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Le dressage d'Elodie

Chapitre 2

Trash
J’ouvre les yeux, je peux deviner un sourire en coin sur son visage, mais je n’arrive pas à savoir si c’est un sourire gêné ou amusé. Je referme les yeux et espère qu’elle est amusée par la situation car dans le cas contraire, j’en serais de nouveau au point de départ. Elle se sert un verre d’eau et me regarde :
— Qu’est-ce que tu fais là ?, me demande-t-elle— Je dormais— Je vois ça, mais pourquoi ici ?— Parce que tu me l’as demandé ... — Alors ça va ...
Là, je comprends qu’elle était amusée par la situation et qu’elle essayait de me faire sentir mal à l’aise. Elle avait un grand t-shirt par dessus ses sous-vêtements qui la rendait irrésistible. Elle m’excite au plus au point à faire comme si de rien était. Je me dis qu’il ne faut rien brusquer et que je ferais mieux de partir avant que je ne fasse une bêtise. Je me lève, me rhabille et décide de m’en aller.
— Tu pars déjà ?, me demande-t-elle.— Oui, j’ai pas mal de choses à faire.— Dommage, j’aurais eu envie de parler d’hier soir.— Ça te dérange si on le fait un peu plus tard, je peux repasser ici ou si tu préfères, tu peux venir chez moi.— Ok, alors repasse ici, je serai là toute la journée.
Et là, elle tourne les talons et file dans sa chambre. Je décide qu’il faut que j’aille prendre l’air. Contrairement à ce que j’ai raconté à Élodie, je n’ai rien de spécial à faire, si ce n’est me remettre les idées en place. Le corps de cette fille me rend fou, mais il faut que je trouve un moyen de calmer son caractère de feu car d’après les échos que j’ai eus, ses anciens petits amis subissaient ce caractère, plutôt que de lui résister et ce n’est pas trop mon genre.
Je marche pendant une heure. Une heure où ma tête s’évade dans les fantasmes les plus fous que j’aimerais réaliser avec Élodie. Je rentre chez moi, me douche et lui écris que je serai chez elle dans l’après-midi, vers 15h.
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Arrivé devant sa porte, je sonne. Elle m’ouvre et je manque de pousser un cri d’exclamation. Elle porte un pull blanc et bleu avec un immense décolleté. En bas, elle porte un legging qui moule parfaitement ses fesses. Je sens ma bite durcir dans mon pantalon. Elle m’invite à m’asseoir sur le canapé et me dit :
— Merci, pour hier soir, je ne sais pas comment j’aurais fait sans toi.
— De rien— Tu as aimé la soirée ? — Oui, tes collègues sont sympas.— Ils ne t’ont pas posé trop de questions sur "nous" ?— Quelques unes, mais ça a été.— T’as pas arrêté de me mater, hier soir.— Ben oui, comment voulais-tu que je regarde ailleurs avec ce que tu portais?— Et t’as bien profité de me détailler quand je t’ai demandé de m’aider à enlever la robe ...— J’avoue ...— T’as pas honte ?— Pas vraiment, lui répondis-je.
Je vois son visage mi-amusé, mi-outré et là, je me perds à nouveau dans mes pensées. « Bon Dieu ce qu’elle est bonne, pensais-je ».
— En tout cas, t’avises pas de recommencer.
Ça me pique au vif car dans sa tentative de vouloir me dicter ce que je dois faire (comme elle le fait souvent), je sens un ton de défi. Je lui réponds :
— Ah ouais, parce que tu ferais quoi si je continuais.— Ben, je te ferais la gueule.— Je suis revenu pour ça, pour que tu me dises que tu veux me faire la gueule ?— Ouais, si tu continue …— Et la je dois faire quoi, avec ton décolleté ton legging ultra moulant ? Fermer les yeux ?— Oh, ta gueule, casse-toi !
C’est l’explosion dans ma tête, même pas de la colère, mais juste l’envie de montrer à Élodie qu’on ne me la fait pas à moi et que je ne me laisserais pas marcher dessus comme les autres mecs. Je me lève et l’attrape par les cheveux :
— Eeeeeeeeeeeeh, MAIS ÇA VA PAS NON ?!!?— Je suis sûr que tu crèves d’envie qu’on te domine, toi qui fais tout le temps ta grande gueule.— Putain, tu me fais mal !— T’as pas dit non, sale pute.
Je prends un risque car je sais que cela peut mal finir et je m’aventure sous son legging sans qu’elle ait le temps de dire quoi que ce soit. Elle est trempée, une vraie fontaine.
— Tu vois que ça t’excite !— Je pourrais porter plainte !— Pour dire quoi, que tu mouilles comme une chienne quand je te mate ?
Elle baisse les yeux, j’ai gagné. Ce n’est pas de cette manière que je voulais aborder le sujet du sexe avec elle, mais bon, apparemment elle apprécie que je regarde son corps sans me cacher. Je lui dis :— Dis-moi maintenant si tu veux que je m’arrête parce que ça fait des mois que je fantasme sur toi et je ne sais pas si je pourrai m’arrêter par la suite.— …— Je continue, alors
Elle hoche la tête en signe d’approbation. Je défais alors mon pantalon et sors ma bite. — Suce, salope
Elle prend ma bite avec sa main, approche sa langue, puis engouffre mon chibre. Sa bouche est comme du velours, on voit qu’elle applique. Pendant de longues minutes, Élodie me suce puis je me dis qu’il faut que je voie ce corps de plus près . J e la fais se lever et lui arrache presque son top et son legging. Ses seins sont vraiment magnifiques, étonnamment fermes pour la taille et sa chatte est parfaitement rasée.
— À quatre pattes !— Mais … — À quatre pattes, j’ai dit !
Je suis un peu étonné qu’elle s’exécute parce que ce que je lui demande n’est pas anodin, elle sait ce que je vais lui faire.Sans aucune préparation, je lui pénètre la chatte. Elle pousse un cri. Pendant les minutes qui suivent, je la défonce sans retenue. Par deux fois, elle est prise d’un violent orgasme. Je sens que je ne vais plus tenir très longtemps, alors je lui demande :
— Tu prends la pilule, c’est juste ?— Ouiiiiiii
Je décharge alors un quantité impressionnante de foutre dans le fond de sa chatte et Élodie est prise d’un autre orgasme. Je me retire, elle est là pantelante, mais encore plus belle qu’avant, avec mon foutre qui dégouline de sa chatte.
— Ça t’a plu ?
Elle tremble de tout son corps, je vois bien qu’elle a adoré, mais elle me lance un regard noir.
— Qu’est-ce que tu aurais fait si cela ne m’avait pas plu ?— C’est le cas ?— … — Bon, alors dorénavant, tu me respecteras. Il est exclu que tu me parles comme tu parlais aux hommes que tu as fréquentés par le passé.— Mais …— Tu veux à nouveau avoir la sensation que tu as eue aujourd’hui ?— Oui, mais …— Alors, tu m’obéiras ! — D’accord
Elle se résigne et me dit :— Pour ce que tu m’as dit tout à l’heure, moi aussi, ça fait des mois que je veux te plaire. Je ne réalise pas vraiment ce qui me arrive, mais je n’avais jamais ressenti quelque chose d’aussi fort qu’en étant à ta merci.— Alors, puisque tu aimes bien être soumise, nous allons établir quelques règles.
À suivre
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