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Dommage que les vacances finissent...

Chapitre 4

Erotique
Michel se prépare pour rejoindre la maison de Catherine. Il est gêné de perturber le dernier repas de vacance de sa fille et de son gendre, mais d’un autre coté il apprécie la compagnie de Fred et espère passer un bon moment. Le repas a été parfait, les deux jeunes ne se sont pas trop chamaillés. Michel sourit de voir sa fille, les joues animées par les boissons généreuses, mais au fur et à mesure que la soirée s’avance, il décèle parfois une lueur d’inquiétude dans son regard. Annie partage ses attentions entre ses parents, une caresse à sa mère, une à son père. Elle joue avec le feu pense Michel quand la main de sa petite-fille effleure la cuisse de Fred haut vers l’aine ou la poitrine de Catherine. De son coté Fred, après avoir raconté quelques anecdotes de bureau, jette de plus en plus fréquemment des regards à sa fille. Des regards plus concupiscents que paternels juge son grand-père. Même Marco se rend compte que l’atmosphère a peu à peu changé. — Excusez-moi, dit-il en se levant, je vais m’amuser un peu sur mon portable. Un silence presque pesant accompagne sa sortie. Michel se dit qu’il est temps de crever l’abcès. — Annie mon chou, n’aurais-tu rien à dire à tes parents ? — Euh… La jeune fille regarde tour à tour son père, sa mère et son grand-père. Elle ne parvient pas à se décider. — Tu aurais des secrets pour tes parents ma puce ? insiste Fred. Tu ne vois pas ce qu’elle a à nous dire ? interroge-t-il Catherine. — Euh… No-non, je ne vois pas. Si elle voit très bien devine Michel, mais elle a peur. Tout à coup il a peur lui aussi, peur de jeter la zizanie dans cette famille. Non, ça n’arrivera pas, ils s’aiment trop pour cela. De toute façon maintenant il est trop tard pour reculer. — Allez Annie du courage ! insiste-t-ilFred scrute le visage de son beau-père. Michel devine qu’il se demande : « Que sait-il que j’ignore ? » Annie se lance — Ben voilà… Euh… Pendant ces vacances… Euh… On a découvert maman et moi… Euh… Qu’on s’aimait plus qu’on croyait. — Vous m’en voyez ravi, affirme son père. — On… On… A échangé des caresses… Elle n’ose en dire plus. Michel regarde Fred qui fronce les sourcils, les relève. — Des caresses… Euh… Amoureuses ? — Ou-oui. Il se retourne vers Catherine le regard interrogateur. — Oui mon chéri, dit-elle… Mais cela n’enlève rien à l’amour que je te porte. — Elles t’on fait plaisir ces… Euh…Caresses ? — Oui, à ma grande honte j’avoue qu’elles m’ont fait plaisir. — Pourquoi à ta honte ? Catherine est un peu interloquée par la réaction ou plutôt le manque de réaction de son mari qui semble accepter le fait sans problème. — Ben… Euh… Une mère et sa fille…
Annie est lancée sur le chemin des révélations. — Je dois t’avouer autre chose Maman, Papa et moi on échange plus que des caresses… — Oh ! Tu fais l’amour avec lui ? — Oui, depuis mes dix-huit ans. Percevant les sentiments contradictoires qui agitent sa fille Michel intervient. — Vous voilà donc à égalité maintenant. Que décidez-vous ? Quelques secondes de silence qui semblent une éternité, puis Fred se lève. — Ben pour une surprise…Il serre sa femme et sa fille contre lui. Il se penche vers Catherine, leurs lèvres se joignent, puis c’est au tour d’Annie de recevoir la bouche de son père. Fred sourit à son beau-père. Catherine et Annie se sourient. La mère caresse l’épaule de sa fille, sous le regard attendri de Fred. — Vous êtes mes deux chéries, dit-il en les embrassant sur la joue… Faudra que vous me montriez ça toutes les deux un de ces jours, ajoute-t-il après un silence. — Oh ! Fred Tu n’as pas honte ? s’exclame Catherine. — Papa est un gros cochon. — J’assume et je revendique. Michel, vieux forban ! Tu étais au courant n’est-ce pas ? — Oui, j’avais reçu les confidences de part et d’autre. — Oh tu savais pour Annie et son père et tu ne m’as rien dit ! reproche Catherine. — Ce n’était pas à moi de trahir leur secret. Catherine ne sort pas des bras de son mari. Ouf c’est gagné soupire en silence Michel. A son tour d’entrer dans le grand déballage. — Euh… Moi aussi j’ai quelque chose à déclarer. — Papa ! s’insurge Catherine qui voit bien où son père veut en venir. — Tu regrettes ce qui s’est passé ? — Euh… Non. — Il est préférable alors que tout soit clair entre nous. — Si tu veux. — Cela concerne vous deux ? interroge Fred… Alors je m’assieds, poursuit-il sur la mimique affirmative de son beau-père. Il ne lâche ni sa femme si sa fille qui s’installent chacune sur un genou. — Voilà, continue Michel. Il y a longtemps, plus de 22 ans pour être plus précis ma fille est venue se réfugier chez moi à la suite d’une déception sentimentale…— Donc avant que je la connaisse, il y a prescription, je vous donne l’absolution. — Ben… Euh… Cet été… — Oh Maman, tu as baisé avec Papy ? Quand ça ? — Tu es trop curieuse sourit Michel, mais oui j’avoue qu’il y a quelques jours… Fred fronce les sourcils. Annie se moque de lui. — Tu serais jaloux Papa ? Tu es mal placé tu sais pour leur faire la morale. — Euh… Tu as raison ma chérie. Il embrasse sa femme un peu inquiète.— J’espère qu’il t’a fait jouir ton père ?… Catherine se cache dans le cou de son mari. — Réponds-moi franchement. — Ou-oui, murmure-t-elle. — Papy est un lécheur de première, ne peut s’empêcher d’intervenir Annie. — Ah ! Tiens ! Voilà autre chose ! Tu étais au courant chérie ? — Euh… Non, pas du tout. Fred fait descendre ses deux femmes. — Vous en avez encore beaucoup des surprises comme ça ? — Euh… Je crois pas, pour mon compte, c’est terminé, affirme Michel.Un silence s’installe, le temps de digérer ces révélations. — Je ne sais pas ce qu’il en est pour vous, mais moi j’ai besoin d’un sérieux remontant pour faire passer ces révélations déclare enfin Fred. Whisky ou Cognac Michel ? — Je ne serai pas contre un petit Cognac. — Et toi ma chérie ? — Pareil. — Moi aussi je veux du Cognac, j’en n’ai jamais bu, réclame Annie— Tu es trop jeune. — J’ai plus de dix-huit ans, tu es bien placé pour le savoir. — Bon d’accord, un Cognac pour mademoiselle… Fred fait le service, un fond de verre pour Annie, un demi pour Catherine et un ballon bien rempli pour Michel et lui. — A notre santé ! — Oh ! C’est fort ! s’écrie Annie. — Trempe un sucre dedans, conseille sa mère. Ils sirotent en silence. Michel se demande ce que mijote son gendre. Malgré son apparente décontraction, il lui en veut peut-être. S’il était chez lui… Mais ici… Fred repose son ballon. — J’en avais besoin ! Michel note le regard égrillard, Son gendre prépare quelque chose, la soirée n’est pas terminée ! — Ma chérie tu sais ce qui me ferait plaisir ? commence-t-il. — Non mais tu vas me le dire, sourit Catherine prête à tout pour se faire pardonner. — Ben j’aimerais que tu me montres comment vous vous aimez ton père et toi. Michel avale sec, il ne s’attendait pas à une telle demande, puis il sourit, ma foi pourquoi pas. Catherine sous la surprise reste quelques secondes interloquée puis balbutie : — Oh ! Tu… Tu… Tu… Annie se lève d’un bond. — C’est ça ! Tu baises avec Papy, moi je m’occupe de Papa !Elle s’assied sur les genoux de son père. — N’est-ce pas que tu veux bien ? Sans attendre la réponse elle embrasse Fred dont les mains s’égarent sur le corps de sa fille. Michel s’approche de Catherine prostrée dans son fauteuil. — Ma chérie, commence-t-il… Elle lui adresse un pauvre sourire. — Viens, poursuit-il. Il l’entraîne sur un des deux canapés… Il faut que cette étreinte soit parfaite décide Michel. Avec des gestes tendres, il ouvre le chemisier sur la poitrine nue qu’il parsème de petits baisers. Il sent sa fille se décontracter peu à peu. Elle accepte la situation note-t-il avec satisfaction. Il fait glisser la jupe sur les hanches, le bassin. Catherine soulève les fesses juste ce qu’il faut. Elle ne porte pas de dessous. Est-ce que Fred s’en est rendu compte ? Il agace de la langue le nombril. — Hi ! Tu me chatouilles ! Michel s’écarte, sourit à sa fille qui le lui rend. En un tour de main il se déshabille et s’installe entre les cuisses écartées. — Oh ! Oui, soupire Catherine. Une exclamation d’Annie fait tourner la tête à Michel. Sur l’autre canapé le couple est aussi dénudé. La jeune fille maintient la tête de son père contre son sexe. Si Catherine serre les lèvres pour ne laisser passer qu’un faible gémissement de plaisir, sa fille elle est plus démonstrative. — Aaah !… Ouiii…! Encooore !… C’est booon !… AAAh ouiii! Les deux hommes échangent un regard complice avant de replonger satisfaire leur partenaire…
Fred émerge le premier. Il installe Annie assise sur le canapé. — Alors ma chérie ? — Ffuut ! Quel pied ! — C’est aussi bien qu’avec ton grand-père ? — Chais pas, on n’a pas fait l’amour tous les deux. — Ah ? Je croyais. — Ben non, juste des caresses. Oui, ils ont juste échangés quelques caresses, pas fait l’amour à proprement parler, se dit en lui-même Michel. Voilà qu’il regrette maintenant ! Il a de la peine à retrouver une respiration normale. Il a l’impression d’être vidé par la fulgurante jouissance qui l’a étreint. Est-ce sa fille qui lui fait cet effet ou plutôt que lui et son gendre faisaient l’amour avec leur fille respective ? Catherine elle se trouve bien. La phase de honte éprouvée au début de l’étreinte a disparu. Elle sourit à son mari. — Alors ? interroge celui-ci. Le verdict ? — Quel verdict ? — Ben qui te fait le mieux l’amour, ton père ou moi ? — Qu’est-ce que vous avez vous les hommes à toujours vouloir être le plus fort, le meilleur en tout ? Contentez-vous de nous faire jouir. De toute façon vous êtes différents et on peut pas comparer. — Tu as raison Maman ! approuve Annie.— Viens t’asseoir à mes coté ma chérie, invite Fred. Catherine se pelotonne contre son époux. De son coté Annie se colle contre Michel. — Tu m’acceptes ? — Bien entendu. Ils restent tous les quatre silencieux savourant l’instant présent. — Tu sais chéri… commence Catherine, toi et Papa comme je t’ai dit, c’est pas pareil. Mais avec toi il y a quelque chose en plus, je t’aime… Tu m’en voudras pas Papa ? — Pas du tout ma puce, pas du tout. — Tu sais, lui dit Fred, ça c’est la plus belle déclaration d’amour que tu m’as faite. Fred et Catherine s’embrassent comme des amoureux qu’ils sont encore. — Est-ce qu’ils sont pas mignons comme ça ? interroge Michel. — Ils me donneraient des idées, réplique Annie. Elle se pelotonne contre son grand-père et farfouille à la recherche d’une verge. — Oh ! Tu ne m’aimes plus ? A son grand désespoir Michel est obligé de confesser sa méforme. Il n’a pas l’habitude de tel excès sexuels. Il se sent vieux. — Tu devrais demander à Marco de venir Cela fait dresser l’oreille à Fred. — Ah ! Parce que entre cousins ?… — Pour ne rien te cacher. — Je savais bien que vous me réserveriez encore une surprise. Tu étais au courant chérie ? — Euh… — Bah ce n’est pas grave… Fais-le donc venir ton étalon. Annie regarde alternativement son père et moi, son grand-père. Michel devine qu’elle se demande si elle doit se rhabiller. Puis elle hausse les épaules et sort de la pièce pour revenir l’instant d’après, tirant un Marco gêné. Fred interrompt le baiser juste le temps de déclarer : — Fais comme tu veux… Marco comprend vite qu’il a quartier libre et attire Annie qui se laisse faire…
Michel n’a rien d’autre à faire que de comparer leur technique. Le couple formé par sa fille et son mari est plus calme plus pondéré que l’autre couple formé par ma petite-fille et Marco. Quand ils ont terminés tout les quatre, il n’a pas retrouvé sa forme. Annie leur sert du coca qu’ils boivent. Fred discute avec Marco. — Elle est jolie ta tante. Ne me dis pas que tu n’as pas eu envie d’elle de toutes les vacances. — Euh… Oui même que… commence Catherine. Fred reprend la balle au bond. — Ne me dis pas que toi et Marco… — Une seule fois… — Je confirme ajoute Marco. Mais ma tante est aussi bonne que Maman. — Ah ! Parce que toi et ta mère… Le jeune homme est en veine de confidences : — La première fois ça s’est passé pour mes 18 ans. Papa et Maman m’ont offert le plus beau cadeau d’anniversaire… Michel a juste le temps d’agripper Annie qui se trémoussait sur son siège. Pour faire diversion il se mêle de la conversation.— Parce que le mien de cadeau n’était pas bien ? — Je n’ai pas dit ça. Dans leur chambre, ils m’ont demandé comment je me débrouillais avec les filles. J’ai du avouer que ça n’allait pas fort. Ils m’ont demandé de faire pareil sur Maman. J’étais gêné. Papa m’a fait une démonstration avec Maman, puis j’ai du refaire sur Maman. Puis on a terminé ensemble Maman devant et Papa derrière.— Tu baisais ta mère pendant que ton père t’enculait, n’ai pas peur de le dire, précise Fred. — C’était sensas, ajoute Marco. Puis chaque fois que j’avais une nouvelle copine ils faisaient une révision juste pour moi. Ils me demandaient de venir dans leur chambre… Ça se terminait toujours pareil, Maman devant Papa derrière… Fred regarde Catherine avec envie. Elle fronce les sourcils. — Dans deux ans pas avant. Michel devine qu’ils pensent à leurs fils. — J’ai hâte d’être juillet prochain, poursuit Marco toujours dans son monde. Il ne semble pas avoir conscience de l’interruption. — Pourquoi ?— Ben c’est l’anniversaire de Clémence, elle aura 18 ans, et Papa et Maman m’ont promis que je participerais… — Mais j’ai une idée, s’exclame Michel. Pourquoi ne pas le faire ici ? — Très bonne idée j’en parlerai à Papa.— Je m’en chargerai moi même, dit Michel. Je compte descendre en ville. Maintenant que sa belle-fille commence à lui devenir sympathique, Michel ne va laisser ce soin à personne. Il quitte un instant la pièce. Quand il revient, Catherine se fait enculer par Fred, du moins il le suppose d’après leur position, pendant qu’Annie se fait besogner par Marco. Il ne savait pas sa fille adepte de ce sport, bon à savoir… Il est temps de prendre congé. Une caresse à sa petite-fille, une à sa fille et il sort. De toute façon, fatigué comme il est, il ne leur serait d’aucune utilité… Michel regarde en arrière. Il ne s’est pas habillé, ses vêtements sur le bras. Le temps est doux, quatre silhouettes nues vont vers la piscine. Ils font du bruit, pourvu qu’ils ne réveillent pas les voisins… Une lumière s’allume, ça y est ils les ont réveillé. Les quatre silhouettes s’effacent. Il est temps de faire quelque chose. Des arbustes à croissance rapide et une haute palissade en attendant ? Demain il téléphone à son pépiniériste…
Le lendemain, des bruits le réveillent en sursaut. Fred et Marco sont entrain de charger la voiture. Il se lève précipitamment pour les embrasser avant leur départ… — Va voir ce qu’elles font, lui demande son gendre. Demande-leur de se dépêcher.Michel fait le tour de la maison et les découvre dans la chambre d’Annie. Elles sont là à se caresser. Qu’elles sont belles ! Les fesses de sa fille l’attirent irrésistiblement. Il n’y tient plus et enfonce le dard dans le cul offert.— Ooh ! Que fais-tu Papa ?— Tu le sens. Je t’encule, ça fait longtemps que j’en avais envie. Tu croyais y échapper, mauvais calcul… Han… Han… Han.- Mmmmh— Encule-la tu as raison, l’encourage sa petite-fille. Michel sent les doigts d’Annie à travers la fine membrane qui sépare les deux trous. C’est délicieux… Il ne résiste pas autant qu’il voudrait et s’épanche dans l’orifice tant désiré. — Aaggmmhh ! Après quelques instants de repos il déclare :— Fred vous demande de vous presser, pas de batifoler. — Ça te va bien de nous faire la morale après ce que tu as fait à ta fille ! persifle Annie.
Plus tard c’est le départ. Il les embrasse tous terminant pas sa petite fille. — Oh ! Tu bandes Papy ! s’exclame Annie qui n’en perd pas une. Oui il bande. De tenir sa fille et sa petite-fille comme ça n’est pas sans conséquence. Il a envie de les prendre, là, sans autre explication. — En voila des façons de parler à son grand-père ? sermonne sa fille. — Mais c’est la vérité, se justifie Annie. — Que voulez-vous ? De vous tenir dans les bras me fait toujours de l’effet, dit-il. Pourquoi a-t-il préféré enculer Catherine au lieu de baiser Annie ? Cette chipie de petite- fille devine ce qui le tourmente.— Moi aussi j’ai envie de toi, lui susurre-telle en se frottant contre lui… Ce n’est que partie remise… — Oui elle a raison… Ce n’est que partie remise, ponctue Catherine à mi-voix. — Nous comptons sur ta prochaine visite… avant l’hiver, conclu FredOui, il leur réserve sa prochaine visite… après qu’il a rencontré son fils… et sa belle-fille…
Il regarde l’auto démarrer… Dommage, oui dommage que les vacances terminent… Un jour de plus, deux au maximum, et il aurait fait l’amour avec sa petite-fille… Malgré lui sa main trouve la tige rigide… Il se masturbe en pensant à ces derniers jours…Personne n’est là pour interrompre sa caresse…
Fin
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