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Drague dans le métro

Chapitre 4

Voyeur / Exhibition
L’homme qui nous regardait se lève et s’avance vers nous, il me désigne et se dirige vers les toilettes qui sont juste à côté de moi. Je regarde Pierre qui me fait oui de la tête. Comme un automate, je me lève et vais aux toilettes, j’ai toujours le cul nu, mais personne ne semble le remarquer, heureusement, je n’ai que deux mètres à faire avant de disparaitre derrière la porte. Dans les toilettes, trois hommes sont là et me regardent arriver. Je reconnais les deux autres pour les avoir vu entrer dans les toilettes il y a un petit instant, je n’avais pas remarqué qu’ils n’étaient pas ressortis. Ils ont tous les trois le pantalon baissé et m’exposent trois énormes sexes bien raides. Je comprends tout de suite ce qui va se passer, me retourne, m’appuis sur un lavabo en leur présentant mon cul et j’attends.
Une bite se glisse ente mes fesses, vient me perforer le fion et me labourer sur toute sa longueur. Mon cul est exceptionnellement souple, il a été extrêmement sollicité cet après-midi, nul besoin de lubrifiant, surtout qu’il est déjà plein de sperme. Ses aller-retours sont secs et rapide, il met au moins trois ou quatre minutes à se vider en moi. Immédiatement après, une seconde bite la remplace, même punition, mais j’adore ce genre de punition. Je n’ai plus aucune retenue, je ne vis que pour ces bites qui me défoncent le fondement. Une fois rempli par la seconde bite, c’est la troisième qui me troue la rondelle. Comme les deux autres, il résiste assez longtemps et se vide en de violents jets après m’avoir labouré le fion un bon moment. Un des hommes prend des photos de mon cul, un second sort une glace et la met devant mon cul. Je vois le sperme couler sur mes cuisses par mon cul grand ouvert. Nous attendons qu’il se referme pour rejoindre les autres
Nous quittons le bar vers vingt heures. Je reste avec Pierre pour retourner chez lui. Nous sommes à un petit kilomètre de chez lui et nous décidons de le faire à pied. Pierre se débrouille pour passer dans les rue les plus éclairées, il s’amuse à marcher derrière moi et à regarder la tâche de manière à attirer le regard des passants. Au bout de cinq-cents mètres, une bosse s’est formée en dessous de ma ceinture. Je sens que le sperme coule encore le long de mes jambes. Ma bite est raide et commence à me faire mal. N’en pouvant plus, je porte ma main sur mon short et frotte un peu. En à peine quelques seconde, je me vide dans mon short. Maintenant, en plus de la tâche derrière, j’en ai une devant. En plus, la tâche derrière augmente au fur et à mesure que mon cul se vide, et il y a de la réserve avec tout ce que j’ai reçu dedans. Nous arrivons enfin chez Pierre devant l’ascenseur.

–déshabille toi.–Pardon ?–Déshabille toi.

Machinalement, j’obéi et retire mes vêtements. Je regarde la tâche derrière mon short, elle fait une bonne vingtaine de centimètres de large et descend jusqu’en bas des jambes, elle est visible comme le nez au milieu de la figure. Nous entrons dans l’ascenseur, mais au moment de fermer la porte, une voix féminine crie.

–Attends-moi Pierre.

Pierre laisse la porte ouverte, une jeune fille entre dans l’ascenseur. Elle est jolie, blonde avec des cheveux qui tombent jusqu’à ses seins fort respectables au demeurant. Elle port une jupe plissée assez courte et un corsage clair. Elle me regarde, regarde Pierre.

–C’est lui a qui tu as réservé une surprise ?–Oui. Pauline, je te présente Jean.–Bonjour Jean.–Bonjour Pauline.
–Alors, la surprise était bonne ?–Les surprises, il y en avait plusieurs, exactement onze.–Onze quoi ?–Réponds lui Jean.–Onze mecs avec de superbes bites.–Ah bon, et ça s’est passé où ?–Dans le métro, j’ai organisé une séance de baise dans le métro à l’heure de pointe. Au total, Jean s’est fait enculer par neuf mecs en me comptant. Ça a duré un aller-retour sur la ligne 1.–Sans compter la séance dans les toilette d’un bar avec les trois autres mecs.–Oh putain comme j’aurais aimé que ce soit mon anniversaire.–En attendant, c’est celui de Jean, tu n’as pas un cadeau pour lui ?

J’hallucine, qu’est ce qui va se passer, cette fille a l’air capable de tout. Elle arrête l’ascenseur entre deux étages, fait tomber sa jupe et enlève son corsage. Elle est nue dessous, superbe, belle poitrine, ventre plat, pubis lisse et fesses d’enfer. Elle tend la main vers ma bite, elle la caresse puis la masturbe lentement. Quand elle est bien raide, elle s’accroupie devant moi en l’embouche. Je regarde vers elle, dans sa position, sa vulve est grande ouverte et laisse apparaitre son clitoris. Plus elle me pompe, et plus sa vulve brille, éclairée par la lumière de l’escalier. Elle se redresse, reste sur ma bite, mais expose son cul à Pierre. Il ouvre sa braguette, en sort une bite bien raide et la lui plante dans la chatte d’un seul coup. Elle a un sursaut, mais continu sa fellation. Je mets du temps à venir après avoir joui plusieurs fois dans la journée. C’est peut-être pour ça que Pauline jouit avant moi. Elle manque de tomber et se retient de justesse à la porte. Elle se redresse en me regardant d’un air contrit.

–Excuse-moi, c’était trop fort avec une telle bite dans le con.

Pierre s’accroupie devant moi et me gobe la bite. Avec sa technique, il ne met pas longtemps à me faire monter en pression. Pauline me regarde.

–Préviens quand tu parts.–Ok.

Je finis par sentir que je vais tout envoyer dans la bouche de Pierre.

–Ça y est, je vais tout lâcher.

Pauline tire Pierre pour qu’il me libère et se précipite sur ma bite. Elle l’embouche juste au moment où je lâche les vannes. Je n’ai plus grand-chose à lui donner, mais elle semble s’en contenter. Une fois bien vide, elle libère ma bite et se redresse.

–J’adore le sperme, j’irais le chercher sur la tête d’un pouilleux.–Et dans un cul, ça te dirait ?

Elle comprend tout de suite et me fait retourner. Elle me fait pencher en avant, s’accroupie derrière moi, m’écarte les fesses et pose sa bouche sur ma rondelle. Elle aspire de toute ses forces, il ne reste encore un peu de sperme qui ne s’est pas encore vidé sur mes jambes. Elle voit les traces de sperme sur mes cuisses et entreprend de me les lécher. La séance dure dix minutes. Elle se redresse et pose ses lèvres sur les mienne pour y déposer un baiser.

–Merci, c’était très bon, je regrette de ne pas avoir fait partie de la fête, je me serais régalé avec tout ce que tu as dû recevoir dans le cul.–Jusqu’à l’indigestion.

Elle rit et appuie sur le bouton de son étage. Pierre arrête l’ascenseur de nouveau.

–Il faudrait bien que j’aille jusqu’au bout, je ne peux pas garder ça pour moi.

Je comprends et me retourne, Pierre me plante sa super bite dans le fion. Elle rentre sans problème, même sans lubrifiant, mon cul est super souple. Il ne met pas longtemps à m’envoyer la sauce, juste deux petits jets. Quand il me libère, Pauline se jette de nouveau sur mon cul pour l’aspirer. Elle se régale du sperme de Pierre. Quand elle a fini, je redémarre l’ascenseur qui monte jusqu’à l’étage de Pauline. En montant, je réalise que nous sommes deux toujours à poil et qu’à cette heure, il est étonnant que personne n’ai eu besoin de l’ascenseur. J’ai à peine réalisé ça qu’une porte s’ouvre sur un homme juste au moment où l’ascenseur passe devant l’étage. L’homme regarde dans notre direction, nous voit, mais ne semble pas être choqué par ce qu’il a vu, il y a pourtant un homme et une femme à poil dans l’ascenseur, plus un autre homme la bite à l’air.
Nous arrivons à l’étage de Pauline, mais au moment d’ouvrir la porte, l’ascenseur redescend. Pierre m’empêche de l’arrêter et le laisse descendre. Il s’arrête au niveau de l’homme. Celui-ci entre sans avoir l’air d’être gêné, appuie sur le bouton du rez de chaussée, se retourne vers moi, me fait retourner et me plaque contre la paroi de l’ascenseur. Je me laisse faire, je suis prêt à toutes éventualités. Je l’entends défaire sa ceinture et faire glisser son pantalon. L’ascenseur s’arrête, deux mains se posent sur mes hanches, un gland se positionne sur mes fesses et avance en direction de la porte du paradis. Il entre sans difficulté et s’agite dans mon fion. C’est une très belle bite assez grosse avec, elle aussi, un gland proéminent. L’homme me laboure la rondelle avec ardeur, ses coups de rein sont puissants et profonds. Il a une sacrée résistance, mais au bout de quatre minutes au moins, il se vide dans mes entrailles en de grands et puissants jets de sperme. Il me remplit, heureusement que Pauline a fait le ménage, sinon ça déborderait encore. Il se retire, Pauline se précipite une nouvelle fois sur mon cul et aspire le sperme avec délice. L’homme remet l’ascenseur en marche, il descend jusqu’au rez de chaussée.

–Merci André.–De rien, ce fut un plaisir.

Un grand noir attend l’ascenseur et monte, lui aussi nullement étonné de trouver un homme nu qui se fait aspirer le cul par une femme elle aussi nue dans un ascenseur. Il porte un short anglais et une chemisette. Pierre, qui a rentré sa bite, appuie sur notre étage, l’ascenseur démarre. André est toujours là, Je suis toujours plaqué contre la paroi, Pauline a fini d’aspirer le sperme de l’homme et se redresse.

–Celui-là, il était génial.

André lui sourit. Je reste dans ma position, je me doute de ce qui va arriver. En effet, j’entends qu’on défait une ceinture, deux mains se posent sur mes hanches, un gland se glisse entre mes fesses et s’immobilise sur ma rondelle. L’ascenseur s’arrête. Le gland pousse un peu, écarte ma rondelle qui le laisse passer avec plaisir et s’enfonce en moi. Le noir me défonce l’oignon, sa queue est à la hauteur de la réputation des noirs, énorme, au moins de la taille de celle de Pierre, avec un gland encore plus gros. Il me défonce rageusement, je me régale, je suis au septième ciel. Son gland me frotte la paroi interne, j’ai l’impression d’avoir un taraud dans le cul. Mon corps lévite, je suis dans un nuage, je vol simplement soutenu par un mandrin énorme planté dans mon fion. Ce n’est pas possible, ils sont tous complices, ce n’est pas possible que les évènements s’enchaînent comme ça. Je revois ce qui s’est passé dans la soirée, au total, je me suis fait enculer par treize mecs différents, tous avec des bites bien au-dessus de la moyenne, voire hors normes comme celle de Pierre et de ce noir, et enculé dix-huit fois, ce n’est pas possible, mais rien ne m’empêchera de savourer le moment présent. Le noir se vide lui aussi en moi, mais il me met une super dose, à tel point que quand il se retire, je sens le sperme couler de mon cul.

–Houa, le pied.

Pauline se jette sur mon cul, sa langue me nettoie autour de la rondelle, puis ses lèvres se posent dessus et aspirent. Je sens le liquide sortir de mon fion, je ne sais plus où je suis, je me laisse aller, je ne veux plus résister, je veux encore me faire défoncer la rondelle.

–Merci Norbert.–Tout le plaisir était pour moi mon ami.

Pierre redémarre l’ascenseur, nous montons, mais Pauline l’arrête.

–Dites donc les mecs, il n’y a pas que son super cul qui voudrait bien se faire défoncer, il y a aussi ma chatte et mon cul. Pierre, Norbert, à vos marques. Pierre et Norbert font tomber leurs shorts. Pauline ne met pas longtemps à les mettre au garde à vous. Elle se penche devant Norbert.

–Dans le cul.

Norbert crache sur son gland pendant que Pierre passe un peu de graisse sur sa rondelle. Il en a toujours dans une de ses poches. Norbert présente son gland sur la rondelle de Pauline qui écarte bien ses fesses avec ses mains. Il pousse et je vois l’énorme gland s’enfoncer sans aucune difficulté dans ce fion si fragile. Je dois avoir l’air ahuri car Pierre me dit.

–Elle a l’habitude, je lui défonce le fion au moins deux fois par semaine, elle aime autant que se faire baiser.

Norbert est enfoncé jusqu’aux couilles.

–En parlant de me baiser.

Norbert prend Pauline dans ses bras et la soulève un peu. Elle écarte au maximum ses jambes pour ouvrir son sexe. Sa chatte est juste au niveau de la bite de Pierre. Il s’avance, donne un coup de rein et s’enfonce d’un seul coup jusqu’aux couilles.

–Oh lala, quel pied, deux monstres pour moi toute seule, c’est dommage que tu ne puisse pas le faire Jean, c’est l’extase absolue.

Les deux hommes donnent des coups de rein, mais je vois qu’André a sorti sa bite et, dès qu’elle est bien raide, me fait retourner et me la plante dans le fondement. La scène est surréaliste, une femme se fait prendre des deux côtés par deux bites gigantesques et un homme se fait enculer, le tout dans un ascenseur vitré arrêté entre deux étages. Pauline est dans un autre monde, elle jouit assez vite sans laisser le temps aux hommes. André est plus résistant que tout à l’heure, il ne se vide qu’après cinq bonnes minutes. Quand il se retire, il est vite remplacé par Norbert qui veut se vider les couilles. Il me met trois ou quatre giclées avant de laisser la place à Pierre qui m’en met encore deux. Pauline est aux anges, elle se délecte de tout ce sperme qui coule de mon cul encore grand ouvert, à tel point qu’elle peut y rentrer toute sa langue et me lèche la paroi interne. J’ai malheureusement trop joui aujourd’hui pour pouvoir recommencer, ma bite est à peine plus grosse qu’au repos. Une fois bien propre, je redémarre l’ascenseur, et nous montons chez Pierre. Nous sortons tous de l’ascenseur et entrons chez lui. Pierre fait valser ses fringues dans le couloir, immédiatement imité par André et Norbert. Tout le monde est à poil en arrivant dans le salon. Pierre ouvre toute les fenêtres. André et Norbert sont avec Pauline qui les masturbe, ils commencent à bander sérieux. Pierre se tourne vers moi.

–Tu as dû comprendre que rien n’est dû au hasard.–Bien sûr, j’ai fini par comprendre que c’était toi qui avais tout organisé.–Oui, maintenant, nous allons faire une queue leu leu, mets-toi là.

Il me fait mettre devant une fenêtre, il prend de la graisse sur la table basse, et va badigeonner le fion de Norbert et d’André. Rien que de faire ça, il bande. Norbert se place derrière moi en crachant sur sa bite. Je tremble de plaisir rien qu’à imaginer que son énorme pieu va de nouveau me remplir le cul. Il m’éperonne d’un seul coup, me remplissant compétemment l’arrière train. André se positionne derrière lui et l’enfile sans autre forme de procès. Pierre se place derrière André et s’enfonce avec un peu plus de précautions. Norbert me besogne lentement, il doit vouloir faire durer le plus longtemps possible. De même pour les autres. Pauline s’est agenouillée devant moi et s’occupe de ma bite qui commence à retrouver un semblant de forme. Une fois qu’elle est bien raide, elle me présente ses fesses pour que je m’occupe de son petit trou. Ma bite, bien moins grosse que toutes les autres s’enfonce d’un seul coup dans une gaine douce et serrée.
Nous sommes devant la fenêtre, j’encule une fille tout en étant enculé par un mec lui-même enculé par un autre mec ayant une grosse bite dans le cul. Je comprends mieux l’expression « A la queue leu leu ». Je vois qu’il y a une bonne dizaine de personnes qui nous regardent aux fenêtres de l’hôtel, certaines, même, filment la scène. Un homme se fait enculer par un autre, deux femmes s’embrassent en se malaxant la chatte, deux couples baisent, c’est vraiment le paradis du sexe, tout le monde fait ce qui lui plait en se donnant en spectacle. Je suis à bout, je ne peux plus me retenir et me vide dans les entrailles de Pauline, mais je ne lui donne pas grand-chose, mes burettes sont vides. Elle se dégage et se penche en avant devant moi. Je me penche et pose mes lèvres sur sa rondelle pour aspirer le peu de sperme que je lui ai mis, ça ne prend pas beaucoup de temps. Elle se redresse et me sourit.

–C’est bon hein ?–Oui, et je dois te dire que j’adore le sperme.

Que ce soit Norbert, André ou Pierre, ils ont tous déjà joui plusieurs fois, le ramonage dure plus longtemps. Je ne sens le foutre de Norbert m’inonder le fion qu’au bout de plus de sept ou huit minutes, mais il met la dose. André a déjà rempli son fion, il est en attente de la livraison de Pierre.

–Retourne toi.–Ok, mais je prends Norbert.–Ok, après je prends André.–D’accord.

Je me penche devant elle, Norbert devant moi. Elle m’aspire le sperme de Norbert pendant que j’extrais le sperme d’André du fion de Norbert, quel régal. Elle a à peine fini avec moi qu’André vient se pencher devant elle. Elle le vide des quelques gouttes que Pierre a pu lui déverser. Tout le monde a besoin de repos, nous nous installons dans le divan pour boire une boisson fraîche. Il fait encore plus de trente degrés à plus de neuf heure du soir, la nuit est presque tombée. Une demi-heure plus tard, Pierre juge que nous nous sommes assez reposés.

–Allez, on se rhabille et on va faire un tour en ville.

Tout le monde enfile ses affaires, mais Pierre me tend un tee-shirt un peu long.

–Enfile ça.

J’ai décidé de faire tout ce qu’il me demandait, pourquoi pas ça. J’enfile le tee-shirt, il me couvre tout juste les fesses. Heureusement que je ne suis pas monté comme eux, ma bite dépasserait de quelques centimètres, mais la mienne arrive juste au bord inférieur. Ça veut dire qu’au moindre geste je la découvre, ainsi que mes fesses. Ils me regardent, Pauline se déshabille.

–Donne m’en un aussi.–Je le savais.

Pierre va dans une pièce et ressort avec un autre tee-shirt que s’empresse d’enfiler Pauline. Comme le mien, il lui cache tout juste les fesses et le sexe. Nous montons tous dans l’ascenseur, André s’arrête à son étage, nous ne sommes plus que quatre au rez de chaussée. Une fois dans la rue, Pauline me prend le bras et le passe sur ses épaules. Je sens que le tee-shirt ne me couvre que la moitié des fesses. Avec cette chaleur, tout le monde est dehors, nous croisons plein de monde. Nous arrivons à un carrefour ou il y a un marchand de glace.

–Une glace pour tout le monde ?

Tout le monde répond oui. Nous commandons, mais Pierre me demande de distribuer les glaces. Je comprends ce qu’il veut. Le comptoir du glacier est assez haut, il faut donc que je lève le bras pour prendre les glaces qu’il me tend, ce faisant, je découvre, encore une fois, mon cul devant tout le monde. Au moment où je prends la dernière glace, une main se pose sur mes fesses, je me retourne, et je tombe sur un autre noir aussi grand que Norbert. Il me regarde en souriant et se penche sur mon oreille.

–Ça t’intéresse une belle bite ?

Sur le coup, je suis un peu interloqué, d’autant que son majeur, lubrifié, s’est glissé entre mes fesses, me titille l’anus et tente de me pénétrer, mais je réalise tout de suite que c’est encore un coup de Pierre.

–Oui, mais je veux du lourd, très lourd même.

Il s’empare de ma main et la plaque sur son pantalon de jogging. Je tombe sur le même monstre que celui de Norbert, bien droit dans le jogging.

–Elle te suffit ?–Amplement, mais je ne suis pas seul.–Je sais, moi aussi, je ne suis pas seul.

Il se retourne et me montre trois autres noirs assez balaises, tous en jogging.

–Ils sont tous montés à peu près comme moi, voire plus gros, ça t’intéresse ?

Je ne sais plus où donner de la tête, elle va exploser. Je regarde Pierre qui sourit, il s’est défoncé pour m’organiser cette surprise pour mon anniversaire, j’apprécie le geste.

–On peut voir ?–Pas de problème.

Il appelle ses potes et leur demande de montrer la marchandise. Ils se mettent autour de moi et tous les quatre ensembles baissent le devant de leurs joggings pour m’exposer quatre magnifiques bites bien raides, toutes du calibre de celle de Norbert à part une qui est particulière. Un monstre se redresse devant moi, il est encore plus gros que celui de Norbert, je n’ai jamais vu de sexe aussi gros de ma vie, et pourtant j’ai déjà vu pas mal de belles bites. Celle-ci est gigantesque, tel qu’elle se présente, elle fait dans les trente-six ou trente-sept centimètres de long sur huit, voire neuf de diamètre. Je tends la main pour la saisir, je n’arrive pas à en faire le tour complet d’une seule main. J’hallucine devant un tel engin, à sa vue, ma bite se redresse un peu…/…
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