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Dîner chez Jean

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Avertissement : bien que classé dans la catégorie "Fantasme", cette histoire est partiellement inspirée de faits partiellement réels.

Cette nuit M a fait un rêve étrange et délicieux. Il a rêvé de Jean dont il a partagé la vie avant de le quitter pour Cathy. Il y a quelques semaines M et Cathy se sont séparés et ce matin M se réveille avec une solide érection et des relents torrides de ce rêve dans lequel Jean était doté d’un sexe énorme que, cependant, la bouche et le cul de M recevaient sans aucune difficulté. Troublé par ces souvenirs brumeux, M crache dans sa main droite, empoigne sa verge turgescente en de lents mouvements de va et vient et de la gauche caresse les couilles soigneusement épilées et si délicieusement sensibles. Régulièrement il recouvre le gland de sa paume créant ainsi l’illusion d’une chatte bien mouillée. M se cambre, tendu vers le plaisir à venir. Des bribes de son rêve lui reviennent à l’esprit. Les jets de foutre chaud au fond de sa gorge à l’issue de la longue fellation dont, dans ce rêve, il gratifiait l’énorme queue de Jean, la délicieuse brûlure de son œillet dilaté au maximum alors que Jean l’enculait férocement ou encore le plaisir ressenti alors qu’il répandait de grandes giclées de sperme sur la langue de Jean. A l’évocation de ces plaisirs, dans un dernier spasme, il jouit violemment
Douché, rasé, parfumé M. se retrouve devant un samedi vide.Désorienté par l’absence de Cathy à laquelle il ne s’est pas encore habitué, il envisage un cinéma puis de mettre de l’ordre dans l’appartement avant de se laisser tomber dans le canapé ses doigts jouant allègrement sur les touches de la télécommande.Quelque chose, qu’il n’arrive pas à identifier, le tracasse. Quand tout à coup l’évidence s’impose: il a envie de Jean et de sa bite même si cette dernière, heureusement d’un côté, ne présentait pas (aux dernières nouvelles) le caractère monstrueux qu’elle avait dans le rêve.Il prend le téléphone puis le repose et la manœuvre se répète plusieurs fois. Comment Jean va-t-il réagir ? Ils ne se sont pas vus depuis cinq ans et un certain froid a présidé à leur séparation. Mais après tout, que risque-il ?Et, en effet, Jean est courtois, enjoué et même un brin séducteur. Il organise un dîner pour deux amis le soir même et si M désire se joindre à eux… M accepte sans se faire prier et le soir venu le voilà descendant du taxi et apercevant Jean s’approchant, quelques bouteilles de vin à la main, en compagnie d’un autre homme grisonnant, la soixantaine bien conservé et sexy. Le mec de Jean (Hum, tu as toujours aussi bon goût !) pense aussitôt M.
Belle ambiance et canapés confortables et whisky douze ans âge dans le nouvel appartement de Jean. La discussion va bon train et les souvenirs affluent. Alexandre semble à la fois amusé et silencieux pris au cœur de ces retrouvailles.La sonnette retentit. Jean ouvre à une longue et diaphane brune d’environ quinze ans leur cadette perchée sur des escarpins vertigineux qu’il présente comme Jane, la compagne d’Alexandre. Jane, hôtesse de l’air les rejoint à peine descendue d’un long courrier en provenance de San Francisco.M est très vite subjugué par cette jolie fille au regard vert pâle qui lui rappelle Cathy avec dix centimètres de plus.Les retrouvailles entre Alexandre et Jane sont très affectueuses et sensuelles. Alexandre, quant à lui,  rentre d’une mission de deux semaines à l’étranger et les deux tourtereaux mariés depuis moins d’un an semblent particulièrement heureux d’être  à nouveau réunis.
Après une bouteille de champagne et un bon dîner c’est le retour au salon et à ses confortables canapés pour le café. Quand Jane s’enfonce de le siège moelleux, sa courte robe se retrousse  jusqu’à la limite de ses bas laissant apercevoir les attaches du porte-jarretelles. Elle est assise entre Alexandre et M. Jean a pris place dans un fauteuil en face et fixe M d’un regard ironique. Le couple se comporte vraiment de manière très  affectueuse  et cela commence à exciter les deux célibataires. Jean s’ aperçoit du trouble de M et  semble s’en amuser.La jambe de Jane vient bientôt se coller à celle de M alors même qu’Alexandre lui délivre un somptueux et profond baiser. La queue de M  se tend et c’est maintenant la bosse à hauteur de braguette que Jean fixe en souriant. Alexandre murmure quelques mots à l’oreille de Jane. Celle-ci à son tour se penche vers M et lui demande dans un souffle: « tu veux que je te suce ? ». Avant même qu’il ait pu répondre, elle pose la main sur sa bite gonflée puis fait jouer le zip et extrait du boxer une queue au gland congestionné. Elle se penche et la prend  aussitôt entièrement dans sa bouche où elle l’y maintient un dizaine de secondes avant de se retirer haletante, des larmes dans les yeux. Et de recommencer.
Pendant ce temps Alexandre est allé rejoindre Jean. Il s’est posé sur l’accoudoir du fauteuil. Tous deux regardent Jane administrer une savante fellation. Alexandre se penche et enfonce sa langue dans la bouche de Jean. M en ressent un pincement de jalousie (de quel droit ? pense-t-il  aussitôt) mais les douces sensations procurées par les lèvres et la langue de Jane le ramènent à la réalité. Alexandre a pris la place de Jean dans le fauteuil et celui-ci agenouillé entreprend de réserver à la magnifique queue qu’il a dans la bouche le même sort que celui que Jane fait subir à M. Jean, après s’être dévêtu,  rectifie sa position, se mettant à quatre pattes et dévoilant ainsi son anus soigneusement épilé. M ne peut résister : libérant sa queue baveuse de la bouche de Jane avec beaucoup d’ingratitude, il vient se poster derrière Jean, enfonce un doigt puis deux dans le petit œillet. Jean se cambre et manifeste son approbation mais visiblement il attend plus. M dégage ses doigts et guide sa bite tendue à l’extrême vers le cul de Jean. D’une poussée brutale il l’enfonce à demi, ressort puis l’engloutit dans le cul offert.
Alexandre qui s’est arraché à la bouche de Jean lèche maintenant le con de Jane qui gémit de plus en plus fort. Jean quant à lui s’accroche des deux mains aux accoudoirs du fauteuil et se tend au maximum vers M qui le laboure à grands coups puissants. M bientôt n’y tient plus. Il se retire, vient se poster au-dessus du visage de Jean lequel, la bouche grande ouverte et la langue tendue accueille avec plaisir les longs traits de foutre.La bite d’Alexandre a maintenant envahi le con de Jane en de puissants va et vient. Jane, fixant Alexandre dans les yeux jouit en une longue plainte qui appelle très vite l’éjaculation d’Alexandre. Lorsque Alexandre se retire, le sperme coule à flot dans le verre que M positionne sous le con ruisselant. Jane s’en empare et avale goulûment le liquide chaud.
C’est l’accalmie. Un brin de toilette et ils se retrouvent à nouveau au salon devant des ballons d’un excellent cognac. Tout cela était très bien pense M et même inespéré. Cependant, il est venu pour la bite de Jean et il ne l’a pas encore eue ; Alors, assis dans le fauteuil, par feinte inadvertance, il laisse s’écarter les pans de la serviette qui lui seing les reins, dévoilant un pénis qui commence à nouveau à gonfler. Jean perché sur l’accoudoir n’en perd pas une miette et commence à jouer avec les tétons de M qui durcissent rapidement. La langue de Jean s’enfonce dans la bouche de M. Jean viens s’agenouiller devant M, le faisant descendre plus au bord de l’assise du fauteuil et lui remonte les jambes à présent posées sur ses épaules. Le gland de Jean frôle l’anus de M. Jean crache dans sa main et s’enduit la bite de salive gluante. Il pousse son bassin et son gland vient cogner contre l’œillet de M qui résiste puis soudain se dilate légèrement permettant  une légère  pénétration.. Leurs bouches s’unissent à nouveau comme si les années ne s’étaient pas écoulées. D’une autre poussée Jean pénètre M un peu plus loin. M n’y tenant plus projette son bassin vers l’avant s’empalant complètement sur la queue qui maintenant lui remplit le cul.Sans doute inspirés par le spectacle auquel ils assistent et ne voulant pas être en reste le couple de jeunes mariés s’installent en position de soixante-neuf, les doigts d’Alexandre fouillant en même temps le petit trou de Jane, le préparant ainsi à l’hommage suprême. Alex relève Jane et l’installe en tête à tête avec M qui s’empare de la bouche de la jeune femme.
Alexandre entreprend alors de labourer le cul de Jane qui semble y prendre un immense plaisir qu’elle communique à M au travers de leurs langues emmêlées. M profite pleinement de la queue de Jean allant et venant dans son cul en un  mouvement qui semble sans fin. Quand il est sur le point de jouir Jean se retire et vient présenter son membre gonflé de sang aux bouches de M et de Jane qui s’en emparent avidement. Puis, légèrement calmé il s’en retourne pilonner sans pitié le cul que M tend vers lui. Alexandre, , à son tour,  abandonne l’œillet de sa compagne pour se faire lécher. M, égoïste, engloutit goulûment ce beau membre  nervuré et Jane pousse quelques gémissement de frustration. Pas pour longtemps. Au grand regret de M. Alexandre s’en retourne défoncer le cul de Jane. Jean tout en continuant à enculer M fait un signe à Jane. Celle-ci se dégage de l’emprise d’Alexandre et s’allonge sur le dos, sous M, branlant la bite de ce dernier. Elle relève les jambes et invite Alexandre à poursuivre le pilonnage de son cul.
Alexandre propose une variante en se dirigeant vers la chambre de Jean. Il s’allonge sur le lit, jambes pendantes, pieds touchant le sol et bite fièrement dressée. Il incite Jane à le rejoindre. Et à le chevaucher en lui tournant le dos. Il guide sa queue vers l’œillet de Jane qui dans une plainte langoureuse s’y empale. M s’agenouille entre les jambes d’Alexandre et entreprend alternativement de lécher le con et le clitoris de Jane qui très vite jouit et les couilles d’Alexandre. Jean présente son sexe à la bouche de Jane qui l’engloutit avidement.
Très vite les trois hommes ne peuvent se retenir plus longtemps. Dans un grand râle Jean se vide dans la bouche de Jane et Alexandre au fond de ses entrailles. M très excité se relève et après quelques mouvements habiles du poignet expédie de longues giclées de sperme sur la poitrine Jane.
Il leur faut quelques minutes pour revenir à la réalité. C’est Alexandre qui le premier déclare « Demain j’ai jogging, il faut que je me couche ». Jane et lui quittent les deux célibataires. Après quelques instants de gêne viennent de nouveaux jeux torrides, puis quelques heures d’un court sommeil.
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