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un dimanche mouvementé

Chapitre 3

Erotique
Après la sortie de Fabienne, Christophe quitte la baignoire. Y prendre une douche! C’est bien une idée de fille ça! Surtout quand il y a une aussi belle cabine, aux vastes proportions et aux portes transparentes. Il y a de la place pour deux là dedans. Il soupçonne Luc et Elodie de s’y laver ensemble. Il aurait du y entraîner Fabienne. A la réflexion cela n’aurait peut-être pas été une bonne idée. Les choses ne se seraient sûrement pas déroulées de la même manière. Il ouvre l’eau. Brrrr! Il reçoit une violente giclée d’eau froide. Il détourne le pommeau le temps que le thermostat règle la température. Ouf! Cela va mieux. La douchette est en position massage. Il va la modifier quand un souvenir surgi du fond de sa mémoire interrompt son geste. Tiens! Pourquoi pas? Il promène le jet sur son corps. La pression de l’eau gratte agréablement l’épiderme. Quelques centimètres plus bas, elle soulève les poils à la base du sexe. Il se revoit adolescent dans une cabine semblable, non, plus petite… La première fois où il a pris conscience du plaisir sexuel… Comme aujourd’hui, il promenait le jet sur son corps…
« …Pour s’amuser il le dirigeait sur le bout encore encapuchonné de son sexe. La découverte! Il a eu la surprise de le sentir grossir sous la caresse de l’eau, de le voir s’allonger, raidir, pointer à l’horizontale. Une étrange langueur l’envahissait. La pression liquide agissait comme de multiples petits marteaux dont les secousses se propageaient dans tout le corps. C’était à la fois énervant et délicieux. Il tremblait, avait de la peine à tenir debout, mais ne cessait pas la douce torture. Sous l’émotion il ne parvenait pas à maintenir le pommeau immobile. Le jet déviait, atteignait le bas ventre ou le sommet des cuisses, mais il le ramenait bien vite sur la bosse du gland, l’emplacement le plus sensible. Il a eu l’idée de coincer la douchette dans le porte-savon. L’eau jaillissait presque à l’horizontale mais en reculant dans l’angle de la cabine il parvenait à la faire tomber sur le dessus du sexe rigide, pile au bon endroit. La peau du prépuce tendue à craquer laissait pointer un peu de chair rouge violacé, fendue à l’extrémité. De temps en temps, un frisson le secouait du ventre aux orteils. Il s’empressait de remettre la verge en place sous le jet et, le dos appuyé contre la paroi, il jouissait de cette sensation jusqu’alors inconnue… Des coups frappés à la porte par sa mère inquiète du temps qu’il passait dans la salle de bain, l’avaient fait reprendre contact avec la réalité… »
Christophe sourit. Sa mère n’a jamais compris pourquoi, subitement, il se douchait si souvent, alors qu’auparavant elle devait insister, menacer même. Il sortait de la salle de bain congestionné, ravi mais en même temps frustré. Une étrange sensation d’inachevé étreignait son bas-ventre car à l’époque, il n’avait pas découvert les caresses qui soulagent… Remuer ses souvenirs éveille sa virilité. Pourquoi ne pas essayer de reproduire la sensation ! Il dirige le jet dans les poils qui s’emmêlent, à la base de la hampe, sur les testicules que la pression déforme, sur le dessus du gland. C’est agréable, très agréable même, mais sans plus. Il est déçu, jamais il ne retrouvera l’émotion de ces instants de son enfance. Il poursuit néanmoins la caresse liquide…
— Alors, on s’amuse tout seul? Christophe détourne le jet, vexé de s’être laissé surprendre. Luc en passant a jeté un coup d’œil dans la salle de bain. Ayant vu à quoi était occupé le garçon, il est entré et l’a interrompu. Il était monté rejoindre Lisette. Celle-ci peut attendre, les fesses de Christophe ont la priorité! Le garçon regarde Luc se déshabiller sans hâte rangeant soigneusement ses vêtements sur le portemanteau. Le jet d’eau toujours en position de massage débite contre la paroi de la douche. Il est incapable de réagir redoutant et espérant à la fois ce qui va suivre. Il en a des picotements dans le bas du dos. Luc entre dans la cabine et referme la porte coulissante: — Tu permets que je me douche avec toi, il y a de la place pour deux. Ce n’est pas une question. Il attrape la douchette, règle le jet en pluie et mouille son corps. Christophe n’a pas fait un mouvement. — Frotte mon dos s’il te plaît. Le garçon sort de sa léthargie. Il enduit les mains de gel douche et les passe sur les omoplates. — Plus bas, s’il te plaît. Il descend sur les reins mais n’ose aller plus loin que la naissance des fesses. — Qu’est ce que tu as? T’as peur? De quoi? Allez! Tourne-toi que je te montre. Luc lui arrache le gel douche. Ses mains balaient le dos, les aisselles, les reins, les fesses et le haut des cuisses. Il revient sur les fesses. Celles-ci, dodues, rondes, aussi tendre que celles d’une fille ont le don de l’émouvoir. Il les couvre de mousse, insistant sur la raie. Christophe tremble sur ses jambes et s’agrippe au porte-savon pour ne pas tomber. Les doigts de Luc, passant entre les jambes, enveloppent les testicules, les font rouler. Ils reviennent en arrière autour de l’anus. Le garçon ferme les yeux. Il s’abandonne à la caresse. Ses bras plient, il se penche en avant, le front appuyé sur le carrelage de la cabine. Le plaisir qu’il éprouve est mêlé de honte. Comment se fait-il que lui, un garçon, aime autant que Luc caresse son cul? Sans le faire exprès, sa position est suggestive, fesses proéminentes et jambes écartées. Luc le prend à bras le corps. Ses mains chatouillent les petits tétons de sa poitrine. Elles glissent sur le ventre, farfouillent dans les poils à la recherche du sexe défaillant. Malgré le plaisir éprouvé par Christophe, sa verge n’a pas retrouvé la taille qu’elle arborait à l’entrée de Luc. Et pourtant, il l’aime la caresse que l’homme lui prodigue! Celui-ci, changeant de tactique, badigeonne le trou du cul de gel et en force l’entrée du doigt. Le garçon soupire. Luc tourne, s’enfonce, ressort et recommence. La virilité de Christophe veut bien réagir. Il lui fallait cette intrusion! Après quelques allers et retours, le doigt le quitte. Le garçon se retourne interrogateur. — Ne bouge pas. Il a compris. C’est la fin des préliminaires. Le moment crucial est arrivé. Il le redoute et l’espère tout à la fois. Il sait depuis que Luc est entré dans la douche qu’il sera sodomisé, qu’il va subir les derniers outrages comme on l’écrit dans les romans à l’eau de rose. Non, pas depuis qu’il est entré dans la salle de bain, mais depuis son arrivée, quand on lui a peloté les fesses. Christophe sent le gros gland contre le trou qu’il imagine tout petit. Il n’est plus question de reculer (en a-t-il été question?). Il perçoit les recommandations que murmure Luc à son oreille et les suit à la lettre: — Reste calme… Ouvre-toi… Oui! Bien… Laisse-toi aller… Écarte les fesses avec les mains…— Hé! Je glisse! — Attends, je te maintiens. Luc le soutient sous les aisselles.
— Ça va? Tu ne glisses plus? — Non. — On continue alors? Christophe ne répond rien, inutile! — Je mets la queue sur la rosette… Tu sens?… Elle tremble d’impatience d’entrer. Maintenant, pousse avec moi. Le gland, bien lubrifié, force sans difficulté le barrage musculaire. Christophe est surpris de la facilité et l’attribue au gel de douche. — Tu n’as pas mal? — Non, non ça va! Luc pousse jusqu’à buter des poils sur les fesses. — Ouch! — Excuse-moi, je me suis trop pressé. — Non, non, c’est passé, tu peux y aller. Fort de la permission Luc le pistonne quelques coups, lentement d’abord puis plus énergiquement. Christophe s’accroche des deux mains au porte-savon comme à une bouée de sauvetage. Luc interrompt le mouvement, son sexe profondément fiché. Son gros manchon immobile distend le cul. Ce n’est pas douloureux, simplement gênant. Le garçon préfère quand il coulisse. Luc enduit une main d’une épaisse couche de mousse crémeuse et la referme sur la verge de Christophe. — Tu va sentir, c’est comme si tu entrais dans un con plein de foutre. Oh! Cette sensation quand les doigts glissent sur la queue au rythme des coups de reins. Le garçon ferme les yeux. Ce n’est plus la main de Luc mais le vagin de Fabienne qui enserre son sexe d’une pression douce et onctueuse. Il est à la fois Christophe baisant Fabienne et Fabienne recevant Luc. Il est… Il ne sait plus qui il est, qui est qui. Tout se brouille. Il entend des gémissements avant de réaliser que c’est lui qui les profère. Sans avertissement, il décharge dans les doigts qui le masturbent et glisse dans la cuvette. Luc surpris, n’a pu le retenir. Il reste là, les bras ballant le sexe dressé. Cela ne fait pas son affaire, il n’a pas joui lui! Il soulève Christophe par les épaules et le met à genoux. — Dis donc, espèce d’égoïste, je n’ai pas eu mon compte! Pour ta punition, tu vas me sucer! Il présente sa queue raide et ruisselante d’eau à ses lèvres. Le garçon le regarde hébété et refuse d’ouvrir la bouche. — Ne me raconte pas que tu n’aimes pas te faire sucer. Elodie l’a fait et aussi Lisette, elles me l’ont dit, et je ne parle pas de Fabienne! Alors! Ce qu’elles ont pu faire, toi aussi, tu dois en être capable. Allez! Ouvre la bouche et exécute-toi! N’aie pas peur, elle est propre, la douche l’a nettoyée! Christophe prend cette… chose en main. Comment se fait-il que son cul l’a absorbé? Elle est si grosse! Elle ne va pas entrer dans sa bouche! Pour faire plaisir à Luc il y pose les lèvres et passe la langue sur le gland. Il a vu Elodie et Fabienne officier sur cette énormité. Comment ont-elles fait? Il arrondit les lèvres. A sa surprise, cela passe! Ce n’est pas désagréable. Il essaye de se souvenir de leurs gestes quand elles le sucent. Luc est satisfait de ses bons offices, il apprend vite ce petit! Christophe s’enhardit et caresse en même temps les testicules. Pouah! Un jet tiède emplit sa bouche. Il ne s’y attendait pas et pourtant il aurait du s’en douter! Il recrache. Luc éclate de rire. — Cela surprend la première fois hein? Mais ça ne fait rien, tu m’as bien sucé et je suis content de toi. Allez! Debout! Que l’on finisse de se rincer! Christophe n’est pas très vaillant quand ils sortent de la cabine. Il s’installe sur un tabouret, une serviette à la main. Luc se sèche et s’habille. Le garçon n’a pas bougé de son siège. — Tu ne sors pas? — Non, le temps de récupérer! — Je te laisse alors? — Vas-y…
Elodie fixe la porte par laquelle Fabienne est sortie. La jeune fille serait-elle amoureuse de Christophe? Elle pourrait plus mal tomber. Bah! On verra bien. Elle se secoue et monte l’escalier. Elle frappe un coup discret à la porte de Lisette et entre sans attendre l’invitation. La jeune bonne s’étire sur le lit. Elle sourit à Elodie. — Alors? Elle est gentille Fabienne? — Oh oui! Tout à fait comme tu me l’avais dit. — N’est ce pas qu’elle embrasse bien. — Oui, et même plus que ça. — Elle a réussi à te faire jouir? — Deux fois de suite. — Oh! Je vais être jalouse moi. Tu as intérêt à te faire pardonner! Elodie s’assied sur le lit et caresse la joue. Après la séance assez violente avec Luc, elle a besoin d’amours fraîches et juvéniles. Elle se penche sur la figure et l’embrasse sur le front, les yeux, les ailes du nez et enfin, la bouche. Les mains profitant de sa nudité, parcourent le corps en papillonnant. Lisette répond au baiser. Sa langue tourne autour de celle d’Elodie en un savant ballet. Ses mains se glissent sous le chemisier, sortent les pans de la jupe pour attraper les seins. La jeune femme se redresse. Pour lui donner satisfaction, Elle le déboutonne et offre sa poitrine aux lèvres de la bonne. Lisette mordille les tétons, les suce pendant qu’Elodie explore son sexe du doigt. Encore un baiser. Elle quitte son slip et monte sur le lit, tête bêche avec la bonne. Elle glisse les mains sous les fesses et attire à sa bouche le triangle de poils frisés. Lisette fait voler la jupe sur le postérieur et lui rend ses attentions. Leurs caresses simultanées sont tendres et douces. Rien ne les presse. La jouissance met longtemps à éclore, à s’amplifier et les emporte à la fin.
Elodie récupère plus vite que Lisette. Elle sourit de la voir s’agiter de gestes convulsifs pendant qu’elle renfile son slip et reboutonne le chemisier. — Bon, tu es pardonnée! Je t’autorise même à recommencer avec Fabienne, autant que tu le voudras! Elle se penche sur la jeune fille et l’embrasse sur le front. L’autre veut emprisonner la tête pour un autre baiser, mais l’ouverture de la porte de la chambre interrompt son geste. Luc s’avance. Il a l’air surpris de voir sa femme. — Tiens, tu es là? — Oui, tu vois, mais je m’en vais. — Non, reste au contraire, amusons-nous un peu ensemble. — Pas cette fois, je vous laisse. Elle n’a aucune envie de tenir la chandelle comme on dit vulgairement. Elle préfère la compagnie de Christophe ou de Fabienne. Elle dépose un baiser sur le front de Lisette, ravie de profiter seule de Luc et sur les lèvres de son mari avant de les laisser se débrouiller.
Passant devant la salle de bain, l’envie lui prend de se doucher. Elle se sent poisseuse après deux joutes amoureuses. Elle entre et tombe sur Christophe, nu, assis sur un tabouret une serviette à la main. En la voyant, il cache son sexe, qui, pour le peu qu’elle en a aperçu ne semble pas vaillant. — Tu es là toi? Je croyais que c’était Luc qui avait utilisé la salle de bain. — Oui, il m’y avait rejoint, nous avons pris la douche ensembles. — Ah! Bon… Ensembles? Simplement la douche? Christophe oppose un silence buté. — Tient, tient, il ne t’aurait pas fait l’amour par hasard? Un murmure sort de la bouche du garçon. — Quoi? Je n’ai pas entendu, articule s’il te plaît. — Oui. — N’aie pas peur je ne suis pas jalouse. J’espère que tu as apprécié au moins. Nouveau murmure inintelligible. — Je n’entends rien. Ne sois pas si timide! — Oui, ça fait pas mal. — Traduction: j’aime ça et je le referai. N’est ce pas? Il pique du nez. — Allez, va, j’ai fini de me moquer. Tu permets que je me douche à mon tour? Oui? Tu m’aides? Qu’est-ce qu’ils ont tous avec la salle de bain? s’interroge le garçon. Elodie n’attend pas son approbation pour se déshabiller. Elle se présente de dos en soutien-gorge. Il le dégrafe et pour prix de son service, caresse les seins. Elle le laisse s’amuser un instant, puis se retourne et l’embrasse sur la bouche. Le garçon est fatigué et ne répond pas au baiser comme elle le mérite. Elle lui pardonne: — C’est vrai, j’oubliais que tu t’étais amusé avec Luc. Viens quand même m’aider à me savonner. Il dépose la serviette qui cache une virilité défaillante pendant qu’elle quitte son slip. Il ne peut s’empêcher de l’admirer. Qu’elle est belle dans sa nudité triomphante! Elle fixe son bas ventre: — Tu es réellement fatigué! Bah! Tu es jeune et vigoureux. Je parie que cela ne va pas durer. Elle s’agenouille et s’amuse avec le pauvre sexe tout rabougri. La tige s’est recroquevillée et a pratiquement disparue au milieu des poils. A force de le tordre, l’embrasser, le mordiller, elle lui rend forme, la forme qu’il devrait toujours avoir en présence d’une jolie femme.
Elle le tire par la verge vers la cabine de douche où ils s’enferment. Elle commence par le savonner. C’est fou ce que je suis propre cet après-midi, pense-t-il! Elle lui tend le flacon de gel douche: — A toi maintenant. Par mégarde il presse trop fort et en vide une bonne partie sur ses épaules: — Eh là! N’en mets pas trop! Je ne pourrai pas me rincer! Il étend gel. Effectivement, il y en a beaucoup. Il en recouvre le dos, les reins, la poitrine et le ventre! Elle tourne sur elle-même, présentant toutes les faces de son corps. Il insiste sur le torse et l’entrejambe. Elle ne s’en plaint pas et facilite son exploration soit en levant un bras ou en écartant les jambes. Ses seins et ses poils disparaissent sous la mousse que la douche qui coule en permanence est impuissante à dégager. Tout à coup, elle se tourne vers lui et le pousse dans un angle de la cabine. Les caresses de Christophe ont exacerbé son désir. Elle soulève une cuisse, sa main manipule une, deux, puis trois fois la verge avant de l’enfoncer dans le sexe. Elle prend appui sur ses épaules. Elle monte et descend sur la queue, se poussant de la pointe du pied. Les muscles de son vagin enserrent le gland d’une étreinte douce et onctueuse. Il est aux anges. Elle se déchaîne. La situation est excitante en diable, excitante mais épuisante. Malgré le plaisir intense que cette danse lui procure, elle se décroche, essoufflée.— Pffouuu! C’est trop fatigant! — Dommage, j’appréciais. — On voit bien que tu ne faisais pas le travail, toi! — Penche-toi sur le porte savon, je te prends par l’arrière. — Pas dans le… — Non, je termine simplement ce que tu as si bien commencé. Avec confiance elle offre sa croupe. Il fouille dans la raie, atteint l’entrée du vagin qui ne s’est pas encore rétractée et y enfonce la queue. Il a retrouvé sa vigueur et la besogne ferme. Elle se cramponne au porte-savon, pour résister aux assauts, comme lui tout à l’heure sous les coups de boutoirs de Luc. — Caresse-moi devant, s’il te plaît. Ses doigts trouvent tout de suite le clitoris qu’ils s’amusent à titiller. Elodie tremble de tous ses membres. Il est fier de lui, il la fait jouir! Il va la faire jouir longtemps. Elodie retrouve l’excitation du début de la séance. L’orgasme n’est pas loin, il s’approche, éclate enfin. Christophe ne s’arrête pas. Elle l’entend souffler comme un phoque dans son dos. Sa jouissance est longue à se déclencher. Elodie ne s’en plaint pas, elle peut prolonger son plaisir. Ça y est, les jets de sperme giclent dans son ventre. Ils ne sont ni forts ni abondants. C’est compréhensible vu les précédentes performances du garçon. Il essaye de s’agripper mais glisse et s’effondre dans le bac épuisé. Elodie décroche le pommeau et se rince. Elle a tiédi la température, la fraîcheur lui fait du bien. Ce n’est pas l’avis de Christophe qui proteste quand elle asperge son sexe: — Hou, c’est froid! — Mais non! Cela te réveillera! Elle l’aide à se relever, et le rince insistant sur le sexe qu’elle décalotte. Il ne rouspète plus! — Allez, Ouste, on sort! Elle le pousse hors de la cabine. Il ramasse sa serviette par terre et s’éponge. Elle attrape un drap de bain sur une étagère et l’imite…
A suivre…
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