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Ma drole de famille

Chapitre 5

Inceste
Michel arrive avec les cafés et les pose sur la table basse.–Toujours un sucre tata ?–Oui.Il sucre mon café, le tourne et me tend la tasse.–Attention, bouillant.–Merci Michel.
Sans bouger, je bois mon café, Michel est aimanté par mon entre-jambe, il ne peut détacher son regard de mon slip souillé par ma cyprine. En reposant ma tasse sur la table basse, je bouge à peine une jambe pour ouvrir encore plus le compas de mes jambes. Michel reste là à me regarder, mais il se lève et se dirige vers la maison.
–Je n’ai pas très bien dormi cette nuit, je vais me reposer une heure, je dois retourner m’occuper du tracteur tout à l’heure. Ne comptez pas sur moi cet après-midi.
Il disparait et je me retrouve comme une conne, allongée sur le divan, la jupe retroussée sur mon slip. Aline vient vers moi.
–Raté !!
Je suis abasourdi, je me suis comporté comme une salope devant mes nièces à allumer mon neveu. Je veux me redresser mais Aline pose sa main sur mon épaule m’empêchant de me relever.
–Michel t’intéresse aussi ?–Pourquoi aussi ?–Parce que j’aimerais bien qu’il s’occupe de ma virginité, me faire dépuceler par mon propre frère, j’en rêve, surtout quand on sait comment il est monté. Toi aussi tu aimerais bien le sentir en toi.–Oui, mais il n’a pas l’air de comprendre ce que je veux.–Ne t’en fais pas Laure, Michel est très timide, mais tu verras, il finira par comprendre.–On va s’occuper de toi, tu ne perds rien au change.–C’est vous qui le dites.–Bien sûr tu n’auras pas son gigantesque sexe dans le tien, mais nous allons te faire jouir comme une folle.
–De quel gigantesque sexe parles-tu ?–De celui de Michel bien sûr.–Vous l’avez vu ?
–Bien sûr, nous sommes assez libres pour ne pas nous offusquer quand « par mégarde » nous entrons dans une salle de bain occupée, ici personne ne ferme la porte. Nous avons donc vu Michel nu sous la douche ou se rasant. De plus tu verras qu’en maillot de bain, il remplit bien son slip. Je peux te dire que nous avons vu aussi papa et maman dans le plus simple appareil, et c’est réciproque.
Décidément, cette famille m’étonnera toujours.
–Vous êtes sûres que Michel ne peut pas nous voir ?–Non, de sa chambre il ne peut voir que l’autre côté de la piscine. A toi de rester silencieuse.
Je me laisse donc faire. Aline me retire ma culotte tandis que Paule me remonte mon tee-shirt jusqu’aux épaules. Je sens deux bouches sur mon corps, l’une d’elle sur mes seins, l’autre sur mon sexe.
–C’est quand même nettement plus agréable de ne pas se mettre un poil dans le nez.
Je souris, mais mon corps est à cent lieues de plaisanter, il sent une onde de plaisir naitre au fond de son ventre, s’irradier sur mon clitoris, aller jusqu’à la plante des pieds et remonter vers mes seins et mon cerveau. Mon corps se crispe, il se tend, s’arque boute pour finir dans un immense feu d’artifice. J’ai du mal à respirer, ma bouche ouverte appelle l’air qui ne vient que lentement. Mon cerveau est en ébullition, je tourne la tête à droite et à gauche, je suis dans un autre monde ou seul mon corps a droit de citer. Cela dure, dure, je ne sais pas combien de temps, mais je ne demande qu’une chose, que ça ne finisse jamais. C’est pourtant ce qui arrive et je me détends petit à petit.
–Putain, quel pied.–Merci, il n’y a pas de quoi.–Je veux bien que vous vous occupiez de moi, mais j’aimerais bien m’occuper de vous de temps en temps.–Ok, mais pas ici, papa et maman risque de revenir d’un instant à l’autre, allons nous changer si tu le veux bien, tu pourrais nous amener chez une copine qui est seule ce week-end et qui nous attend.–Je présume que vous vous amusez bien ensemble ?–Non justement, mais je suis sûre qu’elle ne demande que ça, je le sens. Nous n’osons pas, c’est une amie d’enfance, nous nous sommes connues à la maternelle. Je pense qu’avec toi ça sera plus facile.–Je ne suis pas là pour vous rabattre des minettes.–Laure s’il te plait, je suis sûre que ça va bien se passer, et en plus, si tu sens qu’elle n’est pas réceptive, on arrête tout.–Bon ok, allons nous changer.–En mini s’il te plait. Au fait, il y a une piscine chez elle, mais en général nous nous baignons nues quand nous sommes toutes seules. A toi de voir si tu emmènes un maillot de bain.–Ok.
Je retourne à ma chambre non sans remarquer que ces petites futées me laissent passer devant elles dans l’escalier pour profiter du spectacle, je n’ai pas remis mon slip.Je prends une douche, et je garde mon tee-shirt mais je mets un soutien-gorge Dim très fin qui ne se voit pas. Je mets une jupe courte plissée et un petit slip en dentelle blanche. Evidemment, je ne prends pas de maillot de bain. Arrivée en bas, les filles me regardent avec un air gourmand. Elles sont toutes les deux en minijupe serrée et corsage léger. Je ne devine pas de soutien-gorge dessous.
–Tu es magnifique Laure, tu vas la faire craquer.–Vous n’êtes pas mal non plus, allez en route.Nous roulons tout juste dix minutes et arrivons dans une autre ferme devant une immense maison d’au moins trois ou quatre siècles.–C’est une bâtisse du début XVIIème siècle, que les parents de Brigitte ont entièrement rénovée.–Splendide.–Tu verras, il y a tout le confort, même une piscine couverte.
Nous sortons de la voiture et je vois une jeune fille se précipiter sur mes nièces. Elle est en tee-shirt très moulant et petite jupe plissée qui ne cache pas grand-chose de ses jambes et même de ses fesses moulées dans un petit slip crème. Je reçois un choc émotionnel en la voyant, cette fille ne me laisse pas indifférente.
–Enfin vous voilà, j’ai cru que vous ne viendriez jamais.–Du calme, il n’est que 14 heures, tu peux quand même nous laisser le temps de manger.–Excuse-moi, c’est ta tante ?–Oui, je te présente Laure.–Elle est bien jeune pour être votre tante.–Je t’expliquerais un jour, c’est un peu long, mais je t’assure que c’est bien notre tante.
Brigitte me regarde de la tête aux pieds. Elle finit par me fixer droit dans les yeux, on dirait qu’elle veut s’imprégner de quelque chose en moi. Tout à coup elle bouge, vient me faire deux bises, me prend par la main et nous entraine vers la bâtisse. Nous entrons dans une immense pièce avec cheminée, poutres apparentes et sol en énormes dalle de pierre taillées. Un coin salle à manger avec une grande table, un coin salon en cuir, des meubles anciens et deci-delà, des tapis. C’est magnifique.
–Nous ne sommes pas là pour visiter la maison mais pour nous amuser un peu. Vous avez amené votre maillot de bain ?
Les filles me regardent, je leur fais signe que je n’ai rien pris.
–Et bien comme ça, vous ferez comme nous, suivez-moi.
Sans ma lâcher la main, elle se dirige vers une porte. Nous arrivons dans une cour rectangulaire entièrement bordée de petits sapins qui forment une épaisse haie. Brigitte est la première à faire passer son tee-shirt par-dessus sa tête. La jupe suit ainsi que le petit slip. Elle me regarde, se retourne et se jette dans la piscine. Cette fille est superbe, jolie, des yeux clairs, des cheveux blonds qui tombent sur ses épaules, de magnifiques seins ronds hauts perchés, un ventre plat et un mont de venus bien bombé et lisse comme au premier jour. On voit ses lèvres d’où dépasse à peine son clitoris. Je la regarde dans l’eau, nageant sur le dos en écartant les cuisses pour nager et m’offrant une splendide vue sur son sexe lisse et rose. Elle ne regarde que moi, mon slip s’humidifie.
–Allez les filles, à l’eau.
Paule et Aline se déshabillent prestement. Paule se jette dans l’eau tandis qu’Aline vient vers moi.
–Tu as un problème ?–Oui, mon slip est humide, ta copine me fait mouiller, que va-t-elle penser de moi.–Justement, c’est exactement ce que nous voulons, qu’elle voit que quelqu’un peut être excité par elle. Et ne me dis pas que tu n’as pas remarqué son manège.–Oui, bien sûr.–Allez, déshabille-toi et viens nous rejoindre.
J’enlève ma jupe, mon tee-shirt, mon soutien-gorge. Je reste un instant debout face à la piscine sûre que Brigitte ne peut manquer de voir que mon slip est humide. Elle me regarde, je vois ses yeux sur mon sexe à peine caché par le fin morceau de tissu que je fini par faire glisser à terre. Je m’avance vers la piscine un peu crispée et descends par les marches sur le côté. Je fais quelques brasses qui finissent par me détendre. Après un petit moment à nager je vais m’accrocher au bord de la piscine et laisse mes fesses remonter à la surface de l’eau. Brigitte vient vers moi.
–Vous êtres très belle vous savez ?–Merci, mais je peux te retourner le compliment, tu es superbe. Et je ne veux plus entendre de « vous », tu me tutoies ok ?–Ok, mais je dois dire que je ne m’attendais pas à une femme comme toi quand Paule et Aline m’ont dit que tu allais passer quelques jours chez elles.–A bon, et à quoi t’attendais tu ?–A une femme d’à peu près l’âge d’Elisa à un ou deux ans près.–Elisa est mon ainée de treize ans, Paule ou Aline t’expliqueront, c’est un peu compliqué. Mais quel âge as-tu ?–Je vais avoir dix-huit ans dans deux mois, je vais organiser une grande fête, tu pourras venir ?–Tu as vraiment besoin d’une vielle comme moi ?–Ne dis pas de bêtises, tu es magnifique, et je dois t’avouer que c’est la première fois qu’une femme me fais un tel effet. J’ai envie de plus avec toi.–Et bien, tu ne le fais pas dire.–Tu sais, je me suis rendu compte que j’étais autant attirée par les garçons que par les filles. J’aime voir un beau mec, mais j’adore aussi voir une belle fille. Je ne sais pas si je suis normale, mais c’est comme ça.–Tu te rends compte que tu me dis des choses intimes alors que tu ne me connais que depuis à peine un quart d’heure.–Oui, mais j’ai envie de te les dire, je suis sûre que tu comprends.–Bien sûr, mais pourquoi ne pas en avoir parlé avec les filles, elles ne t’attirent pas ?–Oui, bien sûr qu’elles m’attirent toutes les deux, beaucoup même, mais ce sont mes amies d’enfance et je ne veux pas risquer de les perdre parce que j’aime aussi les filles.–Et rien ne t’a fait entrevoir qu’elles comprendraient ?–Si, mais j’ai peur de me tromper, pourquoi ?–Tu veux leur faire comprendre que tu aimes aussi les filles ?–Oui, d’autant que Paule m’attire particulièrement.–Laisses toi faire.
Je vois les filles qui nous regardent assises sur le bord de la piscine, les pieds dans l’eau. Je fais un clin d’œil à Paule. Je prends Brigitte par les épaules, la plaque contre le bord de la piscine, me colle à elle et l’embrasse fougueusement. Elle me rend mon baiser, nos langues virevoltent l’une contre l’autre, ses mains parcourent mon corps comme les miennes le sien. Une de mes mains arrive sur son mont de venus, un doigt se glisse entre ses lèvres, elle écarte un peu les jambes libérant suffisamment de place pour qu’il puisse pénétrer dans sa grotte liquéfiée. Je ne l’enfonce pas beaucoup, je suis sûre qu’elle est vierge.Tout à coup, je sens deux corps nous enlacer, l’un à droite, l’autre à gauche. Ce sont Paule et Aline qui viennent se joindre à nous. Brigitte se tourne vers Aline pour l’embrasser, ensuite vers Paule pour lui faire la même chose. Je reprends possession de ses lèvres pendant que Paule s’occupe de son clitoris et Aline de ses seins. Brigitte se tend et explose dans un magnifique orgasme. Nous la tenons toutes les trois pour pas qu’elle ne boive la tasse. Quand elle revient à elle, je l’aide à sortir de la piscine et l’allonge sur un transat. Elle me sourit, me tend ses bras pour me donner un nouveau baiser plein d’amour. Paule s’approche et se penche vers son amie.
–Et si c’était mon tour de m’occuper de toi ?–Que veux-tu faire ?–Juste découvrir ton corps, te caresser, parcourir la moindre parcelle de ta peau.–J’attends ça depuis si longtemps.
Paule prend la main de Brigitte et la fait se lever. Elle étale une couverture sur le gazon et y fait allonger Brigitte. Elle s’allonge à son tour et se penche sur son visage pour l’embrasser. Brigitte passe son bras derrière la tête de Paule et elles échangent un long baiser. Leurs mains explorent le corps de l’autre sans oublier la moindre parcelle. Aline vient derrière moi, se plaque contre mes fesses. Je sens ses seins s’écraser sur mon dos, ses mains prendre possession des miens et les malaxer vigoureusement.
–Je n’aurais jamais cru qu’une femme puisse me bouleverser à ce point, tu es une révélation pour moi Laure.
Sans un mot, je réussi à me tourner et me retrouve face à face avec elle. Nos seins se compriment mutuellement, nos mains caressent le dos de l’autre, nos sexes vont à la rencontre l’un de l’autre. Nos bouches finissent par s’unir dans un long baiser langoureux. Je suis aux anges, jamais je n’aurais pensé trouver cet environnement dans ma famille. Je me laisse aller au bonheur de jouir sans retenues avec des personnes magnifiques et aimantes. Paule et Brigitte se câlinent toujours, j’en fais de même avec Aline, mais cette fois, allongées sur une serviette et têtes bêches. J’aspire son clitoris tandis qu’elle en fait de même avec le mien. Nous jouissons presque simultanément et nous finissons par nous assoir sur la serviette à regarder nos deux compagnes. Brigitte est sur le dos, les jambes grandes ouvertes. Paule est à genoux au-dessus d’elle et lui présente son sexe qu’elle gobe en l’agrippant par les cuisses pour mieux la plaquer sur elle. Je ne résiste pas et me lève pour me placer à quatre pattes entre ses cuisses. Ma bouche atterrit sur son sexe glabre. Je ressens une étrange sensation, c’est la première fois que je pose mes lèvres sur un sexe absolument lisse. Sa peau est douce, elle est épilée, pas rasée, mes lèvres glissent sur ses lèvres, ma langue s’insinue dans son antre chaude et lubrifiée. Son basin commence à onduler, je l’entends soupirer doucement. Soudain, je sens une bouche se coller contre mon sexe, une langue titiller mon clitoris. Aline s’occupe de moi. Je continu malgré tout à boire le jus de Brigitte qui bouge de plus en plus frénétiquement et fini par crier son plaisir. Elle jouit dans un grand cri.
–AAAAAAAAAAHHHHHHHHHHH
Heureusement que nous sommes dans un coin isolé. Paule la suit de très près ainsi que moi-même. Nous jouissons toutes les trois l’une après l’autre. Quand je reviens à moi, je me retourne, allonge Aline sur le dos et me jette sur son sexe. Elle est tellement excitée par nos jouissances successives qu’elle jouit en moins d’une minute. Je me rends compte que j’ai éprouvé plus de plaisir à m’occuper du sexe de Brigitte, il est plus doux, plus souple du fait de son absence totale de poil. Je décide donc de m’épiler dès que je pourrais.
L’après-midi se déroule sur le même rythme, caresses, minettes, piscine, caresses, minettes……Je regrette un peu de ne pas avoir amené ma trousse, mais d’un autre côté, je pense qu’elles sont toutes les trois vierges, et ce n’est pas à moi de les dépuceler avec un gode. Pour cela, rien ne vaut une bonne bite. Nous quittons Brigitte vers dix-huit heures pour rejoindre Elisa et Henri. Arrivés à la ferme, nous retrouvons Henri, Michel et Elisa dans la piscine.
–Alors les filles, bien amusées ?–Oui, super, nous sommes allés chez Brigitte, elle était seule ce week-end.–Et vous ne l’avez pas ramené, elle doit s’ennuyer toute seule dans cette immense maison. Aline, téléphone lui, si elle veut, je vais la chercher.Trois minutes plus tard, Aline revient.–Elle nous attend.–Ok, le temps de me sécher.
Là, j’interviens.
–Ne t’en fait pas, je sais où elle habite, de plus ma voiture est chaude, je m’en occupe.
Je retourne seule chez Brigitte. Elle est surprise de me voir, elle attendait Henri.
–Quelle bonne surprise, entre un moment, je n’ai pas fini de préparer mes affaires pour la nuit.
Je la suis jusque dans sa chambre. C’est une grande pièce avec un lit au milieu, et une baignoire dans un coin sur une estrade. Dans un autre coin, une grande télévision, un ordinateur et une chaine hifi. Une bibliothèque couvre tout un mur et un secrétaire ancien fini la décoration.
–Un petit instant, il faut que je me change, au fait, comment tu trouves ma chambre ?–Chouette, très chouette.–Tu sais, j’ai adoré ce qui s’est passé entre nous tout à l’heure, j’espère qu’on recommencera très vite.–Je pense que ça devrait pouvoir se faire.
Elle se déshabille entièrement, vient vers moi en me regardant droit dans les yeux.
–Tu m’as gouté, léché, bu, mais moi, rien de tout ça, je ne connais pas encore le goût de ta chair, le goût de ton jus.–Brigitte, nous n’avons pas le temps, il faut que je te ramène à la ferme, ils nous attendent.–Juste goûter ton jus.
Elle me prend par les épaules et me pousse doucement vers son lit. Je bascule sur le dos, ma jupe se retrouve sur mon ventre. Elle pose ses mains sur mon slip et le fait glisser le long de mes jambes. Et puis merde, je décide de me laisser faire, je l’aide à l’enlever et écarte mes jambes. Elle se jette sur mon entrecuisse, sa bouche me gobe le pubis, sa langue me titille le clitoris qui gonfle de plus en plus. Je sens mon sexe fondre, je coule comme une fontaine et Brigitte se fait une joie de boire tout ce que je lui donne. Elle pivote et réussi à se coucher sur moi, offrant son sexe luisant à ma convoitise. Je m’en empare en la plaquant sur ma bouche et ma langue s’applique à lui rendre le plaisir qu’elle me donne, nous nous délectons du nectar de l’autre. Il ne nous faut que quelques minutes pour jouir pratiquement ensemble. Petit à petit, nous nous calmons. Je suis la première à réagir et la fais basculer sur le côté.
–Il faut y aller Brigitte, habille-toi, je descends tes bagages.–Ok, mais tu es dure, je serais bien resté avec toi quelques instants pour te câliner.–Une autre fois.–Promis ?–Promis.Elle me suit deux minutes plus tard, elle porte une robe courte, mi-cuisses, rouge boutonnée sur le devant avec de gros boutons, bien marquée à la taille et un peu ample en bas. –C’est parti. Je démarre pour rejoindre la ferme.–Tu n’as rien remarqué ?–Non, il y a quelque chose à remarquer ?Sans un mot, elle défait ses boutons et écarte les pans de sa robe.–Regarde.Elle est entièrement nue sous sa robe.–Tu n’as peur de rien.–Non, et il n’y a que toi qui le saura, et quand tu me verras passer ma main sous la table, ce sera pour me toucher en ton honneur. –Tu ne vas pas un peu loin là ? J’aime bien nos séances, mais je ne suis pas lesbienne, j’aime beaucoup les hommes et je ne veux pas me limiter à une femme.–Je sais, mais en ce moment c’est toi qui m’excite le plus, ne t’en fais pas, je suis moi aussi assez libre et j’ai aussi l’intention de bien m’occuper de tes nièces, surtout de Paule, elle m’excite aussi beaucoup.–Tant mieux.
Nous rejoignons la ferme dans le quart d’heure qui suit. Tout le monde est dans le salon à prendre l’apéritif. Brigitte va embrasser Henri, Elisa et Michel. Elisa la mène à sa chambre. Je les suis car je dois prendre mon téléphone. Je remarque qu’elle va occuper la chambre qui partage ma salle de bain.…/…
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