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Ma drole de famille

Chapitre 21

Inceste
Je lui badigeonne l’anus de graisse pendant que s’occupe de mettre Alexandre en forme en lui faisant une superbe fellation. J’enfonce un doigt dans le fion de Julie, m’active dedans, en introduit un second, puis un troisième. Son sphincter se détend de plus en plus, je peux presque y mettre un quatrième doigt, mais je ne veux pas la brusquer, je préfère que ce soit le vit d’Alexandre qui aille jusqu’au bout. Quand je la sens prête, je m’écarte, Alexandre vient derrière elle, la saisi par les hanches et place son vit sur sa rondelle.
–Prête ?–Oui, vas-y, je suis prête.
Il tire sur ses bras et sa bite s’enfonce doucement en elle. Tout le monde est autour pour voir Julie se faire déflorer du cul. Son sexe s’enfonce doucement sans aucune résistance apparente. Julie se crispe un peu.
–Doucement, j’ai un peu mal.
Alexandre s’arrête, Brigitte se glisse sous elle pour lui titiller le clitoris. Aline lui caresse les seins, tout le monde participe pour qu’elle en profite le plus possible.
–Vas-y, ça va mieux.
La progression du sexe reprend, il glisse lentement jusqu’à ce que le pubis d’Alexandre touche les fesses de Julie.
–Oui, tu es au fond, c’est spécial, mais j’aime, continu, défonce moi le fion, je veux que tu me prennes comme une bête.
Alexandre commence des va et vient lents et courts pour progressivement les accélérer et les allonger. Pour finir, son sexe sort à chaque mouvement pour s’enfoncer encore plus dans les entrailles de Julie. A chaque sortie, son anus reste de plus en plus ouvert. Je rajoute de la graisse à chaque sortie du sexe d’Alexandre une meilleure glisse.
–Oui, oui, c’est bon, je vais prendre un super pied, continuez, je suis à vous, je suis votre instrument, continuez, oui, oui, ça y est c’est parti, je joui, je joui, aaaaaaaaaahhhhhhhhhh, oui, oui.
Elle pousse un grand cri et s’effondre sur Brigitte qui continu de s’occuper de son clitoris. Alexandre se vide en elle en silence.
–Oh oui, ton jus.
Elle continu d’avoir des soubresauts jusqu’à ce qu’Alexandre se retire. Elle se calme lentement à moitié couchée sur Brigitte. Elles se lèvent, Julie parait toute joyeuse, elle vient vers moi.
–Putain, quel pied, ma copine avait raison, je vais convertir tous mes petits copains à la sodomie, sinon, au revoir. Je ne me savais pas aussi sensible de l’anus.–C’est vrai, qu’on arrive à jouir par l’anus, mais pas tout le monde, tout le monde n’a pas la même sensibilité anale.–Toi ?–Moi, rien que de me le toucher, je suis en transe, je prends un pied d’enfer quand je me fais sodomiser.–Tu n’oublie pas notre conversation de tout à l’heure ?–Non, ne t’en fait pas quand il s’agit de sexe, je n’oublie jamais, mais il faut qu’Alexandre récupère.–Ok, allons boire un verre.
Nous allons vers la table basse, nous installons sur des fauteuils de jardin pour boire un coca. Le reste de la troupe nous rejoint, seul Michel est resté sur la couverture, il est allongé les yeux fermés, j’ai l’impression qu’il essaye de dormir. Je remarque qu’Aline n’est plus là.
–Ou est Aline ?–Elle est partie aux toilettes.–Ok.
Nous buvons tranquillement nos verres, le temps passe doucement, mais je remarque qu’Aline n’est toujours pas revenu des toilettes. Un doute me prend. Le vais à la maison, j’entre et je vois Aline à quatre pattes sur le tapis du salon qui se fait besogner par Hector. Elle me regarde.
–Putain que c’est bon, il me défonce, il me remplit de son sperme, ça déborde, je suis folle, j’ai déjà joui deux fois, ça repart, aaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhh.
Elle s’écroule sur le tapis les fesses toujours en l’air. Hector descend mais reste collé à elle. Je vois qu’elle a encore des soubresauts de plaisir. Décidément, cette gamine est aussi une folle de sexe, Alexandre a ouvert la boite de Pandore du sexe. Ce doit être de famille, il n’y a que Paule qui paraisse un peu plus calme, encore que je demande à voir. Je viens vers elle, elle me regarde avec des yeux innocents, comme s’il était normal d’être le cul à l’air une bite de chien dans le sexe. Au moment où j’arrive sur elle, Hector se retourne et libère Aline qui se laisse tomber à terre.
–Tout va bien ma chérie ?–Merveilleusement bien Laure.–Tu te rends compte de ce que tu viens de faire ?–Tu ne l’as pas fait toi ?–Là n’est pas la question, tu connais à peine ce chien, il aurait pu très mal réagir et te blesser.–Mais il est très gentil.–Oui, aujourd’hui, mais je peux te garantir que je l’ai vu en colère et que ça fait peur. Là, tu as fait n’importe quoi, ne t’avise pas de recommencer ou tu me connaitras en colère.–Excuse-moi Laure, mais quand je suis ressorti des toilettes, il est venu vers moi et m’a donné un grand coup de langue sur le clitoris, je n’ai pas résister, je l’ai laissé faire et quand j’ai vu que sa bite sortait de sa gaine, je me suis mise à quatre pattes machinalement, je le voulais en moi, c’était plus fort que moi, j’étais en transe.–Je te comprends ma chérie, j’ai moi-même connu ça.–Toi aussi tu l’as fait avec lui ?–Oui, et même plusieurs fois.–Je pourrais recommencer ?–Oui, mais seulement en ma présence ou celle d’Alexandre.–Alexandre est au courant pour toi ?–Oui, nous ne nous cachons rien.–Ok, tout ce que tu voudras, mais devant Alexandre.–C’est à prendre ou à laisser.–Ok, j’espère qu’on se verra souvent ici.–Tu es vraiment une folle de sexe, je crois que nous le sommes tous dans la famille.–Oui, à commencer par mes parents.–Comment ça ?–Ils vont dans des clubs échangistes, je vois souvent maman aller chez une copine qui est une lesbienne notoire et autant l’un que l’autre font de temps en temps des entailles dans le contrat.–Tu les espionnes.–Non, ils ne s’en cachent pas, seul Michel est au courant de rien, il n’est pas assez souvent à la maison, il est toujours avec ses copains.–Ok, lèves toi et viens, nous allons rejoindre les autres.–On en parle ?–C’est toi qui décide.–Ok.
Nous sortons de la maison en laissant Hector à l’intérieur, il est trop occupé à se lécher la bite. Quand nous arrivons vers la table, Aline et Julie font des fellations à Alexandre et Michel. Ils bandent tous les deux comme des ânes.
–Nous te les avons préparés Laure, c’est à toi.–Merci les filles, allez les garçons, au boulot.
Je vais vers la couverture, tout le monde me suit. Je prends le pot de graisse et le tends à Alexandre.
–Prépare moi pour ta bite.
Michel se met sur le dos, je viens m’agenouiller de chaque côté de ses hanches en ouvrant au maximum mes jambes. Son sexe est bien dressé, je m’en saisi, le redresse encore plus pour le mettre vertical et ma laisse descendre dessus. Je sens son gland écarter mes lèvres et s’enfoncer doucement. Une fois le gland passé, je me laisse tomber d’un seul coup sur ce monstre. J’ai l’impression d’étouffer tellement la sensation de possession est forte. Je me couche sur Michel qui en profite pour me poser un baiser sur le cou. Une main vient me badigeonner le cul, au toucher, je sais que ce n’est pas Alexandre, et comme je vois Aline, Brigitte et Paule à côté de moi, j’en déduis que c’est Julie. Elle glisse un doigt dans mon anus, puis un second, un troisième et même un quatrième. Elle me pistonne jusqu’à ce que mon sphincter se détende au maximum.
–J’ai l’impression que je pourrais y mettre ma main en entier.–Ce n’est pas qu’une impression, tu pourrais le faire.
Je sens qu’elle ajoute le pouce et positionne ses doigts en pointe.
–Je peux y aller ?–Demande à Alexandre.–Oui, vas-y.
Sa main ressort un peu puis revient à la charge. Elle pousse fermement et mon sphincter l’avale d’un seul coup, elle me pénètre jusqu’à mi avant-bras. Je sens ses doigts s’ouvrir en moi, j’ai l’impression d’avoir un poulpe dans le tuyau anal.
–Je sens la bite de Michel dans ta chatte, c’est fantastique.
Michel donne des coups de rein, mais Julie positionne sa main de manière à pouvoir caresser la bite de Michel au travers de la paroi qui sépare le vagin de l’anus. Ses doigts jouent avec son gland.
–Putain, j’ai la bite dans un super fourreau chaud et humide et je me fais masturber en même temps, c’est le pied.
Julie continu, je commence à entrer en transe, je sens le plaisir monter en moi, toujours cette vague qui envahi mon corps de la tête aux pieds et qui finit en de multiples feux d’artifices. J’explose dans un sublime orgasme quand je sens les jets de sperme de Michel me remplir la vulve. La main de Julie lui caresse toujours le gland et me rend folle de plaisir. Julie ferme son poing et me pistonne de plus en plus vite, je sens son poing frotter contre la bite de Michel qui ne se ramolli pas, elle accélère de plus en plus jusqu’à ce que j’éclate dans un nouvel orgasme. Quand elle sent que je me relâche, Julie retire sa main doucement. Mon anus reste ouvert, je le sens, mais Julie se penche et le lèche jusqu’à ce qu’il se referme complètement. Je me libère de Michel et me mets sur le dos. Je suis exténuée. Julie vient s’allonger à côté de moi pour m’embrasser. Notre baiser est d’une grande douceur.
–Je n’aurais jamais cru être capable de faire ce que je viens de te faire.–Tu es une folle de sexe, et c’était du sexe pour le sexe.–Oui, mais je me sens capable d’autre chose. –Ah oui ?–De m’amuser avec Hector.–Tu veux faire ça tout de suite ?–Tu crois que ça va gêner les autres ?–Aline non, mais Paule je n’en suis pas sûre, elle me parait un peu moins dévergondée que les autres, je pense que ce devrait être pour plus tard.–Ok, mais c’est dommage, je me le sentais bien ce coup là.Je me retourne, et je ne vois plus Alexandre.–Ou est Alexandre ?–Il est allé répondre au téléphone.–Ok.
Nous nous levons pour aller nous rafraîchir, il commence à faire une sacrée chaleur. Alexandre sort de la maison.
–Les filles, il faut vous habiller, vos parents viennent vous chercher dans cinq minutes, toi aussi Brigitte, ils te ramènent chez toi.–Je pense qu’on va tous se rhabiller, on ne va tout de même pas les recevoir à poil.–Bien sûr.
Tout le monde s’habille juste à temps pour l’arrivée d’Elisa et Henri. Je leur sers un rafraîchissement et ils partent assez vite à la ferme, Henri doit faire la traite, c’est lui qui s’en occupe le week-end. J’ai à peine fermé le portail que Julie fait valser ses vêtements par terre.
–Et si on parlait d’Hector ?
Alexandre la regarde étonné.
–Oui ?–Ne t’en fais pas, je suis au courant, nous en avons parlé avec laure, j’avais remarqué son attitude tout à l’heure, il était comme un fou au milieu de toutes ces femmes qui devait sentir la chienne en chaleur pour lui.–Non, simplement l’odeur des femmes excitées, il a été dressé pour ça par sa première propriétaire.–Ok, et vous croyez qu’il va bien vouloir s’occuper de moi ?–Sans aucun doute.
Je vais chercher Hector qui me fait une formidable fête quand je lui ouvre la porte. Mais je suis toujours habillée ainsi qu’Alexandre. Il se précipite sur Julie, s’arrête au dernier moment et lui donne un grand coup de langue sur les lèvres.
–Oh la oui.
Je me déshabille et viens m’allonger sur la couverture.
–Viens te mettre à côté de moi.
Julie s’allonge à côté de moi suivi comme son ombre par Hector. Il comprend tout de suite ce qu’on attend de lui, il donne quelques coups de langue sur la vulve de Julie, puis quelques coups sur ma vulve. Il passe de l’une à l’autre avec un plaisir certain. Julie me prend la main et part dans un superbe orgasme.
–Oh oui, quel pied, je joui avec sa langue, je joui, je joui.
Elle se cambre, Hector ne la quitte pas tant qu’elle jouit. Quand je vois qu’elle se détend, je lui donne une petite claque sur la tête et il vient s’occuper de moi. Je ne résiste pas longtemps et part pour le nirvana avec des étoiles plein la tête. Julie se redresse et remarque que la bite d’Hector est en partie sortie. Elle l’attire vers lui, passe sa tête sous son ventre et lui gobe le sexe. Elle l’aspire, je vois ses joues se creuser, elle ouvre la bouche pour faire tourner sa langue autour de sa bite puis elle le reprend en bouche. Je suis complètement scotchée par ce que fait Julie, je savais qu’elle aimait beaucoup le sexe, mais pas à ce point. Hector ne bouge pas, je ne sais pas ce que lui faisait son ancienne propriétaire, mais autant moi qu’Alexandre ne lui avons fait ça, il parait étonné, mais ne bouge pas et se laisse faire. Julie le libère.
–C’est super, son liquide est très bon, aussi bon que du sperme d’homme, tu ne veux pas essayer ?
Je la regarde, regarde Alexandre, j’ai envie de la faire, mais quelque chose m’en empêche.
–Vas-y ma chérie, je ne pense pas que ce soit très différent d’une bite d’homme.
Je me décide et me penche sous le ventre d’Hector qui commence à s’agiter, car personne ne s’occupe de sa bite. Je lui prends en bouche. La texture est très proche de la texture d’une bite d’homme, un peu plus douce peut-être, mais la différence, c’est que cette bite coule constamment d’un liquide doux et chaud que j’avale avec plaisir. Je vois Julie se mettre à quatre pattes, je libère Hector et le fait mettre derrière elle. Il ne demande pas son reste et lui saute dessus en donnant de grands coups de reins. Alexandre se saisi de sa bite et la positionne au bon endroit. Hector donne un grand coup de rein et empale Julie d’un seul coup. Il la besogne comme un fou.
–Oh lala, quelle brute, il me baise, il me défonce, encore, encore, merci Laure, merci de me le prêter.
Elle repli un peu les bras pour incliner son corps et avoir les fesses en l’air. Hector se défonce dans son vagin, il donne de grand coups de reins ce qu’à l’air d’apprécier beaucoup Julie, elle me regarde par en bas, je vois son regard se vitrer, elle n’est plus dans notre monde, elle est avec son sexe et cette bite que le défonce, elle ne pense qu’au plaisir qui va la dévaster dans peu de temps.
–Oui, ça y est, oui, oui, aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh, oui je joui, aaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhaaaaaaaaahhhhhhhhhhhaaaaaaaaahhhhhhh.
Elle reste en position pendant qu’Hector se vide en elle. Je vois du sperme sortir de son vagin et couler le long de ses cuisses. Sans réfléchir, je m’agenouille à côté d’elle et lui lèche l’intérieur des cuisses pour récupérer le sperme d’Hector. Ma langue remonte jusqu’à toucher la bite du chien. Je me régale de ce jus de vie. Hector finit par libérer Julie, j’en profite pour prendre sa place et me goinfrer de sperme, mais ma langue a un autre effet, et Julie repart dans un nouvel orgasme.
–Oh oui, ta langue, tu vas me faire jouir, continu.
Elle se tord de plaisir sous l’effet de ma langue. Je continu de récupérer le sperme d’Hector, quand je sens une main me badigeonner l’anus de graisse. Quelques secondes plus tard, Hector me saute dessus et me perfore l’anus d’un seul coup. Après la séance de tout à l’heure, son sexe coulisse dans mon conduit anal très librement. Julie se redresse, prend Alexandre par la main, l’amène devant moi et s’agenouille. Elle se saisi de son sexe et l’embouche pour une fellation. Je regarde Alexandre et acquiesce du regard. Quand Alexandre bande bien, elle le fait s’agenouiller et l’amène de manière à ce que je puisse prendre sa bite dans ma bouche.
–Comme ça, cousine, tu te fais prendre par les deux bouts.
Elle se glisse sous moi pour me titiller le clitoris. Je ne résiste pas longtemps à ce traitement, d’autant que je sens Hector se vider dans mon fion. J’attrape Alexandre par les fesses, l’attire le plus possible vers moi et active ma fellation.
–Oui chéri, j’arrive, oui, tiens, bois mon amour.
Je reçois un violent jet de sperme dans la bouche au moment où je me laisse aller à jouir de tout mon corps. Je n’en peux plus, j’ai trop donné de mon corps aujourd’hui, je veux me reposer. Je me laisse aller et tombe sur Julie, la bouche sur son sexe, mais je n’ai pas la force de lui faire quoi que ce soit. Hector me libère, sa bite passe à côté de la bouche de Julie qui essaye de s’en emparer, mais sans succès. Hector va se coucher sous un arbre juste à côté pour se lécher. A ma grande stupeur, je vois Julie marcher à quatre pattes et aller vers Hector pour lui lécher la bite. Il se laisse faire quelques secondes, mais reprend la main tout de suite. Julie se redresse.
–Je ne dois pas le faire comme il faut. Je suis fatiguée, je vais me mettre sur un transat.
Elle va s’allonger sur un transat, et nous l’imitons. Il se passe au moins un quart d’heure sans qu’une seule parole ne soit prononcée. La tranquillité du moment est juste un peu troublée quand Hector vient nous rejoindre. Il fait le tour des transats et vient poser sa truffe sur le pubis de Julie. Elle réagit en écartant les cuisses et en s’orientant de manière à ce qu’il puise lui lécher la chatte confortablement.
–Vas-y mon chien, lèche moi, fais-moi monter au ciel.
Hector donne de grands coups de langue entre les lèvres de Julie, je la vois se tortiller, son ventre ondule, elle ferme les yeux, elle se concentre sur son plaisir. Elle pose ses mains sur la tête d’Hector sans le forcer, juste pour le caresser et au bout d’un petit moment, elle se crispe, se tend, ses fesses décollent du transat.
–Oui, oui, cette langue, oui, aaaaaaaaaahhhhhhhhhh.
Elle jouit en s’exprimant bruyamment. Elle met un certain temps à ouvrir les yeux, Hector est toujours la tête entre ses cuisses, il donne de temps en temps un coup de langue, mais Julie ne réagit plus.
–Je suis complètement lessivée, je n’en peux plus, je ne sais pas combien de fois j’ai joui aujourd’hui, mais je peux vous dire que c’est mon record. En plus j’ai découvert la sodomie et Hector, je dois dire que je ne regrette rien, c’est la journée la plus intense de ma vie, merci à vous.–De rien ma chérie, je dois dire que de te retrouver en femme sans contraintes m’a fait beaucoup de plaisir.–C’est de famille comme tu disais.–Il commence à se faire tard, je propose qu’on mange et après, gros dodo, tu n’as qu’à rester ici, on a des chambres.–Et vous me laisseriez dormir seule ?–Je vois ou tu veux en venir, Alexandre, ça te dérange de partager notre lit avec Julie ?–Pas du tout, mais seulement si je suis au milieu.–Bin voyons.
Nous allons nous installer dans le salon, je prépare vite fait avec Alexandre un petit en-cas, personne n’a vraiment faim, on est plutôt tous crevés. Nous mangeons tranquillement et nous couchons tous les trois dans notre grand lit vers vingt-deux heures. Nous dormons tous les trois comme des anges.…/…
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