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Ma drole de famille

Chapitre 16

Inceste
Je vais voir Michel et lui fait la proposition de Brigitte qu’il accepte tout de suite. Henri et Elisa sont d’accord, ils ont envie de rester un peu seuls. J’emmène donc tout le monde dans ma voiture et nous nous retrouvons chez Brigitte vers quinze heures trente. Une fois dans la maison, Brigitte va nous préparer du café pendant que nous nous installons autour de la piscine. Paule et Aline sont très excitées d’être là avec leur frère et moi.
–Tu viens souvent ici Michel ?–Non, les filles ne n’y ont jamais amené, c’est la première fois que je viens, je ne savais même pas qu’il y avait une piscine, sinon j’aurais pris mon maillot de bain, j’ai une folle envie de piquer une tête.
Paule le regarde fixement.
–Tu sais, ici, quand nous sommes qu’entre filles, nous nous baignons toujours toutes nues, c’est super.–Holà les filles, vous ne voudriez quand même pas que nous nous baignons tous à poil.–Et pourquoi pas, Laure, tu es d’accord ?–Pas de problèmes pour moi, je suis naturiste.– Alors, tu as peur de quoi ?–Je ne sais pas, je n’ai jamais pratiqué le naturisme en groupe.–Tu l’a pratiqué comment ?–Non, ce n’est pas du naturisme, mais souvent quand je suis seul, je me baigne nu dans la piscine, j’adore sentir l’eau glisser sur mes fesses.–A ben voilà !!!! Tu aimes être nu, ce n’est pas vrai ?–Oui, j’adore être nu, mais seul, je n’ai jamais été nu en public. J’en ai envie, mais je n’ose pas. Je ne sais pas comment je réagirais nu devant d’autres personnes nues.–Et bien, tu n’as qu’à essayer aujourd’hui avec nous, je pense que tout le monde sera d’accord pour se baigner et comme personne n’a de maillot de bain, sauf Brigitte qui a horreur de ça, il faut se rendre à l’évidence.
Je sens Michel hésiter, il a bien envie d’essayer, mais a peur de ses réactions. Il faut dire que s’il se met à bander, il va y avoir du spectacle. Brigitte arrive avec le café.
–Qui veut du café ?
Tout le monde est d’accord et Brigitte sert cinq tasses.
–Alors, de quoi parliez-vous ?–De se baigner nus.–Il y a un problème.–Oui, Michel n’est pas très chaud, il n’a jamais pratiqué le naturisme.–Soyons sérieux, ici, il n’est pas question de naturisme, mais de se baigner à poil parce que c’est super et aussi un peu érotique. Tu as quelque chose contre l’érotisme Michel ?
Michel devient blanc, il ne s’attendais pas à cette question. Il regarde tour à tour Brigitte, Paule, Aline pour terminer par moi. Je le sens paniqué. Brigitte fini sa tasse et se lève. Elle déboutonne sa robe et la laisse tomber à terre, elle est juste en petit slip blanc ses seins orgueilleusement pointés vers lui. Ses mains se saisissent du slip et le font glisser le long de ses jambes. Une fois entièrement nue, elle s’avance vers lui.
–Est-ce si terrible que ça ?
Michel est livide, il regarde Brigitte avec de grands yeux, c’est manifestement la première fois qu’il la voit nue et il est très impressionné par la beauté de ce corps nu devant lui.
–Tu me trouve comment ?
Il se ressaisi et la regarde dans les yeux.
–Magnifique, tu es magnifique, mais ça je le savais depuis longtemps, la seule chose qui m’étonne, c’est ton sexe lisse. C’est très beau, et comme tu le dis, érotique.–Bon, les filles, vous n’allez pas me laisser seule à poil devant ce splendide mâle. Laure, tu es d’accord ?–Oui, bien sûr.
Paule se lève et fait passer sa robe par-dessus sa tête, vite imitée par Aline. Je me lève et fait valser ma jupe et mon corsage. Je suis aussi excitée qu’une gamine avant son premier baiser. Paule et Aline sont maintenant nues, leurs slips sont à terre. Je laisse tout tomber par terre et pose mes mains sur l’élastique de mon string. Je le fais glisser doucement vers mes chevilles. Michel ne me quitte pas des yeux. Il est fasciné par le spectacle. Les filles plongent dans la piscine nous laissant seuls sur la terrasse. Je le regarde et je remarque l’énorme bosse sous sa ceinture.
–Et bien, qu’est-ce que tu attends, tu ne vas pas me dire que tu es surpris ?–Non, bien sûr, mais je ne sais pas, je ne suis pas à l’aise. Je ne pourrais pas rester de marbre devant toi et Brigitte. Je le sais, je vais être ridicule.–Ecoutes, tout le monde commence comme ça, mais toi, tu as de la chance, ici personne ne te ferra de remarque, au contraire, nous serons fières de l’effet que l’on te fait.–Tu plaisante, je ne vais pas me déshabiller et bander comme un âne devant vous.–Bon, je ne suis pas sûre que tu ne t’attendais pas à ce qui t’arrive. Mais en revanche, je suis sûre que tu savais qu’il y avait une piscine ici, tes sœurs ont dû en parler devant toi, et tu savais qu’elles se baignent nues ici. Donc tu n’as pas amené de maillot de bain sciemment, en toute connaissance. Oses me dire le contraire.Michel encaisse le coup, il baisse les yeux, je sens que je suis dans le vrai. Il savait qu’on allait se baigner et espérait que tout le monde soit à poil.–Ca n’empêche que je vais bander devant tout le monde.–Tu as honte de ton sexe ?–Non bien sûr, mais c’est gênant.–C’est gênant si les personnes qui sont avec toi sont gênées, et je peux te dire que ce ne sera pas le cas. Tu es très beau, toutes les filles sont folles de toi et ne désirent qu’une chose, te voir à poil et s’occuper de toi.–Mais tu es ma tante, tu ne peux pas raisonner comme ça.–Je suis ta tante, mais surtout une fille, et n’oublie pas que nous avons déjà baisé ensemble, ça rapproche.–Tata, ça veut dire quoi ça ?–Rien, lèves toi.
Il se lève et je m’approche très près de lui. Je me saisis de la ceinture de son pantalon et la dégrafe. Je fais passer son tee-shirt par-dessus sa tête, et fait glisser son pantalon le long de ses jambes. Je m’agenouille pour accompagner son pantalon vers ses chevilles. Ce faisant, je me trouve nez à nez avec son slip près à exploser tellement son sexe est tendu. Les filles sont accrochées au bord de la piscine et nous regardent très intéressées. Je pose mes mains sur son slip, l’écarte un peu et le fait glisser vers le bas. En descendant, l’élastique accroche son gland et le tire vers le bas jusqu’à ce qu’il le libère. Son sexe se redresse d’un seul coup et se dresse presque à la verticale. J’ai son énorme gland à deux ou trois centimètres de ma figure. Il pousse un grand soupir et se retourne vers les filles. Elles le regardent, fascinées par cette bite gigantesque surmonté d’un gland monumental. Je le retourne vers moi, toujours agenouillée et pose ma main droite sur ce vit démesuré. Ma main ne peut pas en faire le tour toute seule. Je pose ma deuxième main dessus et le serre en le faisant pivoter face aux filles.
–Qu’en pensez-vous jeunes filles ?
Elles applaudissent et lui demande de venir avec elles.
–Ok, j’arrive.
Il s’avance vers la piscine le sexe érigé tel un totem, il plonge et ressort à l’autre bout de la piscine. Je plonge derrière lui et vais le rejoindre. Il est accroché au bord de la piscine, je viens me coller à lui.
–J’aime ton corps, laisses toi faire.
Il ne bouge plus et attend de voir ce que je vais faire. Je suis sûre qu’il sait comment ça va se finir malgré la présence des filles. Je le fais se tourner et plaquer son dos contre le carrelage de la piscine. Ma main descend vers son sexe et constate qu’il est toujours raide comme une barre de fer. Je teste sa raideur, il ne pli pas. Tout ceci m’a mise dans tous mes états, je sens que je me vide dans la piscine, ma cyprine coule à flot, mon sexe se souvient et ne demande qu’à être de nouveau envahi par ce braquemard hors normes. Je me colle à lui, remonte un peu le long de son corps, me plaque contre son ventre et me laisse descendre doucement les jambes bien ouvertes. Tout à coup, je sens son gland juste à l’entrée de ma grotte. Je m’arrête pour bien apprécier ce moment qui précède la pénétration. Je me laisse aller le plus lentement possible, l’engin démoniaque se glisse doucement au plus profond de mon être, je sens mes lèvres s’ouvrir pour libérer le passage et laisser cette énorme tête chercheuse me posséder entièrement. Je suis écartelée, mes lèvres se distendent au maximum, à la limite du déchirement, je sens une légère douleur, mais mon envie est trop grande pour m’arrêter à ce genre de détail. Une fois le monstre passé, mes lèvres se resserrent sur son membre qu’elles laissent s’enfoncer en moi. Je suis totalement possédée par ce sexe. Je sens son gland sur mon utérus, encore une fois, je ressens cette impression de totale possession, mais bien que très excitante, cette sensation ne peut me faire oublier la première fois avec Alexandre, et cette impression d’amour, de bonheur, de plénitude, ici, ce n’est que du sexe pour le sexe. Quand il sent qu’il ne peut plus aller plus loin, Michel me saisit par les fesses. Il me fait monter et descendre le long de sa bite. Je deviens folle, tout mon être est concentré sur mon con, seules mes petites lèvres ont droit de citer, seule mon vagin peut s’exprimer, mon cerveau est aux abonnés absents, tout le reste de mon corps n’est que sexe et plaisir. Michel maîtrise parfaitement la situation, ce n’est pas la première fois qu’il se comporte comme ça, j’en suis sûre. Soudain, je sens sur mon dos des mains qui me caressent, des lèvres qui m’embrassent, d’autres mains viennent me caresser les seins et pincer mes tétons. Je n’en peux plus, je me laisse aller au plaisir et joui comme une folle, empalée sur ce vit conquérant. Je m’empare des lèvres de Michel et lui donne un baiser passionné qu’il me rend avec fougue.
Au bout d’un petit moment, les filles me tirent en arrière et me dégagent de Michel. Elles me font sortir de la piscine et m’allonger sur un transat. Michel me suit et s’allonge sur un matelas pneumatique juste à côté de moi. Brigitte vient vers moi.
–Tu m’avais promis d’être avec moi la première fois, tu es toujours d’accord ?–Bien sûr.–Viens.
Brigitte se tourne vers Paule qui lui sourit.
–Vas-y chérie, je suis avec toi.
Je me lève en me tournant vers Michel.
–Tu peux venir avec moi une seconde ?–Bien sûr tata.
Il me suit et nous nous dirigeons vers la chambre de Brigitte.
–Comment trouves-tu Brigitte ?–Super canon.–Tu sais qu’elle est vierge et qu’elle en a marre.–Et tu voudrais que je m’en occupe ?–Oui.–Et tu crois que ça va bien se passer, si elle est vierge, je vais la défoncer, je ne veux pas lui faire mal, je veux qu’elle garde un bon souvenir de cet instant où elle perd sa virginité, toute sa vie sexuelle en dépend.–Tu ne trouves pas que tu exagère un peu ?–Mais tu te rends compte avec mon engin ?–Ne serait-ce pas toi qui a peur de dépuceler une fille, tu l’as déjà fait ?–Non, jamais, et c’est vrai, je ne veux pas lui faire mal.–Ecoutes, si je me rends compte qu’il y a un problème, j’arrête tout, ne t’en fait pas, Brigitte est d’accord, elle veut que ce soit toi parce qu’elle te connait et a confiance en toi, elle sait que tu seras le plus délicat possible.–Bon, ok.–Reste là, je vais chercher Brigitte.
Je me retourne vers la porte pour sortir, mais Brigitte est là, adossée au chambranle qui nous écoute.
–Tu es là depuis longtemps ?–Oui, j’ai tout entendu et je suis de plus en plus décidé de le faire avec Michel, je sais que tout va bien se passer, j’ai trop envie d’avoir ton sexe dans le mien, j’ai trop envie de toi Michel.–Je dois dire que tu ne me laisse pas indifférent, la preuve.
Il se penche sur son sexe qui se redresse doucement. Brigitte s’approche de lui et s’en saisi. Elle le palpe, le serre ce qui a pour effet de le faire se redresser de plus en plus jusqu’à être tendu au maximum. Je vois que Brigitte est un peu impressionnée par ce qu’elle voit et touche.
–Il est très gros.–Si tu veux, on arrête.–Pas du tout, tiens Michel, constate l’effet que tu me fais.
Elle prend une main de Michel et la porte à son sexe.
–Oui, je dois dire que le chemin est bien lubrifié, mais je ne pense pas que ce soit suffisant.
Je m’approche, prend Brigitte par les épaules, l’amène sur son lit et l’allonge sur le dos les jambes bien ouvertes. Je me penche sur son sexe pour la préparer à ce qui va suivre. Ma langue s’active sur ses lèvres et son clitoris, elle ondule doucement des hanches, je sens que la pression monte, moi-même, je commence à m’épandre sur mes cuisses, quand tout à coup, un objet cogne à mes lèvres et les écarte. C’est l’énorme bite de Michel qui s’introduit en moi en me dilatant la moule.
–Juste pour lubrifier.
Il fait quelques aller-retours, je suis en transe, j’aimerai qu’il se vide en moi, mais je sais que ce n’est pas son but. Je redresse la tête.
–Je crois qu’elle est prête maintenant.
Je libère le passage non sans lui avoir écarté les cuisses au maximum et déposé un dernier baiser sur ses lèvres ruisselantes de cyprine. Michel vient sur elle, il s’allonge au-dessus d’elle sans la toucher et amène son sexe à l’entrée de sa grotte, il la positionne bien et commence sa poussée. Je m’agenouille derrière lui pour voir ce qui se passe. L’énorme gland de Michel écarte les lèvres de Brigitte et s’enfonce doucement. Brigitte se crispe, Michel s’arrête de pousser.
–Aille !!–Ca ne va pas ?–J’ai très mal, c’est normal ?
Je regarde ou ils en sont.
–Oui, c’est normal d’avoir mal la première fois, quand l’hymen se rompt, mais si tu commences à avoir mal alors que le sexe de Michel est à peine à l’entrée de ton vagin, je crois qu’il faut tout arrêter, il est trop gros pour toi la première fois.–Tu es sûre ?–Oui.
Michel se dégage, se couche à côté d’elle et la prend dans ses bras.
–Il est hors de question que je te fasse trop mal et que tu souffres à cause de moi, je veux que tu gardes un excellent souvenir de ta première fois, et avec moi, ce ne sera pas le cas.–C’est dommage, j’aurais tant voulu avoir ton sexe dans le mien.–Pourquoi mon sexe ?–A cause de sa taille, je veux faire l’amour avec un sexe gigantesque, et c’est le cas du tien.–Une autre fois si tu y tiens, mais pas aujourd’hui.–Une fois que je ne serais plus vierge, tu voudras bien me faire l’amour ?–Bien sûr, comment refuser de te faire l’amour, tu es si belle.
Michel se lève, je me jette sur le sexe de Brigitte pour lui donner un peu de plaisir afin d’atténuer sa déception. J’entends Michel se positionner derrière moi, il me prend par les hanches et m’empale d’un seul coup, la surprise de cette brusque intrusion fait que je manque de m’étrangler.
–Holà Michel !!–Je sais que tu aimes ça ma tata chérie.–Oui, et tu peux continuer pendant que je m’occupe de Brigitte.
Ma langue s’active sur le clitoris de Brigitte au rythme que m’impose Michel par ses coups de butoirs, elle réagit en ondulant des hanches, elle pose ses mains sur ma tête pour bien me plaquer sur sa vulve. Je sens l’orgasme monter en moi, mais c’est Brigitte qui part la première et explose dans splendide orgasme.
–AAAAAHHHHH
Elle cri, plutôt, elle hurle son plaisir, toute la maison est au courant. Michel jouit à son tour en se vidant en moi, ce qui me fait jouir à mon tour. Je remonte le long de son corps pour poser mes lèvres sur les siennes et échanger un long baiser. Une fois calmées, nous nous asseyons sur le lit. Michel quitte la pièce.
–J’aime mon goût, pas toi ?–Moi aussi, j’aime ton goût, mais j’aime aussi mon goût.–Mais moi aussi j’aime ton goût.
Nous éclatons de rire, à priori Brigitte n’est pas trop affectée par cet échec.
–Ecoutes ma chérie, je connais quelqu’un qui a un sexe un peu plus petit que celui de Michel, ça te dis d’essayer avec lui, je suis sûre qu’il sera d’accord et que tout se passerait bien.–A bon, mais c’est qui ?–Alexandre.–Mais c’est ton mec !–Oui, mais tu sais, nous sommes très ouverts, et si je lui expose ton problème, je suis sûre qu’il voudra bien t’aider à la résoudre, tu serais d’accord ?–Bien sûr, il est canon ton mec.–Ok, je lui en parle.…/…
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