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Docile Béa

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Fantasme ou vécu, c’est vous qui voyez. Dans toutes mes histoires, il y a une part plus ou moins grande de vécu. À vous de la trouver.
Chaque semaine, je rentre chez nous, chez mes parents. J’en profite pour amener mon linge sale, ma mère fait toujours la lessive le samedi matin. Hors, un samedi, elle me demanda si je portais toujours des slips ou des boxers. La question me sembla incongrue. Je lui demandais la raison de sa question. Sa réponse me laissa bouche bée, elle n’en avait trouvé aucun dans mes affaires. Et pourtant, il devait bien y en avoir cinq ou six ?!?
Un mois passa, le vendredi soir, je rentrais chez nous comme d’habitude. La fille au pair était restée pour le week-end, cela me faisait réviser mon anglais. En plus qu’elle était mignonne, j’aime discuter avec elle, sa culture est grande. On parle peinture, littérature et même de politique parfois, un sujet bien ennuyeux. Ce soir, j’avais décidé de lire un peu, j’avais acheté le dernier Goncourt. Le livre était bien, l’histoire était prenante quand Béa est entrée dans ma chambre. Elle venait prendre mon linge sale pour le trier. Elle revint peu après parler littérature. On devisa sur mon livre et son écrivain. Cela étant, un peu fatigué par une semaine chargée, je décidais de me coucher. Béa me laissa, je crus même déceler quelque regret quand elle me souhaita la bonne nuit.
Le lendemain, ma mère entre dans ma chambre tambour battant. Et tes slips, tu comptes me les donner à laver me crie-t-elle. Ma réponse ne semble pas la convaincre quand je lui dis que je les mets dans le sac à chaque que je me change. Soudain, un doute m’assaille.
Dans la matinée, ma mère profite d’une longue machine pour faire les courses en compagnie de Béa. Je profite de cette absence pour faire un tour dans la chambre de Béa. Après quelques minutes, je crie bingo, je venais de trouver ma voleuse de slip. Sauf qu’il en manquait un de la semaine, un boxer bleu. Je remis tout en place, l’air de rien.
Dans ma chambre, je travaillais un moment sur ce projet de piscine couverte sur mon ordinateur. Un projet de plusieurs millions autant dire que je ne devais pas me planter sous peine d’être viré.
Béa et maman rentrèrent, peu après ma mère filait à la buanderie. Je demandais à Béa, sous un faux prétexte de me rejoindre. Une fois dans ma chambre, je lui demandais de regarder sur l’écran et de me dire ce qu’elle pensait de ce projet de piscine. Le temps qu’elle regarde, je nous enfermais discrètement.
« Dis-moi, mon slip bleu, il te va bien ? »
« Ton slip bleu ? »

« Oui, mon boxer bleu que tu portes. Du reste, il dépasse derrière quand tu te penches ! Retire-le immédiatement !»
« Mais... »
Je lui empoignais son bras, l’attirais sur mon lit. Couchée sur le dos, j’ouvrais son pantalon, elle le portait sur elle. Coincée, découverte, elle se redressa, retira son pantalon, mon slip. Maintenant à moitié nue, je la couchais sur mes cuisses pour lui administrer une bonne grosse fessée. Oh, elle ne protesta pas, elle pleurait, certes, mais aucune protestation, aucune rage et aucun gros mot à mon intention. À croire qu’elle cherchait cette correction. Satisfait, je la relâchais. Elle glissa sur le sol sans me regarder. À genou, elle finit par s’excuser platement. Ne voulant pas que ma mère lui donne une autre engueulade, je lui conseillais d’en mettre un par jour, au sale. Cependant, histoire de la tester et, aussi, de la bousculer un peu, je lui ordonnais, sans trop y croire, de ne plus mettre de pantalon et encore moins de culotte. J’ouvrais la porte et lui montrais la direction de sa chambre.
Elle revint une bonne dizaine de minute plus tard, en jupe, une jupe mi longue. Je la soulevais, pas de culotte. Je caressais son sexe, elle écarta ses cuisses. Elle mouillait et pas qu’un peu. Sans que je ne le lui demande, elle croisa ses bras dans son dos. Ses yeux fermés me disaient qu’elle aimait que je la caresse. Je plongeais un doigt dans son sexe, Béa était encore vierge à vingt ans. Là, elle me fixa longuement, le visage tendre, les joues un peu rougies par ma découverte. J’attirais son visage sur le mien, on s’embrassa tendrement.
« Ce soir, dans ta chambre, sois prête ! »
« Oui, Monsieur, je suis à vous désormais. »
Sa réponse me conforta dans mon esprit. J’avais visé juste, elle était amoureuse de moi au point de me voler mes slips et d’enivrer en les respirant et les mettant. Ce que j’éprouvais me dépassait. Il y avait un mélange d’amour et de perversité dans ma tête. Je ne savais comment me comporter, tendre et amoureux ou dur et dominant. Je crois qu’un peu des deux était un bon mélange, du moins au début. Et puis, sa réponse : oui monsieur, je suis à vous me tournait en boucle dans ma tête. Vers dix-huit heures, mes parents sortirent manger en ville et aller au théâtre après, cela tombait à pic. Dès leur départ, je me suis rendu dans la chambre de Béa. Me voyant, elle sortit mes slips, les respirant un à un. Près d’elle, je l’ai couchée sur le dos, ma main sur son sexe trempe de cyprine. Mon autre main glissa sous son pull, sous son soutien-gorge, découvrant une belle poitrine sous ma paume. Je retirais mes mains, lui demandant de se lever et de tout retirer. Elle ne se fit pas prier deux fois. Lentement, elle fit glisser sa jupe sur le sol. Lentement, elle retira son pull. Plus lentement encore, son soutien-gorge glissa le long de ses bras. Nue, elle se mit à genou, ses mains dans son dos, genoux écarté. Je posais mon index sur sa bouche, elle me le prit, me le suça langoureusement. D’une main, je massais sa poitrine lourde, laiteuse, belle, sublime même et terriblement sensible. Je la fixais encore, elle n’en finissait pas de sucer mon index. Je giflais sa joue d’une petite claque. Elle ne cligna même pas des yeux. Une seconde, un peu plus forte, elle ne baissa pas son regard. Une troisième, encore plus forte, elle lâcha mon index, me remercia.
Pendant un moment, je la regardais, sans savoir que faire. Je pris alors un sein dans chaque main, les tripotais, les étirais. C’est à peine si elle esquissa une grimace. Je pinçais plus fort encore. Sa bouche montra le degré de la douleur. J’étirais encore, elle serra les dents. Et pourtant, elle aurait pu crier, protester ou me gifler, non, rien. Je la relevais, la couchais sur mes cuisses. Je me suis mis à la fesser plus durement encore que la première fois. Elle se laissa faire, c’est toujours juste si je l’entendais pleurer, me demander pardon pour le vol de mes culottes. Enfin, je la couchais sur son lit, j’écartais ses cuisses laiteuses comme toute sa chair si douce au toucher, une peau satinée, délicieuse à caresser. Je retirais mon pantalon, mon slip, ma chemise. Je me suis couché contre elle, caressant son sexe. Parfois, j’étirais son clitoris. C’est à peine si elle grimaçait. Lentement, je me suis mis sur elle, me suis guidé en elle. Lentement, je me suis mis à aller et venir, butant sur son hymen.
Je l’embrassais, elle répondait à tous mes baisers. Sa bouche avait un gout merveilleux, succulent même. D’un coup sec, je déchirais sa virginité. Elle fit une vilaine grimace, fermant ses yeux. Je vis des larmes que je m’empressais d’essuyer de ma langue. J’étais en elle, bien elle, je restais un moment sans bouger, qu’elle s’habitue à mon sexe. Puis, toujours lentement, je m’activais en elle. Ses bras m’enlacèrent, sa tête se redressa, cherchant ma bouche.
« Je vous aime, Monsieur, soyez mon Maître, mon éducateur, mon guide. »
« Je peux être sévère, plus sévère que jusqu’à maintenant »
« Peu m’importe, je ne veux que vous appartenir »
Je me retournais, la mettant au-dessus de moi. Elle me chevaucha, accélérant le tempo au fur et à mesure. Je me retenais, me souvenant de mes premiers amours avec cette collègue âgée d’une quarantaine d’année. J’en avais à peine vingt à l’époque. Béa gémissait, son visage se déformait quand l’orgasme se fit jour. Elle roucoula de bonheur, un visage comme si elle souffrait l’enfer. Elle explosa, se dissolvait dans l’espace intersidéral. Plus elle jouissait, plus elle voulait encore jouir. Je la freinais d’une paire de claque sur son opulente poitrine. Elle me fixa encore, me tendit ses seins. Je les giflais plus fort, elle jouissait encore plus violemment. Je finis par jouir en elle.
Je l’achevais d’une méchante fessée, elle ne cria pas, tout juste quelque larme qui coule sur son visage. Elle me remercia en léchant mes doigts, baisant ma main et se positionna à genou à mes pieds, attendant la suite. La suite fut vitre réglée, je bandais devant cette fille si docile. J’attirais son visage sur ma queue, elle me suça, parfois maladroitement, cela lui valait un gifle. Elle comprit vite et j’éjaculais dans bouche sans la prévenir. Elle toussa sans pour autant recracher mon sperme. Elle l’avala devant moi, la bouche ouverte pour que je ne manque rien. Je caressais sa joue, lui disant qu’elle ferait une bonne épouse si elle se montrait toujours autant docile.
L’avenir me le prouva. Après avoir terminé son temps comme fille au pair, je la pris chez moi, dans mon modeste studio. Elle le tenait toujours propre. Toujours prête à me satisfaire, elle déambulait nue dans le studio, ne portant qu’un soutien-gorge pour préserver sa belle poitrine aussi ferme que possible. Parfois entravée pour faire le ménage, les repas, elle ne rechigne jamais à la tâche. Si je la punis, c’est parce qu’elle faute, jamais juste pour mon plaisir. Cela dura un an avant que je ne revienne vivre près de ma mère avec elle. Avant de pénétrer dans l’appartement, je lui mis sa laisse et lui laissait le soin de sonner. Ma mère ouvrit la porte, resta plantée là de stupeur devant Béa à genou, les mains sur la tête. Une fois dans le salon, d’un claquement de doigt, Béa retira sa robe, dévoilant son corps nu à maman. Je lui expliquais l’histoire de mes slips, Béa confirma et baisa les pieds de ma mère en signe d’excuse, mais pas que, de soumission aussi.
Béa se mit rapidement au travail, nettoyant tout l’appartement comme au printemps. Maman n’avait rien à faire d’autre que de la regarder faire. Un soir, je poussais Béa entre les jambes de maman. Ni l’une, ni l’autre n’avaient jamais fait ça et moi, je crevais d’envie de voir Béa faire jouir ma mère. Maman me fixa, presque horrifiée. L’ordre rompit durement le silence de plomb qui était tombé et Béa se mit à l’ouvrage entre les jambes de ma mère pétrifiée, paralysée. Peu à peu, devant l’adresse de Béa, maman se décomposait de plaisir, son regard toujours plongé dans le mien.
Après quelques verres, maman était aux portes de l’orgasme. Je profitais de ce moment de faiblesse pour lui mettre mon sexe tendu dans sa bouche. Je pensais me prendre une paire de claque, maman me fit une délicieuse fellation. Elle jouit de Béa, je me retirais de ma mère pour posséder Béa devant ma mère. Je fis jouir ma soumise devant celle qui m’avait enfanté.
Six mois après être revenu à la maison, j’épousais Béa. À son cou, elle portait un collier de cuir blanc avec une petite médaille accrochée dessus. Il y est gravé que Béa est ma propriété exclusive. Seulement sur mon ordre, elle fait jouir ma mère. Du reste, je lui ai trouvé une amie de son âge, à ma mère. Depuis, entre elles, c’est à la vie à la mort.
Faute de moyen, c’est un an après qu’on passa notre voyage de noce en Grande-Bretagne. Nous y avons visité tous les clubs fétichistes de Londres et ses alentours. Il en fut de même dans chaque grande ville visitée. Ma Béa était heureuse de se faire prendre sous mes yeux pendant que je baisais une autre femme ou que je la punissais. Elle fut aussi punie et, cerise sur le gâteau, tatouée de mon nom, de mon titre de propriété.
De retour dans notre nouvel appartement, elle se fit plus soumise encore, devenant mon esclave, refusant la moindre liberté, le moindre cadeau. Nous vivons au-dessus de ma mère. Béa me fit deux beaux garçons. Elle fit tout pour retrouver sa silhouette d’avant. Et cela fait presque trente ans que cela dur. Jamais nos enfants ne se doutèrent de la soumission de leur mère. De ma mère, justement, elle vit toujours aussi heureuse avec son amie. Elles affichent clairement leurs amours, même en public. Et gare à qui la traite de gouine, perso, je ne m’y risquerais pas !
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