effleure ton corps nu, du bout des doigts, ta peau est brûlante.
Je m’installe sur le transat à côté de toi, ils sont collés. Tu bois ton thé, moi mon café. On reste allongées, main dans la main, à discuter. Le sommeil nous gagne, on s’endort au soleil. Les émotions du matin, nous ont épuisées. Je ne sais pas combien de temps, j’ai dormi, mais c’est une sensation très agréable, qui m’a réveillée.
Je ressens de la chaleur entre mes jambes, un immense plaisir, des caresses chaudes et humides, sur mon petit bouton d’amour. J’ouvre les yeux, je regarde mon bas-ventre, je te vois. Tu es entre mes cuisses. Je pose mes mains sur tes cheveux, tu lèves le regard vers moi, tout en continuant à me lécher. Mes doigts se resserrent sur ta tête.
Je te tiens fort. Je veux que tu continues... " Mon cœur, fais-moi jouir, encore ! "Je veux jouir sur ta bouche. Ta langue est divine, tu me fais hurler, mon plaisir coule sur tes lèvres, je te regarde faire, émerveillée par ce beau spectacle. Je jouis, je jouis fort, très fort, sur ta délicieuse bouche. Je crie, tu me souris.
Je me redresse, tu viens t’asseoir dans mes bras. On laisse passer un peu de temps comme ça. Il fait beau, tu me proposes d’aller faire une balade. On va s’habiller, il serait temps, il est seize heures passées. Pour me faire plaisir, tu sors ta jolie robe portefeuille. Tu sais que je l’adore. Elle te va si bien, et je sais aussi, que tu aimes sentir, la douceur de la soie, sur ta peau.
Tu sors de ton tiroir, un joli string en dentelles. Je le prends, je te le confisque. Tu vas être délicieuse, nue, sous ta robe. Je mets une petite robe également, sans rien dessous. On prend la voiture pour aller dans un parc, pas bien loin de chez-toi. Dix minutes de route, et on est arrivées. On se gare, on entre dans le parc, mains dans la main.
Il n’y a pas grand monde. On marche une bonne heure, on arpente les allées. Il est magnifique ce parc. Un étang, de grandes étendues d’herbe, des arbres, des canards et des cygnes. Il commence à faire un peu plus frais, tu as la chair de poule. Je t’enlace pour te réchauffer, je te donne un baiser, et d’autres encore. Tu me prends par la main, et tu me demandes de te suivre.
Tu marches vite, une allée, une autre. On s’enfonce dans une zone très boisée. Il y a un banc, isolé de tout. Tu m’y entraînes, tu me demandes de m’asseoir. Tu viens debout entre mes jambes. Tu prends mes mains, et les poses sur tes fesses. Je les caresse. La soie de ta robe glisse sur ta peau. Mes caresses se font plus marquées. J’empoigne chacune de tes fesses dans mes mains.
Je les malaxe. Je te désire si fort. Mes jambes sont ouvertes autour de toi, ma petite robe s’est remontée toute seule, sur le haut de mes cuisses, mon sexe est exposé, découvert, tu le regardes. Ce que j’aime avec ta robe, c’est qu’elle s’ouvre si facilement. Parfois, juste un petit coup de vent, et tes jambes se découvrent totalement, pour mon plaisir, et celui des passants.
Là, ce n’est pas le vent, mais moi, qui l’ouvre. J’écarte les deux pans, et ton corps, m’apparaît. Ton ventre, ton intimité, tes jambes, ma belle puce. Je caresse tes seins au travers du tissu, je sais que tu adores ça. La soie sur tes tétons, les fait bander très fort. Ils sont tout durs, ils pointent, je les caresse encore, je les pince, en tirant doucement dessus.
J’écarte le haut de ta robe, tes seins s’évadent, tes jolis seins. La robe ne cache plus grand chose, je te regarde. Je fais remonter totalement la mienne, je fais tomber les bretelles. Me voilà aussi peu vêtue que toi. Mes mains sont sur tes seins, je les malmène." Viens, viens t’asseoir à genoux sur moi "
Mes mains ne quittent pas tes seins. Tu viens t’installer sur moi. Ta chatte sur la mienne, ça m’électrise. Tu bouges doucement, nos sexes se caressent, se frottent, se baisent. Je prends un de tes tétons dans ma bouche, entre mes dents, ma langue le caresse fort. On est seules au monde. Nos fleurs glissent l’une sur l’autre, nos clitoris sont tout gorgés de désir.
Tu te frottes un peu plus fort, j’ai envie de jouir, je mordille ton sein. Je te sens te tendre, toi aussi, tu es prête. On jouit ensemble, tu te frottes plus fort encore, on est trempées. Je t’ai mordu, emporté par ce plaisir immense. Je dépose un baiser, sur ton téton endolori, un autre sur tes lèvres. " Reste encore un peu ! "
Je caresse tes fesses, tu m’embrasses, on est si bien. Il fait froid à présent." Si on rentrait ? "On se rhabille, et on repart, main dans la main. En rentrant, on se fait couler, un bon bain bien chaud, et ensuite, on préparera le dîner, et on passera une merveilleuse soirée, suivie d’une douce nuit.
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