Je me présente, je suis Anna, une fille plutôt sage habituellement mais j’ai un appétit sexuel insatiable. Mon plus grand fantasme, et c’est sans doute celui de beaucoup de femmes est de pouvoir baiser comme une folle un magnifique inconnu, je pourrais faire ce que bon me semble de lui. J’ai fait part de ce fantasme sur un forum internet et à ma grande surprise et pour mon plus grand plaisir, je reçus un message d’un homme qui habite ma ville. Il me proposa une rencontre que j’acceptais mais je lui posais quelques conditions. Je voulais qu’il joue le jeu jusqu’au bout : il ne devait en aucun cas me dire son nom, il ne devait que très peu parler et s’il le faisait c’était uniquement dans le but de m’exciter, on se rencontrerait dans le noir dans un motel à la sortie de la ville. On fixa le rendez-vous assez rapidement, pour la semaine d’après. J’attendis cela impatiemment. Le moment que j’attendais tant arriva. J’arrivais au motel un peu avant lui, ainsi je pus enfiler une tenue des plus sexy dans laquelle je l’accueillerai. J’étais, sans vouloir me vanter, une femme bien faite, poitrine opulente et de bonnes fesses, ce qu’apprécient les hommes de ma connaissance. Il arriva, les volets étaient fermés, je voyais seulement son ombre et il n’avait pas menti, il était très bien bâti, j’avais hâte de lui arracher ce slip qui lui moulait si bien le pénis, de taille très satisfaisante également. « Alors, prête ? me dit-il.-Oh oui… répondis-je d’un ton enjôleur. Il s’approcha du lit et me souleva brusquement avant de m’annoncer qu’il était plutôt du genre à prendre le dessus dans ce genre de jeu. -Un jeu ? -Oh oui ma belle, et je vais gagner petite salope. Je vais te faire jouir jusqu’à ce que tu me supplies d’arrêter en pleurant. Il m’avait cerné, j’aimais les hommes qui prenaient les choses en main. Il me porta et me projeta contre le mur de la chambre. Il prit ma bouche dans un baiser sauvage et qui en disait long sur la suite de notre après-midi. J’étais plaquée contre le mur et capable d’aucun mouvement. Nos langues s’entremêlaient dans ma bouche. Il sortit la sienne pour aller la promener un peu plus bas, il arracha mon soutien-gorge violemment prit mes seins dans ses grosses mains. Il les malaxait et titillait finement mes tétons gonflés avec sa merveilleuse langue. Je gémissais de plaisir et de douleur. C’était si bon ! Et ça n’était que le début. « Jolis ces mamelles…. Et si on allait voir plus bas ? Sa voix suave m’excitait au plus haut point, mon entrejambe était trempée et mes gémissements redoublaient de son. Je n’arrivais pas à les contenir. Tout à coup il déchira mon string et prit mon clitoris entre son pouce et son index. « T’es déjà toute mouillée petite chienne… Il faillit me faire jouir mais arrêta de triturer mon clitoris juste avant. C’était horrible. La jouissance était pourtant si proche ! Il me souleva et je sentis son pénis, debout et dur sous son caleçon.« Eh non, ce n’est pas encore le moment d’exploser, tu m’as oublié ! » Il retira son caleçon rapidement et m’enfourcha d’un coup. Encore plaquée contre le mur, je faisais des allers retours sur son tronc. « Ahan ! Ahan ! -Tu cries trop fort chéri, arrête ça. Il prit une nouvelle fois ma bouche et nos langues se mélangèrent de nouveau. « Allez, je n’ai plus beaucoup de temps, finis le travail avec ta bouche. Il me reposa et je gobais son pénis presque entièrement et je faisais revenir mes lèvres sur son bel objet de plus en plus rapidement. Au bout de 3 minutes, sa substance se répandit dans ma bouche. Mais je n’avais toujours pas joui et je lui fis remarquer. « J’adore le goût de la cyprine des femmes que je baise. Je ne vais pas te laisser finir le boulot seule. Allonge-toi sur le lit et écarte les jambes.J’exécutai son ordre. Il enfonça son nez dans mon vagin et se mit à sucer mon clitoris. Ses mains malaxaient mes seins et trituraient mes tétons. Je ne pus pas tenir très longtemps et je jouis deux fois tandis qu’il léchait mon précieux liquide. Je restai épuisée sur le lit. Il se rhabilla rapidement et sortit. Sans doute la meilleure baise de toute ma vie.
