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Ma drole de famille

Chapitre 13

Zoophilie
Nous allons manger au restaurant, j’apprends qu’il a vingt-neuf ans qu’il est toujours célibataire, que les quelques essais de vie en couple se sont toujours mal terminés, question d’espace vital. Lui aussi vit dans une grande maison à une douzaine de kilomètres de la ville, qu’il loue en meublée mais les propriétaires l’ont mise en vente dernièrement. Il est prioritaire sur la vente, il n’a toujours pas donné sa réponse aux propriétaires, mais comme il n’a pas les moyens de l’acheter, il va devoir déménager. Je le sens très affecté par cette situation qui le désespère car il a un cheval qu’il possède depuis plus de douze ans, il est cavalier depuis sa plus tendre enfance. Il va falloir qu’il trouve une autre maison à la campagne ou une petite ferme. Je lui explique va famille et ma vie aux US.Le repas se passe très bien, nous retournons à l’appartement pour voir les derniers détails. Arrivé à l’appartement, il me prend doucement dans ses bras et m’embrasse. Nos langues s’amusent entre elles, je sens une onde de plaisir envahir mon corps, j’ai envie que ce baiser dure, dure et n’en finisse pas tellement je suis bien dans ses bras. Ses mains parcourent mon dos sans jamais descendre plus bas. C’est un homme délicat qui ne brusque pas les choses, j’aime beaucoup. Je fini par m’écarter, lui prend une main et l’emmène dans le salon. Le clic clac est toujours là qui nous tend les bras. Il comprend et s’arrête.
–Nous ne sommes pas obligés.–Tu as une réticence ?–Non pas que je ne veuille pas te faire l’amour avec toi, bien au contraire, mais pas là pour la première fois.–Et où ?–Tu ne veux pas visiter ma maison ?–Ok, je te suis.
Je descends récupérer ma voiture dans le garage, mais je m’aperçois que je n’ai pas la télécommande pour l’ouvrir, c’est donc avec la voiture d’Alexandre que nous nous rendons chez lui. Nous arrivons devant une grande bâtisse de plein pied entourée d’un très grand parc arboré entièrement clos. Il faut ouvrir une lourde porte en fer forgé pour y accéder. Je suis séduite par l’endroit, ce n’est pas ce que je cherchais à priori, mais cette maison est splendide et de plus ne demande aucun travaux, Alexandre s’est chargé, avec l’aide financière des propriétaires, de tout remettre à niveau pendant les cinq ans qu’il a passé ici. La maison est comme neuve et aux toutes dernières normes. Elle se compose d’un grand salon salle à manger avec une belle cheminée le tout donnant sur une immense cuisine par une grande ouverture en ogive, de trois chambres avec chacune sa douche, de deux salle de bain indépendantes, de deux WC indépendants, d’un énorme cellier dans lequel Alexandre a mis une bonne centaine de bouteille de vin. Le salon donne sur une cour aménagée avec un salon de jardin, des transats, le tout à l’ombre d’arbres. A une quinzaine de mètres, un bâtiment agricole dans lequel est installé son cheval.
Nous descendons de la voiture quand je vois arriver sur nous un superbe berger allemand d’à peu près sept ou huit ans.
–J’avais oublié de te parler d’Hector, il a huit ans.Le chien vient lui faire une fête et fini par venir vers moi pour se frotter à mes jambes nues.–Je crois qu’il t’a adopté, en général, il est plus distant, c’est un vieux célibataire endurci.Je le caresse un peu, histoire d’entretenir l’amitié. Nous entrons dans la maison en laissant Hector dehors.–Il ne rentre jamais dans la maison, il a un abri dehors très confortable, c’est un gardien, pas un chienchien à sa mémère.
Alexandre m’entraine dans le salon et m’installe confortablement dans un fauteuil. Il me sert un rafraîchissement et s’installe en face de moi.
–Comment tu trouves ma petite gentilhommière ?–Superbe, je commence même à ma poser des questions.–Comment ça ?
–Et bien, est ce que je n’aurais pas plus intérêt à acheter cette maison plutôt que l’appartement que j’ai visité.–Tu sais, vivre à la campagne, ce n’est pas si évident que ça.–J’ai pas mal vécu avec ma sœur et mon beau-frère qui habitent une ferme, de plus à San Jose, nous étions à l’écart de la ville, je sais ce que c’est d’oublier le sel, et je sais m’organiser en conséquence.–Ok, je te donne les coordonnées des proprios, mais je ne crois pas que nous soyons là pour discuter de l’opportunité d’acheter cette maison.–Pas vraiment.
Je me lève, lui prend une main et le fait se lever. Je me colle à lui pour l’embrasser. Ses mains deviennent plus entreprenantes et descendent jusqu’en haut de mes fesses.
–Tu me montre les chambres ?–J’ai un lit déjà fait dans une chambre d’amis, si ça t’intéresse.–Va pour la chambre d’amis, je te suis.
Il m’entraine derrière lui et entre dans une très grande chambre munie d’une cheminée et d’une baie vitrée donnant sur le parc.
–C’était la chambre des proprios quand ils vivaient ici, mais je la trouve trop grande pour un mec tout seul, elle est faite pour un couple.–Ça tombe bien, nous sommes deux.
Je le pousse pour qu’il s’assoie sur le lit.
–Ne bouge pas.
Je commence à déboutonner mes boutons lentement, en prenant un peu de temps entre chaque bouton. Petit à petit mon corps se dévoile, d’abord les seins qui semblent le fasciner, puis le ventre pour finir par le corps tout entier. Il me regarde subjugué, je vois que tout son être bouillonne, qu’il est sur le point de ma sauter dessus.
–Lèves toi.
Il se lève, je m’approche.
–Ne bouge surtout pas.
Je commence par déboutonner sa chemise et la jette à terre, je m’attaque à sa ceinture, déboutonne son jean, écarte les pans, le fais glisser pour me retrouver devant un sexe glabre déjà bien en forme et pas mal bronzé. Il ne porte pas de sous-vêtements. Ce n’est pas le sexe de Michel, mais il est quand même assez imposant, gros, long avec un gland proéminent. Exactement comme j’aime, un gland plus gros que la tige.
–Tu es naturiste ?–Oui, depuis ma prime jeunesse, mes parents étaient naturistes, toi aussi, je ne distingue pas de trace de maillot sur ton superbe corps.–Oui, mais c’est plus récent.
Je lui enlève son pantalon, et le pousse en arrière. Il tombe sur le lit sur le dos. Je me jette sur lui et étale mon corps sur son corps. Nous sommes peau à peau, sexe à sexe. Là, ses mains me parcourent tout le corps, elles s’activent sur mon dos, mes fesses, mes cuisses pour insister lourdement sur mes fesses. Je sens son sexe se redresser entre mes cuisses que j’ouvre un peu plus pour lui faciliter la tâche. Son gland finit par entrer en contact avec mon sexe déjà bien lubrifié, je reste un instant immobile pour bien déguster ce moment de l’attente, ce moment qui précède l’instant où les corps s’unissent, ou les sexes s’assemblent pour ne faire plus qu’un. Je finis par me laisser lentement glisser pour m’empaler sur ce vit orgueilleusement dressé. Je suis surprise par l’impression de possession que je ressens, ce n’est pas le sexe de Michel, mais il prend quand même beaucoup de place dans mon vagin et je me sens bien remplie, surtout quand son gland vient buter sur mon col.
–Oui, j’aime sentir un beau sexe entrer dans ma chattoune.–Et moi, j’aime sentir une belle chatte chaude et humide m’engloutir le sexe.
Une fois bien empalée, je reste un moment immobile, je m’imprègne de ce sexe long et dur. Après une trentaine de secondes, je m’active sur lui en faisant rouler mon bas ventre. Ses mains s’activent elles aussi et parcourent mon corps pendant que nous nous embrassons passionnément. Il y a longtemps que je n’ai pas éprouvé un tel sentiment de confiance, d’abandon, de plénitude en faisant l’amour avec un homme. Je ne suis plus la même, une seule chose m’intéresse, le plaisir de mon partenaire, j’utilise toute ma science de l’amour pour augmenter son plaisir au maximum. Tout en me donnant à corps perdu à cet homme que je ne connaissais pas ce matin, je me pose des questions. Pourquoi ce sentiment de bien-être, pourquoi cette sensation d’aboutissement, de bonheur suprême. Pourquoi cette sensation d’être enfin arrivé à destination. Je dois me rendre à l’évidence, cet homme me plait, me plait beaucoup même, je crois que je commence à tomber amoureuse de lui et à cette seule pensée, mon corps se raidi, mon ventre se crispe, je jouis en entrainant Alexandre dans mon bonheur. Je suis emporté dans un tourbillon de plaisir, je plane, je vole, je suis dans les nuages. Lui, il jouit en silence, les yeux fermés, le visage détendu et souriant, comme si il ne voulait pas me déranger dans ma jouissance. Quand je finis par me détendre, je me laisse aller sur lui de tout mon poids, la tête sur son épaule. J’ai envie de sentir sa peau moite contre ma peau moite, de me coller à lui, de sentir sa respiration, de sentir son cœur battre. Il referme ses bras sur mon dos et pose ses lèvres sur mon cou pour y déposer un tendre baiser.
–Je suis bien, comme jamais je ne l’ai été.–Moi aussi, je suis bien, je dirais même que je suis heureuse.–Vraiment ?–Oui, heureuse d’être avec toi, heureuse d’avoir pris tant de plaisir avec toi, heureuse de t’en avoir donné, enfin, je l’espère.–Evidemment que tu m’en as donné, et je dois dire qu’il y a longtemps que je n’avais pas été si bien.–Nous devons être fait l’un pour l’autre.–Je le pense aussi.–Tu ne crois pas que ça va un peu vite ?–Tu n’as jamais entendu parler de « coup de foudre » ?–Oui, mais pour les autres.–Exact, mais nous sommes les autres des autres.–Vu comme ça.
Nous restons longtemps dans les bras l’un de l’autre à apprécier le moment présent. Soudain mon téléphone sonne, c’est Sophie, je sors du lit et m’éloigne un peu.
–Coucou ma chérie, je te signale que j’ai la télécommande du garage sur moi, j’ai oublié de te la donner, tu es où ?–Chez Alexandre.–Déjà ?–Comment ça déjà.–Vous avez déjà couché ensemble ?–Ca ne te regarde pas.–Chérie, je ne suis pas née de la dernière pluie, si tu es avec Alexandre chez lui, c’est que vous avez fait l’amour et j’en suis très heureuse, figure toi que c’est pour ça que je t’ai présenté à lui, je savais que ça allait marcher, mais il ne faut pas lui dire.–Ok, tu as raison, mais il faut que je récupère ma voiture, on se voit où ?–Au garage dans une demi-heure, ok ?–Ok.
Je raccroche et vais rejoindre Alexandre qui s’est levé. Nous allons prendre une douche un peu coquine, mais pas trop par manque de temps, et retournons à l’appartement. Nous retrouvons Sophie et Lisa devant la porte. Je récupère ma voiture et nous retournons chez Alexandre. L’après-midi tire à sa fin et nous nous installons dans la cour sur des fauteuils en osier.
–Alexandre, j’ai quelque chose à te dire.–Je t’écoute.–Voilà, je ne suis peut-être pas la personne que tu crois. Je sens qu’il se passe quelque chose entre nous, jamais je ne me suis senti aussi bien avec quelqu’un, je voulais te le dire, mais il y a un « mais ». Je ne suis pas du tout possessive, mais, en contrepartie, je ne supporte pas que l’on me considère comme sa chose. Je suis libre et je laisse mes partenaires libres de faire ce qu’ils veulent à condition d’être franc avec moi. Tu dois bien te douter que j’ai eu certaines aventures plus ou moins hard. J’aime le sexe, j’aime faire l’amour, j’aime m’amuser avec des objets de toutes sortes, j’aime jouir et me faire jouir, en un mot, je suis une nymphomane. Si nous avons une aventure ensemble, je peux te dire que tu es libre de faire ce que tu veux, comme je serais libre de mon côté, mais cela ne doit pas altérer notre relation. Il faut toujours être honnête avec l’autre, c’est la seule condition pour une relation durable, et j’ai envie d’une relation durable avec toi.–Moi aussi chérie j’ai envie d’une relation durable avec toi et je peux te promettre de tout faire pour qu’elle le devienne.–Tu as dit « chérie » ?–Oui, parce que je crois que je suis amoureux de toi.
Je me lève et lui saute dessus. Nous nous embrassons passionnément, je suis au comble du bonheur, je crois sincèrement que je suis tombé sur l’homme qui m’accompagnera tout le restant de ma vie. Nous nous levons, je dois retourner chez Elisa et Henri pour diner.
–Alexandre, je dois te dire que j’ai fait l’amour avec Elisa et Michel.–Oui, et alors ?–Ce sont ma sœur et mon neveu.–A bon, je vois pourquoi tu me le dis, mais je dois te dire que ça ne me choque pas, je suis très ouvert en matière d’amour, je n’ai aucuns préjugés.–Oui, mais ce soir, je pense que je vais faire l’amour avec ma sœur et son mari, elle en a envie comme moi.–Tu es libre de faire ce que tu veux, nous ne nous connaissions pas ce matin.–Oui, mais entretemps, il s’est passé ce qui s’est passé entre nous, et je dois dire que je ne suis plus la même depuis notre rencontre.–Ca ne dois pas changer ta manière de vivre si je ne m’y oppose pas, et je dois te dire que je t’envie un peu, mais que je suis très heureux que tu vives ta vie sans contraintes.–Ok chéri mais il faut que j’y aille.Je récupère ma voiture et entre chez Elisa et Henri. Les filles sont là ainsi que Michel. Je pense que la soirée est foutue et monte dans ma chambre pour repenser à cette merveilleuse journée. Je reste un bon moment à rêvasser sur mon lit.–Laure, à table.
Je descends rejoindre tout le monde en bas, et nous passons une très bonne soirée autour d’une bonne table. Comme je suis passablement fatiguée, je prends congé et vais me coucher assez tôt.
La semaine se termine lentement, je vais voir tous les jours Alexandre chez lui, nous faisons de mieux en mieux l’amour ensemble et je suis de plus en plus convaincue que c’est l’homme de ma vie future. Je contacte les propriétaires de la maison d’Alexandre et je suis très étonné du prix qui me semble très peu cher, mais Alexandre m’explique que nous sommes dans une région agricole et que c’est un prix tout à fait normal. Une visite conjointe pour convaincre les propriétaire qu’Alexandre pourra rester en place jusqu’à fin septembre comme convenu. Au bout de deux jours, je décide de l’acheter et nous finissons par passer chez le notaire le vendredi matin.
Une fois tout réglé, je me rends à la maison pour rejoindre Alexandre. Je suis accueilli par Hector qui me fait une grande fête. Contrairement à mon attente, Alexandre n’est pas là. Il m’a laissé un mot dans l’entrée m’expliquant qu’il doit se rendre sur un chantier dont il est le responsable pour toute la journée et qu’il me contactera un peu plus tard. Comme je veux prendre possession de ma maison, je décide de rester et vais m’installer sous un bel arbre dans le parc. Je vais fermer le portail d’entrée pour ne pas être dérangée. Je suis habillée d’une jupe ample pas trop courte et d’un corsage. Pour être plus à l’aise, j’enlève mon string que j’avais mis pour aller chez le notaire et m’allonge sur une chaise longue. Le soleil de onze heures me chauffe les jambes que j’ai entièrement découvertes jusqu’à la ceinture pour bien en profiter. Hector est couché à côté de moi. Ce soleil me chauffe aussi le sexe, j’écarte un peu les jambes pour mieux ressentir les rayons sur ma vulve. Je sens que mon sexe réagit et commence à secréter un liquide blanchâtre que je connais bien. Je me laisse aller à cette douce sensation de la chaleur qui monte en moi. J’ai envie de me masturber, mais je résiste encore un peu.
Hector se lève et vient vers moi. Je pense qu’il veut se faire caresser, mais il se dirige vers mon entrejambe. J’hésite une seconde, mais je le laisse faire. Il vient renifler ma vulve et donne un grand coup de langue sur mes lèvres. Je sursaute, électrisée par une décharge dans tout le corps. Je suis surprise par cette action et je suis sur le point de l’arrêter, mais cette langue douce et ferme me rend folle. Hector donne de grands coups de langue du périnée au clitoris, j’abandonne et me laisse aller au plaisir, j’écarte mes jambes au maximum et me tourne le plus possible vers lui.
–Vas-y, lèche.
Je ne résiste pas longtemps, et parts dans un sublime orgasme qui me secoue dans tout le corps. Hector continu de me lécher, il accélère le rythme et je remarque que son sexe commence à sortir de sa gaine. Il fait mine de monter sur la chaise longue le sexe complètement sorti. Je commence à paniquer, je ne le connais pas très bien et j’ai peur de sa réaction. Je pose ma main sur son cou et le repousse. Docilement, il m’obéi et reste au sol. Je me redresse pour m’assoir sur la chaise longue. Une idée folle commence à germer dans ma tête, j’ai vu que son sexe est quand même d’un beau diamètre et qu’il est terminé par une grosse boule. Je me débarrasse de ma jupe et écarte les jambes. Il comprend et vient immédiatement poser sa truffe sur mon sexe.
–Tu aime hein ?
Il recommence à lécher et je ne tarde pas à repartir dans un nouvel orgasme. Son sexe est maintenant complètement sorti et il donne des coups de reins dans le vide. N’y tenant plus, je me lève en lui caressant la tête. Je me mets à quatre pattes en lui tournant le dos. Immédiatement, il me saute dessus et m’agrippe avec ses pattes avants en donnant de grands coups de rein. Je sens son sexe buter sur mes cuisses sans trouver le bon chemin.
–Je vois que tu as besoin d’aide, un manque d’habitude ?
Je tends la main vers son sexe, m’en saisi et le dirige au bon endroit. D’un seul coup, je sens un membre raide me pénétrer sans hésitation jusqu’au plus profond possible. Il me besogne comme un fou, je n’ai jamais été baisée à cette cadence. J’entends sa respiration derrière mes oreilles quand tout à coup, il donne des coups de reins plus importants et plus lents. Je sens de puissants jets de sperme me remplir. Une énorme boule se présente à l’entrée de mes lèvres. Il insiste plusieurs fois tout en se vidant en moi pour finir par l’introduire entièrement. Je sens toujours ses jets de foutre me remplir. Malgré la boule qui ferme mon sexe, du sperme coule le long de mes jambes. Je n’en peux plus, je jouis déjà depuis plusieurs minutes sans discontinuer. Son sexe gonfle dans le mien et le rempli de plus en plus. Je fini par replier mes bras, poser ma tête sur le sol en restant les fesses bien offertes à Hector qui me remplit toujours consciencieusement. Il finit par se calmer mais reste attaché à moi. Cela dure une petite dizaine de minute avant qu’il me libère. Je n’ai pas le temps de réagir qu’il me lèche les jambes et le sexe. Il récupère son sperme qui coule le long de mes jambes. Sa langue se glisse de temps en temps entre mes lèvres et vient finir sur mon clitoris. Il n’en faut pas plus pour que je reparte dans un nouvel orgasme. Terrassée, je finis par m’écrouler sur le sol. Hector s’éloigne un peu, s’allonge à côté de moi et se lèche le sexe pour le nettoyer. Je reste un moment sans bouger et fini par me lever. Hector revient vers moi et glisse sa truffe entre mes jambes. Apparemment, il en redemande et je ne suis pas contre un bis-répétita.
–Oui mon chien, attends une seconde.
Je me remets à quatre pattes, il n’hésite pas une seconde, mais contrairement à la première fois, son sexe me pourfend du premier coup. Il s’active sur moi, son sexe fait des aller-retours à une vitesse folle, je sens sa boule butter contre mes lèvres et de puissants jets de sperme me remplir la vulve. Je suis au septième ciel, mon corps est parcouru de frissons, de spasmes et je fini par jouir juste au moment où il me fait pénétrer sa boule. Pour la première fois de ma vie, je pousse un cri de plaisir en jouissant.
–AAAAAHHHHH
Il continu à gonfler et à se vider en moi, encore une fois, le sperme coule le long de mes cuisses. Mais je ne peux plus résister et je m’écroule au sol. Ce mouvement surprend Hector qui se laisse aller lui aussi, mais dans le mouvement, son sexe me libère dans un bruit étrange. Il s’éloigne sans me nettoyer et s’occupe de sa bite après s’être allongé.
Je me lève lentement, récupère ma jupe et me dirige vers la maison. Je prends une douche, ouvre mon lit en grand, m’allonge pour me relaxer et fini par m’endormir nue sur mon lit. Je suis réveillée en début d’après-midi par le téléphone, c’est Alexandre qui m’appelle.
–Tu as passé une bonne journée chérie ?–Oui, excellente.–Que fais-tu ?–Je me reposais dans notre lit.–Je dors chez moi ou chez toi ? –Chez moi, tu es maintenant mon locataire, j’ai signé le sous-seing privé.–Ca s’arrose.–Oui, et Henri et Elisa m’attendent ce soir pour fêter ça.–Je ne pourrais pas être avec toi ce soir, je vais bosser jusqu’à vingt et une heures, au fait, comment se fait-il que tu sois au lit à cette heure-ci ?–Je suis un peu fatiguée.–Tu as vu tes copines ce matin ?–Non, chéri, ce n’est pas ça, mais comme on se dit tout, je vais te dire pourquoi je suis fatiguée. …/…
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