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Double amour pour sa maman

Chapitre 5

Inceste
Suite à cette partie de jambes en l’air, trop courte pour Laureen et Nicolas, mais eux comme beaucoup de gens savaient que le désire étant tellement fort que l’acte ne donne pas ce que l’on voudrait lorsqu’il s’agit de la première fois. Toutefois acceptant cela ces deux la savaient que la prochaine fois serait l’extase.— Je vais prendre une douche et ensuite je vais préparer le dîner ! Dit Laureen en se levant du lit et dans le même temps faisait une douce caresse sur la joue de son fils.— Moi, je vais regarder mes messages sur mon pc et ensuite je prendrai également une douche.Pendant le repas, le fils et la mère se regardaient avec des yeux d’amour, dans les regards, il y avait tous les sentiments que peuvent s’adresser des êtres amoureux.— Je me demande ce qui peut bien se passer dans nos têtes pour qu’une mère aime son fils au point de faire l’amour avec lui, une mère qui aime son fils comme si c’était un inconnu, il en va de même pour un fils qui aime sa mère comme si c’était une étrangère tout en sachant que c’est sa mère ! Déclara Laureen.— Je n’en sais rien maman ! Ce que je sais c’est que je t’aime, d’un double amour et l’amour que j’ai pour toi en tant que femme augmente d’heure en heure, c’est vrai que j’ai une terrible envie de te faire l’amour, de te posséder, de te caresser et de te rendre heureuse, je pense qu’il en va de même pour toi, alors aimons-nous et ne nous posons pas de question, soyons heureux et vivons le moment présent.— Oui ! Tu as raison mon fils, mais je pense qu’il faut que tu arrêtes de me dire Chérie tout le temps, car j’ai bien peur qu’un jour devant du monde cela t’échappe alors nous pourrions recevoir des tas de questions. — D’accord mon amour, je t’appellerai Ma Princesse ! Dit-il en éclatant de rire.— Soyons sérieux et parlons travail. J’ai convoqué pour demain dix heures tous les chefs de service ainsi que les contremaîtres et chefs d’ateliers. Je voudrais que tu assistes à cette réunion.— Pourquoi dois-je y assister ?— Tu y assisteras selon la réponse que tu me feras à la question suivante : Te plairait-il de travailler avec moi, tu serais mon assistant et en même temps tu ferais un stage de quelques jours dans chaque service pour apprendre le job.— Je suis en fac de médecine et ta question est intéressante mais je ne peux pas répondre en si peu de temps, demain c’est samedi, je te donnerai ma réponse dimanche soir.— D’accord Nicolas, maintenant on va penser qu’à nous deux, débarrasse la table et moi je vais me préparer et je t’attends dans notre chambre.— Dix minutes après, Nicolas entrait dans la chambre, Laureen était allongée sur le dos, entièrement nue ; Nicolas remarqua sur la table de nuit un gode assez long et de bonne taille mais moins épais que son sexe. Laureen vit son regard et lui dit :— Viens vite dans mes bras que je te caresse, que je te sente contre mon corps, que je sente la douce chaleur de ta queue plaquée contre mon ventre, et pour ce qui est du gode, avec mon mari c’est arrivé qu’on l’utilise puis comme tu veux me sodomiser, je crois qu’il va nous servir pour me préparer à te recevoir.Nicolas se retrouva rapidement nu comme un ver et vint s’allonger contre sa mère, immédiatement il posa ses lèvres sur celle de sa partenaire et ils échangèrent un long baiser amoureux, leur langue jouant l’une contre l’autre, se transmettant leur salive respective, leurs mains ne restants pas inactives, Nicolas caressait les seins, de ses doigts il pinçait les tétons devenus rapidement dures comme du bois, de l’autre mains libre il caressait les fesses de Laureen et de temps en temps entrait un doigt soit dans la petite chatte toute humide soit dans l’anus qui se détendait au fur et à mesure des caresses.Laureen ne perdait pas de temps non plus, elle avait glissé une main entre son ventre et celui de Nicolas et avait pris la grosse queue à hauteur du gland et elle passait son indexe sur le dessus afin d’étaler le pré-sperme qui commençait à sortit de l’engin de son fils. N’y tenant plus, elle se laissa glisser pour atteindre la bite toute bandante qui ne demandait qu’à être sucée. D’un geste rapide, elle emboucha l’objet du désir, ses deux mains entourant la grosse queue elle faisait des aller et retours, branlait de plus en plus vite. Tout en agissant ainsi, elle fut étonnée de voir avec quelle facilité elle avala ce sexe malgré la grosseur, elle l’avalait le plus loin possible dans sa gorge jusqu’à la limite du vomissement, mais elle se régalait de cette douceur dans la bouche, sa langue lorsque c’était possible, jouait avec le gland léchant le pré-sperme, elle ressortait la queue de sa bouche pour voir un épais filet de salive puis aussitôt elle enfournait la bite de son fils, parfois une main allait titiller la petite rondelle du cul de Nicolas ce qui avait pour effet, qu’il donnait un violent coup en avant et de ce fait sa queue entrait encore plus profondément dans la bouche de sa mère.— Laureen ! Je ne vais plus tarder à venir, c’est tellement bon ta pipe, tu es une vraie professionnelle et je vais t’en redemander encore et encore, oh ! Oui continue, enfonce là je veux jouir dans ta gorge et à la fin je t’en donnerai dans la bouche, oui maman branle moi en même temps.— Tu peux jouir Nicolas mon chéri, donne-moi ta liqueur d’amour elle a tellement bon goût, je veux qu’en même temps tu mettes un doigt dans ma chatte et que toi aussi tu me branles.— Maman ! Tu es une vraie salope et tu ne vas rien regretter, continue je jouis mon amour de salope, oh ! Oui, c’est bon !— Moi aussi je jouis mon chéri et toi aussi tu es un beau salop, donne-moi tout que j’avale ce nectar, continue à me doigter oui comme cela c’est extra, ça y est je sens que tu vas jouir et moi aussi.Leur jouissance respective fut à la hauteur de ce qu’ils voulaient, Nicolas déchargeait des flots de sperme, elle en avait plein la bouche alors qu’un instant avant une bonne partie avait coulé directement dans la gorge, au moment de sa jouissance Laureen avait des yeux brillants remplis de millier d’étoiles, lorsqu’elle arriva à l’ultime seconde, sa jouissance étant tellement forte qu’elle voulait crier mais d’une main ferme elle tenait encore la queue de son fils dans sa bouche et de l’autre elle plaquait le cul de Nicolas afin qu’il ne se retire pas, elle en voulait encore quitte à suffoquer, puis enfin elle s’allongea, Nicolas vint contre elle et colla sa bouche sur celle de sa mère ce baiser permit aux deux langues de mélanger le reste de sperme et de se le partager.— Oh ! Mon chéri, comme c’était bon, je ne trouve pas de qualificatif assez puissant pour exprimer ce que j’ai ressenti et toi tu auras goûté à ton sperme.— Ce n’est pas la première fois et je sais qu’il a bon goût !— Comment cela ! Explique-moi si tu veux ? Et si tu es d’accord alors dorénavant on se dira tout, il n’y aura de toi et de moi aucune cachoterie ou mensonge, tu es d’accord ?
— Oui ! Alors je vais t’expliquer très brièvement et je te dirai toute l’histoire un autre jour. Avant la copine de fac que j’ai larguée, j’ai eu une aventure avec une femme mariée, et suite à un pari avec elle, je me suis fait une auto fellation et avec son aide j’ai joui en parti dans ma bouche, Je t’en dirai plus un autre jour. Maintenant chérie, je vais m’occuper de toi, de ta chatte et la tu pourras dire que je suis un salop.— Tu peux tout me faire mon amour sauf de me frapper, ou d’essayer de me soumettre, cela il n’en est pas question entre nous, avec toi je veux de l’amour dans nos actes, je veux de bonnes baises même si tu me dis que je suis une salope, j’en suis fier d’être la salope de mon fils, mais en dehors de nos douces et tendres parties de cul, je souhaite avoir de toi de la correction et du respect.— C’est bien comme cela que je l’entendais maman ! Je t’aime trop pour te faire souffrir ou regretter notre union. Maintenant, retourne toi et met toi à quatre pattes et au bord du lit, je m’occuperai de tes seins après car ils sont tellement gros et beaux que je ne les laisserai pas en plan.Laureen s’exécuta de bonne grâce, elle plaça sa tête à plat sur le drap et d’une main elle commença à se caresser la chatte qui était encore tout mouillée, Nicolas se plaça derrière elle et plota chacune des fesses parfois ses doigts descendaient dans la raie, pour atteindre l’anus, il entrait légèrement un doigt puis continuait la descente pour arriver à la chatte de Laureen et y rencontrait les doigts de sa mère. Mettant son index et son majeur en forme de ciseau, il les enfonça un dans l’anus l’autre dans le vagin tout humide, puis il commença à les faire entrer et sortir, à chaque fois il les enfonçait le plus loin possible, Laureen se trémoussait de gauche à droite et de bas en haut puis en même temps elle se pinçait ou jouait avec son clitoris, elle gémissait, poussait parfois de petits cris ou bien incitait son fils à en faire plus afin que sa jouissance soit encore plus forte.— Oui ! Mon fils branle moi bien le cul et ma chatte disait-elle, comme c’est bon continue plus fort chéri, je t’en prie.Nicolas donnait tout ce qu’il pouvait pour la faire jouir, en même temps qu’il la branlait, il mordait les fesse l’une après l’autre ou bien il léchait la raie du cul de l’anus à jusqu’aux reins, puis Laureen cria :— Je jouis mon chérie enfonce toi dans moi par tous les trous, oui je jouis que c’est bon encore Nicolas n’arrête pas de me branler. Nicolas s’en donnait à cœur joie, sa mère jouissant cela le faisait bander encore plus fort, il sentait la mouille lui dégouliner sur sa main, puis Laureen, au terme de la jouissance, s’écroula sur le drap, Nicolas avait vu le coup venir alors il enfonça encore plus loin ses doigts et accompagna le corps de sa mère qui se couchait à plat.— Maman, redresse toi ce n’est pas fini, comme ta chatte est bien huilée, je vais te prendre en levrette, je vais te mettre ma grosse queue dans ton puit d’amour et tu vas encore jouir très fort.Laureen ne dis rien, elle était encore sous le choc de sa jouissance mais instinctivement elle se redressa, écarta bien les jambes, regarda son fils qui pouvait voir dans ses yeux tout cet amour, cette joie donné par le plaisir, il y avait surtout des remerciements adressés à Nicolas pour tout ce qu’il lui faisait. Ce dernier embrassa chacune des fesses, de ses mains il caressa l’intérieur des cuisses de sa mère puis il prit en main sa grosse bite et la dirigea vers le petit trou du vagin tout mouillé.— Tu fais doucement mon amour, cela fait bien longtemps que ma chatte n’a pas reçu une bite surtout comme la tienne.— Tu vas t’élargir toute seule, ta chatte va faire de la gymnastique. Tout en parlant, il présenta le gland devant le vagin et entra doucement à l’intérieur, millimètre par millimètre, il s’enfonçait dans le corps de sa mère, il sentait les parois vaginales s’écarter devant ce membre si imposant ; Ses mains étaient accrochées aux hanches de Laureen afin d’avoir plus de prise et de stabilité pour la pénétrer. Il ne s’était pas arrêté une seule fois, sa queue touchait maintenant l’utérus, son ventre était collé aux fesses de Laureen, celle-ci serrait le drap de ses deux mains pendant toute l’intrusion, elle avait l’image de cette bite entrant dans son vagin ce qui l’excitait encore plus, toute la chaire de son vagin sentait la douceur et la chaleur de cette queue. Nicolas de son côté sentait sur sa bite les parois toutes chaudes, il ne bougeait plus, il voulait que sa mère et lui-même prennent un grand plaisir à sentir le corps de l’autre.— Maintenant que je suis bien dans toi ma chère mère, je vais te pistonner, je vais te faire sentir ma queue tout le long de ton puit d’amour et ensuite tu vas jouir comme jamais tu as joui.— Oui ! Mon amour fait ce que tu veux, je suis à toi et à ta belle queue, je la sens bien au fond de moi.Nicolas commença à entrer et sortir mais s’arrêtant juste pour laisser le gland à l’intérieur du vagin, puis il s’enfonça de nouveau, cela dura deux ou trois minutes à la pénétrer doucement, ensuite il accéléra la cadence, son ventre venait cogner contre le cul de Laureen, cette dernière gémissait très fort, elle se crispait et s’accrochait au drap, tout son corps bougeait dans tous les sens ; Elle n’avait plus envie de parler à son fils en même temps qu’il la pistonnait, elle voulait se concentrer entièrement à la vision de cette grosse bite qui la défonçait, mais elle ne pouvait pas retenir ses gémissements. Enfin au bout d’une bonne dizaine de minutes elle cria : Je jouis, oh oui je jouis, mon chéri, je jouis, puis de nouveau elle s’écroula à plat ventre sur le drop, et Nicolas était resté dans ce petit cul, mais il n’avait pas joui et se réservait pour la deuxième phase. Il demanda à sa mère de lui passer le godemichet.Avant que tu me pénètres le cul, je voudrais te sucer je la veux dans ma bouche et je ne te ferai pas jouir, je veux que tu me remplisses le cul, je voudrais que tu mesures ta queue de nouveau, je crois qu’elle fait plus de 22 cms, le godemichet fait 25, on va voire la différence, aussitôt dit aussitôt fait, tu vois ton sexe fait presque vingt-cinq centimètres et dire que je l’ai eu dans la chatte, que c’était bon !Laureen prit la grosse bite de Nicolas et commença une savante fellation, elle léchait de bas en haut tout sexe, sa langue jouait avec le gland et en même temps elle branlait doucement l’engin du désire. Puis sans aucune parole, elle reprit la même position que précédemment, elle écarta bien les cuisses et invita son fils à venir jouer avec son trou du cul.Nicolas parcouru toute la raie des fesse avec sa langue, s’arrêtant un moment sur l’anus, puis descendit jusqu’à la chatte encore baveuse de la mouille de Laureen. Il remonta à l’anus, sa langue pénétra doucement à l’intérieur, il l’enfonçait au maximum qu’il pouvait, il voulait qu’il soit bien lubrifié, ensuite il enfonça un puis deux doigts, titilla l’intérieur ce qui eut pour effet de faire vibrer le corps de sa mère, elle commençait à gémir doucement et ne disant aucun mot voulant se concentrer comme lorsqu’il l’avait prise au vagin. Retirant ses doigts, il cracha sur le petit trou qui avait pris plus d’élasticité et une plus grande forme pour entrer le gode. Nicolas l’enfonça lentement allant jusqu’au bout de ce qu’elle pouvait avait dans le cul, Laureen gémissait de plus en plus fort adressant à son fils quelques rares mots comme : C’est bon mon chéri, vas plus vite, ou fait moi jouir du cul, je t’aime ! Nicolas utilisa le gode plusieurs minutes et lorsqu’il constata que le trou du cul était bien préparé, il présenta son gland à l’entré, tenant son sexe d’une main, l’autre ayant agrippé une hanche, il commença à envahir l’anus de sa mère, il força un peu pour que le gland passe le barrage du sphincter, n’ayant pas de réaction de Laureen, il commença à s’enfoncer profondément, allant le plus loin possible et ce n’est que lorsque son ventre toucha l’arrière train de sa mère qu’il sut qu’il n’irait pas plus loin.— Tu as mal mon amour, tu veux que je me retire ?— Non ! Non ! Je n’ai pas mal et je te sens bien à croire que ma chatte tout comme mon cul étaient fait pour ta bite, et si tu savais comme c’est bon, si tu savais quelle sensation cela me procure, je crois, je dirais que maintenant je ne pourrai plus m’en passer. Baise moi fort mon amour, enfonce là le plus loin possible et jouis dans mon cul, tu m’en garderas une goûte pour ma bouche s’il te plait !Nicolas ne répondit pas et commença à pistonner ce petit cul si bandant, ce petit cul qui maintenant était à lui et qu’il pourrait baiser comme il voudrait. S’accrochant aux hanches de sa mère, il fit des vas et viens de plus en plus rapide, sa mère gémissait de plus en plus fort, criant parfois.— Baise moi fort mon chéri, fait moi mal au cul, oh oui ! C’est bien comme cela, plus profond Nicolas, plus vite aussi, hum j’en veux encore et encore, je suis ta salope de mère baise moi je suis à toi pour toujours, baise moi par tous les trous mon chéri, oh oui je viens, je vais jouir du cul, ah oui ! Oui encore plus vite, plus vite bordel, je jouis chéri, je jouis pour toi mon amour.Et dans un dernier sursaut de plaisir elle cria très fort puis encore une fois elle s’écroula à plat ventre, ce n’est qu’une fois allongée que Nicolas recommença à la pistonner très fort malgré que le cul de Laureen était encore plus serré, il allait jouir, il sentait son sexe se gonfler encore un peu plus. Laureen sentait la jouissance monter, sentait le sexe se raidir, elle comprima encore plus fort le sexe de son fils avec ses fesses, puis elle sentit un liquide chaud couler dans son anus et dans le même temps, elle entendit Nicolas crier tout son plaisir et dit :— Putain que c’était bon ! Oh maman quel plaisir tu me donnes !— Toi aussi mon fils tu m’as donné du plaisir, tu m’as comblé de bonheur et tu m’as redonné l’ivresse du sexe, viens dans ma bouche que je boive les dernières goûtes et que je te lave ta si belle et énorme queue.Les deux amoureux se prirent dans les bras, s’embrassèrent amoureusement et sans un mot s’endormirent heureux. Vers 7 heures Nicolas réveilla sa mère en lui déposant un bisou sur les lèvres, Laureen s’étira puis embrassa son fils sur les lèvres et dit :— As-tu bien dormi mon chéri ?— Comme un bébé et toi ma petite femme chérie ?— Comme un autre bébé, seulement dans la nuit je me suis réveillé, car j’avais quelques irritations dans le vagin, je me suis mis de la pommade et ça va mieux et extraordinaire, je n’ai pas eu mal au cul, à croire que j’ai toujours eu un engin de ta taille dans le fion, enfin tant mieux comme cela on pourra recommencer en sachant que je n’aurai pas mal après, c’était tellement bon enfin tout ce que tu m’as fait était merveilleux. Je vais te caresser un peu ce matin avant de prendre le petit déjeuner.— On n’a pas beaucoup de temps maman, puisqu’on doit aller au bureau. — Ah ! Oui je n’y pensais plus, je vais donc te caresser pendant que nous avalerons nos tartines. Je vais prendre une douche et je te demande de préparer le café mon chéri.Se retrouvant assis l’un à côté de l’autre pour avaler le petit déjeuner, Nicolas étant resté nu, Laureen ne put s’empêcher de caresser le sexe de son fils, il bandait fort et Nicolas sentait venir rapidement la jouissance.— Maman, tu voulais à tout prix me faire du bien, tu voulais me sucer et avaler ma liqueur je parie ?— Oui mon amour, je voulais tout cela, et je suis heureuse que tu sois descendu de la chambre tout nu, c’est plus facile pour moi, et ton sperme est tellement bon !— Tu as fini de manger ? Et il ne te reste plus beaucoup de café !— En effet pourquoi cette question ?Nicolas ne répondit pas à sa mère, il se leva en regardant celle-ci, puis il prit le bol de sa mère avec le restant de café et il se mit à se masturber, il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour jouir, il amena le bol au bord de son gland et déversa une grande quantité de sperme dans le bol , Laureen resta sans voix, elle regardait le sexe dont le gland était tout rose et très gonflé et qui envoyait par jet cette douce liqueur d’amour qu’elle affectionnait. Nicolas prit la petite cuillère et mélangea le tout et enfin tendit le bol à sa mère.— Tu veux que je boive çà ?— Oui ! Comme tu aimes le café au lait cette fois ci c’est du café au sperme alors montre-moi que tu aimes les deux.Laureen eut un large sourire qu’elle adressa à son fils chéri, puis elle porta le bol à ses lèvres et avala tout ce qu’il y avait dans le dit bol.— Le goût du café et du sperme est dénaturé, mais je reconnais que c’est bon et je pense qu’un autre jour tu me prépareras cette douce mixture. Je t’aime mon chéri plus que tu le crois et pas seulement parce que tu baises bien et que tu m’as comblé, mais je t’aime comme une femme qui aime son conjoint. Je voudrais te dire que j’aimerais que ce soir tu me baises uniquement en sodomie je voudrais laisser ma chatte se reposer afin de mieux en profiter plus tard. Pas de problème maman, je ne désire qu’une chose, te voire heureuse et comblée.
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