Nous descendons à la piscine pour voir Michel allongé sur un transat entouré de Paule et Aline. Elles sont de chaque côté du transat et s’amusent avec son sexe raide comme un passe-lacet. Nous nous asseyons à côté pour voir comment tout ceci va se terminer. Au bout d’un moment, Paule se saisi de la verge de Michel de la main droite et commence une masturbation en règle. Aline se joint à elle en la saisissant de sa main gauche. Les deux filles synchronisent leurs mouvements, elles le masturbent lentement sur toute la longueur du membre. Michel respire doucement les yeux fermés. Elles posent leurs têtes sur le ventre de Michel et continuent leur masturbation. Cela dure de longues minutes, jusqu’à ce que la respiration de Michel accélère et qu’il donne des signes de crispations. –Je vais jouir les filles, attention.–Oui, jouis, on veut te voir jouir. Elles continuent jusqu’au moment où Michel se raidi et un violent jet de sperme sort de son sexe. Paule qui était le plus près reçoit le jet dans la figure, elle se recule un peu juste au moment où Michel lâche un second jet qui vient s’écraser sur le visage d’Aline. Deux autres jets suivent, mais atterrissent sur son ventre. Les filles se regardent, et éclate de rire. Leurs visages s’approchent l’un de l’autre et elles échangent un baiser. Aline prend la tête de Paule dans ses mains et lui lèche le sperme qui macule son visage. Quand elle a fini, c’est Paule qui lui rend la politesse. Elles se regardent et se jettent sur son ventre pour le nettoyer. Je suis scotchée par cette scène, il est impossible pour moi que ces filles voient pour la première fois du sperme, je commence à douter de leur virginité. Quand Michel est propre, elles se redressent et s’assoient à côté de lui. –C’était bon frérot ?–Super les filles, mais vous, vous n’avez pas joui.–Ce n’est pas grave, le plus embêtant c’est que tu ne puisses pas me dépuceler, si tu n’as pas pu avec Brigitte, je ne veux pas tenter le coup, tu as une trop belle bite mon frère chéri.–Je pense que c’est plus prudent. Je me lève et vais plonger dans la piscine, les filles et Michel me suivent. Nous nous amusons pendant un quart d’heure, les filles discutent entre elles, Aline vient vers moi. –Dis donc, tu peux faire l’amour avec Michel toi ?–Oui, et d’ailleurs je l’ai déjà fait pourquoi ?–Vous pourriez nous montrer comment vous faites ?–Tu veux qu’on fasse l’amour devant vous ?–Oui, ça te gêne ?–Non, pas du tout, je présume que vous aimeriez que ça se fasse tout de suite.–Oui.–Voyons voir ce qu’en pense Michel. Michel est sorti de l’eau et, il se bronze au soleil. Il a les yeux fermés, les mains derrière la tête et la bite avachie sur son ventre. Je pose ma main sur ses couilles pour les soupeser, ce qui le réveille.
–Et bien tata.–Il fallait que j’attire ton attention.–C’est fait.–Les filles aimeraient que nous copulions devant elles.–Quoi ?–Que nous baisions, nous nous envoyons en l’air, nous faisions l’amour tous les deux devant elles, tu comprends là ?–Tout de suite ?–Oui.–Pourquoi ?–Pour voir ce que fait un sexe comme le tien dans une petite chatte comme la mienne.–Que dans ta chatte ?–Holà, je vois que tu as pris goût à la sodomie.–J’avoue que oui, c’est différent.–Oui, mais ici, je n’ai pas mon matos et je ne vois pas comment faire.–Tu as vu « Dernier tango à Paris » ?–Non, pourquoi.–Parce que Marlon Brando a trouvé la solution.–A bon, et c’est quoi.–Il dit simplement à Maria scheider « Fais-moi passer le beurre ».–A ouai d’accord, tu veux m’enculer avec du beurre, décidément tu n’arrêteras pas de m’étonner.–D’accord ?–Tu sais très bien que je suis toujours partante quand il s’agit de sexe. Je monte faire une toilette intime, prépares le beurre.–Ok. Je vais vers la piscine ou attendent les filles. –Ok les filles, vous allez pouvoir voir ce qu’est une bite dans une chatte, mais aussi dans un fion.–Un quoi ?–Un trou de balle, un cul, un anus, une rondelle, un rectum quoi.–Il va te sodomiser ?–Oui, vous n’êtes pas d’accord ?–Si mais il va te mettre son sexe dans le cul, ça ne va pas te faire mal ?–Ne vous en faites pas les filles, mon cul en a vu d’autre et des meilleurs, mais je dois aller me préparer, Brigitte, je dois aller faire une toilette intime, ou puis-je faire ça ?–Je t’accompagne. Elle sort de l’eau et me précède. Je la suis en admirant ce corps ruisselant onduler devant moi. Quand nous sommes au milieu de l’escalier, je lui saisis les hanches et lui embrasse les fesses, elle se laisse faire, même quand je les écarte pour lui titiller la rondelle avec ma langue. –Oui, c’est bon. Elle continue tout de même à monter les escaliers et me donne une serviette et du gel douche. –Tu connais le chemin.–Ok, à tout à l’heure. Elle me quitte et je vais me faire un lavement approfondi. Je vais dans la salle de bain pour prendre ma douche et je tombe sur Brigitte, assise sur la chaise de la coiffeuse les jambes grandes ouvertes, qui se masturbe. Mon apparition ne la gêne absolument pas et elle continue mais en me regardant droit dans les yeux. Je m’assoie par terre, écarte les jambes et me masturbe aussi devant elle. Nous nous regardons droit dans les yeux et le plaisir monte rapidement. Brigitte se raidi. –Regarde Laure, je jouis pour toi, ça y est, je parts. Je la vois se tordre de plaisir devant moi en exprimant son plaisir. –AAAAAHHHHH Ce spectacle m’excite et j’accélère le mouvement sur mon clitoris. Brigitte se lève et se jette par terre pour venir plaquer ses lèvres sur mon sexe. Sa langue s’affaire sur mon petit bouton et me fait exploser dans un superbe orgasme. J’ai les jambes coupées, elle doit m’aider à me lever. –Je te laisse, nous t’attendons en bas pour le spectacle. Elle me quitte, je prends ma douche et vais les rejoindre quelques minutes plus tard. Les filles s’occupent de Michel qui bande comme un âne. –Voilà Laure, il est prêt.–Comment voulez-vous que nous fassions ?–Si on veut bien voir, il faut que tu te mettes sur le dos au bord du transat en bois, et que Michel te prenne en missionnaire.–Moi je pense que vous auriez une meilleure vision si Michel me prenait en levrette, vous pourrez vous mettre derrière ou sous moi, qu’en penses-tu Michel ?–Je pense comme toi.–Ok, faites comme vous le sentez, mais faites-le tout de suite.–Ces demoiselles sont pressées à ce que je vois, allez Michel en piste pour le spectacle.
Je m’allonge sur le dos sur le transat, Michel vient entre mes jambes et s’occupe de mon minou pour me mettre en condition. Le fait de m’offrir en spectacle à mes nièces et leur copine m’excite au plus haut point, il ne faut que quelques coups de langue pour que ma cyprine coule à flot. Brigitte étale une couverture sur le gazon, je me lève et viens me mettre à quatre pattes, Michel s’installe derrière moi, il bande déjà fort. Paule se calle sous moi, la tête entre mes jambes, elle a une vue imprenable sur ma vulve luisante, Brigitte et Aline s’accroupissent derrière Michel. Le spectacle peut commencer. Michel présente sa verge devant ma vulve. Il positionne son gland sur mes lèvres. Il pousse doucement et son gland s’enfonce petit à petit dans ma chatte. Mes lèvres se distendent, je les imagine devenir blanches tellement elles sont tendues. –Ho la vache, il la défonce. Le gland passe la barrière des lèvres et s’enfonce lentement en moi. Je suis aux anges, ce gigantesque vit me pénètre une nouvelle fois, mais en plus devant trois filles dont deux ne rêvent que d’être à ma place. Quand il est au fond, Michel s’arrête de pousser, je ne sens pas son pubis sur mes fesses, il doit rester encore un peu de son sexe en dehors de mon vagin. –Vous voyez les filles, je suis au fond du sexe de tata, et je pourrais encore en mettre un peu, je ne peux pas vous dépuceler, je ne réussirais qu’à vous défoncer et à vous dégouter de l’amour.–Ok, mais vas-y, défonce la puisque tu peux le faire avec elle.–Oui Michel, défonce moi, baise moi comme une chienne. Michel se déchaîne en moi, ce que je viens de dire me fais penser à Hector et je l’imagine me défoncer avec la bite de Michel, ce serait un carnage, mais un carnage qui me ferait aller au septième ciel. Michel s’active toujours en moi, je sens ma cyprine couler le long de mes cuisses. Tout à coup, une langue vient me titiller le clitoris, c’est Paule qui s’est redresser pour me brouter le minou. Je n’en peux plus et j’éclate dans un orgasme comme rarement j’en ai eu, je ne peux plus résister, je repli mes bras et je m’écroule sur le pubis de Paule qui continu à me sucer la chatte. Elle ruisselle de cyprine et je ne peux m’empêcher de prendre possession de cette foufoune offerte. Michel finit par jouir en de longs jets de sperme. Il se retire, ce qui me permet de me poser sur Paule qui s’occupe toujours de mon sexe. Nous nous activons mutuellement sur nos sexes jusqu’à l’orgasme commun. J’ai toujours les jambes ouvertes, une langue vient me lécher entre les lèvres d’où coule le trop plein de sperme de Michel. –Hum, que c’est bon le sperme, je crois que je préfère à la cyprine.–Laisse m’en un petit peu s’il te plait. Une autre langue vient remplacer la première pour finir de me nettoyer la vulve. Nous finissons par nous lever Paule et moi et allons nous assoir sur la margelle de la piscine, les pieds dans l’eau. –Alors Paule, qu’en as-tu pensé de ce spectacle ?–Magnifique, ce sexe qui glissait sans efforts dans ton vagin, c’était superbe à voir, mais surtout ce que j’ai apprécié, c’est la proximité de cette bite quand je te titillais le clitoris, j’ai eu envie de la lécher, je crois que mon penchant pour les filles ne va pas être exclusif, j’ai quand même envie de ressentir ce que tu as ressenti tout à l’heure, j’ai vraiment senti que tu étais au summum du plaisir.–Tu sais, être lesbienne n’est pas une tare, tu pourrais très bien le vivre, mais si tu te sens attiré aussi par les hommes, je dirais tant mieux, comme ça tu pourras gouter à tous les plaisirs de l’amour et je peux t’assurer que certains hommes savent te donner beaucoup de plaisir.–Suis moi. Paule se laisse glisser dans l’eau et je l’imite, nous nageons un peu quand le téléphone sonne. Paule sort de l’eau et se précipite dans la maison. Elle revient deux minutes plus tard toute contente. –Mes parents ne rentrent pas ce soir, ils ont téléphoné à Elisa qui leur a dit que nous étions ici. Nous pouvons passer la nuit ici, Elisa et Henri sont d’accord, qu’en pensez-vous ? Tout le monde est d’accord, mais il faut que je prévienne Alexandre qui est sensé me rejoindre à la maison. Nous allons lui téléphoner avec Brigitte, nous lui donnons l’adresse, il nous dit qu’il sera là en fin d’après-midi. Nous retournons rejoindre les autres. Michel est allongé sur le dos sur un transat et Paule et Aline le caressent, il bande très fort. –Nous te l’avons entretenu.–Merci les filles, mais maintenant il faut passer aux choses sérieuses. Michel, tu t’occupes du beurre ? Je me mets à quatre pattes sur la couverture. Michel me badigeonne l’anus de beurre qui a eu le temps de ramollir un peu. Il le fait pénétrer dans mon conduit avec deux doigts. Les filles le regardent faire avec intérêt. Il ajoute un troisième doigt et me pistonne en ajoutant du beurre de temps en temps. Je sens mon sphincter se détendre petit à petit. –Je crois que tu es prête, tata.–Ok, vas-y. Michel s’agenouille derrière moi, cette fois-ci c’est Brigitte qui se met sous moi, mes nièces sont à côté de Michel. Je sens son gland venir se positionner contre ma rondelle. Il me saisit par les hanches. –Prête tata ?–Vas-y, défonce moi, fait voir à ces donzelles ce que tu sais faire, ne prend pas de gants, vas-y franco. Michel donne un grand coup de rein et me transperce d’un seul coup jusqu’aux couilles. Je sens une violente douleur, mais je m’y attendais, je ne réagis pas, je ne veux pas effrayer les filles. Il me sodomise sauvagement sur toute la longueur de sa bite en augmentant l’amplitude du mouvement de telle sorte que son sexe sort de mon anus pour le pourfendre à nouveau à chaque fois. –Ho mon dieu !! C’est Paule qui réagit à ce spectacle. Cette fois-ci, c’est Brigitte qui vient s’occuper de ma chatte avec sa langue. Je résiste mieux et Michel est obligé de se donner au maximum. –Oui, vas-y, défonce moi, j’en veux encore, fait moi exploser la rondelle, vas-y, vas-y, encore, plus vite. J’obtiens ce que je désirais, Michel se donne à fond, je sens son gland me parcourir le conduit anal sur une bonne trentaine de centimètre, jamais, même lui, quelqu’un ne m’avait défoncé le cul comme cette fois-ci. Il ne résiste plus. –Tata, je vais jouir, viens avec moi, serre moi plus, joui, joui, ça y est, je jouis. Un jet puissant de sperme me remplit, cette sensation de possession plus la langue de Brigitte font que je pars à mon tour dans un magnifique orgasme. Quand Michel se dégage, comme tout à l’heure, je m’écroule sur Brigitte, mais je tombe sur une main qui s’occupe de son petit bouton, elle se masturbe en me léchant. Comme tout à l’heure, une langue se pose sur mon anus et me lèche. –C’est décidément divin ce sperme. J’écarte le doigt et pose ma bouche sur sa chatte juste au moment où elle part elle aussi dans un méga orgasme, elle ouvre ses jambes au maximum, les remonte et me serre la tête pour m’immobiliser sur son sexe. –Oui, quel pied, ta langue, ta langue, encore. Je m’active sur son clitoris jusqu’à ce que je la sente se détendre. Une autre langue remplace la première, pendant que mon anus se referme lentement, le traitement qu’il a subi a dû le traumatiser un peu, mais moi par contre, je suis aux anges, j’ai absolument adoré. Nous finissons par nous lever, les filles me prennent dans leurs bras et me couvrent de baiser. –C’était super, vivement que je puisse en faire autant.–Ne t’en fait pas Aline, tu en feras autant dans peu de temps, ce n’est qu’une question d’entrainement. Pour l’instant, ce qu’il me faut c’est une bonne douche.–Ok, je crois qu’on en a tous besoin, allez, suivez-moi. Nous suivons Brigitte dans la grande salle de bain, tout le monde se frotte, se lave mutuellement. C’est une joyeuse pagaille et, évidemment, Michel est le centre d’intérêt des filles. Il finit par avoir son sexe érigé comme un totem. C’est Aline qui prend la première l’initiative de s’agenouiller devant lui. Elle tente de gober ce majestueux vit. Les deux autres filles l’imitent et chacune leur tour elles essayent de le prendre en bouche. Elles le lèchent, le sucent du bout des lèvres, le mordillent. C’est Brigitte qui réussit à l’avaler le plus, elle embouche pratiquement la totalité de son gland. Le jeu dure, tant et si bien que Michel est au bord de la jouissance. –Doucement les filles, je vais jouir.–C’est bien ce qu’on veut obtenir mon cher frère.Elles continuent leur manège.–Ok, c’est pour maintenant. Michel se raidi, Aline se précipite sur son gland en ouvrant la bouche. Elle l’a à peine embouché qu’elle reçoit un énorme jet de sperme en pleine bouche, elle a un mouvement de recul, ce que met à profit Brigitte pour prendre sa place et recevoir les jets suivants. Quand Michel s’est entièrement vidé dans ces bouches accueillantes, les deux filles s’embrassent et mélangent leur trésor pour le boire ensemble. –Putain que c’est bon.–Je suis d’accord, c’est excellent et je crois que je vais me spécialiser dans la chose. Tout le monde rit, mais il faut finir de se laver, le temps passe. Un quart d’heure plus tard, nous sommes tous habillés au salon à boire une boisson fraîche. Je commence à préparer le diner avec Brigitte tandis que Michel et ses sœurs se taquinent. Je remarque que Michel laisse volontiers trainer ses mains sur les formes de ses sœurs et qu’elles en redemandent en lui rendant la politesse. Une bosse significative apparait sous la ceinture de Michel. J’ai peur que ça tourne à la partouze et j’interviens. –Bon les enfants, il serait plus sage de rester tranquille, en tout cas jusqu’à l’arrivée d’Alexandre, il ne faudrait pas qu’il débarque au milieu d’une partouze entre frère et sœurs.–Ok tata, on se calme, mais c’est dommage n’est-ce pas les filles.–Très dommage, on commençait à se connaitre un peu.–Les filles, vous connaissez la maison, alors aidez votre frère à mettre la table, nous sommes six.…/…
