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un dimanche mouvementé

Chapitre 6

Erotique
Après avoir installé Fabienne, Elodie s’habille dans la salle de bain. Passant devant la chambre de Lisette elle ouvre la porte pour découvrir Christophe et la jeune bonne allongés sur le lit, dormant la main dans la main comme un couple d’amoureux. Elle voit la robe de Fabienne gisant sur le sol. Elle la ramasse mais renverse une chaise. Les jeunes gens se réveillent. — J’en ai appris de belles sur votre compte. Fabienne m’a tout raconté. — Qu’est ce qu’elle a dit? — Voyons Christophe! Tu le sais bien! Le garçon pique du nez! — Lisette! Fais une petite lessive avec les affaires de Fabienne et viens me rejoindre dans ma chambre. La jeune fille se lève avec empressement et prend la robe des mains de sa patronne. — Et moi qu’est-ce que je fais? interroge le garçon. — Toi? Tu… Lisette? — Oui Elodie? — Peut-il rester dans ta chambre? — Oui, il n’y a pas de problème. — Bon, alors toi, Christophe, tu te reposes ici jusqu’au repas. Lisette te préparera une chambre pour la nuit. — Je reste ici ce soir? — A moins que tu ne veuilles pas? — Si, si, au contraire, cela me fait grand plaisir. La bonne enfile un tee-shirt et une jupe. Elle va ouvrir un tiroir pour prendre un slip mais Elodie, par geste l’en dissuade. Elle la masque à Christophe pour qu’il ne remarque pas l’absence de culotte. Elle tend la robe et le slip de Fabienne à Lisette. — Tiens, n’oublie pas la lessive de Fabienne. — J’y cours. Sur le seuil, Elodie se retourne et s’adresse à Christophe. — Je te laisse reposer, tu en as besoin. — Oh oui! Plus que tu ne crois! Il n’a pas encore digéré la panne dans les bras de Lisette.
Dans leur chambre, Elodie retrouve Luc. Il est venu s’y réfugier en sortant un peu flageolant de chez la bonne. Il repose le livre qu’il feuilletait pour éviter de dormir.
— Où étais-tu? — Je viens de consoler Fabienne. Ce n’est pas gentil ce que vous lui avez fait! Luc n’ose rien dire. Il n’est pas fier de son exploit. — Non, pas gentil! Surtout le martinet dans le cul! Le souvenir le fait sourire. Non! Cela il ne le regrette pas trop! Elle était si jolie Fabienne avec sa queue de cheval! Elodie continue: — Je pense qu’elle ne vous en tiendra pas longtemps rigueur. Quand même! Vous y êtes allés un peu fort! — Tu as raison. Je vais me faire pardonner. Où est-elle? — Elle est dans la chambre bleue. Laisse-la tranquille pour le moment, elle se repose. Elle fouille dans l’armoire. Fabienne s’habille en 38 comme elle. Elodie choisit un chemisier et une jupe qu’elle dépose sur le lit. — Tu te changes? — Non, c’est pour Fabienne. J’ai demandé à Lisette de nettoyer sa robe. Elle ouvre le tiroir de la commode et complète l’équipement par une culotte de dentelle. — C’est bien que vous ayez la même taille n’est ce pas? — Oui, cela facilite les prêts. On frappe à la porte. — Entre Lisette! La jeune fille vient aux ordres ainsi que lui a commandé Elodie. Luc lui fait signe: — Viens t’asseoir sur mes genoux. Elle obéit avec empressement. Elle sait ce qui l’attend. La main trouve sa place habituelle sur le sexe. Elodie hausse les épaules, agacée par ces enfantillages. — Je disais justement à Luc qu’il faudra tous vous faire pardonner par Fabienne, surtout toi, Lisette. — Moi? — Oui, toi! Fabienne n’a pas du tout apprécié les coups de martinet que tu lui as infligé. — Mais… — Il n’y a pas de mais. Je ne tiens pas à perdre une amie à cause de toi. Tu as intérêt à te faire pardonner. Pendant cette réprimande, la main de Luc s’agite sous la jupe de Lisette qui écarte insensiblement les jambes. Ce n’est pas parce que la bonne se fait gronder qu’il doit cesser de la caresser! — Et toi, arrête de la peloter pendant que je parle sérieusement! Luc retire sa main, Lisette descend de ses genoux. — Va à la cuisine, Fabienne et Christophe restent à dîner ce soir, nous devons leur préparer un repas. — Oui, Elodie. — Je dépose ces affaires dans la chambre de Fabienne et je te rejoins. — D’accord. Elles sortent toutes les deux laissant Luc sur son fauteuil…
Le soleil couchant envahit le salon de sa lumière dorée. Fabienne que Lisette est montée réveiller, rejoint ses hôtes dans les vêtements fournis par Elodie. Celle-ci est fière de son choix. — Es-tu bien reposée? — Un peu, mais toute la fatigue ne s’est pas envolée. Elle s’assied à coté d’Elodie, évitant le regard de Luc qui ne sait quelle attitude prendre. — Après le repas cela ira encore mieux. Lisette est partie réveiller Christophe. Dès qu’ils seront là, nous passerons à table…
Ils se lèvent pendant que Lisette emporte les assiettes et les couverts à la cuisine. Christophe la couve des yeux. Depuis qu’il a mangé, son optimisme a pris le dessus! Il n’est pas question de rester sur un échec avec la jeune fille. — Qui veut visionner un DVD? Luc fait un dernier essai pour reconquérir Fabienne qui a éludé ses tentatives pendant le repas. Il n’a pas plus de succès. — Personne? Que voulez-vous faire? Fabienne étouffe un bâillement: — Pour mon compte, je suis fatiguée. Puis-je monter dans ma chambre? Elodie est déçue. Elle aimerait bien que la jeune fille leur tienne compagnie encore quelques instants. — Déjà? Ne veux-tu pas bavarder quelques minutes? Fabienne hésite. Elle est fatiguée, d’accord, mais elle ne désire pas froisser son amie, et… ses caresses sont si tendres! — Si cela te fait plaisir, je veux bien. — Cela me fera grand plaisir. Luc saute sur l’occasion: — Montons dans notre chambre, elle est vaste et il y a suffisamment de siège pour tous. Les deux femmes se sourient, il est incorrigible! D’un air faussement excédé Fabienne concède: — Bon, puisque tu insistes! D’accord pour m’arrêter dans votre chambre. — Eh bien, montons. Ils se dirigent vers les marches. Christophe reste en arrière à la surprise de Luc. — Tu ne viens pas? — Euh… Je… Je vais aider Lisette à la cuisine! — C’est çà, va aider Lisette! Et ne casse pas de vaisselle s’il te plaît! Personne n’est dupe. L’explication déclenche le fou rire de Fabienne. Elle n’est pas jalouse. Il veut Lisette? Tant mieux pour lui! Vexé, le garçon passe la porte rejoindre la bonne.
La jeune fille a passé au cou un tablier noué sur les reins. Elle tourne le dos faisant la vaisselle dans l’évier. Cela réveille chez Christophe un vieux souvenir. De sa mémoire resurgit l’image d’une caricature qui le faisait fantasmer. Elle représentait la servante faisant la vaisselle, comme Lisette actuellement, et un homme derrière elle, plongeant les mains dans son décolleté. Une femme dans l’encadrement de la porte disait: « C’est ça que t’appelles aider la bonne à faire la vaisselle? » Il a toujours rêvé d’imiter cet homme et cette image a hanté ses nuits d’adolescent, en vain car il n’y avait pas de bonne à la maison. Aujourd’hui, le rêve devient réalité. Il s’approche sans bruit. Lisette ne se doute pas de sa présence. Profitant d’un instant favorable, Il plaque les mains sur ses seins et l’embrasse dans le cou. Surprise, elle sursaute: — Eh! — Ce n’est que moi, Christophe. — Je sais bien que c’est toi. Qui d’autre pourrait agir aussi bêtement au risque de causer une catastrophe! — Une catastrophe! Quel grand mot! — Oui, une catastrophe, car Elodie aime beaucoup le service dans lequel nous avons dîné. — Ce n’est pas gentil de m’accueillir ainsi. Moi qui venais t’aider! — Tu appelles ça m’aider! Comme il ne lâche pas sa poitrine, elle continue tant bien que mal sa vaisselle. A travers le tissu du tee-shirt, il sent les tétins se dresser. Il glisse les mains dans l’encolure, à même la peau nue. Lisette ne se dégage pas et le laisse patouiller à sa guise. Il mordille l’oreille. Elle lève le cou et s’appuie contre sa tête. Christophe change de tactique. Il passe les mains sous le tee-shirt et le soulève. Le vêtement, bloqué sous les bras que Lisette refuse de lever, est suffisamment retroussé pour libérer les mamelons. Le garçon les empaume et triture les tétons entre les doigts. — Fais attention, tu me gênes. — Laisse-toi enlever le tee-shirt, tu seras moins gênée. — Moins gênée, mon œil! Elle recule de l’évier et soulève ses mains gantées. — Allez, vas-y, puisque cela te fait tant plaisir. Il se précipite mais s’emberlificote avec le tablier. — Ce que tu peux être maladroit! Elle prend les choses en main passant le ruban par-dessus sa tête. Il peut enlever le vêtement encombrant et le dépose délicatement sur une chaise. Il ne veut pas s’attirer de remontrances! Lisette remet autour du cou le plastron du tablier. — Pourquoi? — Parce que! — Parce que quoi? — Je ne veux pas me salir par les projections d’eau! Elle a raison, pense-t-il, Elle est encore plus mignonne avec les bouts de seins qui dépassent de part et d’autre du plastron. Il sourit, elle sourit. Elle reprend sa vaisselle et lui ses caresses. — N’est ce pas qu’on est moins gêné? — Toi peut-être, mais moi non. Du moment qu’elle se laisse caresser, elle peut dire ce qu’elle veut! Le cordon du nœud qui rattache le tablier l’empêche de glisser les doigts plus bas. Entre le tablier et la jupe il explore le haut des cuisses et l’aine. La jeune bonne, imperturbable, continue de laver les assiettes. Les poils du pubis crissent contre le tissu. Crissent? Il n’y a pas de culotte? Cela demande confirmation. Il remonte les doigts sous la jupe. — Tu n’as pas de culotte! — A ton avis? — Ce n’est pas une question, mais une constatation. — Ben, tu as constaté. — Ah! Bon. Cela ouvre à Christophe des horizons insoupçonnés pour leurs relations futures. — Quoi? Bon? — Oh rien! C’est Luc qui te l’a demandé? Depuis quand? — Si on te le demande, tu diras que tu ne sais rien! Elle hausse les épaules et s’arme d’un torchon pour essuyer les verres. Tout compte fait, il s’en fout. Luc peut faire ce qu’il veut dans sa maison! Il soulève la jupe par derrière et la coince dans le cordon de fermeture du tablier. Il recule pour admirer le cul découvert. C’est encore mieux que dans son fantasme d’adolescent. Il caresse avec délectation les fesses, passant et repassant la paume sur les globes du postérieur ainsi qu’entre les cuisses. — Ça t’amuse? Malgré le ton moqueur, Lisette est émue par les attouchements. Elle s’active vigoureusement sur un pauvre verre qui n’en peut mais. — Oui, ça m’amuse! Attends. — Oh! Je ne pars pas. — Laisse-moi enlever la jupe. — On dirait que tu vas mieux que tout à l’heure. Bien mieux! Il rabaisse la corolle sur les fesses, trouve la fermeture éclair, l’ouvre et tire sur le tissu. Elle l’enjambe. — Pose-la correctement sur la chaise s’il te plaît. Il la plie à coté du tee-shirt. Lisette est adorable avec le cordon noué au-dessus des fesses nues. Christophe se poste de nouveau derrière la jeune fille et reprend ses caresses. Lisette lâche le verre essuyé et s’appuie des deux mains sur le rebord de l’évier. Les doigts du garçon s’insinuent dans la raie et insistent sur l’anus. — Espèce de gros cochon! Ça ne t’a pas suffit tout à l’heure avec Fabienne? — Il faut croire que non. — Aide-moi à finir d’essuyer la vaisselle au lieu de dire des bêtises. Il note qu’elle n’a pas refusé et attrape au vol le chiffon qu’elle lui lance. En un tour de main, la vaisselle est terminée. — Tu vois, à deux ça va plus vite! Elle ne pouvait pas le laisser passer! Elle prend le torchon des mains de Christophe et le pose avec le sien sur l’évier. Elle se retourne, se suspend au cou du jeune homme et l’embrasse goulûment. Son ventre se frotte contre la bosse du sexe. Il caresse le dos nu, les reins et le cul. Elle s’écarte et le déshabille. Le tee-shirt vole dans la cuisine, suivi du jeans. — Dis! J’ai fait attention à tes affaires, moi! — Excuse-moi. Elle ramasse les vêtements. Ses fesses écartées offrent la vision de son trou du cul. Les quelques scrupules qui lui restaient s’envolent. C’est par là qu’il la prendra! Les affaires bien rangées sur la chaise, elle s’agenouille devant son slip et le fait glisser sur les cuisses. La verge s’échappe du tissu et se tient bien droite. Il en est fier. — Bien vrai! Tu es en meilleure forme que tout à l’heure. Le slip rejoint les autres vêtements. Elle se relève les yeux brillants et se replace contre l’évier, le ventre protégé par le tablier. — Alors, tu veux bien? — Tais-toi! Plus besoin de paroles, place à l’action! Il s’avance le sexe en main et caresse la raie autour de l’anus. — S’il te plaît mouille de salive autour, cela fera moins mal. Elle écarte les fesses des mains. Il s’agenouille et de la langue, humecte le petit trou. Relevé, il présente le bout du sexe et pousse. Lisette l’aide. Le gland disparaît, avalé par le cul. Les doigts de la bonne blanchissent sur le rebord de l’évier à force de le serrer. — Je t’ai fait mal ? — No… non. — Veux-tu que j’arrête ? — Non, non, vas-y, pénètre-moi. Il s’enfonce jusqu’à la garde. Une main sur les seins, l’autre sur le ventre, il fait aller et venir la hampe de son sexe dans le sphincter. — Caresse-moi en même temps. Il accède à sa prière. Ses doigts titillent le clitoris et l’entrée de la chatte. La cuisine résonne de leurs gémissements. A chaque coup de rein, le ventre de Lisette butte contre l’évier. Christophe ahane comme un forcené. Envolée la défaillance de bientôt, il est heureux d’étaler sa vigueur. — Aaah!… Aaah!… Aaah! La tête de la bonne se renverse. D’une main elle tâte pour toucher la peau du garçon. Elle est au bord de la pâmoison. Il accélère, la soulevant de terre quand sa queue touche au fond et que son pubis cogne contre le cul. — Ahhh! Les ongles de Lisette rentrent dans les hanches de Christophe. — Ahhh! Ahhh! Sa semence emplit l’intestin. Elle s’affale sur l’évier tandis qu’il glisse à terre, les genoux sur le carrelage. En se décrochant, la verge encore grosse, laisse une traînée de sperme sur la cuisse…
A suivre…
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