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Ma drôle de famille...

Chapitre 10

Inceste
Le lendemain matin, je me réveillai dans le lit de mon cousin en repensant à ce qui c’était passé la veille, puis je senti une présence à côté de moi, mon cousin été revenu dans son lit durant la nuit je suppose. Il était nu, il n’avait pas remis son caleçon. Au moment où j’allais me lever, je senti mon cousin bougé. Je me levai, aussi nu qu’un ver, j’étais debout, face à la porte quand j’entendis un bruit de pas, qui se dirigeait vers la chambre de mon cousin. Je me dépêchai de chercher quelque chose pour cacher mes parties, car je savais très bien que c’était ma tante qui arrivait vers moi. Je n’ai eu le temps que de me retourner que là voilà devant la porte. Je croisai son regard, je devins vite rouge de honte. Mais je n’étais pas le seul, je pu voir que ma tante ne s’attendait surement pas à me voir nu, à voir mes fesses car ses yeux sortirent de ses orbites et elle devint aussi rouge qu’une pivoine. — Oups...désolé, je ne pensais pas que tu étais levé me dit-elle. — C’n’est pas grave tata, je viens juste de me réveiller, j’allais descendre quand je t’ai entendu. — Je t’ai pas réveillé j’espère ? — Non non, ne t’inquiète pas, je t’ai entendu marcher, venir vers la chambre c’est tout. Tu voulais quelque chose ? — Euh... non non (elle n’avait pas l’air très sûr de sa réponse). — Bon bah j’arrive, je m’habille et je descends, je te rejoins. — D’accord, je vais préparer le petit déjeuner. Elle descendit à la cuisine préparer la table et faire chauffer les croissants. Je la rejoignis quelques instants après. Elle était assise en face de moi. Je me mis en face d’elle pour déjeuner. Au moment de manger, je regardais ma tante, et je ne fus pas choqué mais hypnotisé par ce que je voyais en face de moi, je voyais la poitrine de ma tante qui pointait en dessous de sa robe de nuit. Sa poitrine pointait à travers, je pouvais voir la bosse de ses tétons. Je ne regardais que ça, mon regard était attiré par ça. Sa poitrine me donnait déjà envie, son 90C bien ferme...mais je fus vite ramener à la réalité par ma tante. — Dit voir, tu veux que je t’aide ?Je ne savais pu quoi faire, ou quoi dire....j’étais rouge de honte de m’être fait surprit à mater ses seins. — You hou je te parle...— Désolé tata, je n’ai pas fait exprès je ne voulais pas...— Ne t’inquiète pas ce n’est pas grave, c’est de ton âge de regarder mais essaye de faire ça moins flagrant.— Désolé...— C’n’est pas grave, tu sais, moi aussi à ton âge je regardais les garçons et les filles.Je fus sur le cul de ce qu’elle venait de me dire. — Ah bon, toi aussi, ça t’arrivait de regarder ?— Oui et je le fais encore aujourd’hui à mon âge, on a le droit de regarder mais fait le discrètement.— D’accord, mais maintenant que tu sais que je te regarde, ça va te gênait aussi... ?— Non ça me gêne pas, tu sais je suis habillé, ce n’est pas comme si j’étais nue et puis même si j’étais nue, tu es mon filleul, je t’ai bien vu moi quand tu étais petit. Je te faisais prendre ton bain et encore cette semaine je t’ai vu nu, tu sais. Par contre depuis, tu as bien changé mon neveu, tu as grandi et devenu musclé. — Merci tata, oui j’avoue... bah j’essayerais de faire ça alors, plus discrètement. Juste on finissait notre conversation qu’on entendit du bruit. Mon cousin a du se réveillait. Il nous rejoignit en bas. — Vous êtes déjà levé ? — OuiMoi je le laissai et je montai dans la chambre, je préparai mes affaires quand je voulu aller à la salle de bain. Mais je vis que la porte était entre-fermée. Je m’approchai de la porte et je vis ma tante se déshabiller. Elle enleva sa robe de chambre, elle était nue dessous. Je pu voir la courbure de ses fesses, un demi-rond, juste magnifique. Puis je remontai son corps et je vis son ventre plat, bossé d’une paire de seins superbe. Je vis encore mieux ses tétons pointaient. Elle alla se doucher, elle montait dans la baignoire, je la vis parcourir son corps de ses mains. Elle resta un long moment sur sa poitrine à la malaxer, a pincer ses tétons. Elle avait l’air d’apprécier cette sensation. Elle ouvrit sa bouche et respira de plus en plus fort. Elle descendit ensuite vers son bas ventre, elle faisait descendre et monter sa main entre ses cuisses. Était-elle entre un de se nettoyer ou de se toucher, je n’arrivais à voir d’où j’étais. Mais je compris très vite, qu’elle se doigtait, en l’entendant gémir doucement. Puis de plus en plus fort, je voyais son geste s’accélérer dans son minou. De voir ce spectacle, je sentais une bosse dans mon short. Je bandais à cette vue. Elle continua pendant quelques minutes, et à ce moment-là, je restai bloquer, je ne pus bouger, j’étais comme une statue de ce que je venais d’entendre...
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