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Ma drole de famille

Chapitre 9

Inceste
J’enjambe le transat et viens m’assoir sur ses jambes. Je me penche en avant et tente de lui gober cet énorme gland. Je n’y arrive pas, je me contente de le lécher, ce qui a le même effet, son sexe se redresse et s’allonge pour arriver au niveau du nombril, et même bien au-delà. Cette vue me fascine, je me liquéfie à la seule pensée d’avoir cet engin dans le bas ventre. Je me couche sur lui et pose mes lèvres sur les siennes. Il m’enlace et m’embrasse passionnément. Je remonte un peu sur lui les jambes écartées jusqu’à ce que je sente son sexe à l’entrée du mien. Sans avoir à le guider, je sens son gland toucher mes lèvres.
–Prends moi par les hanches et fais-moi descendre.
Il me saisit par les hanches et appui pour me faire descendre. Son gland s’enfonce doucement en m’écartant les lèvres.
–Doucement chéri, doucement, tu es très gros.–Ok, guide moi.–Vas-y, appui.
Il appui sur mes hanches et son sexe reprend sa marche conquérante. Il s’enfonce doucement, m’écartelant le sexe à la limite de la rupture.
–Doucement, arrête un petit instant, laisse-moi le temps de me dilater.–Tata, je ne pourrais pas résister longtemps si je dois m’arrêter, c’est la première fois, et je ne connais pas ma résistance.–Très bien chéri, vas-y, appui.
Il appui de nouveau et son gland fini par dépasser les lèvres et s’enfoncer doucement mais inexorablement au plus profond de moi. Mes lèvres se referment sur son membre et le laisse glisser. Quand il sent qu’il ne peut plus s’enfoncer d’avantage, il s’arrête. Je suis dans un autre monde, enfin, j’ai ce morceau de chair gigantesque au plus profond de moi, je me suis déjà mis des godes aussi gros, mais là, c’est de la chair humaine, c’est vivant, je sens ses contractions, ses palpitations et ses frissons se répandre en moi. Il me transmet des ondes de plaisir que seule une vraie bite peut donner. Je suis à sa merci, j’attends qu’il me défonce la chatte comme je le mérite. Michel le sent et me fait remonter pour m’empaler de nouveau. Il recommence ces mouvements de plus en plus rapidement. Je ne suis plus qu’un pantin entre ses mains. Sentir cet engin en moi me rend folle, je commence à délirer en sentant l’orgasme monter en moi. C’est une sensation plus intellectuel que physique, plus cérébral. Le fait de sentir ce monstre me labourer le sexe déclenche chez moi des ondes de plaisir directement issues du cerveau.
–Vas-y chéri, défonce moi, encore, plus vite, vide toi en moi, rempli moi de ton foutre, viens chéri, viens, j’ai envie de te sentir te vider.
J’ai à peine fini ma phrase que Michel se raidi et que je sens un puissant jet m’asperger le fond de ma matrice. Il n’en faut pas plus pour que j’explose dans un magnifique orgasme. Je ne sens plus mon corps, je ne suis qu’un sexe dévasté par une onde de plaisir qui le sublime. Michel ne s’arrête pas et continu de m’empaler sur son vit. Mon corps s’envole, mon cœur est sur le point d’exploser, mon souffle se fait de plus en plus rare, je jouis, je jouis, je jouis, ho oui je joui sur ce magnifique sexe, je ne suis que jouissance, que plaisir, qu’orgasme. Et cela dure, dure jusqu’à ce que je m’écroule sur lui. Il me faut un certain temps pour que tout ça se calme, il y a longtemps que je n’ai pas joui comme ça sur une bite d’homme. Michel est étrangement calme. Il vient de perdre son pucelage et j’ai l’impression que ça le laisse indifférent.
–Tout va bien chéri ?–Oui tata, je me sens étrangement bien.–Tu vas encore m’appeler tata ?
–Oui, sinon tout le monde va se poser des questions, je ne pense pas que mes parents apprécient beaucoup ce qui vient de se passer. De plus, j’adore t’appeler comme ça.–Tu regrettes ?–Absolument pas, c’est le plus beau jour de ma vie, j’ai joui comme jamais je n’avais joui, c’est la première fois que je ne me sens plus dans mon corps, que j’ai l’impression que tout mon corps s’évade et plane. Jamais je n’ai ressenti ça en me masturbant.–Même hier ?–Comment ça hier ?–Michel, tu m’as dit que tu me regardais me doucher et me démaquiller hier soir, et tu n’as pas eu de réaction ?–Ok, oui, après t’avoir vu nue si longtemps, j’étais très excité et il a fallu que je me masturbe pour me calmer. Mais ça n’a pas suffi, et j’ai eu une nuit très agitée, j’ai fait un rêve érotique qui m’a beaucoup énervé. J’ai dû me masturber une nouvelle fois vers trois heures du matin.–Je ne savais pas que je te faisais un tel effet.–Tu as fait exprès de te doucher sans tirer les rideaux, c’est bien ça ?–Ok, je te l’accorde, je voulais que tu ais envie de moi, parce que je t’avais vu te doucher et ton sexe m’obnubilait, j’avais envie de le sentir en moi. Je dois dire que je ne le regrette pas, c’était divin.–Merci tata, on recommencera ?–Tant que tu veux, mais que pour le sexe.–Ok, que pour le sexe.J’ai toujours le sexe de Michel dans le vagin, il est un peu mou, mais il tient quand même une place énorme. Je me dégage et pose mes lèvres dessus pour l’embrasser.–Super, il est super, mais la prochaine fois, je voudrais que tu sois plus féroce, que tu me défonce de toutes tes forces, j’ai envie de me faire défoncer la chatte par ton énorme bite.–Comme tu veux tata, je suis ton esclave.Je me lève. Michel est allongé sur le dos, les bras derrière la tête, son sexe repose sur son ventre, mollement. Je ne peux rester comme ça et le regarde droit dans les yeux.–Regarde.
Mes mains se posent sur mes seins, les malaxent, les caressent, elles descendent le long de mon corps pour arriver sur mon pubis. Je me caresse cette zone que je redécouvre depuis qu’elle est glabre. Une main descend sur le clitoris, un doigt le titille un peu puis continu sur les lèvres pour se glisser entre elles. Il en ressort luisant de cyprine et remonte sur mon petit bouton. Il virevolte en de très rapide cercles autour de la tête qui gonfle et sort de plus en plus des lèvres. L’autre main parcoure mon corps et finit par caresser mes seins. Je regarde Michel, son sexe se redresse lentement et grossi de nouveau. Ma seconde main redescend vers mon sexe et écarte les lèvres pour bien dégager mon clitoris tandis que je le pince entre mon pouce et mon index. Je suis parcouru d’un violent frisson, mais je ne veux pas jouir comme ça, je veux son sexe dans mon sexe une nouvelle fois, et je suis sûre que lui aussi. Je sens ma cyprine couler le long de mes cuisses, je suis prête.
–Lèves-toi.
Michel se lève, il bande comme un taureau.
– Tu connais la position de la levrette ?–C’est quoi ça ?–Laisse toi guider.
Je me mets à quatre pattes, les jambes bien écartées.
–Viens t’agenouiller derrière moi, et tu trouveras tout seul ce que tu dois faire.–D’accord, je crois que j’ai compris.
Il s’agenouille derrière moi, me prend par les hanches et présente sa bite juste à l’entrée de mon vagin.
–Vas-y franchement, je suis formatée, je ne crains plus rien, prend moi comme une chienne, défonce moi le con.Michel m’attire vers lui brusquement, son gland me défonce et s’enfonce en une seconde jusqu’au fond de mon antre. Il me pistonne comme un fou, je sens son ventre me frapper les fesses, c’est miraculeux, je suis transportée dans les nuages, je vole, je plane, je ne suis plus dans mon corps, tout n’est que béatitude malgré la violence de ses va et vient. Je ne sens plus son sexe en tant que tel, je suis possédée par un engin démoniaque, je sens cette chose qui me laboure, mais qui me donne un immense plaisir, qui m’irise la peau, me fait vibrer, me sépare de mon corps. J’ai l’impression de vivre cette scène de l’extérieur, je nous vois, moi empalée sur un énorme vit et lui me pistonnant comme un fou. Après notre première séance, il a maintenant plus de résistance et je suis la première à être terrassée par un orgasme. Je ne dois de rester à quatre pattes qu’au fait qu’il me tienne. Il continu imperturbable, ses va et vient sont de plus en plus violents, j’ai l’impression qu’il veut me défoncer l’utérus qu’il touche à chaque mouvement. Il finit par se vider en moi en de long et violent jets. Je me sens rempli et repart dans un nouvel orgasme. En fait, c’est plus le fait de me faire défoncer la couenne par un braquemard hors norme qui me fait jouir plutôt que la technique de Michel, mais il débute et en définitive, s’en sort pas mal. Nous nous calmons lentement, Michel me maintient toujours en position, son sexe toujours au fond du mien. Même quand il ne bande pas, il tient beaucoup de place. J’aime me sentit remplie, j’aimerais pouvoir avoir tout le temps quelque chose dans le vagin. Michel se dégage ce qui me donne une immense impression de vide. Je m’allonge par terre en chien de fusil. Michel me regarde, il se penche sur moi, me prend dans ses bras derrière les genoux et le dos et me soulève comme une plume. Il se dirige vers la maison, va vers la table de la salle à manger et me dépose sur le dos, les fesses à la limite du vide.
–C’est là que j’ai envie de toi.–Viens mon chéri.
Il bande toujours et pour ma part, je suis toujours bien lubrifiée, le sexe rempli de foutre. Je suis dans une sorte d’excitation permanente. Il présente son sexe à l’entrée du mien et pousse un grand coup. Il s’enfonce sans coup férir et commence à me pistonner. Ses couilles battent contre mes fesses. En regardant vers mon sexe, je vois une bosse sous ma peau qui monte et descend au rythme de ses va et vient. C’est son gland qui se fraye un passage et qui déforme mon bas ventre. Ce spectacle me rend folle et je jouis pratiquement instantanément. Michel continu imperturbable, il me tient les jambes en l’air et me besogne sans sembler ressentir la moindre fatigue. Trois minutes plus tard, je jouis de nouveau, il continu toujours et de nouveau quelques minutes plus tard, je jouis encore, cela se répètera quatre fois avant qu’il ne se répande en moi dans un long râle.
–AAAAAAARRRRRRRHHHHHHHH. Tata, je jouis, je jouis en toi, que c’est bon, je t’aime, je t’aime.
Je jouis en même temps que lui, mais ses paroles me glacent le sang, et ma jouissance s’évanouie. Une fois remis de nos émotions, je me libère et descends de la table.
–Michel, c’est quoi ça ?–Quoi donc.–Ces « je t’aime, je t’aime ».–C’est sorti tout seul, ne t’en fait pas, je t’aime, mais c’est l’amour que j’aime faire avec toi, je n’ai jamais fait ça avec quelqu’un d’autre, mais je sais que ce ne sera jamais comme ça, jamais je ne ressentirais ce que j’ai ressenti avec toi, c’est pour ça que je t’aime. –Ouai, si on veut. Mais ne t’avise pas de recommencer, ce serait la dernière fois. Je te l’ai dit, il ne peut y avoir que du sexe entre nous.–Promis tata.
Nous n’avons pas vu passer le temps, il est presque quatorze heures et nous n’avons toujours pas mangé. Michel, toujours nu avec son énorme engin qui pend devant lui, prépare des sandwiches que nous mangeons au bord de la piscine. Nous nous baignons un petit moment, mais mon appétit sexuel reprend le dessus et je sors de l’eau.
–Je monte dans ma chambre, rejoins-moi dans un quart d’heure.–Ok tata, dans un quart d’heure.
Je monte dans ma chambre, il faut que je profite de la situation au maximum et j’ai bien l’intention de l’initier à toutes les pratiques sexuelles. Je vais aux toilettes pour me faire un lavement très approfondi. Je suis sous la douche quand j’entends Michel entrer dans la chambre.
–Tu es prête ?–Oui, attends-moi sur le lit.
Je me sèche et vais le rejoindre ma serviette à la main. Il est allongé sur le lit, les bras en croix et le sexe avachi entre ses cuisses. Je vais prendre ma trousse et en sort la graisse chauffante. Je pose le pot sur la table de nuit, j’étale la serviette sur le lit et me met à quatre pattes dessus.
–Tu peux prendre le pot et m’enduire l’anus avec la graisse anale ?
Il se redresse et me regarde étonné.
–C’est quoi ce délire ?–Chéri, il faut que tu sois apte à satisfaire tes partenaires quelle que soit leurs demandes.–Et tu veux faire quoi ?–Je veux que tu me sodomise avec ton engin.–Que je te sodomise ?–Oui, que tu m’encule si tu préfères, que tu me défonce la rondelle, ce sont les termes employés pour nommer ce que je te demande. Ne t’en fais pas, j’ai fait une toilette intime très poussée et mon petit trou est propre comme un sou neuf.–Je veux bien tata, mais déjà que tu as eu du mal quand nous avons fait l’amour, je présume que ça va être impossible par derrière.–Mais non chéri, je suis habituée, ce ne sera pas la première fois que j’encaisse un engin de cette grosseur, la seule différence c’est que cette fois se sera une vraie bite, pas un gode.–Tu t’es déjà sodomisée avec un gros gode.–Oui, et même plus gros que ton sexe, donc il n’y aura pas de problème, d’autant que j’ai fait une petite séance hier et que mon cul sera bien souple et t’acceptera sans problèmes.
Il me regarde, ne sait que penser de tout ça.
–Tu t’es fait sodomiser hier ?–Non, je me suis sodomisé car j’adore ça et j’aimerais que tu me mettes ton engin dans le fion, j’en frémi d’avance.–Ok, donne-moi la graisse.
Je lui tends la graisse, il en prend sur le bout des doigts et commence à me badigeonner le fion.
–Enfonce tes doigts dedans, ça va mieux le lubrifier, et n’ai pas peur d’en mettre.
Il rajoute de la graisse, je sens un doigt me pénétrer l’anus et m’enduire le conduit.
–Tu peux mettre plusieurs doigts, ça va me détendre l’anus encore plus.
Il m’introduit trois doigts bien graissés et me lubrifie bien en profondeur. Ce manège l’a excité, car je vois qu’il bande ferme. Sa bite est droite comme un I et pointe orgueilleusement son gland vers le ciel.
–Allez, ça suffit, viens maintenant.
Il s’agenouille derrière moi, s’empare de son sexe et le pointe sur mon sexe qui coule.
–Juste le lubrifier un peu.–Ok, vas-y.
Il s’enfonce d’un seul coup et ressort aussitôt. Je sens son gland contre ma rondelle. Il se positionne bien et pousse en me prenant par les hanches. Mon sphincter s’ouvre sous la poussée, je sens une douleur un peu vive, mais je connais et je sais que ça disparait très vite. Son gland franchi l’obstacle du sphincter pour poursuivre son chemin jusqu’à ce que je sente ses couilles sur mes cuisses. J’adore cette sensation de pénétration, sentir un sexe s’enfoncer doucement en moi, m’ouvrir le sexe ou l’anus, sans précautions, jusqu’au bout, jusqu’à ce que l’engin soit entièrement absorbé par mon antre quelle qu’elle soit. Il s’immobilise, bien enfoncé en moi. Je suis perforée par son sexe hors norme, et ça me plait, je n’ai jamais ressenti une telle impression avec un sexe d’homme, même mon gode gonflé au maximum ne me donne pas cette impression d’être entièrement possédée. Ce membre vit, bouge, frémi, c’est un être vivant. Michel commence ses va et vient, il s’applique à me labourer sur toute la longueur de son sexe, son gland est à la limite de sortir pour de nouveau me défoncer jusqu’au fond. Ses mouvements s’accélèrent, mon anus est de plus en plus ouvert, je sens de moins en moins ses mouvements, mais le plaisir monte en moi. Il accélère encore, maintenant, à chaque aller-retour, son sexe sort de mon anus pour le perforer immédiatement après. J’imagine mon cul ouvert laissant passer le gland diabolique de Michel.
–Oui mon chéri, vas-y, défonce moi le fion, il ne demande que ça, j’aime, continu, tu m’ouvre, tu m’explose, vide toi en moi, je veux sentir ton jus d’amour me gicler dedans.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, il finit par jouir, je sens de puissants jets de sperme m’inonder la grotte. Je l’accompagne, mon orgasme est plus diffus, plus intérieur mais tout aussi magnifique. Quand il me libère, je me mets sur le dos et porte ma main droite vers mon anus pour constater l’ouverture, la glisser à l’intérieur et me pistonner pour entretenir l’ouverture.
–Je suis sûre que tu pourrais y entrer ta main.–Tu plaisante, tu as vu sa taille comparée à la tienne ?–Oui, mais je suis très souple et je suis sûre que tu peux y arriver, s’il te plait.–Tata, tu m’en demande peut être un peu trop pour une première fois.–Qu’est-ce que tu crains, que ce soit sale ?–Et bien c’est quand même un endroit pas réputé pour sa propreté.–Tu y a mis ta bite.–Oui, mais j’étais vraiment trop excité.–Elle est sale ?–Non, pas du tout.–Tu vois, je me suis fait un énorme lavement, et je suis nickel pour plusieurs heures, allez, essaye.–Ok, je veux bien essayer.
Il se lubrifie la main droite.
–Enlève ta main.
J’enlève ma main et je sens tout de suite après des doigts en pointe qui prennent sa place. Il pousse doucement, mon sphincter résiste un peu.
–Vas-y, pousse encore, ça va bien se passer.
Il accentue sa poussée ce qui fait que le sphincter cède et laisse la main de Michel s’enfoncer dans mon cul.
–Encore, enfonce-toi encore.
Il pousse de nouveau, je sens son avant-bras s’enfoncer. Je me penche en avant pour voir ce qui se passe. Michel déplie ses doigts à l’intérieur et tourne son bras de gauche à droite. Je sens ses doigts me caresser l’intérieur de mon conduit anal, cette sensation est étrange, j’ai l’impression d’être possédée par un être vivant en moi. Michel se penche sur moi et me gobe le clitoris. Sa langue le titille ce qui me fait partir dans un nouvel orgasme. Maintenant, je n’en peux plus, je suis complètement anéantie, je me laisse aller sur le lit sans bouger. Michel comprend mon état et dégage lentement sa main. Il pose ses lèvres sur ma rondelle, la lèche jusqu’à ce qu’elle se referme entièrement. Je suis complètement scotchée par le comportement de ce mec. C’est la première fois qu’il fait l’amour et plus avec une femme et il se comporte comme un vieux briscard. Je reste allongée sur le dos, il vient s’allonger sur moi, je sens son poids m’écraser et surtout sa bite s’enfoncer en moi. Quelle sensation extraordinaire cette bite qui m’investit lentement. Je me laisse faire, mais une fois complètement enfoncé en moi, Michel ne bouge plus, il reste immobile sur moi en s’appuyant sur ses coudes pour me libérer un peu de son poids.
–Tu es bien tata ?–Oui mon chéri, je suis très bien, mais qu’est-ce que tu fais ?–J’avais juste envie de sentir ton sexe envelopper le mien, mettre mon sexe dans cette grotte chaude et humide, j’adore cette sensation, c’est très nouveau pour moi.–Je ne sais pas si c’est nouveau pour toi, mais tu te comportes comme un homme expérimenté, c’est bien vrai que je suis ta première femme ?–Oui tata, c’est la première fois de ma vie que je fais l’amour à une femme.–Et bien, je peux te dire que tu es très doué, ça promet.–J’ai eu un bon prof.–Ne sois pas modeste, c’est toi qui est doué.–Merci tata.
Il pose sa tête sur mon épaule et se laisse aller sur le côté toujours enfoncé en moi. Je réalise tout à coup qu’il est plus de quinze heure trente et que tout le monde va rappliquer dans très peu de temps.
–Hola Michel, il est temps de se préparer au retour des autres.–Déjà ?–Et oui, il est très tard.–Ok, je fille dans ma chambre.
Michel se dégage, pose un baiser sur mon pubis et se dirige vers la porte. Je vais dans la salle de bain pour prendre une douche. Quand je retourne dans ma chambre, je vois Michel qui arrive avec son pantalon, sa chemise, son slip, ma robe et mon string.
–C’était à côté de la piscine, on aurait eu du mal à expliquer.–Putain, j’avais complètement oublié.–Mouille ton maillot de bain.–Ok, je le fais tout de suite.
Il pose mes affaires sur mon lit, me dépose un baiser sur la bouche et s’en va dans sa chambre. Je m’habille, tee-shirt à même la peau et petit short qui me moule bien les fesses sans culotte. Je descends m’assoir sur un des fauteuils du salon et me met à lire une revue. Michel me rejoint, lui aussi en tee-shirt et short. Il s’installe en travers sur le sofa. Nous discutons de ma vie à San Jose, de mes amis de là-bas, des aventures que j’ai eues avec des hommes comme avec des femmes, il est très intéressé par ma vie sexuelle. …/…
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