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Ma drole de famille

Chapitre 11

Inceste
Je me tourne vers elle.
–Tout va bien avec Henri ?–Oui, pourquoi me poses tu cette question ?–Tout simplement parce qu’après vingt ans de mariage, il peut y avoir des problèmes.–C’est vrai que nous sommes passés par des moments difficiles, la routine, les enfants, toujours l’un sur l’autre, mais tu sais, il y a belle lurette que nous avons réglé tout ça.–Comment ça ?–Simplement en donnant plus de liberté au couple, nous avons décidé de nous donner de l’air, que nous pouvions regarder ailleurs, mais sans aller trop loin, de plus, nous sommes devenus ce qu’on appelle un couple libertin.–Vous êtes échangistes ?–Oui, nous allons de temps en temps dans des boites spécialisées pour rencontrer d’autres couples et je peux te dire que depuis, nous n’avons pratiquement plus aucunes disputes. Cela ne nous empêche pas d’avoir des rapports sexuels normaux.–Tu fais l’amour avec d’autres hommes en présence de ton mari ?–Oui, et lui fait l’amour à d’autres femmes en ma présence. Mais il se peut aussi que je fasse l’amour avec la femme, et Henri avec l’homme, nous sommes devenus bisexuels. J’aime bien faire l’amour avec une femme, presque autant qu’avec un homme. Henri est un peu moins enthousiaste, mais il accepte qu’un homme le sodomise, surtout si l’homme en question a un gros sexe.–J’hallucine, jamais je n’aurais pu penser ça de vous.–Tu vois que tout peut arriver.–Tu sais, moi aussi je suis bisexuelle, j’aime les hommes et les femmes, je viens d’ailleurs de faire l’amour avec deux femmes ce matin dans l’appartement que je visitais.–Je comprends mieux ta tenue, elles étaient belles ?–Magnifiques, deux jeunes filles d’à peu près vingt-deux ou vingt-trois ans, fraîches et très actives, de vraies bombes sexuelles.–Ça t’as plu ?–Enormément, elles m’ont faite jouir comme une folle.–Tu es rassasiée alors.–Je suis toujours partante pour une partie de jambes en l’air.–Vraiment ?–Tu veux que je te le prouve ?–Comment ça ?–Tu ne devines pas ?

Elle se redresse, me regarde fixement et rougi un peu.
–Je vois que tu commences à deviner.–Tu n’y pense pas ?–Ça te choque ?–Tu es ma sœur.–Oui, et ça change quoi au fait que je puisse être attirée par toi ?–Parce que justement, tu es ma sœur.–Ok, mais nous sommes toutes les deux nues, et la vue de ton corps m’émeut à tel point que j’ai envie de le caresser.–Laure !!!–Oui, j’ai envie de le caresser, de le choyer, de le faire vibrer, de poser mes mains sur ton corps, de caresser tes seins, tes fesses, ton sexe, de poser mes lèvres sur tes seins, sur ta bouche, sur ton sexe, de te boire, de te faire exploser de plaisir.–Laure !!!–Oui, et je sais que cette perspective te choque, mais je sais aussi que je peux te donner un plaisir que tu n’imagines même pas, pas seulement par mes prouesses sexuelles, mais parce que ce seras moi, ta sœur, qui te le donnera et que ça décuplera ton plaisir.–Laure, tais-toi.
Elisa est troublée, je le vois, je le sens, elle est sur le point de céder, mais son éducation lui interdit de penser à une telle éventualité. Passe encore l’échangisme, mais l’inceste, ça, c’est autre chose. Elle me regarde, des larmes coulent de ses yeux le long de ses joues.
–Laure ma chérie, tu es ma petite sœur, je te considérais pratiquement comme ma propre fille, je suis complètement déboussolée, comment veux-tu que je réagisse, tu arrives et tu me propose carrément de faire l’amour avec toi, ma propre sœur, tu dois bien comprendre que cette pensée me choque et m’émeut, je ne sais quoi penser, je ne sais quoi faire.
–Ne bouges pas.
Je me lève et vais vers elle. Je pose mes mains sur ses genoux et les écarte. Elle résiste un peu, mais cède rapidement, quand ses cuisses s’ouvrent, je vois que ses petites lèvres sont humides. Cette pensée la bouleverse, l’émeut et l’excite quand même un peu.
–Ne bouges pas.
Je m’agenouille entres ses jambes, m’avance vers son sexe pour y poser mes lèvres.
–HHHHOOOO
Ma langue s’anime, mes lèvres sucent, lèchent, aspirent. J’adore la peau lisse et douce de son pubis et de ses lèvres qui sécrètent maintenant un sublime nectar odorant. Je la bois, je la titille pendant que mes mains s’égarent sur ses seins. Cette situation, faire l’amour à ma propre sœur, me met dans un état second, je l’imagine me rendre mes caresses, me rendre mon amour. Il ne faut pas plus de trois ou quatre minutes pour qu’Elisa explose dans un violent orgasme. Elle me plaque la tête sur son sexe.
–Ho chérie, oui, oui, j’aime, j’aime, continu, que c’est bon, que c’est bon ma petite Laure chérie.
Je n’arrête que lorsqu’elle me libère la tête. Je remonte le long de son corps pour poser mes lèvres pleines de sa cyprine sur sa bouche. Sa langue pénètre dans ma bouche à la rencontre de la mienne, nous échangeons notre premier baiser d’amante. Ses mains parcourent mon corps en s’attardant sur mon sexe, mes seins et mes fesses. Je suis heureuse, c’est la première fois que j’éprouve tant d’amour pour ma sœur. Je remarque que des larmes coulent toujours sur ses joues.
–Tu pleures ?–De bonheur, l’émotion été trop forte, mon cœur a explosé, je t’aime tant.–Moi aussi je t’aime.
L’émotion est trop forte, j’éclate en sanglots. Nous restons enlacées à pleurer comme des madeleines en nous serrant l’une contre l’autre. Au bout de cinq minutes, Elisa me fait lever, elle se dirige vers un matelas gonflable recouvert d’une serviette. Elle me fait allonger sur le dos et vient se mettre sur moi têtes bêches. J’ai son sexe juste à portée de bouche. Je l’agrippe par les fesses, tire dessus pour le plaquer sur ma bouche quand je sens une bouche sur mon sexe. Elisa me l’embrasse, sa langue titille mon clitoris, pendant que je lui rends la pareil sur le sien. Nous nous suçons, léchons, caressons. Je bois à sa fontaine d’amour comme je lui donne à boire abondamment. Nos corps sont à l’unisson, nos cœurs en symbiose, notre amour nous guide. Je sens cette langue me titiller mon petit bouton, ces dents me le mordiller, ces lèvres me l’aspirer, je m’abandonne à mon plaisir qui monte doucement, mon ventre se crispe, mes jambes s’électrisent, mon cœur s’emballe, tout se focalise sur cette bouche qui explore mon sexe. Je ne résiste pas plus longtemps, je me laisse aller à un merveilleux orgasme que je partage avec ma sœur qui jouit en même temps que moi. Nous restons un instant sans bouger, je suis anéanti par ce que je viens de ressentir, je ne sais pas d’où ça peut venir, mais je suis de nouveau au bord des larmes. Elisa se redresse et vient se coucher sur moi en m’enlaçant. Elle pose sa tête sur mon épaule, mais très vite je sens qu’elle a des spasmes, je la regarde mieux et je constate qu’elle pleure. Je ne peux résister et à mon tour, je fonds en larme. Nous nous retrouvons toutes les deux, enlacées l’une sur l’autre à verser toutes les larmes de notre corps. Cela dure quelques minutes, mais nous finissons par nous embrasser une nouvelle fois. Je me lève et prends la main de ma sœur pour la faire se lever. Je l’entraine vers la piscine, je veux prendre un peu de recul. Nous entrons doucement dans l’eau, ça nous délasse, nous nageons un peu, mais très vite, nos corps se frôlent, nos mains s’égarent sur la peau de l’autre, et nous finissons enlacées dans un langoureux baiser. Je fini par sortir de l’eau.
–Je monte dans ma chambre, j’ai envie d’autre chose, tu me suis ?–Bien sûr.
Je monte dans ma chambre toujours nue en faisant bien bouger mes fesses que je sais très appréciées des hommes comme des femmes. Je sors ma trousse que j’étale sur la table basse. Elisa arrive quelques minutes plus tard, elle aussi nue, et s’approche de la table. Elle regarde intensément tous ces objets.
–Tu as une vraie collection de gode ma chérie.–Oui, j’aime bien me défoncer les trous.–Les trous ?–Oui, les trous, devant comme derrière, c’est égal, j’aime me faire transpercer par un beau membre, qu’il soit factice ou vrai, avec une préférence toutefois pour les bons gros en bas du ventre d’un beau mâle.–ho lala, mais c’est quoi ce langage ?–Tu sais, j’ai bien évolué depuis que nous nous sommes séparées il y a sept ans.–Je vois, je vois, mais si je comprends bien, c’est avec un de ces engins que tu veux qu’on s’amuse un peu.–Oui, tu es d’accord ?–Bien sûr, moi aussi, j’aime me faire défoncer la chatte, pour le reste, on verra plus tard.–Tu es d’accord pour le double ?–Lequel ?–Le double, il peut nous défoncer la couenne toutes les deux en même temps.–Va pour le double.
Je fais allongé Elisa sur le lit, sur le dos jambes ouvertes.
–Laisse-moi faire.
Je me mets entre ses cuisses et me penche sur son sexe pour l’englober de ma bouche.
–Hooo
Ma langue s’active sur son clitoris jusqu’à ce que je sente qu’elle commence à couler abondamment. Je présente un des glands du gode devant sa chatte et l’enfonce doucement pratiquement jusqu’à la moitié.
–MMMM, c’est très agréable.–Je sais, il est de la bonne taille.
Je me position en face d’elle, mes jambes entre les siennes et avance mon sexe vers le sien jusqu’à ce que le second gland touche mes lèvres. Je m’empale dessus en l’enfonce jusqu’à ce que mon sexe vienne en contact du sien.
–Hoooooooo, je sens ton sexe contre le mien, qu’est-ce que je fais maintenant ?–Ne t’en fais pas, je m’occupe de tout.
Je fais onduler mon bas ventre ce qui a pour effet d’exciter nos deux clitoris sur nos cuisses et faire bouger le gode dans nos sexes. J’aime quand je sens d’autres lèvres sur les miennes, de savoir qu’un sexe de femme touche mon propre sexe m’excite au plus haut point, et d’autant plus cette fois que le sexe qui touche le mien est celui de ma sœur adorée. Je sens la cuisse d’Elisa frotter contre mon clitoris et la mienne frotter contre le sien. Ce traitement est très efficace, et nous jouissons très vite. Elisa s’exprime bruyamment.
–HHHHOOOO oui, c’est énorme, je jouis, je jouis, encore ma chérie, encore.
Nos corps sont secoués de spasmes, je m’applique à la faire jouir de mon mieux. Il nous faut dix bonnes minutes pour revenir sur terre. Je me dégage, dégage Elisa, jette le gode sur le sol, lui resserre les jambes et viens me coller sur elle. Nous sommes l’une sur l’autre, peau sur peau, seins contre seins, sexe contre sexe, je passe mes mains derrière sa tête, l’attire à moi en l’embrasse passionnément. Notre baiser est sans fin, aucune de nous deux ne veux prendre la responsabilité d’arrêter, ses mains parcourent mon dos, mes fesses, mes cuisses, nos langues se battent, se titillent, se lèchent, s’aiment. A bout de souffle, je m’écroule sur le côté, mettant fin à ce baiser intense. Elisa reste inerte, les yeux fermés, le souffle court, un merveilleux sourire sur les lèvres. Je me penche sur elle pour couvrir son corps de baiser, je vais de ses lèvres à son sexe en embrassant le moindre cm carré de son corps. J’insiste un peu sur les seins, le nombril et surtout sur son clitoris que j’aspire, titille et mordille. Ce traitement ne met pas beaucoup de temps pour la faire repartir dans un autre orgasme aussi bruyant que le précédent.
–Oui chérie, je jouis, je jouis, encore, encore.
Je ne m’arrête que quand je sens que son corps ne vibre plus. Je remonte le long de sa peau en me frottant le plus possible, jusqu’à ce que ma bouche se pose sur la sienne. Nous échangeons un doux baiser, puis je me redresse et sors du lit.
–Tu me quitte ?–Non, je veux te voir, je veux voir ton superbe corps.–Tu parle, mais tu es cent fois plus belle que moi.–Arrête tes bêtises, j’ai treize ans de moins que toi, mais ce que j’aimerais voir, c’est ton corps vibrer, je l’ai senti vibrer sous ma main ou ma bouche, mais j’aimerais bien le voir jouir.–Comment ça ?–Que tu te masturbe devant moi, je veux te voir te donner du plaisir, j’en ferais de même après si tu le désire.–Me masturber devant toi ?–Oui, ça te gêne ?–Ecoute chérie, je suis déjà complètement retournée par ce que nous venons de faire, je ne sais plus où j’en suis, et tu voudrais que je me masturbe, que je m’exhibe devant toi ?–Oui.–Tu exagère tout de même.–Tu veux que je commence ?–Ce n’est pas la question, c’est que je ne sais pas si je pourrais le faire.–Ecoute, tu fais ce que je te dis en fermant les yeux, tu as confiance en moi ?–Oui, bien sûr, mais pourrais-je le faire ?–J’en suis sûre, allez, laisse-toi aller.
Je sens Elisa dubitative, elle ne sait quelle attitude prendre, maintenant, je sais qu’elle aime le sexe sous toutes formes, elle me l’a prouvé, je sais qu’elle peut le faire, mais elle n’en est pas tout à fait convaincue.
–Ok, ferme les yeux.
Elle ferme ses yeux.
–Ecarte les jambes.
Elle ouvre ses jambes.
–Pose ta main sur ton sexe.
Elle pose sa main à plat sur son sexe.
–Commence à te caresser comme tu aimes le faire d’habitude.
Sa main bouge un peu sur son petit bouton. Petit à petit, ses doigts s’écartent, l’un d’entre eux descend le long de ses lèvres et va se planter dans son vagin. Il est rejoint par d’autres doigts qui font des va et vient de plus en plus rapides entre ses lèvres. La main remonte luisante de cyprine et le doigt vient titiller son bouton d’amour. Il fait de petits ronds pendant un petit moment, puis redescend se lubrifier avec ses compagnons et recommence son manège. Ses jambes s’ouvrent en grand, je peux voir cette main entrer en partie et ressortir de sa chatte, son sexe s’ouvrir de plus en plus, laissant la main s’enfoncer un peu plus à chaque sollicitation. La main remonte ruisselante de cyprine. Son doigt retourne sur son clitoris et tourbillonne. Son ventre commence à onduler, son doigt accélère son mouvement, sa respiration s’accélère, sa tête bouge, son corps commence à se raidir. Elle ouvre les yeux, me regarde.
–C’est pour toi ma Laure chérie.
Son doigt tourne à une vitesse folle autour de son clitoris, son corps se crispe, elle resserre ses jambes, s’arque boute, son corps est tendu vers ce plaisir que je vois monter en lui. Elle ne me quitte pas du regard, je vois qu’elle prend un immense plaisir à faire ce qu’elle fait devant moi, elle me donne son plaisir, elle va jouir pour moi. Tout à coup, elle tressaute.
–Oui, je jouis, je jouis, pour toi chérie, pour toi, je jouis, je jouis.
Son corps vibre, sa tête va de gauche à droite, elle finit par retomber sur le lit, me regarde de nouveau en souriant.
–Quel pied, que c’est bon de s’offrir.
Je me penche sur elle pour déposer un baiser sur ses lèvres. Je la sens se détendre, elle est heureuse, heureuse d’avoir été au bout d’elle-même, d’avoir fait une chose à laquelle elle n’aurait jamais pensé et d’en avoir pris un immense plaisir. Ma main glisse vers son bas ventre pour atterrir sur son sexe encore ruisselant.
–Oui chérie, ta main.
Je la regarde, elle me sourit, fait onduler son bas ventre et donne des coups vers l’avant. Je resserre mes doigts en pointe et pousse tout doucement. Mes doigts pénètrent lentement dans son vagin que je sens beaucoup plus souple que ce à quoi je m’attendais. Il se dilate exagérément, à tel point que mes doigts s’enfoncent jusqu’aux articulation sans le moindre problème.
–Oui chérie, vas-y, j’aime.
Je pousse un peu plus et ma main finit par être aspirée par son sexe jusqu’à la moitié de mon avant-bras. Je la pistonne d’un mouvement lent et très ample. Je veux qu’elle sente monter en elle une gigantesque vague de plaisir, je suis là pour elle, pour la faire jouir, pour qu’elle en perde la tête, qu’elle ne sache plus où elle est. Je me penche sur elle pour m’emparer de son clitoris encore bien gonflé du bout des lèvres. Ma langue s’active dessus et ce que j’attendais arrive enfin. J’amplifie mes va et vient pour qu’à chaque mouvement, ma main sorte de son sexe pour y replonger immédiatement après. Cela a l’air de lui plaire car elle bouge de plus en plus, faisant onduler son corps dans tous les sens. J’ai une sensation de possession quand je sens ma main se heurter à l’entrée de son vagin et l’ouvrir violement pour m’enfoncer jusqu’à toucher le col de l’utérus. Ma main la pistonnant et ma langue la titillant ont fini par la faire partir dans un très bel orgasme.
–Hooo, oui, oui, encore, je jouis, je jouis, encore, encore.
Elle ne sait plus où elle est, elle vit ce moment intensément, je sens qu’elle se donne encore une fois, qu’elle est à l’écoute de son corps pour pouvoir en tirer le maximum de plaisir. Doucement, elle revient à elle, elle ouvre les yeux et me regarde avec un très beau sourire.…/…
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