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Ma drole de famille

Chapitre 19

Inceste
Alexandre s’allonge sur le dos, je viens me mettre entre ses jambes et je m’empare de son sexe dans ma bouche. Brigitte s’est levée et vient se mettre derrière moi pour s’occuper de mon sexe et me préparer. Michel fait allonger sa sœur sur le dos, lui écarte les jambes et se penche sur son sexe.
–Oui Michel, goûtes ta sœur, prépares moi, fais-moi avoir encore plus envie.
Alexandre est assez vite prêt, tout comme Aline. Je me dégage quand Aline vient s’agenouiller de chaque côté de son ventre, les mains sur son torse. Elle reste en hauteur. Je me saisis du sexe d’Alexandre et le positionne juste en dessous de la vulve ruisselante d’Aline.
–Tu peux y aller chérie, laisse-toi descendre doucement.
Aline présente sa chatte sur le gland d’Alexandre, elle s’arrête quand commence à entrer entre ses lèvres. Le libère le sexe et viens me mettre à quatre pattes de manière à ce qu’Aline puisse bien me voir me faire baiser par Michel. Il arrive derrière moi, le sexe vers le ciel et s’agenouille. Il me prend par les hanches.
–Moins brusque que tout à l’heure s’il te plait.–Ok tata.
Je sens son gland m’écarter les lèvres et s’enfoncer doucement, il ne rencontre aucune résistance, mon sexe commence à le connaitre par cœur. Aline nous regarde.
–Ok, j’y vais.
Elle se laisse doucement descendre sur Alexandre, Brigitte et Paule sont derrière elle pour la voir s’empaler sur ce beau vit vertical. Elle continu sa descente lentement pendant que Michel me laboure consciencieusement sur toute la longueur de sa bite. Aline s’arrête.
–Oh là, ça devient plus dur, je vais me calmer un peu.
Elle reste quelques secondes immobile.
–Bon, j’ai l’impression que ça se détend.–Moi aussi, ça me serre moins.

Tout à coup, elle se laisse tomber d’un seul coup et avale entièrement le sexe d’Alexandre.
–AAAAHHHH, putain que c’est bon, j’ai mal, mais c’est bon.
Elle remonte un peu de quelques centimètres pour se laisser à nouveau tomber. Michel accélère le mouvement.
–Ouai, ça fait mal, mais c’est bon.
Elle nous regarde en souriant puis remonte, redescend, remonte, ainsi de suite pendant plusieurs minutes, je vois qu’Alexandre commence à montrer des signes de fatigue, il va jouir bientôt. Aline continu.
–Oui, ça vient, je sens quelque chose qui monte en moi, je vais jouir, je vais jouir sur une bite, oui, ça y est, je jouis.
Elle se crispe et accélère ses mouvements, Alexandre se laisse aller, je vois à sa mimique qu’il se vide en elle.
–Oui, vas-y, rempli moi.
Je sens Michel se vider dans ma vulve, mais je ne suis pas prête à jouir, je suis trop occupé à voir comment ça se passe avec Aline. Michel me libère.
–Tu n’as pas joui tata ?–Non, mais ce sera pour plus tard, ne t’en fait pas mon chéri.
Aline se laisse tomber sur le côté, sa sœur et Brigitte se précipitent vers elle.
–Alors chérie, comment c’était pour toi ?–Super, j’ai eu un peu mal au début, mais ça s’est estompé et j’ai fini par prendre un pied d’enfer, j’ai enfin joui sur une bite, et c’était super, j’ai hâte de recommencer.
Moi, je me sens un peu frustrée, je n’ai pas joui, mais je suis quand même heureuse que ce se soit bien passé pour Aline et Brigitte. Elles ont l’air tellement heureuse que je pense que Paule va en faire autant. Je suis un peu envieuse d’Alexandre qui en profite, mais ça aussi, ça me rend heureuse pour lui. Il est resté allongé et je m’allonge à côté de lui.
–Alors mon chéri pas trop pénible la corvée ?–Non, je peux même continuer si tu le désire.–Si quelqu’un d’autre le désire.–Bien sûr.–En tout cas, moi je suis vannée et j’aimerais bien dormir un peu.
Je me tourne vers Brigitte.
–Tu peux me dire ou on peut dormir Alexandre et moi, il est onze heures du soir et nous sommes un peu fatigués ?–Oui, bien sûr, dans la seconde chambre après la grande salle de bain, le lit est toujours fait et il y a des serviettes.–Ok, merci, bonne nuit tout le monde, nous allons nous coucher, nous sommes debout depuis sept heures du mat, ça commence à faire.
Nous laissons tout le monde autour de la piscine et montons nous coucher.
Le lendemain matin, ce sont des bruits de plongeons et des cris qui nous réveillent. Il est déjà neuf heures. Je regarde par la fenêtre et je vois tout le monde autour de la piscine à prendre son petit déjeuner et à se baigner, évidemment, à poil. Nous prenons une douche et sortons les rejoindre pour déjeuner dans la même tenue. Je vois que les filles sont en pleine forme, seul Michel me parait un peu patraque.
–Tout va bien Michel tu as l’air fatigué ?–Oui tata, c’est juste que j’ai dormi avec Aline.–Oui, et alors, c’est ça qui te donne cette mine d’enterrement ?
Aline éclate de rire.
–Je crois que j’y suis un peu pour quelque chose.–Comment ça ?
Je me demande s’ils n’ont pas fait l’amour ensemble.
–Simplement par le fait que je voulais faire l’amour avec lui, mais il n’a pas voulu prétextant que mon dépucelage était trop récent.–Je ne vois pas ce qui a pu le fatiguer comme ça ?–Sauf que pour me venger, je l’ai masturbé quatre fois, jusqu’au bout et je l’ai tout bu. Je peux te dire que j’adore le sperme.–Et je peux te dire que la dernière fois c’était à six heures du mat, je suis complètement épuisé, je ne vais pas valoir grand-chose aujourd’hui.–Oh là, Aline, mais il faut te calmer ma chérie.–Ca, ça dépend de lui, je veux qu’il me fasse l’amour, je veux sentir son énorme sexe en moi, je sais que je peux le faire.–C’est une affaire entre vous.
Nous déjeunons, quand tout le monde a fini de déjeuner, Paule vient s’assoir à côté de moi.
–Nous avons beaucoup discuté cette nuit avec Brigitte, j’ai pris ma décision, est-ce qu’Alexandre peut s’occuper de moi ?–Te faire l’amour ?–Oui, bien sûr.–Demande lui.
Elle se tourne vers lui.
–Alexandre, tu veux bien me dépuceler ?–Je trouve cette demande un peu triviale.–Alexandre, puis-je espérer devenir femme grâce à tes bons services ?–C’est mieux, mais il faut le demander à Laure, c’est elle qui gère mon planning en ce moment.
Elle se tourne vers moi.
–Laure chérie, peux-tu demander à ton homme de faire en sorte que je devienne femme aujourd’hui.–Voilà une demande qui me plait, ok, je te note sur le planning, je vais même te mettre en tête de liste.–Merci.
Nous rangeons la vaisselle dans la cuisine quand la sonnette extérieure retentie. C’est la panique, tout le monde se précipite dans sa chambre, Brigitte enfile un peignoir et va ouvrir. C’est Julie qui débarque.
–Salut Brigitte, ou sont-ils ?–Dans leurs chambres, nous venons tout juste de finir de déjeuner.–Ok, je vous attends au bord de la piscine, toujours la même tenue ?–Oui, mais tu sais, il y a Michel et Alexandre.–Ne me dit pas qu’ils ont des maillots de bain ?–Non, mais ça ne te gênera pas ?–Pas du tout, j’ai déjà fait du naturisme.–Ok, on te rejoint tout de suite.
Julie se débarrasse de ses vêtements sur le sofa et se dirige vers la piscine. Brigitte passe dans les chambres et explique ce qu’il en est. Je suis très heureuse de revoir ma nièce, mais je me demande comment va évoluer la journée, Paule compte sur Alexandre, et faire ça devant Julie risque de poser des problèmes. Je sors la première, quand j’arrive à la piscine, je vois une magnifique jeune fille que je n’avais pas vu depuis huit ans. C’est une femme de vingt ans avec de magnifiques seins, ventre plat et ferme, belles fesses hautes, très jolie avec de magnifiques cheveux noirs qui tombent en cascade sur ses épaules. Je suis étonnée sans l’être de voir qu’elle aussi est épilée et offre aux regard un clitoris qui dépasse pas mal de ses lèvres. Elle se précipite vers moi et me tombe dans les bras.
–Laure, quelle joie de te revoir, tu es magnifique.–Toi aussi Julie, j’avais quitté une petite fille et je retrouve une magnifique jeune femme.
Nous nous embrassons, sa peau contre ma peau, ses seins contre mes seins, ses mains sur ma peau, je ne peux pas réprimer un frisson de plaisir, mais j’ai aussi l’impression que c’est pareil pour elle. Elle approche ses lèvres de mon oreille.
–Oh là Laure, on réagit au contact d’une femme ?–Oui, je l’avoue, j’aime aussi les femmes, mais ça je crois que tu le savais déjà.–Je m’en doutais vers la fin de ton séjour chez nous, on voyait beaucoup Elodie et vous vous enfermiez. Au fait tu l’as revu ?–Non, je l’ai eu au téléphone il y a à peu près six mois, j’étais encore aux US, mais je ne l’ai pas encore contacté depuis mon retour. –Je l’ai vu plusieurs fois, la dernière fois il y a trois semaines, elle était avec une copine, mais je crois que depuis elles se sont séparées.–Pauvre Elodie, elle doit être seule, je la contacterais demain.
Sur ces mots, le reste de la troupe arrive, Julie embrasse tout le monde. Elle vient vers moi et m’entraine à part, dans un petit bosquet.
–Dis donc, tu as vu l’engin de Michel ?–Oui, impressionnant hein ?–Oui, je n’en ai jamais vu de pareil.–Alors profites en, parce que tu n’es pas prête d’en voir un autre pareil de sitôt.–J’aimerais bien faire l’amour avec un homme qui a un sexe comme ça, c’est dommage que ce soit mon cousin.–Pourquoi ?–Laure, tu n’y penses pas, je ne peux pas faire l’amour avec mon cousin, ce serait un inceste.–Oui, mais pas un crime.–Laure !!!!–Chérie, es-tu amoureuse de Michel ?–Non bien sûr.–Alors, ce ne serait que du sexe, et le sexe, ce n’est que physique, d’autant que je sais que tu ne le laisse pas indifférent.–Comment ça ?–Il m’a dit qu’il te trouvait très belle et attirante et qu’il était bizarre en ta présence, il m’a même dit qu’il aimerait bien caresser ton corps.–Ah oui, mais ce serait quand même un inceste.–Non, du sexe, que du sexe, je peux te l’affirmer.–Tu en parles en connaissance de cause.–Pourquoi ?–Laure, je sais très bien que tu as fait l’amour avec mon père, et je dois te dire que je ne t’en veux pas du tout, il était seul, maman n’avait qu’à pas le quitter comme elle l’a fait, mais c’était quand même ton frère.–Oui, mais tu sais, c’est arrivé comme ça, on s’est laissé entrainer par nos sens et voilà. Mais tu vois, tu ne me condamne pas, tu ne m’en veux pas.–Bien au contraire, papa était beaucoup mieux, heureusement qu’il est tombé sur une femme super après ton départ, il commençait à déprimer, j’adore Eloïse, elle est très sympa, et aussi très belle.–Il va falloir que je fasse sa connaissance. Ceci dit, pourquoi pas avec ton cousin, c’est moins grave qu’avec un frère tu ne crois pas ?–Tu sais, je suis comme toi, moi aussi j’aime les femmes, et, tant qu’à faire, je ne verrais pas d’inconvénient à commencer par ma cousine.
Je pose mes mains sur ses fesses, elle a un mouvement du bassin, elle pose ses mains sur mes fesses et les caresse doucement. Je suis parcouru d’un frisson, ses mains remontent vers mes seins pour les envelopper et leurs pincer doucement les tétons. Je lui en fait autant, nos bouches se rapprochent quand une voix nous ramène à la réalité.
–Dites donc les petites cachotières, ce n’est pas dans un coin planqué qu’on fait ça, c’est devant tout le monde, on vous attend sur la piste.
Aline fait demi-tour et rejoint les autres. Julie me regarde un peu paniquée.
–On ne va pas faire ça devant tout le monde ?–Ca te gêne ?–Oui, un peu, je connais tout le monde, et je vais être un peu gênée.–Ne t’en fais pas, ils vont aussi s’amuser entre eux, viens, suis-moi.
Je lui prends la main et me dirige vers le groupe qui s’est déjà séparé un sous-groupe, Paule et Brigitte sont allongées sur la couverture et se câlinent, Aline a rejoint Michel et Alexandre, je me demande ce qu’ils veulent faire. Quand nous arrivons vers eux, Alexandre vient nous voir.
–Je crois qu’Aline a convaincu Michel.
Julie me regarde.
–Qu’est ce qui se passe ?–Aline veut faire l’amour avec Michel.–Mais elle est vierge.–Plus depuis hier.–Ah bon, mais c’est qui ?–Alexandre, c’est lui qui s’en ai occupé, de Brigitte aussi d’ailleurs, et il devrait s’occuper de Paule aujourd’hui.–C’est une défloraison en chaine.–Si l’on veut.–Et moi là-dedans ?–Tu es vierge ?–Non, j’ai déjà fait l’amour avec un homme, j’ai même des godes pour les temps difficiles, mais j’ai encore une partie de moi vierge.–Tu veux dire que tu aimerais bien te faire sodomiser.–Oui, j’ai une copine qui l’a déjà fait avec son mec et qui m’a dit que c’était super.–Tu crois que tu es prête pour ça ?–Oui, et je peux même te dire que j’y pense souvent, mais mon dernier petit copain ne voulait pas, c’était contre nature disait-il.–Et bien, on va y penser, pour l’instant, c’est à nous, allonge toi sur la couverture à côté de Paule et Brigitte.
Elles sont toujours là à ce faire un super soixante-neuf. Les fesses de Paule, qui est au-dessus, sont un appel à la caresse auquel je ne résiste pas et je viens y déposer un baiser sous le regard amusé de Brigitte qui lui broute le minou. Julie est sur le dos, les bras en croix. Je viens vers ses pieds, lui écarte les jambes et remonte le long en embrassant cm par cm de sa peau. Brigitte et Paule se sont arrêtées pour admirer le spectacle qui se passe à côté d’elles, Aline, Michel et Alexandre sont autour de la couverture pour regarder. Quand j’arrive au niveau de l’aine, son bassin fait d’amples mouvements de rotation, je vois son sexe qui brille et d’où s’écoule un liquide blanchâtre. Je pose mes lèvres sur son clitoris.
–AAAAAHHHHH
Elle pose ses mains sur ma tête pendant que je m’occupe de son bouton d’amour. Elle ne résiste pas longtemps et joui en s’exprimant bruyamment.
–AAAAAHHHHH oui, oui, c’est bon, oui, oui.
Je reste sur son sexe tant qu’elle jouit, puis je remonte le long de son corps en l’embrassant de la même manière. Arrivée à ses seins, je les suce, les mordille, les lèche, puis je remonte jusqu’à sa bouche dont je m’empare goulûment. Nous échangeons un long baiser pendant que ses mains parcourent mon corps. Elle réussit à me mettre sur le dos, et entame une descente aussi lente qu’a été ma montée. Ses lèvres se posent sur toute la surface de mon corps, elle s’occupe particulièrement de mes seins et finit par arriver à mon mont de Vénus. Sa langue vient titiller mon clitoris, dans l’état dans lequel je suis, je suis tout de suite submergée par un superbe orgasme, je suis tendue comme un arc. Julie fait en sorte de me présenter sa vulve devant ma bouche et nous voilà parties pour un super soixante-neuf. Il ne nous faut que quelques minutes pour jouir ensemble, je vois qu’elle maîtrise autant que moi bien qu’ayant huit ans de moins. Une fois remise, elle se tourne pour venir se coller contre moi, et nous nous embrassons une nouvelle fois sous les applaudissements de tout le monde.
–Voilà de belles retrouvailles.…/…
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