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Ma drole de famille

Chapitre 15

Zoophilie
–Ca alors, c’est toi ?–Bonjour Danielle.–Non, moi c’est Elisa et Julien, c’est Henri. Julien et Danielle, ce sont nos noms en boite, pour protéger au maximum notre anonymat.–Ok, je vois, je n’y ai pas pensé pour moi.
Elisa s’approche de lui et pose ses lèvres sur les siennes une seconde. Henri sort de la cuisine et voit Alexandre.
–Ah d’accord, il me semblait bien reconnaitre cette voix.
Ils se serrent la main très cordialement. Mon air doit refléter mon étonnement car Alexandre me prend par les épaules.
–En fait chérie, je connaissais Henri et Elisa sans le savoir, moi je connaissais Julien et Danielle, nous nous sommes rencontrés dans différentes boites du coin.–Tu es libertin ?–Avec certaines de mes compagnes, c’est d’ailleurs ce qui a provoqué notre séparation.
L’atmosphère se tend un peu, tout le monde attend ma réaction, il faut dire que c’est à peu près la seule chose que je n’ai pas encore pratiqué en amour, mais une chose intrigue Alexandre.
–Je ne vois pas les enfants.–Ils sont de sortie, ils ne rentrent que demain, nous avons toute la soirée pour nous tous seuls.–Et vous comptez en profiter pour me faire découvrir les joies de l’échangisme ?–Evidemment, tu me semble très douée pour ça.
Nous nous installons dans le salon pendant qu’Elisa va chercher les alcools. Je me suis installée en face d’Alexandre en faisant en sorte que ma robe remonte assez haut sur mes cuisses sans croiser mes jambes que je garde tout juste au contact. De là où il est, il a une vue plongeante sur mon sexe qui doit commencer à briller un peu. Il me regarde en souriant. La discussion va tous azimut, ils se commémorent leurs soirées ensemble, moi, j’en profite pour exciter le plus possible Alexandre en écartant les cuisses à chaque fois que je me penche sur la table basse pour prendre ou poser mon verre. Je remarque que son regard ne quitte pas mon entre jambe et que son pantalon fait une bosse devant.
–Ok tout le monde, mais votre conversation m’est un peu étrangère, je n’ai pas participé à vos ébats, et je dois dire que, vu ce que vous dites, j’aurais bien aimé y participer.

Alexandre me regarde droit dans les yeux.
–Si tu y tiens, ça viendra.
Tout à coup, la porte d’entrée s’ouvre, c’est Michel qui rentre.
–Que ce passe-t-il ?–Je me suis allumé avec ma copine et je viens dormir ici.
Il remarque Alexandre, je me lève et viens vers lui.
–Michel, je te présente Alexandre, mon homme.
Michel va vers lui la main tendue.
–Bonjour Alexandre.–Bonjour Michel.
Ils se serrent la main, mais décidément, Michel en a gros sur la patate et se dirige vers sa chambre.
–Je vais me coucher.
Tout le monde se regarde, la soirée est foutue, nous décidons donc de rentrer chez moi. Arrivés à la maison, Hector nous fait une fête d’enfer, il ne veut pas nous quitter. Il se frotte contre mes jambes et pose de temps en temps son museau sur mon pubis au travers de ma robe. Je suis un peu déçue de la tournure de la soirée, j’ai envie sexe, mais de sexe brutal, violent, de sexe pour le sexe et Hector me donne une idée.
–Chéri, il fait très bon, je n’ai pas envie d’aller au lit tout de suite, et si on faisait l’amour dans le parc ?–Comme tu veux ma chérie.–Mais d’abord, allons nous préparer, j’ai des idées un peu spéciales, toilette complète pour tous les deux.
Nous allons prendre une douche, j’en profite pour faire une toilette intime devant comme derrière et je demande à Alexandre d’en faire autant.
–Je commence à comprendre ton idée.
Une fois préparés, le prends ma graisse anale et nous allons vers le parc, je lui prends la main et l’entraine vers les transats en bois sous les arbres. Je rabats un dossier de manière à ce que le transat soit plat et le recouvre d’un matelas fin en mousse.
–Ne bouge pas.
Je l’allonge sur le transat à l’envers, la tête vers les pieds. Hector ne me quitte pas d’un centimètre, il n’arrête pas de poser sa truffe sur mon sexe ou mes fesses.
–Doucement mon chien, doucement, je ne t’oublie pas.
Je m’allonge sur Alexandre têtes bêches. J’ai les jambes au bout du transat, de chaque côté de sa tête. Il pose sa langue sur mon clitoris pendant que je lui gobe la bite. Une fois que je suis bien installée, je me retourne vers Hector.
–Vas-y mon chien.
Hector n’hésite pas une seconde et me saute sur le dos.
–Putain, mais il va te la mettre.–Oui, je l’espère bien, ça te dérange ?–Pas du tout, mais je suis surpris.–Tu n’avais pas deviné ?–Non, ce n’est pas ce à quoi je pensais.–Comme ça, tu vas être aux premières loges.–Oui, mais je dois dire que c’est un peu spécial.
Hector n’arrive pas à me pénétrer, il donne des coups de reins dans le vide, je suis un tout petit peu trop haute pour lui.
–Aides le chéri.
Alexandre se saisi de sa bite et la dirige vers mon sexe. Un bon coup de rein d’Hector et je suis empalée jusqu’à la garde. Hector se déchaîne, il me baise à un rythme endiablé.
–Putain, quel spectacle, il te défonce la chatte.–Oui, et j’aime sa bite et ta langue en même temps, je ne vais pas tarder à jouir.
Hector continu à me bourrer pendant qu’Alexandre m’aspire le clitoris et que je le pompe de mon mieux. Je sens la vague monter doucement et finir par m’envahir entièrement, mais je résiste le plus possible, me concentrant sur cette bite que je sens frémir de plus en plus. Je sens de violents jet de sperme me remplir la vulve, Hector se vide en moi. Alexandre se crispe au moment où je me laisse aller à jouir recevant un autre jet de sperme, mais cette fois-ci dans la bouche. Le tout décuple mon orgasme, je me sens prise de tous les côtés, et j’aime ça. Nous finissons par nous calmer, mais Hector est toujours en moi et fini de se vider sans bouger.
–Putain, quel pied, ce spectacle et ta bouche, j’ai pris un pied d’enfer. Chérie, nous sommes des fous de sexe, tu m’as dit être une nymphomane, je ne sais pas comment on dit pour un homme, mais je crois que je suis comme toi, je suis capable de tout pour le sexe.–Satyriasis, c’est l’équivalent pour un homme de nymphomane pour une femme.–Satyriasis, satyriasis, c’est bizarre, mais comment tu sais ça toi ?–C’est mon frère Jacques qui me l’a dit il y a quelques années.–Et vous parliez de ce genre de choses tous les deux ?–Oui, nous étions très proches.–Ok, mais de là à parler de ça ?–Tu sais, c’est lui qui m’a dépucelé.–Ah ok, décidément, tu as une drôle de famille.–Je sais, mais je l’aime.
Hector me libère et va se coucher dans un coin pour se nettoyer la bite. Je me lève et fais se redresser Alexandre. Nous échangeons un long baiser, il y le goût de mon sexe, j’ai le goût de son sperme. Au bout d’un petit quart d’heure, Alexandre recommence à bander sous mes caresses, nous reprenons nos positions, mais cette fois-ci je m’enduis l’anus de graisse. Une fois bien préparée, j’écarte bien les jambes en les ramenant vers l’avant pour ouvrir au maximum mes fesses.
–Hector.
Hector se lève et vient vers nous, il pose son museau sur mon sexe grand ouvert et donne de grands coups de langue. Ce n’est pas ce que j’attends de lui et Alexandre le fais monter sur mon dos.
–Je m’occupe de lui, il n’est pas entièrement sorti.
Alexandre s’empare de sa bite et la malaxe pour le faire bander au maximum. Quand il juge qu’Hector est prêt, il dirige sa bite vers mon fion.
–Vas-y Hector.
En entendant ma voix, Hector donne un grand coup de rein pour me pénétrer d’un seul coup. Je sens sa bite me perforer et ses couilles frapper sur mon périnée. Il se déchaîne comme tout à l’heure, je suis au anges, j’ai la bite de l’homme que j’aime dans la bouche, une bite de chien dans le fion et une bouche que s’occupe de mon sexe, je démarre très vite et jouis très intensément. Je manque de mordre Alexandre, mais je me retiens et continu ma fellation en y mettant tout mon amour. Quelques instants plus tard, Hector se vide en moi juste au moment où Alexandre joui. Je suis remplie des deux côtés en même temps ce qui me fait de nouveau partir au septième ciel.
–Putain, ça déborde.
Hector finit de se vider en moi, je me laisse aller sur Alexandre sans libérer sa bite, je veux la sentir se ramollir dans ma bouche. Nous restons ainsi pendant un petit moment, nous sommes bien. Hector me libère et va se lécher la bite sous un arbre. Je me retourne pour m’allonger sur Alexandre et l’embrasser.
–Tu es bien ?–Oui, je suis très bien, mais j’ai comme une impression de manque, mon corps me demande autre chose, je suis en attente.–Je sais ce qu’il te faut.–A bon, quoi ?–Une bonne bite dans ton fion, pourquoi tu crois que je t’ai demandé de te faire un lavement ?–Je m’en doutais un peu, je dois même dire que je m’en réjouissais, mais tu n’as pas pris une de tes ceintures.–Non, mais il y a une autre bite ici qui peut très bien faire l’affaire, d’autant qu’elle connait déjà le chemin.–Hector ?–Bien sûr, tu n’es pas d’accord ?–Bien sûr que je suis d’accord, mais j’avoue que je n’y ai pas pensé, je suis un peu con, ce n’est pas de ma faute.
Je badigeonne le cul d’Alexandre de graisse en en introduisant dans son anus le plus possible. Après l’avoir essuyé, je passe ma main sur ma vulve pour l’enduire de ma cyprine. Je passe une dernière fois ma main sur l’anus d’Alexandre pout qu’il s’imprègne de mon odeur. Je m’allonge sur le transat la tête vers le bas. Alexandre se couche sur moi têtes bêches. Je m’empare de sa bite pour l’engloutir, elle n’est pas encore en forme, mais j’aime sentir un vit prendre vie dans ma bouche. Alexandre me gobe la vulve. Hector, qui était resté à côté de nous, pose ta truffe sur le cul d’Alexandre et lui monte sur le dos. Je vois sa bite sortir de son fourreau et venir se présenter sur la rondelle d’Alexandre. Il s’avance encore et, d’un coup de rein, lui ouvre le sphincter pour s’enfoncer en lui jusqu’à la garde.
–La vache, quel salopard, il ne prend pas de gants.
Il s’anime comme un fou dans le fion d’Alexandre. Je suis subjuguée par ce spectacle de cette bite qui défonce le cul de mon homme à un rythme effréné. Je n’en peux plus et je jouis rapidement, la bite d’Alexandre commence à frémir, je vois du sperme sortir du fion d’Alexandre, Hector éjacule dans son antre.
–Putain, il me remplit de sperme, le pied, je vais jouir chérie, je vais jouir.
Un énorme jet de sperme me remplit la bouche. Je me délecte de ce liquide que j’adore boire. Hector continu ses va et vient, je reçois quelques gouttes de sperme sur la figure, mais je n’en ai cure, je suis au septième ciel, je jouis avec mon homme. Nous finissons par nous calmer, Hector se retire et va se coucher sous un arbre pour se lécher la bite. Alexandre se lève et me prend la main.
–Viens chérie, allons prendre une douche et nous coucher.
Nous rentrons dans la maison et prenons une douche ensemble, je ne peux résister et m’accroupie pour prendre en bouche le sexe mou d’Alexandre. Il ne faut pas beaucoup de temps pour qu’il se dresse à la verticale. Je plaque Alexandre contre une paroi de la douche, m’accroche à son cou et me colle contre lui. Il me saisit par les fesses, m’aide à me hisser pour placer son gland sur ma chatte et me laisse tomber pour m’empaler sur ce vit dur comme du bois. Il se déplace pour me plaquer contre une autre paroi et me pistonne comme un fou. Mon plaisir monte très vite, je suis à fleur de peau, le moindre contact me fait partir dans les tours. Mon corps se crispe, je me plaque le plus possible contre lui, une onde se répand dans tout mon être pour exploser en une multitude de petits pétards. C’est le moment que choisi Alexandre pour s’épandre en moi.
–Oui chérie, oui, je jouis, que c’est bon d’être avec toi.
Il se vide en de longs jets de sperme en me maintenant plaquée contre la paroi. Nous finissons par reprendre le court de notre vie, nous finissons de nous doucher et allons nous coucher. Un dernier baiser enflammé dans les bras l’un de l’autre et le sommeil arrive très vite à nous terrasser.
Le lendemain samedi, Alexandre doit se rendre sur son chantier très tôt, nous nous réveillons en catastrophe vers sept heures du matin, le réveil n’a pas sonné, je me suis trompé d’heure. Alexandre doit partir vite, pas le temps de faire l’amour, je suis un peu frustrée. Je me rattrape avec mes engins, mais ce n’est pas pareil. Comme je suis attendue chez Elisa et Michel pour déjeuner, je prends un peu mon temps, j’y arrive vers onze heures, j’ai décidé de récupérer toutes mes affaires qui restent ici pour les mettre chez moi. Vue la chaleur ambiante, je n’ai enfilé qu’un corsage léger et une jupe plissée courte, évidement sans sous-vêtements. Je suis absorbée par ce que je fais quand je sens des mains sur mes fesses. C’est Elisa qui s’est faufilée discrètement derrière moi.
–Surprise.
Je me retourne pour me trouver nez à nez avec elle. Nos lèvres se joignent dans un langoureux baiser. Elisa tourne le dos à la porte restée ouverte. Ses mains parcourent mon corps et finissent par me retrousser ma jupe pour s’occuper de mes fesses et de ma vulve. Etre là, au milieu de ma chambre, la porte ouverte, la jupe remontée jusqu’à la taille, les fesses à l’air, un doigt dans mon anus et un autre sur mon clitoris me font entrer en transe. J’enlace ma sœur très fort et reprends ses lèvres pour un baiser passionné, la vague monte lentement de mon bas ventre. Mon côté famille appréhende la venue de quelqu’un, Michel ou les filles, mais mon côté exhibitionniste le souhaite. C’est le moment que choisi Michel pour entrer dans ma chambre. Son arrivée me fait exploser dans un fabuleux orgasme, je perds l’équilibre, Elisa est dépassée et c’est Michel qui doit intervenir pour m’empêcher de tomber. Quand Elisa réalise que c’est Michel, elle blêmi. Michel nous regarde d’un air stupéfait, il n’arrive pas à réaliser ce qu’il voit, sa mère sa tante qui s’envoient en l’air. Je me rétabli et m’écarte un peu.
–Qu’est ce qui se passe ici ?–Chéri, je pense que tu as compris ce qui se passe ici, mais je n’ai aucune explication à te donner, c’est venu comme ça, nous n’y pouvons rien, nous avons besoin de ça, surtout moi.–Maman, c’est ta sœur.–Oui, je ne le sais que trop bien, mais comme je te l’ai dit, c’est plus fort que moi, il faut que j’ai des contacts charnels avec ma sœur, que je la caresse, que je l’aime. En plus, c’est une très belle femme, et je sais que tu sais que j’aime les femmes.–Comment ça ?–Je suis sûre que Paule vous a parlé de sa trouvaille dans la voiture de ton père.–De quoi parles-tu ?–De vos sorties dans des boites échangistes.–Vous allez dans des boites échangistes, mais je ne savais rien, Paule ne m’en a jamais parlé.–Pourtant je suis sûre qu’elle est au courant.–Ok, tu aimes aussi les femmes, mais Laure est ta sœur.–Et tu peux me jurer que tu n’aimerais pas faire l’amour avec elle si elle n’était pas ta tante.–Oui, bien sûr mais ….–Il n’y a pas de mais, je suis sûre que tu en crève d’envie.–Maman.–Ose me dire le contraire.–Maman.–De toute manière, au point où on en est, je ne pense pas que j’y trouverais à redire.
C’est là que j’interviens.
–Tu ne crois pas si bien dire, car nous avons déjà fait l’amour ensemble, j’ai été sa première femme, et je peux te dire qu’il est doué.–Laure.–Tu vois que tu peux être surprise toi aussi. Vous êtes tous les deux mes « amants », et je dois dire que ça me plait beaucoup.
Nous sommes interrompus par l’arrivée des filles qui déboulent dans la chambre. Tout le monde s’embrasse, j’en profite pour enfiler un string et nous descendons tous au salon. Michel et Elisa se regardent et vont dans la cuisine, je les laisse ensemble, ils ont certaines choses à se dire. Quand Henri arrive, nous passons à table, le repas se passe très bien, à ma grande surprise Laure est très enjouée et tout se passe dans la bonne humeur. Après le repas, Brigitte me prend à part.
–Tu pourrais me raccompagner à la maison ? mes parents rentrent vers vingt heures, et j’aimerais passer un moment avec vous trois.–Mais vous êtes venues comment ?–C’est ma mère qui nous a amené.–Ok, je demande aux filles, mais Michel va rester tout seul avec ses parents.–Tu n’as qu’à lui demander s’il veut bien venir aussi.–Ok, mais ça va limiter nos possibilités.–On verra bien.…/…
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