Ils s’exécutent tous les trois et je retourne aider Brigitte. Alexandre arrive vers dix-neuf heures trente, nous prenons un apéro dans le salon. La discussion va bon train jusqu’à ce que nous passions à table. Le repas est vite expédié, tout le monde attend quelque chose sans vraiment savoir quoi. Nous passons au salon ou la discussion se réactive. Comme elles se rendent compte qu’Alexandre et moi formons un couple très libre, les filles finissent par lui raconter dans le détail notre après-midi. Je sens les filles s’exciter de plus en plus. Alexandre à l’air d’être à l’aise et je me laisse aller à quelques confidences sur ce que j’ai ressenti. La discussion arrive sur le sujet de la grosseur d’un sexe. Paule me demande de décrire la différence entre ce que je ressens avec Michel et ce que je ressens avec Alexandre. Je suis un peu prise au dépourvu, mais Alexandre intervient. –Vas-y chérie, moi je connais ta réponse parce qu’on en a déjà parlé, je pense que ça peut donner aux filles une bonne idée de ce qu’elles vont ressentir plus tard. Je leur explique donc la différence d’impression que j’ai avec l’énorme bite de Michel qui me remplit à m’en couper le souffle et me fais jouir comme une folle simplement par le fait que sa grosseur fait fantasmer, et l’impression de plénitude, de bonheur et de bien être que j’ai avec la bite moins grosse d’Alexandre mais transcendée par l’amour qui me fais encore plus jouir comme une folle. Aline se lève et demande la parole. –C’est bien beau tout ça, mais ce n’est que théorique, moi je veux me rendre compte de visu. Michel la regarde. –Tu m’as bien vu à poil cet après-midi.–Oui, mais je n’ai pas vu Alexandre à poil. Un lourd silence plombe la pièce, tout le monde regarde Alexandre, il nous regarde tous et s’arrête sur Aline. –Tu était toi aussi à poil si j’ai bien compris.–Oui, nous étions tous à poil.–Et bien qu’à cela ne tienne, !! TOUS A POIL !! Il se lève et commence à défaire sa ceinture. Tout le monde se lève et moins d’une minute plus tard, nous sommes tous à poil. Je remarque que bien que d’une taille déjà plus que respectable, le sexe d’Alexandre fait petit à côté de celui de Michel qui ressemble plus à un sexe d’âne que d’homme. Une voix se lève. –Et si nous allions piquer une tête. Tout le monde se dirige vers la piscine pour se glisser dans l’eau. Après avoir nagé un peu au milieu de tout le monde, je suis contre une paroi, accrochée à la margelle, à me détendre quand Brigitte vient vers moi.
–Tu m’as bien dit qu’Alexandre pourrait s’occuper de moi.–Oui, mais je n’ai pas eu le temps de lui en parler.–Fais le vite s’il te plait, je n’en peux plus après cet après-midi, j’en ai marre d’être vierge, je veux me faire sauter cet saloperie d’hymen.–Chérie, patience, il faut que ce soit un beau jour pour toi, tu ne peux pas te laisser déflorer par n’importe qui, surtout pas par un puceau, il te déchirerait.–Je veux bien, mais Alexandre n’a pas un sexe aussi monstrueux que celui de Michel, je pense qu’il devrait bien y arriver lui.–Je vais lui en parler, ou est-il ?–Derrière toi ma chérie. Je me retourne et je vois Alexandre allongé sur une serviette sur la terrasse la tête à dix centimètres de la mienne. –Tu vois, on peut te surprendre quand tu es absorbée par une conversation.–Ok, tu as compris de quoi il s’agissait ?–De déflorer Brigitte. Elle rougit comme une pivoine. –Ne t’en fait pas Brigitte, je suis à ton entière disposition si Laure me le demande, car je ne le ferais pas sans sa permission.–Alexandre, veux-tu avoir la gentillesse de déflorer cette pauvre Brigitte qui n’en peut plus d’être vierge ?–Bien sûr ma chérie, et je peux même dire que ce ne sera pas une corvée.–Ca, je le savais déjà.–Tu veux qu’on fasse ça quand Brigitte ?–Tout de suite, je suis à bout, je ne pense plus qu’à ça.–Il va falloir que je mette une capote, ce serait plus prudent.–Si c’est pour ne pas m’engrosser, maman m’a fait prendre la pilule depuis six mois justement en prévision de ce moment, pas de problème.–Ok, voilà une bonne nouvelle, sort de l’eau, je vais prendre une douche, Laure montre-moi. Nous sortons de l’eau, Brigitte s’arrête au bord de la margelle et se tourne vers Michel, Paule et Aline qui jouent ensemble à des jeux plus ou moins interdits. –Ca y est, c’est pour tout de suite, je vais le perdre, Alexandre s’en occupe. Aline et Paule sautent de joie et sortent de la piscine pour venir l’embrasser. J’amène Alexandre dans une salle de bain, nous prenons tous les deux une douche. J’en profite pour le préparer un peu, mais sans plus, je veux le faire devant les filles. Mais j’ai une nouvelle idée. –Tu sais déjà que Michel et moi avons fait l’amour ensemble.–Oui, tu me l’as déjà dit.–J’aimerais que, pendant que tu dépucèle Brigitte, je me fasse prendre par Michel à côté d’elle, comme ça, elle sera plus excitée et plus réceptive.–Ok, c’est une bonne idée. Nous descendons rejoindre le groupe. Brigitte est allongée sur le dos sur une couverture les jambes grandes ouvertes. Paule est installée entre ses cuisses et lui fait une minette, Brigitte se tord de plaisir, elle doit être au summum de l’excitation. Je dis à Michel ce qu’on attend de lui, il est évidemment d’accord. Je demande à Aline de s’occuper de son frère, ce qu’elle accepte avec plaisir. Elle s’empare de sa queue encore molle et commence une masturbation en règle qui fait tout de suite son petit effet. J’immobilise Alexandre, m’agenouille devant lui et lui gobe sa bite pendante mollement entre ses jambes. Les filles me regardent et voient que ma fellation fait aussi son effet quand je me retire devant un vit orgueilleusement dressé vers le ciel. Je libère Alexandre qui va s’allonger à côté de Brigitte. –Tout va bien Brigitte ?–Oui, je suis prête, mais d’abord, j’aimerais t’embrasser, mais je ne sais pas ce que va en penser Laure.–Ne t’en fait pas, c’est parce que Laure me l’a demandé que je suis là, elle comprendra que tu veuilles aller jusqu’à bout de ton plaisir. Elle passe son bras sous son cou et l’attire vers elle, il se tourne et tombe au deux tiers sur elle. Ils échangent un long baiser pendant lequel Alexandre se positionne sur elle en se maintenant sur ses coudes pour ne pas trop l’écraser. Sa bite s’est posé sur son pubis, je me penche, m’en saisi et la dirige vers l’entrée du puit d’amour de Brigitte. Paule se penche sur moi. –S’il te plait, laisse-moi le faire.–Ok ma chérie. Paule s’empare du sexe d’Alexandre et lui fais faire un mouvement de bas en haut pour parcourir toutes ses lèvres. Le gland les écarte de bas en haut et s’immobilise de temps en temps sur le clitoris qui émerge de plus en plus. Sa vulve est luisante de cyprine, elle est parfaitement préparée. Le bassin de Brigitte commence à onduler, Paule lâche la bite de mon homme qui se positionne juste à l’entrée de son vagin. Elle donne une petite claque sur les fesses d’Alexandre qui commence à pousser doucement en avant en se redressant sur ses bras. Je vais me mettre à quatre pattes à côté de Brigitte, les bras tendus, les jambes écartées, la vulve ouverte de manière à ce qu’elle puisse bien voir la bite de Michel me pénétrer. Je me penche vers Alexandre, nos lèvres se rencontrent et nous échangeons un merveilleux baiser. Je suis dans une étrange situation, j’embrasse l’homme que j’aime et avec qui, j’en suis sûre, je finirais ma vie tout en le prêtant à une gamine qui rêve de perdre son pucelage, le tout en attendant que la bite de mon neveu vienne me perforer la chatte. Aline s’est couchée à plat ventre entre les jambes de Brigitte, derrière Alexandre, pour ne rien rater du dépucelage de sa copine. Paule est venue s’allonger à côté d’elle et lui a pris la main, elle se tourne vers elle et ne la quitte pas des yeux. Michel se met derrière moi. –J’arrive tata. Il me saisit par les hanches, me plante son sexe d’un seul coup jusqu’au fond et commence ses va et vient. Brigitte a l’air d’apprécier le petit cadeau. –Ho lala Laure, cette énorme bite qui coulisse dans ta chatte, oui, continuez, montrez-moi ce que me fait Alexandre, allez-y.Michel va et vient en moi lentement, en faisant coulisser sa bite sur toute sa longueur. –Oui Alexandre, vas-y, enfonce toi en moi, je sens ton sexe dans mon sexe, j’aime, je n’ai pas mal, continu, continu. Alexandre pousse encore doucement. –Hola, ça devient plus résistant.–Vas-y, continu, je n’ai pas mal, continu, il va céder. Alexandre s’enfonce encore un peu jusqu’à ce que son pubis vienne au contact des lèvres de Brigitte. –Oui, Ho lala oui, ça y est, je ne suis plus vierge, je le sens au plus profond de moi, je n’ai pas mal, vas-y Alexandre, vas-y fais-moi l’amour comme à une vraie femme. Paule embrasse la main de Brigitte. Alexandre s’active doucement en elle pendant que Michel me besogne. –Oui, continu, je te sens en moi, continu, c’est tellement merveilleux, oh oui, continu, continu. Brigitte est de plus en plus prise par son plaisir qu’elle sent monter en elle. Moi-même je commence à ressentir les prémices d’un violent orgasme, la bite de Michel qui remplit ma chatte à côté d’Alexandre, le fait qu’il baise une autre personne pendant que je me fais baiser par un tiers font que je ne suis plus en possession de mon corps, c’est lui qui commande et il veut exploser dans un énorme feu d’artifice. Je me laisse aller et profite au maximum du moment. –J’arrive tata. Je sens le sexe de Michel palpiter de plus en plus fort et soudain un violent jet me remplit la vulve. C’en est trop, j’explose, mon corps se déchaine, il est parcouru de million de petites explosions de la tête aux pieds. –Oui, je viens, comme toi Laure chérie, comme toi, je joui, je joui, AAAAAHHHHH. Je vois Alexandre se raidir, il se vide en elle en silence. –Oui, oui, jouis, jouis, je te sens, jouis encore, AAAAAHHHHH que c’est bon, je suis une vraie femme, une vraie femme. Il nous faut quelques minutes pour que nous arrivions à tous redescendre sur terre. Cette situation m’a fait jouir comme rarement, c’est un de mes plus violent orgasme, mais je sais que je ne referais jamais la même chose. Alexandre s’allonge à côté de Brigitte qui reste inerte, les jambes ouvertes. Paule se tourne et se couche à moitié sur elle. Elle pose ses lèvres sur les siennes pour un court baiser. –Tu es bien ma chérie.–Merveilleusement bien mon amour, depuis notre rencontre, c’est le plus beau jour de ma vie. Tu ne veux pas en faire autant ? Même si tu n’aimes pas trop les hommes, c’est un moment extraordinaire pour une fille, et j’ai joui comme jamais, ce n’est pas la même chose qu’avec une fille, c’est plus violent.–Je ne sais pas, d’un côté, je n’ai pas trop envie, tu sais que je ne suis pas fana des hommes, alors me faire baiser par l’un d’eux, mais d’un autre côté, quand je t’ai vu avoir tant de plaisir, être si heureuse, je me suis dit que je devrais t’imiter et demander à Alexandre de s’occuper de moi aussi, même si je ne dois pas aller plus loin avec les hommes. Au moins, je saurais à quoi m’en tenir, je connaitrais l’autre côté.–Et nous pourrions utiliser des petits jouets, c’est à toi de voir.–Tu n’as vraiment pas mal ?–Non, juste une toute petite gène, mais sans conséquence, je te promets, je n’ai jamais été aussi heureuse de ma vie, je suis bien, et en plus tu étais là, avec moi, j’ai eu l’impression que nous jouissions ensemble. Viens chérie, embrasse-moi. Elles s’embrassent passionnément, mais Aline aimerait bien perdre son pucelage elle aussi. Elle vient vers Alexandre. –Et moi, j’aurais aussi droit à ta sollicitude ?–Ecoute Aline, je viens de me dépenser sans réserves, laisse-moi au moins le temps de récupérer et il faut en plus que ce soit Laure qui me fasse une demande officielle.–Tu plaisante ?–Non, il faut que tu lui demande.Aline se tourne vers moi.–Laure ?–Oui ma chérie.–Il plaisante.–Pas le moins du monde, tu n’imagines pas qu’il va te dépuceler sans que je sois d’accord, tu sembles un peu oublier que c’est mon homme.–Non, mais je suis au bord de la crise de nerf, je viens de voir ma meilleure amie devenir femme et prendre un super pied, j’aimerai aussi faire comme elle.–Donc tu veux que je demande à Alexandre qu’il s’occupe de toi ?–Oui.–Et bien demandes moi de lui demander, et ma réponse dépendra de ta demande.–Ok, mais comment ?–A toi de voir.–Laure chérie veux-tu demander à ton amour de faire de moi une femme ?–Voilà, demandé comme ça, je ne peux pas refuser.Je me tourne vers Alexandre.–Chérie, aurais tu l’obligeance de faire d’Aline, ici présente, une femme.–Si tu le veux mon amour, mais pas avant une petite demi-heure, il faut que je récupère à fond.–Ok, Aline, tu prends la pilule je crois.–Oui, comme Paule. Aline vient Alexandre lui faire une bise et va vers sa sœur et Brigitte. Elles sont sur la couverture tête-bêche à se brouter le minou. Aline se joint à elles et ça devient une petite partie à trois femelles en chaleur. Pour ma part, j’embrasse Alexandre qui en profite pour me caresser partout, mais j’aime ça. Je vois Michel qui nous regarde assit sur une chaise, l’air un peu dubitatif. –Que t’arrive-t-il Michel ?–Je me disais que tout le monde pense que c’est super d’avoir une énorme bite, ça rend jaloux les autres mecs, mais en fait, c’est plutôt un handicap, je ne pourrais jamais déflorer une fille, j’aurais trop peur de les défoncer.–Ce n’est pas évident, tu n’as pas pu avec Brigitte, mais c’est certainement possible avec d’autres filles.–J’aurais toujours une appréhension, même avec les filles non vierges.–C’est ce qui te rendra plus doux, tu seras un super amant. Je vois Aline se séparer des filles et venir vers moi. –Et si c’était Michel qui me dépucelle. Michel réagit. –Non, il n’en est pas question, je veux que ce soit un homme d’expérience qui le fasse.–Ok, mais il faudra bien qu’un jour tu essayes avec moi.–Tu es sûre que c’est une bonne idée ?–Absolument certaine, j’ai envie d’avoir ton énorme sexe dans le mien, et à voir comment Laure a pris son pied quand tu lui faisais l’amour, je rêve d’en faire autant avec toi.–On verra ça plus tard, pour l’instant tu es encore vierge, profites de tes derniers instants d’innocence.Tout le monde éclate de rire, Alexandre se redresse.–Bon, je crois que ça va aller, si mademoiselle veut bien se mettre en place, je vais officier.–Ok, mais moi, j’aimerais que tu t’allonge sur le dos et que je vienne sur toi pour m’empaler sur ton sexe, je crois que je maîtriserais mieux.–C’est comme tu veux.…/…
