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Dommage que les vacances finissent...

Chapitre 3

Erotique
Le lendemain matin, Michel vaque au ménage. En début de vacances, sa fille avait insisté pour venir l’aider, faire la cuisine. Il avait refusé énergiquement, elle était là pour se reposer et elle devait s’occuper des deux jeunes. Lui a l’habitude de vivre seul et cela ne le gêne pas. Pour ne pas la fâcher il a consenti à prendre quelques repas en commun. Tout en passant la serpillière sur le carrelage du salon, il repense aux événements de ses deux derniers jours. Jamais il n’aurait imaginé revivre avec sa fille, les instants merveilleux qu’ils avaient partagés vingt-deux ans auparavant. Il se revoit couché sur le carrelage, soutenant la poitrine de Catherine qui le chevauche… Meilleur que dans son souvenir pourtant magnifié par le temps… Ses jambes flageolent et il doit se retenir au manche du balai pour ne pas s’effondrer. Et Annie ! Quelle petite dévergondée celle-là ! Audacieuse, sans pudeur… Oh cette sucette qu’elle lui a infligée ! Malgré lui sa main glisse dans le short et empoigne la queue qui s’allonge. Il lâche le balai qui tombe sur le sol, s’affale sur le canapé, sort son sexe et entame une lente masturbation…
— Papa ! Papa ! Je peux venir ? Il remballe à la hâte ses attributs et ramasse le balai. — Entre ma chérie… Qu’est-ce qu’il y a ? Catherine passe le seuil. Il a un éblouissement, sa fille irradie de bonheur dans un chemisier sans manche blanc sur une jupe fleurie. Il remarque les taches sombres des tétons sous le tissu translucide. Cela le fait sourire. Ces derniers jours ont bien changé sa fille qui ne serait jamais sortie sans soutien-gorge auparavant. — Rien Papa, j’avais simplement envie de te voir, répond-elle en se pendant à son cou. Il n’ose la serrer contre lui, honteux de sa verge raide. — On dirait que cela ne te fait pas plaisir… Ah si ! s’exclame-t-elle en frottant le ventre contre le sexe turgescent. Elle trouve ses lèvres pour un baiser fougueux. Il abandonne toute retenue et caresse le dos, les cotés de sa fille collée à lui. Mû par un soupçon, il soulève la jupe pour promener la paume sur les fesses nues. — Oui Papa, je suis prête… J’ai tellement envie de toi ! Il l’entraîne sur le canapé et la dispose à quatre pattes. Elle le regarde mutine soulever la jupe sur les reins et dévoiler son cul. Foin des préparatifs, ils sont trop impatients. Il dégage son sexe, le présente entre les cuisses de sa fille. De la main elle l’aide à trouver la bonne position. — Han ! — Aaaah !… J’en avais trop envie… Mmmh ! Se maintenant au bassin de Catherine, Michel la pilonne avec fougue, retrouvant une vigueur qu’il croyait disparu. — Han !… Han !… Han ! — Ouiii !… Papaaaa !… Mmmh !… Ouiii !… Oooh !… Je sens !… Ouiii !… Mmmmmh !… C’est Booooon !Michel s’effondre vidé sur le dos de sa fille.
Au bout d’une minute, voyant qu’il ne réagit pas, elle le bascule sur le coté et se dégage. Il la remercie d’un sourire. — Ne bouge pas je reviens. Bouger ? Il n’en est pas capable et attend avec confiance qu’elle sorte de la salle de bain. Elle essuie avec une lingette la verge détendue, puis remonte le short.
— Merci ma chérie. — Merci à toi Papa chéri… Ooh ! Que j’en avais besoin ! Il la regarde avec indulgence. — On peut dire que tu as changé ces derniers jours ! — Tu t’en plains ? — Oh pas du tout ! Tu m’offres les meilleures vacances depuis longtemps. Elle s’installe à ses cotés et se love contre lui. — Je suis bien comme ça… En ce moment tendre il ne tente qu’une caresse furtive sur l’épaule nue. — Tu sais Papa… J’ai réfléchi… — Oui ? l’encourage-t-il. — Avec toi et Annie, je ne pourrai plus vivre comme avant… — Et Marco ? — Oh lui ? Il ne compte pas… Ou si peu, admet-elle. — Tandis qu’avec ta fille et ton père… Que veux-tu me faire comprendre ? Qu’on devait cesser tout rapport ? — Oh non ! Au contraire. Elle le regarde les larmes aux yeux. Michel lui sourit se penche sur son visage, leur lèvres se joignent pour un baiser léger. — Si je devine bien, vous avez passé de tendres moments ta fille et toi hier après-midi, n’est-ce pas ? — Tendres moments c’est le mot… Tu sais, j’ai décidé de ne plus me priver de plaisir, la vie est si courte. — Tu me vois ravi de cette décision. — Je me rends compte que je ne pourrai plus me passer de sexe, de vous … De votre amour j’entends. — C’est bien comme ça que je l’avais compris. — Mais… — Mais ? — Fred… — Quoi Fred ? — J’aime mon mari Papa. Il me rend heureuse, et ce n’est pas les nouveaux sentiments que j’éprouve pour toi et Annie qui changent quelque chose. Je ne veux pas lui faire de la peine mais d’un autre coté je ne saurai pas lui cacher que je vous aime tous les deux autrement qu’en tant que père et fille… Je ne le désire pas d’ailleurs, j’aimerai qu’il me comprenne et m’accepte telle que je suis devenue… Je ne sais que faire… La confidence d’Annie au sujet de son père revient en mémoire de Michel. Un instant il pense en parler pour rassurer Catherine puis se reprend à temps. Non, il n’a pas le droit de trahir la confiance de sa petite-fille. C’est à elle et à son père de savoir s’ils doivent le révéler. — Fred m’a toujours été sympathique, je suis sûr qu’il comprendra et te pardonnera. — Tu crois qu’il acceptera ? — Jusqu’ici il a été un parfait mari, pourquoi voudrais-tu que cela cesse ? Parle-en avec ta fille. — Oh non ! Je ne voudrais pas la mêler à mes histoires de couple. — Moi, ce que j’en dis… Mais j’ai la conviction que tout va s’arranger au mieux. — Pourvu que tu aies raison… Il arrive cet après-midi pour le dernier week-end… Je lui en parle ce soir… Non pas ce soir ! Dis Papa ? Tu pourrais pas prendre en charge les deux enfants ? Il y a un match à la télé et autant Marco qu’Annie sont fans de foot. J’aimerais rester seule avec Fred… Un mois déjà qu’il ne m’a pas fait l’amour ! Nous avons du retard à rattraper. — Dine en amoureux avec ton mari, je leur prépare à manger. — Pas la peine, ils débarqueront avec un plateau repas pour vous trois, je te dois bien ça. Merci Papa… Ah ! Autre chose, tu es invité demain soir… Tst ! Tst ! Tst ! Pas d’excuse. Je compte sur toi. — Bon d’accord, mais j’aurais préféré vous laisser entre vous pour le dernier soir de vacances. — Pas d’excuse te dis-je !
Dans l’après-midi il doit presque se fâcher pour obliger Annie à porter le soutien-gorge de son maillot de bain. — Annie ! Tu n’es pas raisonnable ! Je t’ai dit cent fois que je ne voulais pas avoir d’ennuis avec les voisins. — Oh ceux-là, la barbe ! — Que veux-tu, tu ne peux pas refaire le monde à ta convenance. Allez… Sois gentille fais-moi plaisir et remet ton soutien-gorge. Elle obéit en grommelant. Michel note que le rideau de la maison voisine retombe à sa place. Si cela ne tenait qu’à lui, elle pourrait se baigner seins à l’air et même nue, mais ce n’est pas possible avec cette piscine ouverte aux regards étrangers. Il faudra qu’il réfléchisse.
Après le match de foot, Michel tente de retenir les deux jeunes pour un jeu de carte, le temps de laisser encore quelques minutes de tranquillité à sa fille et son mari. Sans succès. Aux regards que Marco jette à Annie il voit bien que le garçon n’a qu’une hâte c’est de sauter sa cousine… et celle-ci semble d’accord. Il capitule. — Bon, rentrez chez vous mais ne dérangez pas Catherine et Fred. — Aucune crainte Papy, sourit le garçon, nous n’importunerons pas leurs retrouvailles. Il ramasse son paquet de cigarette et son portable. — Tu viens Annie ? — Tu permets que je dise quelque chose en particulier à ma petite-fille ? Elle te rejoindra plus tard. — Bon, mais ne soyez pas long. — Qu’est-ce que tu veux me dire Papy ? demande-t-elle. Michel attend que le garçon longe la piscine avant d’attaquer. — Tu sais ma chérie, ta mère se fait du souci. — Pourquoi ? — Ben à cause de vos nouvelles relations, elle ne sait pas si ton père sera d’accord. — On n’a qu’à pas lui dire. — Facile pour toi peut-être mais pour elle qui aime son mari, elle souhaite être franche avec lui. — Tu crois que s’est une bonne idée ? — Oui, il n’est jamais bon de taire des secrets familiaux. On ne sait pas où ça mène. — Bon d’accord mais qu’est-ce que je viens faire là dedans ? — Ben je me disais, comme tu as des relations équivalentes… J’allais dire identique mais ce n’est pas exact, avec chacun d’eux, tu pourrais aborder le chapitre. — Leur dire que je fais l’amour avec tous les deux ? — N’es-tu pas la mieux placée ? Annie est dubitative. — Bon, on verra, mais je persiste à penser que le silence serait préférable. — Non mon chou, tu es dans l’erreur… Bien, tu peux rejoindre ton Marco, il est impatient de te sauter. — Sauter est le mot juste, sourit-elle. A peine je rentrerai dans la chambre qu’il se jettera sur moi ! — Un peu de bousculade ne semble pas te déplaire. — Tu as raison Papy, bonsoir. — Tu ne m’embrasses pas ? Elle se suspend à son cou et claque deux bises sur les joues. — Euh… que ça ? se plaint-il. — Oh toi alors ! Elle prend les lèvres de son grand-père pour un baiser fougueux. Michel patouille le corps juvénile. D’une main Annie vérifie la forme de la verge. — Tu veux pas que je reste un peu, murmure-t-elle à l’oreille en empoignant la queue qui se développe. — Non ma chérie, ne fait pas languir Marco. Il la pousse par les fesses vers la porte. — Pense à ce que je t’ai dit pour ta mère. — Oui Papy…
A suivre…
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