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Drague dans le métro

Chapitre 5

Voyeur / Exhibition
–Ok, je prends, une glace pour tout le monde ?–Non, nous, on préfère les esquimaux en chair et en os, mais on ne les mange pas avec notre bouche.–Ok, je comprends, on va où ?–Suivez nous.

Nous suivons les noirs en mangeant notre glace, Norbert vient à côté de moi.

–Comment trouves-tu Gabriel ?–Tu le connais ?–C’est mon frère.–Et le monstre ?–Lui, c’est Jérémy, il est sénégalais comme nous tous, mais c’est un Peul, nous on vient de Casamance. Tu vas te régaler avec son engin, je te promets.–J’espère bien, je suis là pour ça.

Nous arrivons devant le porche d’un immeuble du dix-huitième. Nous entrons dans le hall. Il est immense avec des alcôves aux quatre coins. Je suis Gabriel et ses amis. Nous allons dans l’alcôve la plus au fond du hall sur la gauche, la plus éloignée de l’escalier monumental. Gabriel prend mon tee-shirt et me le fait passer par-dessus la tête. Un autre noir fait la même chose à Pauline. Nous sommes tous les deux à poil au milieu de tout le monde et à la vue de n’importe quelle personne qui passerait dans le hall. Jérémy s’approche, il fait descendre le pantalon de son jogging. Son sexe toujours raide est impressionnant. Pierre vient vers moi et m’enduit le fion de graisse.

–Je crois que c’est nécessaire, même avec l’entrainement de la journée.

Je lui tourne le dos et me penche en avant. Quand son gland touche mes fesses, je trésaille de plaisir. Je vais me faire défoncer, et c’est le terme exact, par une bite comme je n’en reverrais jamais plus dans ma vie. Le gland avance doucement. Mes fesses s’écartent difficilement pour lui laisser le passage. L’énorme tête chercheuse arrive sur ma rondelle. Elle force le passage et ouvre le sphincter lentement. Celui-ci ne voit pas d’inconvénient à sa présence au plus profond de mes entrailles et s’efface pour se refermer sur la tige qui suit. J’ai un peu le souffle coupé, c’est quand même un sacré morceau. Mon anus est tendu au maximum, il en a vue d’autre, et des plus gros, mais ceci est un morceau de chair, qui palpite, qui vit. Il s’enfonce jusqu’à ce que ses couilles viennent battre sur mes cuisses. Il s’immobilise. J’arrive même à sentir ses battements de cœur au travers de sa bite tellement le contact est fort.
Gabriel met Pauline à côté de moi, il lui enduit l’anus de graisse et baisse son pantalon de jogging. Lui aussi est équipé lourd, très lourd même. Il présente son sexe entre ses fesses et pousse. Je vois le gland s’enfoncer doucement et progresser sans à-coup jusqu’à ce que ses couilles touchent ses fesses. Les deux hommes se regardent et commence leurs va et vient ensemble. J’ai des étoiles plein la tête, cet énorme gland me frotte sur la prostate, mon sexe coule d’un liquide translucide, la pression monte, je ne bande pas, mais je sens que je vais jouir comme jamais, tout se passe dans la tête, mais c’est mon cul qui commande à ma tête. Au bout de quelques minutes, je suis inondé de sperme, le sexe qui me remplit vibre, palpite, crache son jus dans mon fion. Il n’en faut pas plus pour que j’éjacule une petite quantité de sperme sur le sol, mais ma tête ressemble à un feu d’artifice tiré de la tour Eiffel. Mes jambes me lâchent, il faut que Jérémy me retienne pour que je ne tombe pas.

–Oui, oui, vides toi, oui, oui, je viens, je joui, je joui, AAAAAAHHHHHH.

C’est Pauline qui s’exprime un peu bruyamment. Jérémy me lâche. Je vois une couverture étalée par terre, je vais m’y allonger. Pauline me rejoint, mais elle me fait mettre à quatre pattes et se jette sur mon cul. Elle me vide du sperme de Jérémy. Quand elle a fini, je la couche sur le dos, repli ses jambes en faisant basculer ses fesses vers le haut, me met à quatre pattes et pose mes lèvres sur son cul. Il est encore dégoulinant de sperme. Je me délecte de ce nectar, mais ma position est plus qu’une invitation et un gland vient se poser sur me rondelle pour la défoncer une nouvelle fois. Je m’applique à nettoyer Pauline, mais ce sexe dans mon cul me déconcentre, je lèche, aspire, mais ma tête est plus fixée sur mon cul. Malgré tout, Pauline a l’air d’apprécier.

–Putain que j’aime ta langue.

Le sexe me laboure, je reste en position à aspirer l’anus de Pauline bien qu’il ne reste plus rien pour lui laisser le temps à la bite de me remplir le cul pour elle. Ça ne tarde pas, des jets me remplissent le conduit, lui, il a de la ressource, ça n’arrête pas, j’ai peur que ça déborde. La bite sort, je libère Pauline, avance un peu sur la couverture, me met sur le dos en repliant mes jambes sur mon torse. Mon cul est juste à la bonne hauteur, je sens une coulure entre mes fesses, il m’a vraiment rempli à fond. Elle se met à quatre pattes, me lèche entre les fesses et m’aspire le foutre avec grand plaisir. Elle en a pour un petit moment. Comme moi, sa position est un appel au viol. Le quatrième noir se positionne derrière elle et lui plante sa bite dans l’anus sans précautions. Avec l’entrainement qu’elle a, ça ne pose pas de problème. Je sens qu’il la secoue à grands coups de rein, mais elle continu de m’aspirer le sperme. Elle s’applique, me lèche, entre sa langue dans ma rondelle très souple et va à l’intérieur chercher son nectar. Mon cul est maintenant vide, mais le noir n’a toujours pas éjaculé, elle continu de me lécher, elle va de l’anus aux couille en passant par le périnée qui est chez moi très érogène. L’apprécie.
Le noir finit par se vider en elle, il se retire et Pauline se redresse. Je reste sur le dos et lui fait signe de venir. Elle comprend et vient placer son cul au-dessus de mon visage. Elle descend doucement pour me le plaquer sur la bouche. Comme il vient d’être sodomisé par du lourd, la rondelle n’est pas encore complètement fermée et le sperme coule tout seul dans ma bouche. Je me régale. Je fini de la nettoyer à grands coups de langue, je passe du cul au sexe, je lèche son périnée qui a l’air d’être très érogène chez elle aussi. Je remonte jusqu’à son clitoris que je titille avec ma langue. Elle se laisse descendre encore un peu en se penchant, ce qui me permet d’avoir son clitoris plus accessible. A bout de quelques minutes, elle se lâche.

–AAAAAAAAHHHHHHHH

Je reçois un afflux de cyprine que j’avale avec délice. Elle se laisse encore plus tomber sur moi, je suis à la limite de m’étouffer, mais je suis tellement bien que rien ne peut me gêner. Nous nous levons, tout le monde applaudi. Je la prends par la taille et nous saluons nos spectateurs. Je me rends compte que nous avons été les seuls sollicités, mais quel pied. Pierre regarde sa montre il est vingt-trois heures quinze.

–Ce n’est pas tout ça, mais on a tout juste le temps d’aller prendre le métro.

Pauline et moi-même enfilons nos tee-shirts, les noirs reprennent la couverture et nous suivent dehors. Il y a toujours autant de monde dans les rues. Pauline remet mon bras sur son épaule, j’ai de nouveau les fesses à l’air en pleine rue, mais je remarque que mon bras remonte aussi son tee-shirt et qu’elle aussi a les fesses à l’air. Ce qui est le plus étonnant, c’est que nous ne déclenchions pas une émeute. Nous arrivons à une station de métro de la ligne 1 direction Château de Vincennes, il n’y a pas trop de monde sur le quai, je veux m’assoir, mais Pauline m’entraine sur le bord du quai. Le peu de monde présent a une vue imprenable sur nos fesses, personne ne réagit, je ne comprends pas, au contraire, tout le monde a l’air de trouver ça normal. Nous sommes à Paris, plus personne ne s’étonne de rien, mais quand même.
La rame arrive, nous montons. Nous sommes huit, mais nous n’avons aucune difficulté à trouver des places, la rame est pratiquement vide. Il y a juste deux couples dans un coin qui discutent et trois hommes éparpillés. Nous nous asseyons sur des banquettes en vis-à-vis. Jérémy et Pauline se placent en face de moi sur une banquette, Gabriel à côté de moi, les autres sur la banquette d’à côté. Les noirs ont baissé leur pantalon de jogging en s’asseyant. Ils se branlent jusqu’à ce que leurs bites soient bien raides.
Pauline enlève son tee-shirt, j’en fait autant. Je regarde la bite de Jérémy, elle m’attire, j’ai encore envie de la sentir à nouveau me perforer le cul, mais Pauline a aussi des vues dessus et je la comprends. Jérémy la regarde en se masturbant lentement. Il tient sa bite des deux mains. Elle se lève, le fait avancer sur le bord de la banquette, monte à genou sur la banquette et se plaque contre lui. Elle est face à lui, la chatte juste au-dessus de sa bite. Elle se laisse descendre sur le monstre, lentement pour apprécier la pénétration qui risque d’être mémorable. D’où je suis, je peux voir ses lèvres s’écarter pour laisser passer le gland. La progression est lente mais inexorable, elle se termine quand Pauline est assise sur les cuisse de Jérémy. Elle reste un moment sans bouger, les mains sur ses épaules, elle savoure l’instant.
Jérémy la saisi par la taille et la lève. C’est un solide et les cinquante kilos de Pauline ne lui font par peur. Il la fait redescendre, remonter, redescendre comme s’il s’agissait d’une poupée. Elle se laisse faire les yeux fermés. Je regarde la bite de Gabriel, elle me plait beaucoup. Je me lève, vais demander un peu de graisse à Pierre pour me badigeonner le fion. Je n’ai pas fait attention, mais je reste dans l’allée pour me badigeonner le cul devant les autres passagers. Un des couples est intrigué, ils se lèvent et viennent vers nous. Je retourne à ma place, me positionne au-dessus la bite de Gabriel et me laisse tomber d’un seul coup. Là, j’ai le souffle vraiment coupé, j’y suis peut-être allé un peu fort. Je reste un moment immobile sur sa bite le temps de récupérer puis, je commence des montées et descentes, lente et profondes. Le couple s’est installé sur la banquette d’à côté, mais ils nous regardent et ont l’air d’apprécier. Je monte et descends de plus en plus vite sur cette super bite, je veux que Gabriel se vide en moi. Cela dure trois bonnes minutes, mais je finis par sentir son sperme m’arroser le fondement. Je me dégage, mais Gabriel me retient. Il met ses doigts en pointe et me les plante dans le cul.

–C’est juste un bouchon en attendant que Pauline se fasse remplir la chatte.

Jérémy se crispe, il jouit.

–Oh la la, il m’éclabousse les trompes, il me remplit, Jean, j’ai de la matière pour toi.–Moi aussi, j’en ai pour toi.

Jérémy se détend et Pauline se dégage et porte sa main sur sa vulve pour garder le sperme, juste au moment où nous arrivons à une station. Les trois hommes descendent. Il n’y a qu’une dizaine de personnes sur le quai, elles ne montent pas dans notre wagon. Pauline se couche sur la banquette en repliant ses cuisses sur sa poitrine, Jérémy se lève et vient s’assoir à ma place. Je me positionne entre ses jambes à quatre pattes, plaque ma bouche sur sa vulve et aspire le plus possible. Gabriel fait toujours le bouchon, mais avec tous ces gestes, sa main est maintenant complètement rentrée dans mon cul, je m’en suis à peine rendu compte. Le couple est juste au-dessus de mon cul, j’aperçois la femme qui ouvre de grands yeux en voyant que Gabriel me fiste jusqu’à la moitié de son avant-bras. La rame repart. Ma langue s’active pour aller chercher le maximum de liquide. Mais petit à petit, elle augmente sa zone de travail et va du périnée au clitoris en passant par la vulve. J’ai à peine fini de la nettoyer qu’elle jouit en s’exprimant.

–AAAAAAHHHHHH

Elle se détend et se redresse.

–Ton cul.

Elle reste allongée sur le dos, je viens me mettre comme elle tout à l’heure, Gabriel dégage sa main au-dessus du visage de Pauline.

–Ouah, cette main dans ton cul, il est grand ouvert, dommage que je n’ai pas d’appareil photo.

Mon cul se vide dans sa bouche grande ouverte. Quand il s’est entièrement refermé, je me baisse un peu plus pour qu’elle puisse aspirer ce qui reste. La femme est complètement subjuguée par ce spectacle. Quand je me redresse, je remarque de son homme lui a mis la main sous sa jupe. Pierre s’approche.

–Excitant non ?–Très.–Vous pouvez participer si vous voulez.

L’homme ne semble pas contre, mais la femme ouvre de grands yeux horrifiés.

–Regarder est une chose, participer, c’est autre chose.–Vous êtes plus voyeurs qu’exhibitionnistes.–Nous ne savions même pas que nous étions voyeurs, c’est la première fois que j’assiste à ce genre de spectacle, je dois dire que j’ai réagis.–Votre culotte est mouillée.

Elle rougit. Son homme sort sa main de sous sa jupe et me la montre, elle brille.

–Je constate simplement que vous êtes prête, il faut juste que vous l’acceptiez. –Il n’est pas question que je fasse l’amour avec des étrangers.–Qui vous parle d’étrangers, avec votre compagnon, vous en mourrez d’envie tous les deux.

L’homme la regarde, je sens très bien qu’il a envie de la baiser tout de suite, la bosse sous sa ceinture le prouve, et elle aussi, la main humide de son compagnon le prouve aussi. Elle se tourne vers lui, le regarde droit dans les yeux.

–Vraiment ?–Oui ma chérie, j’ai envie de toi là, tout de suite.–Vraiment ?–Oui, vraiment.

Elle se lève et tourne le dos à son compagnon.

–Descend la fermeture.

L’homme fait descendre le zip jusqu’aux fesses. Elle prend les pans de sa robe et les écarte pour la laisser tomber à terre. Elle se retourne. Elle est là, debout devant nous, en petite culotte blanche avec une énorme auréole entre les cuisses. Elle ne porte pas de soutien-gorge, c’est la mode, ses beaux seins pointent fièrement ses tétons durcis. L’homme se lève, il défait sa ceinture et laisse tomber son pantalon. Il enlève sa chemise et reste devant sa compagne dans la même tenue, juste en slip qui laisse voir une énorme bosse. Il tend les mains et les pose sur l’élastique de la culotte de sa compagne. Il la regarde, elle fait oui de la tête. Il s’accroupie pour faire glisser la culotte vers le bas et laisse apparaitre une toison blonde coupée assez court et un cul d’enfer. Il lui fait lever les pieds pour lui enlever la culotte, pose ses lèvres sur son sexe et se redresse en la regardant.
Elle s’empare de son slip et le fait glisser le long de ses jambes. Quand elle se redresse, ils sont nus. Lui bande comme un taureau, c’est une magnifique bite, longue et grosse, mais je remarque quand même que le haut des cuisses de la fille brille. Elle mouille comme une folle. Ils sont là, face à face à se regarder, ne sachant que faire. Pauline va vers eux, fait assoir l’homme, en profite pour tâter un peu sa bite, et positionne la fille pour qu’elle puisse s’assoir sur la bite de son compagnon. Tout le monde va vers la banquette. La fille nous regarde affolée, mais Pierre intervient.

–Ne t’en fait pas, personne ici ne fera quoi que ce soit que tu ne veuille pas, nous sommes juste là pour regarder, ça ne te dérange pas ?

Elle fait non de la tête et se laisse tomber sur le braquemart de son homme. Son visage s’éclaire, on voit qu’elle en avait une envie folle. Nous arrivons à une autre station. Le quai est un peu plus peuplé. Le deuxième couple descend, il est remplacé par deux couples qui son ensemble et un homme de type magrébin, c’est l’homme qui m’a fait une fellation il y a quelques jours. Je lui fais signe, il vient vers moi. Il est toujours en djellaba fine et certainement nu dessous.
La fille monte et descend sur la bite de son homme, la rame n’est toujours pas partie et une femme qui vient de descendre ouvre de grands yeux en la voyant agir de la sorte. Elle vient vers la fenêtre quand la rame démarre. Apparemment, elle est très déçue. Je vois que la fille fatigue, je fais écarter tout le monde et les invite à se lever, je fais mettre la fille de dos penchée en avant en appui sur la banquette. L’homme vient derrière elle et l’embroche en levrette. Il la prend par les hanches et se déchaîne à grand coups de butoirs. Son ventre claque contre ses fesses.

–Oui, vas-y salaud, vas-y, défonce moi, fais-moi exploser le con, rempli moi l’abricot de ton foutre.

Je suis complètement scotché par ce langage, elle paraissait un peu coincée, mais là, elle se donne à fond. Son homme continu de plus belle, c’est elle qui explose la première. Elle se crispe, ouvre la bouche comme pour prendre de l’air, tremble, est secouée par de violent spasmes. Elle crie.

–OOOOOHHHHH oui, tu me fais jouir, oui, oui, merci mon amour, merci, je t’aime, je t’aime, joui, joui, je veux te sentir.

Si ce n’est pas une déclaration ça !!L’homme se crispe et se vide en elle.

–Oui, ton jus d’amour, vide toi en moi, vide toi, AAAAAAHHHHHH.

N’empêche, ses cris ont attirés l’attention des deux couples qui rappliquent. Ils ont dans les vingt ans et ont visiblement bu quelques verres, sans être saoul. Les deux filles se ressemblent comme deux gouttes d’eau, c’est des jumelles, j’en suis sûr. Elles sont habillées exactement de la même manière, jupe écossaise plissée courte et corsage blanc. Les mecs en jean et tee-shirt. L’un d’eux a un appareil photo polaroïd pendu à son cou. L’homme se dégage de sa compagne, la fait tourner et l’embrasse passionnément. Une des filles intervient avec un air narquois.

–Comme s’est touchant, on baise en public et on se roule une pelle.

Son copain la regarde.

–Avoue que tu aimerais bien être à sa place, tu en a fait d’autre, et des nettement plus sévères.

Elle le regarde avec un regard de défiance.

–Chiche.–Chiche.–Annie, tu me suis.–Bien sûr.

Dans un ensemble parfait, les deux filles déboutonnent leurs corsages, les jette sur la banquette, font glisser leurs jupes à terre qui rejoignent les corsages et enlève leur culotte dans la foulée. Elles sont nues et magnifiques. Elles sont absolument identiques. Jolies, superbes poitrines rondes, pubis épilés, magnifiques jambes et très belles fesses rondes et hautes. Elles nous regardent. Tous les noirs ont la bite à l’air et en pleine forme. Jérémy est à côté d’une d’elle. Son regard se fige sur sa bite.

–Mon dieu qu’est-ce que c’est que ça ?

Jérémy lui sourit.

–Une bite.–Elle est disponible ?–Oui, elles sont toutes à votre service, mais tu es sûre de toi ?

Elle la regarde, tend la main vers la bite pour la tâter, la caresser, soupeser les couilles.

–Oui, je la veux.

Elle se retourne vers sa sœur.

–Tu choisi laquelle Annie ?

Elle désigne la bite de Gabriel. En fait, elles ont choisi les deux plus grosses bites de la bande. Ce sont des gourmandes. Tout le monde s’écarte, les banquettes sont libres. Annie se couche sur le dos, Gabriel s’avance, mais sa sœur l’arrête.

–D’abord se préparer.

Elle se couche sur sa sœur tête bêche et entame un soixante-neuf. On voit qu’elles ont l’habitude de se faire du bien, leurs gestes sont précis, je me penche un peu pour voir la langue d’Annie titiller le clitoris de sa sœur. Au bout d’un moment, elles se lèvent, s’allonge chacune sur une banquette en écartant légèrement les jambes. De là ou je suis, je peux voir leurs vulves ruisselantes de cyprine, il va en falloir pour faire glisser les engins qu’elles vont se prendre dans le con. Jérémy et Gabriel leurs monte dessus et présentent leurs glands à l’entrée de leurs sexes. La rame entre dans une station. Trois personnes sur les quais, une entre dans le wagon. Le visage d’Annie est serein, elle savoure au maximum cette bite, elle sait qu’elle ne rencontrera pas souvent des bites de cette taille. Sa sœur, elle, a un peu plus de mal. Jérémy entre doucement, mais à chaque avancée, elle a le souffle coupé, elle ouvre la bouche comme pour reprendre de l’air.

–Oh là là, quel morceau, vas-y doucement, mais vas-y en continu, j’aime sentir ma chatte au bord de l’explosion.

Jérémy s’enfonce de plus en plus pour arriver au bout de sa bite.

–Il me touche le col, je la sens sur mon utérus. Vas-y, baise moi, fait coulisser ton engin, je veux me sentir défoncée.

Son copain la regarde sidéré, je pense que c’est la première fois qu’il l’entend parler comme ça. Il prend son appareil photo et commence à la prendre. Moi, je n’y tiens plus, j’avise l’homme en djellaba, il a relevé sa djellaba et se masturbe doucement, je prends sa bite dans la main et m’avance au milieu du couloir, la bite et l’homme qui est au bout me suivent. Je m’appuie sur le côté d’une banquette en restant au milieu du couloir. Il comprend et se positionne derrière moi me prend les hanches et glisse son gland entre mes fesses. Je sens sa bite s’enfoncer, son gland proéminent me laboure le tuyau. Il me pistonne avec ardeur, mais il devait être très excité car il jouit au bout d’à peine une minute. Il se retire, je suis un peu déçu, je regarde autour de moi. Un des noirs comprend mon désarroi et vient vers moi.

–Tu permets.–Bien sûr.

Il me prend par les hanche et m’attire à lui brusquement. Son gland se fraye un passage et s’enfonce d’un seul coup au plus profond qu’il peut. Il me défonce avec de grands coups de rein. Je sens bien sa bite, beaucoup plus volumineuse que la précédente, à l’intérieur de mon cul, son gland frotte contre la paroi. Il s’en donne à cœur joie. J’entends Annie jouir, suivi quelques secondes plus tard par sa sœur. Le copain prend toujours des photos. Le noir continu son ouvrage, au bout de trois ou quatre minutes, il se vide en moi. Je sens ses jets de sperme me remplir la grotte. Quand il se retire, une bouche vient se poser sur ma rondelle encore ouverte. Une langue se faufile à l’intérieur en me titillant la paroi. Ma rondelle se ferme doucement, des lèvres m’aspire tout ce qui peut rester à l’intérieur. Je pensais que c’était Pauline, mais elle s’occupe des filles, c’est mon magrébin qui m’a nettoyé, en fait, il aime tous les spermes. La rame va bientôt arriver au terminus, tout le monde se réajuste, j’enfile mon tee-shirt, comme Pauline. Annie nous voit en tee-shirt.

–Vous n’avez que ça ?–Oui.

Elle se tourne vers sa sœur.

–Chiche.–Chiche.

Elles enlèvent leur jupe, leurs corsages arrivent juste en dessous des fesses, mais il est boutonné et devant, les pans baillent de temps en temps. Ça ne leurs suffit pas car elles déboutonnent le dernier bouton. Pauline vient vers elles et soulève son tee-shirt.

–Oui, mais nous, nous sommes à poil dessous, pas de culotte.

Elles se regarde et font descendre leurs culottes. Quand elles sont debout, on voit juste le pli en dessous des fesses, c’est super érotique. Annie embrasse Pauline sur la bouche dans un baiser ardent. Quand elle la libère, c’est sa sœur qui lui fait la même chose.

–Je crois que maintenant, on rentrera chez nous le soir dans cette tenue, c’est super excitant.–Oui, mais accompagnées, ça peut être dangereux, tu vois, nous ne sommes pas seuls, et en plus ils sont assez balaises.–Ok, pas seules.…/…
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